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Région de Montréal

Encore une chute du prix de l’essence!

Mise à jour : 09/10/2008 16h36

 

 

La crise qui secoue les marchés boursiers a au moins un bon effet.

 

Les cours du pétrole brut qui s'effondrent finissent par avoir un impact à la pompe.

 

Dans la grande région de Montréal, le prix du litre d'essence a baissé considérablement au cours des dernières heures.

 

Dans certaines stations, l'essence se vend maintenant à 1,08$ alors que cette nuit, on trouvait de l'essence plutôt à 1,12$.

 

Et l'essence pourrait continuer à descendre jusqu'à 1,06$ au cours des prochains jours.

 

Pour plus de détails sur le prix de l’essence dans les différentes régions du Québec, consultez le site du CAA ou celui de. la Régie de l’énergie

 

http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/archives/2008/10/20081009-163626.html

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La demande pétrolière frappée par le ralentissement

 

15 octobre 2008 - 09h13

Agence France-Presse

 

Pour 2008, l'OPEP table dorénavant sur une demande de 86,45 millions de barils par jour contre 86,79 mbj annoncés en septembre.

 

L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) a fortement révisé à la baisse mercredi ses prévisions de hausse de la demande de brut en 2008 dans le monde à 0,64% contre 1,02% en septembre.

 

Cela fait suite aux mauvais chiffres sur la croissance économique dans les pays industrialisés.

 

Dans son rapport mensuel d'octobre publié mercredi à Vienne, le cartel a aussi réduit sa prévision pour 2009 d'une hausse de la demande de brut de 0,87%, contre 1% le mois précédent.

 

Pour 2008, l'OPEP table dorénavant sur une demande de 86,45 millions de barils par jour (mbj) contre 86,79 mbj annoncés en septembre.

 

Pour l'année prochaine, la nouvelle prévision fait désormais état de 87,21 mbj soit 760 000 barils par jour de moins que l'estimation publiée en septembre.

 

«L'estimation initiale de croissance de la demande totale de brut dans le monde pour 2008 a été réduite de moitié pour se situer actuellement à 600 000 barils par jour. Et en 2009, les prévisions de recul de la croissance économique devraient à nouveau peser sur la demande de pétrole», résume le rapport de l'OPEP.

 

Les experts du cartel expliquent que la demande sera bien moindre aux États-Unis en 2009 que ce qu'on attendait initialement, «du moins lors du premier semestre», et que cela devrait également avoir un effet sur les autres grandes économies de la planète.

 

En revanche, dans les pays non-OCDE, c'est-à-dire dans les économies émergentes et en développement, l'OPEP table sur une hausse de la demande de 1,1 mbj, contre 0,4 mbj dans les pays industrialisés.

 

«La plupart de la croissance de la demande des pays non-OCDE viendra de la Chine, du Moyen-Orient et de l'Inde», selon le cartel.

 

Par ailleurs, avec les mauvais chiffres sur la croissance économique et leur impact sur la demande de brut, les prix du pétrole «ont continué la tendance maussade à la baisse», un effet accentué selon le rapport par «l'appréciation du dollar américain».

 

Et puis «la tourmente sur les marchés financiers a renforcé la mauvaise atmosphère sur le marché mondial», selon le rapport, ce qui s'est traduit par une chute de 14% du prix du baril en septembre calculé selon un panier des bruts produits par le cartel.

 

La dégringolade des prix s'est poursuivie en octobre avec la poursuite de la crise financière et de ses répercussions sur la croissance économique.

 

Pour faire le point sur l'évolution des prix et de la demande, le cartel a convoqué une réunion ministérielle extraordinaire à Vienne le 18 novembre avant celle prévue le 17 décembre à Oran, en Algérie.

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Le prix du pétrole en pleine descente

* Olivier Schmouker, Lesaffaires.com

* 11:55

 

Le baril a perdu la moitié de sa valeur en trois mois. Photo : Bloomberg.

 

Les cours du brut accusent de nouvelles pertes, alors qu’un nouveau rapport sur les stocks pétroliers américains accentue les craintes d'un ralentissement de la demande énergétique mondiale.

 

En début d’après-midi, le contrat décembre sur le brut léger américain perdait 6,23%, à 67,68 dollars américains le baril. Et le Brent abandonnait 5,91%, à 65,60 dollars américains.

 

Les stocks américains de brut ont augmenté davantage que prévu la semaine dernière, de 3,2 millions de barils, alors que plusieurs analystes anticipaient une hausse de 2,6 millions. C'est la quatrième semaine consécutive qu'ils augmentent.

 

L’été dernier, le prix du baril avait tutoyé la barre des 150 dollars américains.

 

Vendredi doit avoir lieu à Vienne, en Autriche, une nouvelle réunion de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep). On anticipe une réduction de la production de leur part, dans l’optique de soutenir les cours du pétrole.

 

Avec Reuters.

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  • 2 semaines plus tard...

Le pétrole de l'Alberta n'est plus rentable

 

OR NOIR. Les compagnies pétrolières ont annoncé d'importantes réductions de leurs investissements.

 

Ludovic Hirtzmann, Montréal

Vendredi 31 octobre 2008

 

«L'économie de l'Alberta va ralentir après quatre années de croissance très forte. Le marché de l'emploi, les dépenses de consommation et le marché de l'immobilier devraient diminuer pendant les deux prochaines années. Nous prévoyons que la croissance va tomber à 2% en 2008, puis à 1,3% en 2009», confie Robert Kavcic, économiste de la Bank of Montreal Capital Markets. En 2006, la croissance a été de 6,6% en Alberta, puis de 3,3% en 2007. A Fort Mc Murray, la Mecque pétrolière de cette province de l'Ouest, les employeurs se battaient il y a peu encore pour trouver de la main-d'œuvre.

 

En juillet, le baril a atteint 147 dollars. Les pionniers de cet eldorado glacial, où se situent les deuxièmes réserves d'or noir de la planète, ont multiplié les forages. Le pétrole des sables bitumineux coûte cependant cher à exploiter. «Certains projets qui nécessitent que le baril soit à 80 ou à 100 dollars ne sont plus rentables. Il reste qu'à long terme, l'Alberta est un endroit de la planète où les entreprises pétrolières peuvent disposer de matières premières qui sont à l'abri de l'insécurité et des turbulences politiques», note Robert Kavcic.

 

Révision à la baisse

 

Fin octobre, le baril ne cotait plus que 65 dollars. Les principaux groupes pétroliers canadiens ont annoncé une révision à la baisse de leurs investissements. Le géant Suncor Energy a ainsi déclaré qu'il réduirait d'un tiers ses dépenses d'investissement en 2009. Petro Canada et Nexen diminueront aussi l'importance de leurs projets en cours. Les profits et les investissements des pétrolières demeurent conséquents. Suncor a divulgué un bénéfice net de 815 millions de dollars au troisième trimestre 2008, contre 538 millions de dollars à la même période l'an dernier.

 

Dans une récente édition, le quotidien The Globe and Mail estimait que le secteur de la construction de l'Alberta pourrait perdre 10000 emplois dès l'an prochain. Les conséquences d'un ralentissement de la demande d'or noir pourraient être dramatiques pour une économie canadienne très dépendante des ressources naturelles. Dans une entrevue accordée récemment au quotidien The Calgary Herald, l'analyste du cabinet Genuity Capital Markets, Philip Skolnick, affirmait pessimiste: «Ce n'est que le début, particulièrement si le marché du crédit reste tel qu'il est et si les prix du pétrole ne remontent pas de manière significative.» Depuis plusieurs années, les groupes écologistes canadiens se plaignent des conséquences désastreuses de l'exploitation du pétrole des sables bitumineux sur l'environnement. Le premier ministre conservateur Stephen Harper doit son élection aux pétroliers de l'Alberta. Il a toujours refusé que le secteur énergétique canadien et l'Alberta soient soumis à des règles environnementales. La baisse des cours du pétrole n'a pas diminué l'ardeur des écologistes. «Ce que nous voyons est catastrophique, mais nous n'avons encore rien vu. C'est du développement sauvage, de la folie», a déclaré dimanche dernier au quotidien Winnipeg Sun Simon Dyer, directeur de la campagne «Sables bitumineux» de l'Institut Pembina, un groupe écologiste de Calgary. Un récent rapport du Centre Munk de l'Université de Toronto souligne que la construction de raffineries pour soutenir l'industrie des sables bitumineux contribuera inéluctablement à la pollution des Grands Lacs.

 

http://www.letemps.ch/template/economie.asp?page=9&article=242958

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  • 2 semaines plus tard...

Le pétrole au plus bas depuis mars 2007

 

12 novembre 2008 - 10h37

Agence France-Presse

 

Les prix du pétrole brut ont continué à baisser mercredi dans la matinée, touchant de nouveaux creux depuis début 2007, sans que les prévisionnistes n'osent vraiment désormais prédire jusqu'où la chute peut amener les prix.

 

Le baril de light sweet crude pour livraison en décembre, coté sur le Nymex, cédait 1,57 cents à 57,76 $ US après être tombé jusqu'à 57,70 $ US, son niveau le plus faible depuis le 20 mars 2007.

 

Le prix du baril de Brent de la mer du Nord reculait de 1,15 $ à 54,56 $ US après être tombé à 54,28 $ US sur l'IntercontinentalExchange de Londres, un nouveau creux depuis le 30 janvier 2007.

 

Par rapport à leurs records du 11 juillet (147,50 $ US à Londres, 147,27 $ US à New York), les cours du pétrole ont perdu plus de 60% de leur valeur.

 

Mardi, les prix du pétrole ont perdu plus de trois dollars à New York, après deux séances de petite hausse, pénalisés par la chute des marchés financiers et l'inquiétude des investisseurs pour l'économie mondiale.

 

En Europe, le premier ministre britannique Gordon Brown a appelé les États à prendre des mesures budgétaires coordonnées, comme des baisses d'impôts et une augmentation des dépenses publiques.

 

Ce discours a été relayé par le commissaire européen aux Affaires économiques, Joaquin Almunia. «Sans coordination, les plans (de relance) adoptés au niveau national ne seront pas aussi efficaces qu'ils devraient l'être», a-t-il indiqué.

 

Alors que les moteurs de la croissance calent les uns après les autres, Washington et Bruxelles ont souhaité que le sommet du G20, samedi à Washington, envoie un «signal clair» sur la libéralisation du commerce mondial, afin de stimuler les échanges.

 

«Les inquiétudes sur la demande globale continuent à peser sur le complexe» des hydrocarbures, notaient les économistes du cabinet John Hall, «avec des signes que la demande chinoise pourrait vaciller».

 

Pour la journée, «la direction pourrait être donnée» par l'édition de novembre des perspectives énergétiques du gouvernement américain, «qui devraient révéler une nouvelle révision à la baisse de sa prévision de demande mondiale», en même temps que la publication des stocks hebdomadaires américains «devraient révéler une baisse annuelle de la demande».

 

Les économistes de Barclays Capital observaient que les 60 dollars en dessous desquels le baril de brut a clôturé la veille à New York était «importants psychologiquement», et estimaient que le marché devrait «rester à la baisse à court terme».

 

Barcap mettait le plancher à court terme du pétrole new-yorkais à un peu plus de 56 $ US, mais n'excluait pas qu'il retombe à 49,90 $ US, le plus bas niveau atteint en janvier 2007, tendance qui devrait se poursuivre à moyen terme.

 

Les économistes de Schork constataient pour leur part que «de même que personne n'avait la moindre idée des prix qui pouvaient être atteints en juillet dernier (quand le pétrole montait), on ne peut pas dire non plus jusqu'à où on peut descendre à présent».

 

«Attention, avertissaient-ils, parce que maintenant tout le monde va nous dire que 50 $ US est le plancher, comme si ce nombre signifiait quelque chose. Cela pourrait être le plancher, mais 40 $ US aussi. On ne saura où est le plancher que bien après l'avoir atteint», concluaient-ils.

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Première baisse de la demande pétrolière en 25 ans ?

 

18 novembre 2008 - 08h39

Agence France-Presse

 

La demande mondiale de pétrole devrait se contracter en 2008, pour la première fois depuis un quart de siècle, a estimé mardi dans son rapport mensuel le cabinet CGES, pour qui dorénavant l'évolution des prix dépendra de la capacité concrète de l'OPEP à baisser son offre.

 

«Une contraction de la demande mondiale en 2008 et 2009 est maintenant une possibilité réelle pour la première fois en 25 ans», souligne du cabinet londonien Centre for Global Energy Studies, fondé par l'ancien ministre saoudien du pétrole cheikh Ahmed Zaki Yamani.

 

Avec cette mise en garde, le CGES enfonce les pronostics les plus pessimistes : l'Agence internationale de l'énergie (AIE), le département américain de l'énergie et l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) ont ces derniers jours fortement révisé à la baisse leurs prévisions de demande.

 

Ces trois institutions continuent à parier sur une croissance de la demande en 2008, infime certes mais toujours positive.

 

Les pronostics très pessimistes du CGES se fondent sur la conviction que «la croissance de la demande pétrolière en Asie, en Amérique latine et au Moye- Orient ne peut plus compenser le déclin persistant dans les pays de l'OCDE, sachant que la demande de bien de consommation fabriqués en Asie vacille et que la croissance débridée de la demande dans les pays producteurs de pétrole se calme».

 

Dorénavant, la direction des prix dépendra de la manière et de la rapidité avec laquelle l'OPEP réduit sa production pour répondre au déclin de la demande pétrolière», ajoutent les auteurs du rapport.

 

Une baisse de la production de 1,5 million de barils a échoué à enrayer le recul des prix, puisqu'ils encore perdu 25% depuis que l'OPEP a annoncé cette décision fin octobre à Vienne.

 

Ce qui compte, souligne le CGES, c'est d'abord la façon dont les pays membres de l'OPEP appliqueront, pays par pays, les baisses de production décidées par le groupe.

 

Les ministres de l'OPEP «ont déjà décidé de se réunir au Caire fin novembre (...) mais cela rime à peu de chose de promettre de nouvelles baisses de production avant d'avoir mis en oeuvre les réductions déjà décidées», observent ainsi les auteurs. Pour le CGES, les prix du pétrole restent en bonne partie victimes de leur cherté cette année.

 

«Il a fallu 40 mois aux prix du pétrole pour passer de 50 à presque 150 $ US et seulement 4 mois pour retomber», ont ainsi rappelé ses analystes.

 

Selon eux, «les consommateurs continuent à réagir aux prix élevés du pétrole (observés) récemment» et la destruction de la demande est un phénomène irréversible.

 

«Une baisse des prix de l'essence de 25 à 30% ne va pas changer les nouvelles habitudes de conduite des consommateurs», d'autant qu'ils craignent pour leurs revenus et leurs emplois, souligne ainsi le CGES.

 

Seule note tempérant un peu le pessimisme entourant la demande: «l'offre hors-OPEP est peu susceptible de progresser en 2008 ou en 2009». «La Russie, le Mexique et la Norvège ont déjà répondu, bien qu'involontairement, à la demande de soutien qui leur a été adressée par l'OPEP», ironisent les auteurs du rapport, qui rappellent que la production a décliné sur un an dans ces trois pays.

 

Lors de sa dernière réunion, l'OPEP a invité sans succès les autres producteurs à la soutenir dans ses efforts de stabilisation des prix en procédant eux aussi à des réductions de leur production.

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  • 3 semaines plus tard...

L'essence 30% moins chère aux États-Unis qu'au Canada

 

8 décembre 2008 - 23h49

La Presse Canadienne

Lauren Krugel

 

Les Canadiens estiment peut-être avoir une aubaine à la pompe actuellement, mais les automobilistes américains paient environ 30 pour cent de moins qu'eux pour remplir leur réservoir.

 

La moyenne des prix à la pompe au Canada était de 80 cents le litre, lundi, selon le site internet Gasbuddy.com. Il s'agit d'une nette amélioration par rapport au 1,40 $ le litre que les automobilistes canadiens devaient payer à la fin de l'été.

 

Mais les Américains paient encore moins, soit environ 1,71 $ US le gallon, l'équivalent de 56 cents canadiens le litre.

 

Le porte-parole de l'Institut canadien des produits pétroliers, John Skowronski, a relevé la chute marquée du prix du pétrole brut, qui est passé d'un sommet de 147 $ US le baril en juillet, à moins de 44 $ US.

 

Selon M. Skowronski, la différence la plus notable entre le Canada et les États-Unis se situe dans le degré de taxation, traditionnellement beaucoup plus élevé au Canada.

 

Le taux de change a aussi joué un rôle, le dollar canadien valant 79,7 cents par rapport au dollar américain, lundi.

 

Mais même en excluant ces facteurs, l'essence serait encore un cent et demi ou deux cents plus cher au Canada qu'aux États-Unis, selon le conseiller en chef de la firme de consultants En-Pro International, basée à Oshawa. Roger McKnight a rappelé la grandeur du marché américain avec une population dix fois supérieure à celle du Canada.

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  • 2 semaines plus tard...

Le pétrole tombe sous 38 $ US à New York

 

18 décembre 2008 - 10h37

Agence France-Presse

 

Le baril de light sweet crude, le pétrole coté à New York, est tombé sous 38 $ US jeudi, touchant 37,71 $ US vers 9h55, un nouveau creux depuis le premier juillet 2004.

 

«Il y a d'habitude une convergence des mouvements des investisseurs à l'expiration d'un contrat mais il est étrange que de larges écarts apparaissent juste au moment de l'expiration», commentait Olivier Jakob de Petromatrix, pointant la volatilité des échanges.

 

Réunie à Oran (Algérie), l'OPEP a annoncé mercredi une baisse de son offre de 2,2 millions de barils par jour (mbj) à compter du premier janvier.

 

Cette baisse sur un objectif officiel de production de 27,3 millions de barils, la troisième en quatre mois, est la plus importante décidée par le cartel depuis l'introduction de quotas en 1982.

 

Mais le marché doute que les réductions de la production annoncées par l'organisation ne suffisent à rétablir l'équilibre pour le marché, alors que la demande mondiale baisse fortement en raison de la crise économique.

 

En outre, la diminution de la demande continue de peser sur les cours: les stocks de produits pétroliers se sont de nouveau étoffés la semaine dernière aux États-Unis, bien plus que prévu par les analystes, selon le département américain à l'Énergie (DoE).

 

Côté demande, sur les quatre dernières semaines, les Américains ont consommé en moyenne 19,6 millions de barils par jour de produits pétroliers, soit une baisse de 4,9% comparé à un an plus tôt. La consommation d'essence a notamment fléchi de 2,7% et celle de produits distillés de 4,5%.

 

«Le problème reste qu'aujourd'hui, personne n'est capable de faire de prévisions fiables sur l'état de l'économie l'an prochain et sur la demande de pétrole» jugeait Olivier Jakob.

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