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Ford Fusion Hybrid pedals its way to 1,445 miles on a single tank

by Sebastian Blanco

 

 

The Ford Fusion Hybrid we talked about yesterday, the one that had as of our last report cleared 1,000 miles on its hypermiling publicity stunt, has finally reached the end of the road its fuel supply. The final number: 1,445 miles on a single tank of gas.

 

For the high-mileage odyssey, the Fusion hybrid was pushed to an average of 81.5 mpg. Even considering that hypermiling techniques were employed to reach these numbers, we're quite impressed, as the event took place on city streets and public freeways, not on a closed course. Better still, the entire 69-hour event raised $8,000 for the Juvenile Diabetes Research Foundation. You can read the details of how the driving teams managed the 80 mpg in the official press release after the jump - and no, they didn't find a thousand-mile downhill road. Thanks to everyone for the tips!

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  • 1 mois plus tard...

Le prix du baril de pétrole pourrait atteindre une fourchette entre 80 et 90 dollars d'ici le début de l'année prochaine, selon le secrétaire général de l’OPEP.

 

«Les prix pourraient s'élever à 80-90 dollars au début 2010», a affirmé Abdullah al-Badri au cours d’un sommet international sur l'énergie organisé par Reuters. Le secrétaire général du cartel croit que ce dernier n’augmentera toutefois pas sa production avant qu'une part importante des excédents sur le marché ne soit absorbée.

 

Avis divergeants

 

La semaine dernière, Abdullah al-Badri avait déclaré anticiper un baril à 70-75 dollars d'ici la fin de l'année.

 

Dimanche, le ministre algérien de l'Énergie, Chakib Khélil, a dit s’attendre à ce que le prix du baril oscille entre 70 et 75 dollars en 2010 si une reprise de l'économie mondiale venait stimuler la demande de brut.

 

"En termes de prix, nous ne pouvons faire que des prévisions approximatives", a-t-il cependant précisé. "Nous estimons que nous allons atteindre 60 à 65 dollars d'ici la fin de cette année (2009), et si l'économie mondiale reprenait début 2010, particulièrement dans l'Union européenne, ça donnerait un coup de fouet à la demande pétrolière qui se traduirait par des prix entre 70 et 75 dollars."

 

La semaine dernière, le ministre saoudien du pétrole a jugé que les cours pourraient atteindre 75 dollars dans le courant de cette année, sans pénaliser une amélioration de la conjoncture économique mondiale.

 

Abdullah al-Badri a expliqué clairement que l'Opep, qui a réduit sa production pour enrayer une chute des cours provoquée par celle de la demande n'était pas encore prête à augmenter les approvisionnements.

 

Il a précisé que le cartel envisagerait d'augmenter sa production en cas de chute des stocks pétroliers des pays industrialisés à environ 52 jours de demande à venir, contre environ 62 jours actuellement.

 

Vers 13h30, le baril de pétrole reculait de 10 cents US (-0,15%) à 68,48 dollars US.

 

http://www.lesaffaires.com/article/0/energie/2009-06-02/494219/peteacutetrole--vers-un-baril-etagrave-90-dollars-us-.fr.html

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  • 2 mois plus tard...

Recul des ventes de produits pétroliers au Canada

 

* Presse Canadienne,

* 10 août 2009

 

Les ventes de produits pétroliers raffinés ont totalisé 8 043,4 milliers de mètres cubes en juin, en baisse de 427 milliers de mètres cubes, ou 5 pour cent, par rapport à juin 2008, selon Statistique Canada.

 

En juin, six des sept principaux groupes de produits pétroliers ont affiché un repli par rapport au même mois l'année précédente. La baisse des ventes totales de produits a été surtout attribuable aux mazouts lourds, qui ont cédé 26,4 pour cent, et au carburant diesel, qui a reculé de 5,4 pour cent.

 

L'essence à moteur a été le seul produit des principaux groupes de produits pétroliers à afficher une augmentation des ventes, en hausse de 117,2 milliers de mètres cubes, ou 3,4 pour cent, par rapport à juin 2008. Il s'agit d'une quatrième augmentation d'un mois à l'autre d'affilée des ventes d'essence à moteur.

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  • 1 mois plus tard...

La vie en rose pour le pétrole?

Publié le 24 septembre 2009 à 15h22 | Mis à jour le 24 septembre 2009 à 15h27

 

Éric-Pierre Gibeault

 

lapresseaffaires.com

 

(Montréal) Le pétrole a-t-il encore plusieurs vies devant lui? Difficile à dire, mais une chose est sûre, c'est que malgré les apparences, l'avenir de l'industrie pétrolière pourrait être plus rose qu'on le croit.

 

Au cours de la dernière année, plus de 200 nouveaux gisements ont été découverts dans une douzaine de pays. Selon IHS Cambridge Energy Research Associates, les découvertes dans la première moitié de l'année 2009 pourraient totaliser 10 milliards de baril de brut. En septembre, la pétrolière BP a annoncé avoir découvert un champ pétrolifère au fond de la mer qui pourrait s'avérer être le plus important gisement jamais trouvé dans le Golfe du Mexique. Si on continue de découvrir des gisements à ce rythme, 2009 pourrait bien être la meilleure année depuis 10 ans.

 

Ces découvertes sont le fruit, entre autres, de percées technologiques qui permettent de forer à des profondeurs jamais vues. Les prix à la hausse des dernières années ont aussi encouragé les pétrolières à prendre plus de risques financiers pour découvrir de nouveaux gisements.

 

Mais si l'industrie se réjouit de ces découvertes, plusieurs présidents de compagnies pétrolières s'inquiètent des perspectives à court terme avec la chute des prix du pétroles au cours de la dernière année. Surtout que l'exploration de nouveaux gisements coûte cher et que les résultats ne sont pas garantis.

 

Malgré ces inquiétudes, plusieurs demeurent optimistes pour le pétrole. «Ça fait 30 ans que je suis dans cette industrie et le Golfe du Mexique a été surnommé la Mer morte à plusieurs reprises, affirme Bobby Ryan, vice-président, Exploration, chez Chevron. Et vous voyez, on trouve encore des gisements

 

Source: The New York Times

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  • 2 semaines plus tard...

Pourquoi le pétrole frappera 175$ US et retombera à jamais

 

 

Pourquoi le pétrole frappera 175$ US et retombera à jamais

Permalink 13/10/09 18:23, François Pouliot / Général, 1147 mots

Entendu parlé de Jeff Rubins?

 

Oui, très certainement. Dans son livre « Why your world is about to get a whole lot smaller » l’ancien économiste de CIBC Marchés mondiaux prédit que d’ici 3 à 5 ans, le prix du pétrole aura grimpé à plus de 200 $ US le baril. Et que l’on sera à plus de 100$ d’ici 12 à 20 mois.

 

Non pas qu’il y aura nécessairement disette, mais tout simplement parce que les gisements qui permettront de répondre à la demande auront des coûts d’exploitation trop élevés. Il faudra que les prix montent pour permettre leur mise en production, sinon, ils monteront tout de même parce qu’on manquera de pétrole.

 

L’auteur voit la mondialisation aux portes de la remise en question, en raison de coûts de transport qui deviendront prohibitifs.

 

Il a maintenant un contrepoids: les analystes pétroliers Paul Sankey, Sylvio Micheloto et David Clark, de la Deutsche Bank.

 

Du moins sur la hauteur de l’ascension, et surtout sur ce qui suivra

 

Dans une recherche qui vient d’être publiée, le trio en vient à la conclusion suivante : le prix du pétrole touchera les 175 $ US le baril (en dollars 2009), mais pas tout de suite. Plutôt en 2016. Puis, il entrera dans une formidable vrille qui le fera redescendre à 70 $ US d’ici 2030.

 

CE QUI ARRIVA AVEC L’HUILE DE BALEINE

 

Retour sur la période 1800-1880, alors que le monde s’éclairait à l’huile de baleine?

 

Difficile de reproduire le graphique ici. Il n’en reste pas moins que les courbes de l’évolution des prix et de l’évolution de la production sont intéressantes à comparer.

 

Vers la période 1840-1855, la production d’huile de baleine atteignit un sommet, tout comme les prix. Le marché n’anticipait aucune baisse de la demande dans l’avenir étant donné la croissance des populations et des économies. L’offre cependant soulevait des interrogations alors que les stocks de baleines diminuaient. Un jour, on allait manquer de mammifères.

 

Au mois d’août 1859, un ancien colonel à la retraite, Edwin Drake, eut l’idée de forer le sol de Titusville, en Pennsylvanie, avec une pompe de bateau à vapeur. À la surprise générale, y inclus la sienne, le pétrole jaillit.

 

C’en était fait de l’ère de l’huile de baleine.

 

Il fallut quelques années avant que l’hydrocarbure ne remplace le combustible animal, mais la production recula sans cesse, et les prix se mirent à faire marche arrière.

 

En fait, ils avaient déjà commencé à faire marché arrière, des prix trop élevés ayant détruit de la demande. Celle-ci poursuivit néanmoins lentement sa descente.

 

POURQUOI IL RISQUE D’ARRIVER LA MÊME CHOSE AVEC LE PÉTROLE

 

La plupart des prévisionnistes qui tablent sur un prix à 200$ US et plus à perpétuité ne s’attarde qu’à une chose : la capacité de la planète à répondre à une demande sans cesse croissante, particulièrement du côté asiatique.

 

Les analystes de la Deutsche Bank ont cependant bâti un modèle qui tient compte d’une variable souvent ignorée : la substitution.

 

Une fois intégrée, celle-ci a un effet « baleine ».

 

Oui le pétrole continuera à grimper d’ici 2016 parce qu’il a besoin d’aller à des niveaux encore plus élevés pour que la population du globe se tourne réellement vers des alternatives et ne fasse décrocher la demande. Et aussi parce qu’il faut donner le temps aux technologies de gagner en efficacité.

 

Dans le détail : pourquoi le pétrole grimpera encore, puis décrochera

 

Les analystes estiment que la majorité de la production pétrolière est contrôlée par des pays où les gouvernements sont en fait les réels producteurs. C’est le cas de l’OPEP et en bonne partie de la Russie, du Mexique et du Brésil.

 

Ces pays n’investissent actuellement pas suffisamment pour permettre à la capacité de production de croître. Ils allouent leurs capitaux à d’autres investissements publics, subventionnent souvent la demande locale avec des prix très faibles pour leurs produits pétroliers. L’argent qui devrait aller au développement de nouvelles réserves, n’y va malheureusement pas suffisamment. Et ce même lorsque le pétrole grimpe.

 

Cela ne veut pas dire qu’il ne se fait pas d’investissements. Les grands producteurs affichaient des dépenses en capital de 150 G$ en 2000. Elles sont aujourd’hui de 360 G$, après avoir touché 500 G$ en 2008. Insuffisant, malheureusement. La production de ces compagnies au cours de la période n’a grimpé que de 1,8%.

 

C’est cette croissance trop faible de l’offre par rapport à celle de la demande qui devrait amener le prix du pétrole autour de 175 $ US en 2016.

 

À ce niveau toutefois, comme on l’a observé avec l’huile de baleine, la demande devrait tout simplement casser.

 

Deux fois dans le passé, le phénomène s’est produit sur le marché pétrolier américain. Au milieu des années 70, sous l’effet de la crise, les dépenses en pétrole atteignirent 6,5% du PIB. Il s’ensuivit une destruction importante de la demande. Le phénomène se produisit à nouveau en 1979-1980, lorsque le ratio toucha les 9%.

 

De tels niveaux n’ont jamais été atteint depuis, le ratio se promenant généralement sous les 4%. En 2016, toutefois, il devrait toucher les 7,5%.

 

Comme dans le passé, les Américains devraient alors modifier leurs comportements.

 

La Deutsche Bank estime que le monde industriel accentuera le recours au gaz naturel, qui en plus d’être moins cher que le pétrole, est beaucoup plus abondant, accessible et moins coûteux à développer.

 

Surtout, on assistera à une transformation du marché de l’automobile. La voiture hybride, qui représente près de 4% des ventes totales de l’industrie US, devrait représenter en 2015 plus de 10% des ventes, puis plus de 25% en 2020 et plus de 75% en 2030.

 

L’impact sera majeur sur la consommation d’essence. En 2020, la maison prévoit qu’un véhicule léger neuf aura en moyenne une consommation de 44 milles au gallon, une amélioration de plus de 50% sur la moyenne actuelle de 29 milles au gallon.

 

Constat?

 

Si la Deutsche Bank a raison, le monde pourrait bien effectivement connaître une transformation radicale.

 

- Les pays arabes s’appauvriront. L’OPEP, plutôt que de contrôler les prix pourrait voir ses joueurs entrer en guerre commerciale pour tenter de conserver leurs parts de marché.

 

- L’Alberta et le Canada devront vraisemblablement faire une croix sur la prometteuse richesse des sables bitumineux.

 

- Les actionnaires de pétrolières qui n’auront pas lu correctement le changement verront leur fortune s’éroder.

 

En attendant, préparons nous cependant quand même à des hausses du prix de l’essence…

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:relieved: On a pas fini de parler du prix du pétrole et les opinions varient selon les intérêts de ceux qui les expriment. En effet chacun prêche pour sa paroisse et ceux qui tirent le maximum de profit de l'exploitation de cette ressource voudront que la population croit à la hausse inévitable pour pouvoir favoriser leur cupidité.

 

C'est un effet psychologique bien connu, laissez courir la rumeur d'augmentation et les gens se résoudront à payer plus cher, c'est la psychose inflationniste que nous avons vécue déjà plus d'une fois et pour toutes sortes de raisons, le plus souvent injustifiables.

 

Quand l'économie allait bien on justifiait des prix élevés et les spéculateurs ramassaient le pactole. Chaque hausse correspondait à un problème dans le monde, une guerre au Nigéria, une menace de l'Iran, l'instabilité au Moyen-Orient, un ouragan, etc. Tous ces facteurs n'ont pas cessé d'exister, seulement ils ne font pas le poids face à une demande devenue plus anémique aujourd'hui.

 

C'est toujours à la base une question de marché, d'offre et de demande à laquelle on ajoute, selon les bonnes années, des indices spéculatifs qui déstabilisent complètement l'équilibre naturel de ce même marché. C'est le phénomène qui a eu cours à l'été 2008 et qui a joué, qu'on l'admette ou pas, un rôle non négligeable dans la crise économique mondiale en devenant un autre choc du pétrole additionné cette fois d'une crise bancaire et hypothécaire.

 

Tous les pays du monde ont multiplié en peu de temps leur budget énergie qui a dérouté des sommes colossales à l'extérieur de leur propre économie. S'en est suivi une migration gigantesque de dollars vers les pays producteurs et les pays spéculateurs avec les conséquences que l'on connait. Ce qui n'a pas empêché en bout de ligne ces derniers de subir par ricochet les conséquences de leur propre cupidité.

 

Pourtant les réserves de pétrole ont peu changé à la baisse ou à la hausse dans la même période, on continue de trouver des gisements importants plus ou moins couteux à exploiter et qui s'ajoutent aux nombreuses réserves déjà connues.

 

Les sables bitumineux, notamment, représentent plusieurs décennies potentielles de consommation et sont une denrée facilement accessible. Ne reste qu'à appliquer de nouvelles technologies moins polluantes et peut-être un peu plus couteuses bien sûr, pour assurer pour longtemps une grande partie de l'approvisionnement de toute l'Amérique du Nord.

 

Comment alors expliquer la chute dramatique des cours du pétrole jusqu'à environ 30$ le baril l'hiver dernier? La demande bien sûr qui a considérablement diminué dans le monde et les spéculateurs qui ont quitté un marché où ils avaient perdu de leur influence.

 

Mais tout ce beau monde reviendra assurément avec leurs théories basées sur la peur, une fois l'économie mondiale remise sur pied, pour s'enrichir outrageusement à nos dépends en déstabilisant une fois de plus un marché qui n'a plus rien de naturel.

 

Je rêve donc, peut-être à tort, d'un monde libéré du pétrole et qui carburera à des énergies plus propres. Mais connaissant la nature humaine, on trouvera certainement une autre façon d'exploiter les plus faibles par d'autres moyens ou ressources indispensables.

 

La Terre continuera de tourner, une ère s'achèvera mais l'histoire du monde, elle, se répétera inlassablement avec de nouveaux acteurs et de nouveaux problèmes qui démontreront une fois de plus que l'argent mène toujours le monde.

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Publié le 16 octobre 2009 à 14h24 | Mis à jour à 14h30

 

 

Oui à la taxe verte

Florence Junca-Adenot

 

L'auteure est directrice du Forum Urba 2015 au département d'études urbaines et touristiques de l'UQAM. Elle a été présidente de l'Agence métropolitaine de transport de 1996 à 2003.

 

 

 

Selon les experts du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), en l'absence d'actions, le réchauffement climatique représenterait quatre degrés additionnels d'ici 2100, un seuil insupportable pour l'humanité. Pour le limiter à deux degrés, les émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES) devraient être réduites de 50% d'ici 2050 (25% d'ici 2020), par rapport à 1990.

-À chaque fois que j'entends parler des hausses de températures, elles sont pirs à chaque fois... coudonc, ils sont pas capables de se brancher ces "scientifiques??"

 

 

En prévision de la conférence de Copenhague, la ministre Line Beauchamp tient une consultation du 22 octobre au 4 novembre sur la cible de réduction des GES. Elle propose une taxe verte sur l'essence, pour financer les mesures québécoises, variant de 3,7¢ à 12,7¢, selon la cible.Les milieux urbains québécois sont concernés. Le transport est le principal émetteur de GES au Québec. Il dépend à 99% du pétrole. En 2006, il fournissait 40% des GES, l'industrie, 33,5%, et le bâtiment, 12,5%. Le consensus existe sur la nécessité d'agir. En cette période électorale, quels engagements résoudront et financeront cet incontournable problème de société?

 

En transport, pour lutter contre les changements climatiques, il faut accroître massivement les transports collectifs et actifs, diminuer le nombre d'autos, utiliser des énergies propres, revoir le transport des marchandises, limiter la capacité routière, densifier les villes. Cet enjeu est fondamental pour les villes et les gouvernements, pour protéger l'environnement, la qualité de vie urbaine, la santé, l'économie, l'équité sociale, la sécurité. Pour l'industrie et l'immobilier, l'efficacité énergétique est ciblée.

 

La taxe verte proposée par la ministre est un choix avisé pour les transports. Le prix du litre d'essence a cru de 60¢ (2001) à 1,22$ (2008), sans que sa consommation ne chute. Cela a profité aux pétrolières et non aux alternatives à l'auto solo. Une taxe sur l'essence, pour être acceptable, doit alimenter un fonds dédié aux mesures à implanter pour atteindre la cible de GES en transport. Elle est équitable, car les véhicules y contribuent, proportionnellement à leur consommation d'essence, et incite à la réduire. Les automobilistes en bénéficient, car l'usage des transports collectifs augmente. La société gagne en développant l'économie québécoise des transports avancés, un milieu de vie plus sain, une qualité de vie pour l'avenir. La Colombie-Britannique affecte une taxe de 12¢ aux transports collectifs.

-Hahahah elle est drôle... l'essence double de prix, et les comportements ne changent pas!!! Est-ce qu'elle a entendu parler de l'inelasticité de la demande?

 

Pourquoi si on extortionnerait un 3.7 a 12c de plus, ferais plus changer les habitudes, quand le doubelement des prix n'as rien fait de l'aveux de l'auteur???

 

Elle donne l'exemple de la colombie britannique qui consacre 12 cents aux transports en commun, quand elle omet de mentionner que même après 12 cents, les prix entre le Québec et la Colombie-Britannique sont comparables à la pompe... ou est l'erreur??? Et bien c'est une question de tranparence. Ici on taxe autant l'essence que là bas, mais on prends l'argent et on paie l'épicerie et nos gros programmes sociaux, là bas ils jouent la transparence et la dédie au transport en commun.

 

 

Pour la région montréalaise, baisser de 20% les GES d'ici 2020, signifie de réduire les kilomètres en auto solo de 5% à 7% annuellement. Les transports collectifs ne peuvent y arriver seuls. En plus d'encourager financièrement la STM à augmenter son achalandage, il faut aussi lutter contre les îlots de chaleur, diminuer le nombre d'autos de 15%, électrifier les transports, remplacer les combustibles fossiles, revoir le camionnage, réorganiser les villes, verdir, enlever des stationnements, du béton, de l'asphalte, inciter les entreprises, penser aux mesures fiscales.

 

Depuis la création de l'AMT, en 1996, une taxe verte de 1,5¢ par litre est affectée aux transports collectifs. Elle a généré 52 millions en 2008. Neuf cents rapporteraient 312 millions pour implanter les mesures en transport. Le système de perception existe. Où est le plan directeur régional intégré, aux mesures priorisées, aux échéanciers rigoureux, aux résultats conformes à la cible de GES? Quels sont les engagements des candidats aux élections? Pourquoi ne pas lier l'octroi des permis de construction et des subventions gouvernementales à leur contribution à réduire les GES de 20% d'ici 2020? Quelle exemplarité par les administrations publiques? Ce projet collectif nécessaire est stimulant. La taxe sur l'essence est sur la table. Le péage routier en serait la solution de rechange. L'urgence est d'agir.

 

-blablabla

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