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Cette forte baisse du prix survient malgré les dommages causés par l'ouragan Ike aux infrastructures de raffinage de la région du golfe du Mexique.

 

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96 dollars le baril ! Wow, y’a que le pétrole pour nous faire vivre de telles émotions… Et l’ordinaire est toujours à 1,50$ … Y’a vraiment rien de logique là dedans.

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96 dollars le baril ! Wow, y’a que le pétrole pour nous faire vivre de telles émotions… Et l’ordinaire est toujours à 1,50$ … Y’a vraiment rien de logique là dedans.

 

C'est parce que l'essence que tu mets dans ton auto est raffinée - hors une grosse proportion des raffineries US sont situées dans le golf du mexique et ont du suspendre leurs opérations en raison du cyclone. Il y a plein de brut, mais il y a pénurie sur le produit fini!

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C'est parce que l'essence que tu mets dans ton auto est raffinée - hors une grosse proportion des raffineries US sont situées dans le golf du mexique et ont du suspendre leurs opérations en raison du cyclone. Il y a plein de brut, mais il y a pénurie sur le produit fini!

 

Je connais peu de chose sur l'industrie de l'essence, mais ont raffinent le petrole ici. En tout cas, j'ai entendu qu'au Etats-Unis, l'augmentation a ete moins importante qu'ici.

 

Ca ne fait pas de sense comme d'Habitude et le pire c'est que nous comme citoyen en plein campagne electorale, on ne fait rien.

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Je connais peu de chose sur l'industrie de l'essence, mais ont raffinent le petrole ici. En tout cas, j'ai entendu qu'au Etats-Unis, l'augmentation a ete moins importante qu'ici.

 

Ca ne fait pas de sense comme d'Habitude et le pire c'est que nous comme citoyen en plein campagne electorale, on ne fait rien.

 

Oui il y a des raffineries ici, mais ils le vendent au prix du marché! Si le prix offert ici est inférieur, le raffineur trouvera preneur à bon prix sur le marché des US... La beauté du marché ;)

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Flambée sans précédent du pétrole

 

22 septembre 2008 - 15h25

Agence France-Presse

Le baril de light sweet crude pour livraison en octobre a fini à 120,92 $, en hausse de 16,37 $.

 

Les prix du pétrole ont connu une flambée sans précédent lundi à New York, bondissant de plus de 16 $ sur cette seule journée, pour finir à 120,92 $, poussés par la baisse du dollar et des facteurs techniques.

 

Le baril de light sweet crude pour livraison en octobre, dont c'était le dernier jour de cotation, a fini à 120,92 $, en hausse de 16,37 $ par rapport à la clôture de vendredi.

 

Il est monté en séance à 130,00 $ et a bondi de presque 30 $ (plus de 30%) par rapport à son cours de clôture de mardi, journée au cours de laquelle il avait touché son plus bas depuis des mois.

 

«C'est une hausse sans précédent», a estimé Antoine Halff, de Newedge Group.

 

Ce chiffre énorme est en grande partie dû à l'expiration du contrat pour livraison en octobre, ont expliqué les analystes.

 

Le contrat pour livraison en novembre, prochain contrat de référence, a en effet connu une hausse bien moindre, de 6,62 $, à 109,37 $.

 

Avant l'expiration du contrat d'octobre, «les intervenants sur le marché sont forcés de payer un prix exorbitant pour liquider leurs positions», a relevé M. Halff.

 

Selon l'analyste, la flambée a été accentuée par le manque de liquidité sur le marché en raison de la crise financière.

 

Autre facteur renforçant les tensions sur le contrat d'octobre - qui porte sur des volumes devant être livrés dans délais très rapprochés: les stocks de brut sont très bas aux États-Unis en raison des interruptions de productions dus au passage des ouragans Gustav et Ike, a expliqué M. Halff.

 

Les cours avaient déjà pris plus de six dollars vendredi, après l'annonce de l'intervention massive des autorités américaines pour soutenir le secteur financier.

 

Selon les analystes, cette intervention avait rassuré le marché et éloigné les craintes d'un plongeon de l'économie, qui pourrait affecter la consommation de pétrole.

 

Par ailleurs, elle a entraîné un recul du dollar, qui s'échangeait autour de 1,48 dollar pour un euro lundi, ce qui rend les matières premières vendues en dollars, plus attractives, pour les investisseurs munis d'autres devises.

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Avec une augmentation de 30$ en deux jour (soit 33%), il est presque impossible de dire encore que ce n'est pas que de la pure spéculation qui pousse ces prix de fous... ce n'est pas la rareté les amis, c'est le jeu de courtiers qui ne savent plus ou mettre leur argent.

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  • 2 semaines plus tard...

La crise fait tache d'huile sur le pétrole

 

6 octobre 2008 - 15h25

Agence France-Presse

 

Les prix du pétrole ont chuté sous les 90 $ lundi à New York, en raison de l'aggravation de la crise financière en Europe, qui fait craindre un fort ralentissement de la demande de brut dans les années à venir.

 

Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de «light sweet crude» pour livraison en novembre a fini à 87,81 $, en baisse de 6,07 $ par rapport à la clôture de vendredi.

 

Il est tombé en séance à 87,56 $, un niveau plus vu depuis début février, et affiche désormais une chute de près de 40% par rapport à son record, à 147 $, atteint le 11 juillet.

 

«Le raisonnement est simple pour les investisseurs: une contraction de l'économie signifie une baisse de la demande, et donc des prix», a expliqué John Kilduff, de MF Global.

 

L'adoption vendredi par le Congrès américain du plan de 700 G$ pour soutenir les banques n'a pas suffi à rassurer les opérateurs, alors que l'aggravation de la crise en Europe faisait plonger les Bourses dans le monde entier.

 

L'extension de la crise financière à l'Europe renforce le scénario d'un ralentissement économique mondial durable, voire d'une récession, et entame les perspectives de demande énergétique.

 

«Le pétrole avait connu une période sans précédent d'emballement de la demande, qui avait commencé par les Etats-Unis et s'était répandu à la Chine et au reste du monde», a relevé Phil Flynn, d'Alaron Trading.

 

«L'affaiblissement de la croissance de la demande a débuté aux Etats-Unis et va prendre le même chemin», a-t-il ajouté.

 

Selon les statistiques du Département américain à l'Energie, la consommation de produits pétroliers du pays a flanché de 7,1% sur les quatre dernières semaines par rapport à l'an dernier, à 19 millions de barils par jour.

 

«La contagion est en marche. La Chine ne va pas importer d'essence en octobre, pour le deuxième mois consécutif», a renchéri M. Kilduff.

 

La Chine est considérée, avec les grands pays émergents, comme le moteur de la demande actuelle d'or noir.

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Le prix du baril de pétrole est en deçà de la barre des 88 $ US

 

Réduction de la consommation d'énergie

Le prix du baril de pétrole est en deçà de la barre des 88 $ US

Mise en ligne 08/10/2008 11h44

Réduction de la consommation d'énergie - Le prix du baril de pétrole est en deçà de la barre des 88 $ US

 

 

 

ASSOCIATED PRESS

 

NEW YORK _ Le prix du baril de pétrole est passé sous la barre des 88 $ US mercredi matin après l'annonce de stocks plus importants que prévus aux États-Unis.

 

A 11h07, sur le marché des matières premières de New York, le NYMEX, le baril de brut léger pour livraison en novembre était à 87,29 $ US, en baisse de 2,77 $ US.

 

Le rapport hebdomadaire de l'agence américaine d'information sur l'énergie pour la semaine dernière, publié plus tôt en matinée ce mercredi, faisait état d'une croissance des stocks à hauteur de 8,1 millions de barils, à 302,6 millions de barils. Les analystes sondés par la firme Platts s'attendaient à ce que les inventaires de pétrole diminuent de un million de barils durant la période visée par le rapport.

 

L'agence a aussi indiqué que les inventaires d'essence ont augmenté de 7,2 millions de barils la semaine dernière aux États-Unis, pour atteindre 186,8 millions de barils. Les analystes avaient prévu une augmentation de deux millions de barils.

 

 

http://argent.canoe.com/lca/infos/international/archives/2008/10/20081008-114446.html

Ces chiffres semblent avoir été interprétés sur les marchés comme un autre signe que les consommateurs et entreprises aux États-Unis réduisent leur consommation d'énergie.

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