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La glissade du pétrole continue

 

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25 juillet 2008 - 15h12

Agence France-Presse

 

La glissade du pétrole s'est poursuivie cette semaine.Les cours du pétrole ont clôturé la semaine vendredi sur une note fortement négative, cédant encore plus de 2 $ sur la séance, en raison des craintes d'une baisse de la consommation énergétique alors même que l'Opep a relevé sa production.

 

Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de «light sweet crude» pour livraison en septembre a fini la séance vendredi à 123,26 dollars, en retrait de 2,23 dollars par rapport à son cours de clôture de la veille.

 

Ce net repli porte à près de 25 $ les pertes du baril d'or noir par rapport à son record absolu --147,27 $ -- inscrit à New York le 11 juillet. Sur la semaine, les prix ont abandonné 5,62 $.

 

«Les fondamentaux de l'offre et de la demande ont recommencé à faire effet», a expliqué Phil Flynn, analyste au cabinet Alaron Trading.

 

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Les États-Unis ont annoncé mercredi une baisse de la consommation de produits pétroliers, tombée ces dernières semaines à leur plus bas depuis janvier 2007.

 

L'utilisation d'essence a été la plus affectée, avec un retrait de 2,4% par rapport à un an plus tôt, alors que la traditionnelle période de grands déplacements en voiture bat son plein.

 

En France, l'usage des carburants a également pris un coup du fait de la flambée des prix.

 

Les signes d'essouflement de la demande sont aussi visibles en Asie: les importations de brut auraient fondu pour la première fois en 9 mois au Japon, deuxième importateur mondial, rapportent les analystes.

 

Parallèlement, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), qui représente 40% de la production mondiale, a augmenté son offre de 200 000 barils en juillet comparé à juin, selon la société de services pétroliers Petrologistics.

 

Cette nouvelle lève les craintes sur les niveaux des disponibilités.

 

«La semaine prochaine, les prix vont descendre au niveau des 120 $, leur niveau du mois de mai», prédit John Kilduff, analyste chez MF Global.

 

http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/apps/pbcs.dll/misc?url=/misc/zoom.pbs&Site=CP&Date=20080725&Category=LAINFORMER&ArtNo=80725122&Ref=AR&Profile=5891&show=LAINFORMER01&sectioncat=LAINFORMER01&cr=&relart=%2Fapps%2Fpbcs.dll%2Farticle%3FAID%3D%2F20080725%2FLAINFORMER%2F80725122%2F5891%2FLAINFORMER01

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Pétrole : le repli est-il temporaire?

 

Anne Robert, LesAffaires.com

25 juillet 2008

 

La baisse récente du prix du baril du pétrole ne serait, selon Avery Shenfeld de la CIBC, qu’un léger glissement sur un marché toujours aussi tendu.

 

Les analystes sont divisés sur la question du pétrole. Certains penchent pour l’hypothèse que le ralentissement mondial va entrainer une baisse de la demande et donc des prix. Alors que d’autres estiment que le déséquilibre entre l’offre et la demande est loin de se résorber. Si bien que les prix ne peuvent que poursuivre leur ascension.

 

Avery Shenfeld de la CIBC appartient au deuxième groupe. Le repli récent du pétrole de son niveau record de 147,50 dollars à son cours actuel de 123 dollars n’ébranle pas sa vision.

 

«Que représente ce repli quand le cours n’est retombé qu’à son niveau déjà record de mai dernier?», s’interroge-t-il. «Pas grand chose. Sinon que la volatilité est très forte, ce qui est en soi un signe supplémentaire de la tension entre l’offre et la demande».

 

À son avis, les fondamentaux pour le pétrole n’ont pas changé. Les pays émergents en sont toujours aussi avides. De plus, la demande est donc très inélastique. Il faut compter sur de très larges hausses de prix pour modifier durablement le comportement du consommateur.

 

Entretemps, la production ne progresse pas sensiblement. Elle se situe dans des zones politiquement sensibles ou exposée aux aléas de la nature. Dans ce contexte très tendu, la moindre nouvelle négative provoque des soubresauts sur les marchés.

 

Avery Shenfeld prévoit encore de la volatilité, mais pas de baisse durable des prix. L’équipe d’économistes de la CIBC à laquelle il appartient, menée par Jeff Rubin, prévoit que le baril atteindrait 150 dollars à la fin de 2008 et 200 dollars dans deux ans.

 

Leurs collègues du secteur de l’énergie ne partagent pas leur opinion. L’équipe d’analystes pour le pétrole et le gaz naturel à la CIBC, menée par Rob Plexman, ont placé leur cible à 125 dollars dans deux ans.

 

Chez Lehman Brothers, l'analyste Edward Morse pense que de telles prédictions trop alarmistes ne tiennent pas. Il souligne que des "inventaires non-observés" se sont constituées au Moyen -Orient et en Asie. Edward Morse table aussi sur un ralentissement de la demande chinoise après les Jeux Olympiques.

 

Même s'il anticipe de la volatilité, la tendance lourde pointerait vers un repli qui se confirmerait vers la fin de 2008 et se stabiliser au premier trimestre de 2009. Le baril serait alors redescendu à 93 dollars.

 

L'affrontement entre les deux camps prend des allures passionnées. Avery Shenfeld ironise sur l'attitude des analystes qui entrevoient des tendances lourdes au moindre soubre-saut. Alors que Edward Morse est d'avis que les cibles trop élevées de certains analystes continuent d'alimenter des perceptions alarmistes sur ce marché.

 

L’économie n’est pas une science exacte!

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Le pétrole chute de près de 3 $

 

29 juillet 2008 - 15h30

 

Presse Canadienne

 

Le prix du baril de pétrole dégringole de 3$.

 

Les cours du pétrole ont chuté de près de 3 $ mardi à New York, tombant à leur plus bas depuis près de trois mois en raison de la baisse de la consommation de carburants aux États-Unis et d'une remontée du dollar.

 

Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de «light sweet crude» pour livraison en septembre a fini la séance à 122,19 $, en baisse de 2,54 $ par rapport à son cours de clôture de lundi.

 

Le baril d'or noir est descendu en séance à 120,42 $, son plus bas niveau depuis le 6 mai.

 

Comparé à son record absolu - 147,27 $ - inscrit le 11 juillet, le baril de pétrole a perdu 25 $.

 

La consommation d'essence à la pompe a baissé pour la quatorzième semaine consécutive la semaine dernière aux États-Unis, selon le relevé hebdomadaire de l'émetteur de cartes de crédit Mastercard publié mardi, alors que la traditionnelle saison des grands déplacements en voiture bat son plein.

 

Cette tendance a été confirmée par les statistiques officielles publiés la veille, montrant que sur les cinq premiers mois de l'année, le nombre de kilomètres parcourus par les automobilistes américains est tombé au plus bas depuis 2003.

 

De 1983 à 2004 - sauf pendant la première guerre du Golfe en 1990-1991- , le nombre de kilomètres parcourus par les Américains était toujours en forte progression.

 

Les États-Unis, qui engloutissent environ 20% de la production mondiale, sont le premier consommateur mondial d'or noir.

 

Les prix ont également pâti d'un raffermissement du dollar, monnaie dans laquelle est vendu le brut, face à l'euro, ont ajouté les analystes. Un euro valait 1,55 $ mardi, contre plus de 1,57 la veille.

 

Une revalorisation du billet vert est de nature à dissuader les investisseurs hors zone dollar, qui se portent souvent à l'achat sur les matières premières pour protéger la valeur de leur portefeuille quand le dollar s'effrite.

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High gas prices are good news for the planet

The Gazette

Published: 9 hours ago

Gasoline prices have been declining a little in North America, thanks apparently to falling global oil prices. The continent-wide sigh of relief is deafening, and we're sorry to have to spoil the party, but we have something to point out: High gas prices are good, not bad.

 

Remember that "angry Canadians" story early this week? In it, CanWest News Services reported, on the basis of a public-opinion survey, that 71 per cent of Canadians are upset about gas prices, while 62 per cent of us are irked about the lack of action on environmental problems.

 

Some of us, evidently, are not paying attention, then, because in fact high gas prices - or rather North Americans' aggregate response to those prices - do constitute action, major effective action, against the greenhouse gases at the root of global climate change.

 

Just consider the trend you can detect in much recent news coverage: Our American friends drove 3.7 billion fewer miles in May than in the previous May. North American auto-makers are retooling away from SUVs and big cars as fast as they can. Home-buyers are bidding up downtown properties, while showing less interest in commuter suburbs. If you buy a house in some U.S. suburbs the desperate seller will throw in his SUV.

 

Public transit use is increasing briskly almost everywhere - records are being set even in Los Angeles, that sprawling cathedral of car culture. Fewer cars on the road are already translating into slightly less gridlock and slightly faster commutes and, experts predict, fewer traffic deaths as well. And less driving, in newer, smaller, more fuel-efficient cars, means greenhouse gas emissions will soon start to come under control.

 

It's all good, and it's all due directly to higher gas prices. True, the sudden run-up in fuel prices has driven up the cost of many goods and services, but once the new price is established, there's no inevitable reason for further inflation.

 

The moral is that society-wide, almost nothing modifies human behaviour as efficiently as market economics. All those benefits of dwindling fuel use have come to pass not because of some vast and impersonal government bureaucracy, but by the simple efficiency of individuals making private choices in their own circumstances.

 

Some will keep driving and cut back elsewhere, some will sell the car, some will car-pool. Nobody is compelled; everyone applies his or her own ingenuity to managing this problem best for him- or herself. Nobody can cheat the system, influence the minister, or fiddle the books: provided there's some competition, market prices are astonishingly efficient.

 

True, pressure on gas prices means that at the margin, some people will not be able to afford a car or to use their car very often. There can be some individual hardship in this, but it's still not an unmitigated disaster for our society.

 

By one calculation - there are many - Canada had 438 motor vehicles per 1,000 people in 1986 - not a year remembered universally with shudders of horror - but has well over 500 today. Isn't it just as well to stop this growth? Is there an ideal ratio? If so, what? If not, what's wrong with our society reducing car use?

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http://argent.canoe.com/lca/infos/international/archives/2008/08/20080804-115402.html

 

À près de 120$ US le baril

Le pétrole recule de plus de 4$ le baril

Mise en ligne 04/08/2008 11h54

 

Photo © Corbis

 

 

En vidéo, écoutez les commentaires de François Gagnon

 

Obama propose de puiser dans les réserves stratégiques de pétrole

 

ARGENT

 

Le cours du pétrole est repassé allègrement sous la barre des 125$ US le baril ce matin, sous le coup d'une étude sur la production des pays membre de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) montrant que cette dernière avait progressé en juillet, pour le troisième mois d'affilée.

 

Le contrat septembre sur le brut léger américain chutait à vue d’œil à 11h34, alors que le baril se transigeait en baisse de 4,55$ à 120,55$ US sur le Nymex, après avoir grimpé en séance à 126,35$.

 

Selon François Gagnon, spécialiste-maison du pétrole à ARGENT, la demande moins forte pour l’or noir partout sur la planète devrait maintenir la tendance à la baisse sur les prix.

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