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Membres prolifiques

J'ai pas encore eu a faire le plein avec le prix au dessus de 1.50

 

mais comme je dois mettre du 94 dans ma voiture, surtout l'été, ca va me couter une beurrée, la capacité maximale de la tank est de 60 litres

 

disont 50l x 1.61 (le 94 est a peu pres 11c/l plus cher que le regulier)

ca fait un beau total de 80$

 

Mais au moins, vivement mon petit 4cyl turbo, si je fais juste de l'autoroute je peux aller jusqu'a 750km avec une tank, sinon en ville/autoroute je fais a peu pres 500kms

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J'ai pas encore eu a faire le plein avec le prix au dessus de 1.50

 

mais comme je dois mettre du 94 dans ma voiture, surtout l'été, ca va me couter une beurrée, la capacité maximale de la tank est de 60 litres

 

disont 50l x 1.61 (le 94 est a peu pres 11c/l plus cher que le regulier)

ca fait un beau total de 80$

 

Mais au moins, vivement mon petit 4cyl turbo, si je fais juste de l'autoroute je peux aller jusqu'a 750km avec une tank, sinon en ville/autoroute je fais a peu pres 500kms

 

Bien en accord avec toi! Les Moteurs Turbo de VW/Audi sont incroyables. J'en ai eu un pendant 4 ans, et quand ma location sur mon RSX va se terminer, j'ai l'intention de retourner dans la famille VW!

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VW =/= fiabilité

 

Je sais que tu n'es pas sérieux, mais j'ai eu 2 VW(deux locations de 4 années chacunes) et je n'ai jamais eu de problèmes. Je sais très bien que VW n'a pas la meilleure réputaion au monde, mais leurs fialbilité va définitivement s'améliorer, car ils ont recommencé à produire leurs véhicules en Allemagne et non au Méxique!

 

Par contre, pour le plaisir de la conduite, ils sont très durs à battre.

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Complot criminel chez des détaillants d’essence

 

12 juin 2008 - 15h23

 

LaPresseAffaires.com

 

Le complot criminel aurait visé les marchés de Magog, Victoriaville, Sherbrooke et Thetford Mines.

 

Le Bureau de la concurrence a mis à jour un complot criminel dans lequel des détaillants d’essence fixaient un prix plus élevé pour le carburant.

 

Le complot aurait visé les marchés de Magog, Victoriaville, Sherbrooke et Thetford Mines.

 

Des accusations sont portées contre 13 individus et 11 entreprises.

 

Parmi les accusés, trois entreprises et un individu ont plaidé coupables aujourd'hui devant la Cour supérieure du Québec à Victoriaville.

 

La Cour a ordonné des amendes totalisant un peu plus de 2 M$ pour les entreprises qui ont plaidé coupables

 

Ces entreprises sont Les Pétroles Therrien (sous la bannière Pétro-T) et Distributions pétrolières Therrien (une amende de 179 000 $), de même qu’Ultramar qui est condamnée à payer 1,85 M$.

 

Un individu, Jacques Ouellet, employé d'Ultramar, a aussi plaidé coupable et devra payer une amende de 50 000 $.

 

Par voie de communiqué, la pétrolière a annoncé qu'elle ne contestera pas l'accusation contre elle et l'un de ses deux employés.

 

Plusieurs détaillants ont été pris la main dans le sac. À Sherbrooke, des stations-services Esso et Olco ont fait partie de ce cartel. Le stratagème s'est étalé de 2005 à 2007.

 

La quasi-totalité des détaillants de ces villes auraient participé au cartel. Selon les calculs, environ une cinquantaine de stations seraient dans le coup.

 

Pour le Bureau de la concurrence, cette annonce s'avère une épreuve de force envers les détaillants délinquants.

 

«L'annonce aujourd'hui envoie un message très clair que le Bureau agit contre ceux qui fixent les prix lorsqu'il a la preuve que ces derniers ont contrevenu à la loi», a déclaré Sheridan Scott, commissaire.

 

D’autres enquêtes sont en cours au Canada, souligne l'organisme.

 

http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080612/LAINFORMER/80612177/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER

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Pétrole: des airs de bulle techno

 

16 juin 2008 - 06h00

 

Bloomberg

 

 

La poussée à la hausse qui a propulsé le prix du pétrole à 139,12 $ US le baril (un record) il y a quelques jours est plus importante que la ruée vers les titres des technos qui a précédé l'éclatement de la bulle du marché point-com en l'an 2000.

 

Le prix du pétrole brut a explosé de 697% depuis que l'or noir se négociait à 17,45 $ US le baril à New York en novembre 2001 et il a atteint 28 records cette année.

 

La dernière fois qu'un phénomène semblable a été observé, c'était il y a huit ans lorsque les actions des cybercompagnies ont propulsé l'indice composite NASDAQ à un sommet de tous les temps, le faisant bondir de 640%, selon des données compilées par Bloomberg et Bespoke Investment Group.

 

Le NASDAQ a retraité de 78% depuis son sommet de mars 2000, faisant disparaître en fumée environ six mille milliards de dollars américains de capitalisation boursière, les investisseurs en étant venus à la conclusion que les prix n'étaient pas justifiés par les profits de compagnies telles que Broadcom Corp. et Amazon.com.

 

Vers une dégringolade

 

George Soros, un investisseur milliardaire, et Stephen Schork, président de Schork Group Inc., soutiennent que le pétrole est mûr pour une dégringolade parce que les prix ne sont pas justifiés par l'offre et la demande.

 

«Il n'y a rien de différent entre cet engouement et celui pour les actions des compagnies point-com, le marché immobilier, le Dow Jones des années 1920, la bulle South Sea et l'emballement pour les tulipes hollandaises», soutient M. Schork, dont la firme de Villanova, en Pennsylvanie, fournit des conseils à l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), à des firmes de Wall Street et à des sociétés pétrolières en ce qui concerne les perspectives touchant les prix énergétiques.

 

«L'histoire se répète sans cesse», dit-il.

 

Le prix du pétrole a grimpé en raison notamment de la demande croissante de la Chine et de l'Inde, dont les économies ont présenté un essor, au cours des sept dernières années, d'un taux moyen de 10,2% et de 7,3% respectivement.

 

Des perturbations de l'approvisionnement au Nigeria et en Irak de même qu'une baisse de la production en Russie ont également fait gonfler les prix. Les investisseurs ont ajouté environ 250 milliards US aux transactions sur les matières premières depuis 2003, d'après Mike Masters, président et fondateur de Masters Capital Management, un fonds spéculatif de St. Croix.

 

Le pétrole attire l'argent tandis que l'économie mondiale ralentit. La pire déprime sur le marché de l'habitation aux États-Unis depuis les années 1930 et plus de 390 milliards US en dépréciations et pertes de crédit subies par des banques ralentiront la croissance économique mondiale à 2,7% cette année comparativement à 3,7% en 2007, selon la Banque mondiale.

 

La flambée des prix pétroliers est le résultat d'une «bulle» causée par la spéculation de fonds indiciels et un équilibre précaire entre l'offre et la demande, indiquait récemment M. Soros lors d'un témoignage devant le Comité du Sénat américain sur le commerce, la science et le transport. «Cette bulle s'ajoute à une tendance à la hausse des prix pétroliers qui a de fortes assises dans la réalité», avait-il ajouté.

 

«Je ne saurais dire si on doit parler d'une bulle ou non», avait pour sa part déclaré M. Masters lors d'un témoignage devant le Sénat américain au cours d'une audience sur le rôle des spéculateurs sur le marché des matières premières. «Pas de doute que la demande des investisseurs a un effet sur les prix. La chose a très peu à voir avec l'offre et la demande physiques du pétrole brut», avait dit M. Masters.

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malade :)

 

 

Scientists find bugs that eat waste and excrete petrol

From The Times

June 14, 2008

 

Scientists find bugs that eat waste and excrete petrol

Silicon Valley is experimenting with bacteria that have been genetically altered to provide 'renewable petroleum'

Some diesel fuel produced by genetically modified bugs

Image :1 of 3

 

Chris Ayres

“Ten years ago I could never have imagined I’d be doing this,” says Greg Pal, 33, a former software executive, as he squints into the late afternoon Californian sun. “I mean, this is essentially agriculture, right? But the people I talk to – especially the ones coming out of business school – this is the one hot area everyone wants to get into.”

 

He means bugs. To be more precise: the genetic alteration of bugs – very, very small ones – so that when they feed on agricultural waste such as woodchips or wheat straw, they do something extraordinary. They excrete crude oil.

 

Unbelievably, this is not science fiction. Mr Pal holds up a small beaker of bug excretion that could, theoretically, be poured into the tank of the giant Lexus SUV next to us. Not that Mr Pal is willing to risk it just yet. He gives it a month before the first vehicle is filled up on what he calls “renewable petroleum”. After that, he grins, “it’s a brave new world”.

 

Mr Pal is a senior director of LS9, one of several companies in or near Silicon Valley that have spurned traditional high-tech activities such as software and networking and embarked instead on an extraordinary race to make $140-a-barrel oil (£70) from Saudi Arabia obsolete. “All of us here – everyone in this company and in this industry, are aware of the urgency,” Mr Pal says.

 

Related Links

Biofuel: a tankful of weed juice

The arithmetic of crude oil

What is most remarkable about what they are doing is that instead of trying to reengineer the global economy – as is required, for example, for the use of hydrogen fuel – they are trying to make a product that is interchangeable with oil. The company claims that this “Oil 2.0” will not only be renewable but also carbon negative – meaning that the carbon it emits will be less than that sucked from the atmosphere by the raw materials from which it is made.

 

LS9 has already convinced one oil industry veteran of its plan: Bob Walsh, 50, who now serves as the firm’s president after a 26-year career at Shell, most recently running European supply operations in London. “How many times in your life do you get the opportunity to grow a multi-billion-dollar company?” he asks. It is a bold statement from a man who works in a glorified cubicle in a San Francisco industrial estate for a company that describes itself as being “prerevenue”.

 

Inside LS9’s cluttered laboratory – funded by $20 million of start-up capital from investors including Vinod Khosla, the Indian-American entrepreneur who co-founded Sun Micro-systems – Mr Pal explains that LS9’s bugs are single-cell organisms, each a fraction of a billionth the size of an ant. They start out as industrial yeast or nonpathogenic strains of E. coli, but LS9 modifies them by custom-de-signing their DNA. “Five to seven years ago, that process would have taken months and cost hundreds of thousands of dollars,” he says. “Now it can take weeks and cost maybe $20,000.”

 

Because crude oil (which can be refined into other products, such as petroleum or jet fuel) is only a few molecular stages removed from the fatty acids normally excreted by yeast or E. coli during fermentation, it does not take much fiddling to get the desired result.

 

For fermentation to take place you need raw material, or feedstock, as it is known in the biofuels industry. Anything will do as long as it can be broken down into sugars, with the byproduct ideally burnt to produce electricity to run the plant.

 

The company is not interested in using corn as feedstock, given the much-publicised problems created by using food crops for fuel, such as the tortilla inflation that recently caused food riots in Mexico City. Instead, different types of agricultural waste will be used according to whatever makes sense for the local climate and economy: wheat straw in California, for example, or woodchips in the South.

 

Using genetically modified bugs for fermentation is essentially the same as using natural bacteria to produce ethanol, although the energy-intensive final process of distillation is virtually eliminated because the bugs excrete a substance that is almost pump-ready.

 

The closest that LS9 has come to mass production is a 1,000-litre fermenting machine, which looks like a large stainless-steel jar, next to a wardrobe-sized computer connected by a tangle of cables and tubes. It has not yet been plugged in. The machine produces the equivalent of one barrel a week and takes up 40 sq ft of floor space.

 

However, to substitute America’s weekly oil consumption of 143 million barrels, you would need a facility that covered about 205 square miles, an area roughly the size of Chicago.

 

That is the main problem: although LS9 can produce its bug fuel in laboratory beakers, it has no idea whether it will be able produce the same results on a nationwide or even global scale.

 

“Our plan is to have a demonstration-scale plant operational by 2010 and, in parallel, we’ll be working on the design and construction of a commercial-scale facility to open in 2011,” says Mr Pal, adding that if LS9 used Brazilian sugar cane as its feedstock, its fuel would probably cost about $50 a barrel.

 

Are Americans ready to be putting genetically modified bug excretion in their cars? “It’s not the same as with food,” Mr Pal says. “We’re putting these bacteria in a very isolated container: their entire universe is in that tank. When we’re done with them, they’re destroyed.”

 

Besides, he says, there is greater good being served. “I have two children, and climate change is something that they are going to face. The energy crisis is something that they are going to face. We have a collective responsibility to do this.”

 

Power points

 

— Google has set up an initiative to develop electricity from cheap renewable energy sources

 

— Craig Venter, who mapped the human genome, has created a company to create hydrogen and ethanol from genetically engineered bugs

 

— The US Energy and Agriculture Departments said in 2005 that there was land available to produce enough biomass (nonedible plant parts) to replace 30 per cent of current liquid transport fuels

 

http://www.timesonline.co.uk/tol/news/environment/article4133668.ece

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