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Tout ce qui a été posté par mtlurb

  1. J'ai pas beaucoup de temps aujourd'hui, mais je suis la convo... et le projet de waterfront, on l'as eu il y a bien longtemps quand le vieux port de Montréal à littéralement été crée d'un vieu port désaffecté! Mémoire courte etienne. Aussi il y a un projet dans les prochains 5-10 ans pour les quais bikerdike que le port veut délaisser...
  2. Complètement inutile de faire passer un tramway en parallèle et proche du métro! On est mieux d'aller chercher plus de gens avec la ligne verte plus à l'est (ou bleue) que d'avoir un luxe de tramway.
  3. Francely, le double talk dans le texte d'étienne :compléter le réseau d'autoroute est une très mauvaise chose. Compléter quelquechose dans le jargon des biens pensant hippies est très mal vu. Tout doit rester croche et incomplet, comme ça il y a plus de traffic et on peut démontrer qu'il faut plus de transports en communs pour empaqueter les bons prolétaires travaillant.
  4. J'ai lu je sais pas ou aujourd'hui qu'ils vont ajouter des étages au stationnement étagé...
  5. Le Québec occupe le 6e rang mondial dans le secteur de l’aérospatiale En 2006, 22 % des biens manufacturés québécois exportés vers l’étranger étaient des biens de haute technologie [/url]Brigitte Saint-Pierre Le Devoir samedi 1er décembre 2007 Le Québec a une économie ouverte. En 2006, la part de ses exportations (vers l’étranger ou vers les autres provinces canadiennes) dans son PIB était de 53 %. La même année, 22 % des biens manufacturés québécois exportés vers l’étranger étaient des biens de haute technologie. L’aéronautique et l’aérospatiale, les biotechnologies ainsi que les technologies de l’information et des communications sont des secteurs dans lesquels le Québec se démarque sur le plan international, indique François Bouilhac, sous-ministre adjoint des affaires économiques internationales au ministère du Développement économique, de l’Innovation et de l’Exportation (MDEIE). Le Québec occupe le sixième rang mondial dans le secteur de l’aérospatiale, derrière les États-Unis, le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne et le Japon. « Il y a trois grands centres d’excellence en aéronautique et aérospatiale : Toulouse en France, Seattle aux États-Unis et la grande région de Montréal au Québec et au Canada », dit François Bouilhac, sous-ministre adjoint aux affaires économiques internationales du ministère québécois du Développement économique, de l’Innovation et de l’Exportation (MDEIE). Le Québec compte plus de 240 entreprises dans le secteur de l’aérospatiale : des maîtres d’oeuvre, des grands équipementiers, des sous-traitants et des fabricants de produits spéciaux. Il est responsable de plus de 60 % des ventes totales du Canada dans ce secteur et de la majeure partie (environ 70 %) de la recherche et développement en aérospatiale au pays, indique le MDEIE. Plusieurs chefs de file de l’industrie se trouvent au Québec, dont Bombardier dans l’aviation d’affaires et l’aviation régionale, Bell Helicopter pour les hélicop-tères commerciaux, CAE pour les simulateurs de vol, et Pratt & Whitney Canada dans les moteurs pour avions régionaux et d’affaires et pour hélicoptères. Le Québec exporte plus de 80 % de sa production en aérospatiale, notamment aux États-Unis. Les marchés pour ces produits ne se situent toutefois pas seulement dans les pays industrialisés. « Il est certain qu’avec l’explosion des transports aériens par exemple en Asie, en Chine en particulier, il y a là de grandes possibilités de marchés pour les entreprises. C’est la même chose en Inde. Il y a aussi de grandes possibilités dans les pays du Golfe », dit M. Bouilhac. Biotechnologies, TIC et autres secteurs Le Québec occupe par ailleurs le 4e rang en Amérique du Nord en ce qui concerne le nombre d’entreprises de biotechnologies, indique le gouvernement du Québec. « Le secteur des biotechnologies au Québec est en bonne position. La concurrence est forte, mais il est en bonne position. Il se fait beaucoup de recherche et développement tant dans la grande région montréalaise que dans celle de Québec. Les chercheurs d’ici participent notamment à des projets conjoints avec des chercheurs d’autres pays », mentionne le sous-ministre adjoint aux affaires économiques internationales du MDEIE. Le domaine des technologies de l’information et des communications est un autre secteur d’excellence du Québec, dit-il. Il comprend les industries de la microélectronique, des équipements et des services de télécommunications, de l’optique, de la photonique et du laser, des équipements et des services informatiques, des logiciels et du multimédia. Dans une lettre ouverte publiée à la fin du mois d’octobre, le premier ministre Jean Charest affirmait que « Montréal est en voie de devenir le Hollywood du jeu vidéo ». Ubisoft et Electronic Arts font partie des entreprises qui ont choisi de s’installer dans la métropole québécoise. « Il y a une créativité au Québec qui fait en sorte que les créateurs de jeux vidéo y ont trouvé ce dont ils avaient besoin pour développer leurs produits », estime M. Bouilhac. Il existe par ailleurs « des secteurs de niche, par exemple les produits de sécurité dans certains pays, dont le Royaume-Uni, et l’environnement dans d’autres pays », ajoute-t-il. Les entreprises du secteur de l’environnement offrent divers produits et services, par exemple en matière de gestion de l’eau, de traitement des matières dangereuses, de recyclage, de réhabilitation des sols contaminés ainsi que de planification et d’analyse environnementales. « Le secteur des services, notamment les grandes sociétés d’ingénierie-conseil, joue également un rôle important, aussi bien dans les pays en émergence que dans les pays développés », dit M. Bouilhac. Les firmes de génie-conseil du Québec sont actives dans le domaine des ressources naturelles et de l’hydroélectricité, mais aussi dans d’autres secteurs, dont les télécommunications et l’informatique. Soutien gouvernemental Les gouvernements du Canada et du Québec offrent du soutien aux entrepreneurs qui souhaitent faire affaire avec des partenaires étrangers. Le gouvernement canadien met par exemple à leur disposition des études de marché par secteur. Des agents fédéraux, travaillant dans différentes villes canadiennes dont Montréal ou à l’étranger, peuvent aussi les conseiller. Dans la même veine, les commissaires à l’exportation dans les différents bureaux régionaux du MDEIE du Québec peuvent assister les entrepreneurs qui le souhaitent. Les spécialistes en marchés de ce ministère, à Québec et à Montréal, fournissent également des conseils sur les marchés étrangers. Il existe enfin un réseau de bureaux et de délégations du Québec à l’étranger. « Les services économiques de ces bureaux sont à l’affût des occasions d’affaires pour les entreprises, qu’il s’agisse de biens ou de services », indique M. Bouilhac. Les gouvernements québécois et canadien organisent également des missions économiques à l’étranger. Le gouvernement du Québec a par ailleurs rendu public le 23 novembre un plan d’action en faveur du secteur manufacturier. L’un des objectifs du plan est d’investir « pour contrer les effets négatifs de la hausse du dollar et relancer l’emploi ainsi que les exportations ». Diverses mesures sont prévues. Elles peuvent prendre la forme d’aide financière ou de conseils. « Le gouvernement intensifiera ses efforts pour fournir aux entreprises manufacturières des leviers qui les aideront à occuper une position plus solide sur les marchés mondiaux », mentionne le plan. « Le but est de commercialiser plus rapidement les nouveaux produits, consolider la présence des entreprises sur les marchés traditionnels de l’ALENA et de certains pays européens et tirer parti des perspectives d’affaires qui s’ouvrent sur d’autres marchés, particulièrement ceux des pays émergents. » Collaboratrice du Devoir
  6. Ce soir j'ai une nouvelle petite série... le temps me manque, je suis tiraillé.
  7. Oui mais bon des mémoires, c'est 10 cents la livre au Québec. Tout le monde est spécialiste au Québec. Hehehe les mots utilisées me font rire... "automobile privée", c'est une gang de communistes qui ont écrit ça? C'est la même gang qui à démoli le projet du Casino au bassin peel parcequ'il faut protéger les pauvres de leur vices... hehehehehe
  8. Etienne, j'ai édité les images de ton message, elles sont trop grosses.
  9. complètement faux, tu calcules ce qui est produit par l'île mais en tenant compte des habitants de l'île, ce qui ne tiens pas compte des gens qui travaillent en ville et qui n'y habitent pas. Le vrai chiffre c'est 32510$ pour 2006: http://www.stat.gouv.qc.ca/donstat/econm_finnc/conjn_econm/revenu_personnel/rp07_ra-hab.htm Boston avait un PIB par habitant de 47000 (2005) par habitant, 36% de plus que le nôtre, on est loin d'être riche, on est là 26 ième agglomération sur 26 en amérique du nord.... Oui les ambitions sont excellentes, mais on n'as pas les moyens de le faire, pourquoi se contenter du status quo ou pire de dépenses frivoles à faire déménager le port, décontaminer des terrains géants et ensuite faire une rue à 2 voies qui ne règle en rien le problème de départ!! Si je l'étais vraiment, j'aurais barré ton compte, exclus ton ip d'accéder au forum et effacé toutes tes bitchages,... mais non ma vision des choses est métropolitaine et non seulement mon petit bout de quartier avant le reste (ton NIMBYisme). T'est fière d'avoir jamais voyagé dans ta métropole? Bravo champion:rotfl: T'est l'exemple parfait du nombriliste hippie qui croit posséder la Vertue. Continue à te caler mon grand, t'as vraiment plus rien à dire.
  10. L'embouteillage va pas disparaître avec une rue à 2 voies, oublions ça... même le plan du ministère est chancelant, perdre 2 voies pour le covoiturage quand très peu de personnes le font, c'est générer intentionnellement du traffic.
  11. Those R-L buildings are worth gold at this moment, especialy the land they're sitting on. Is our market that rich for a developper to start buying neighbours, demolish, build and then lease with a big margin to make up for the losses? not sure.
  12. "faire déménager" le port ailleurs et pas avoir "d'autoroute" derrière chez soi c'est pas du NIMBYsme? C'est quoi? Ces gens là ont achetés leur maison pour moins cher parcequ'ils sont situés près du port et des désagréments qu'il en résulte. En plus le projet d'autoroute dans ce coin existe depuis une bonne quarantaine d'années, c'est pas une surprise pour personne ce projet. Est-ce que j'achèterais une propriété proche des rafineries pour pas cher puis ensuite me plaindre aux autorités pour que ces derniers déménagent? Ben non, c'est le bon sens qui devrait primer. Moi aussi j'aimerais que des moyens de transports lourds s'étendent partout pour aller chercher les gens plus loins, mais le Québec et la Ville n'en ont pas les moyens! Et puis viens pas me dire qu'une piste cyclable et des bus vont faire la même job, soyons réaliste. Moi aussi j'aimerais que toutes les autoroutes soient sous la terre et enterrés, mais on peut pas se le payer. Le Québec doit pouvoir boucler son budget (5 milliards de défécit cette année) et offrir tous les programmes sociaux (qui soi en passant subventionnent tous ces groupes d'hurluberlus) et en plus régler les problèmes de circulation... il n'y a pas assez d'argent! Boston est une des ville les plus riches en amérique du nord, Montréal une des plus pauvres. Tu sais que le big dig à Boston à couté 30 milliards(!!!)? C'est le quart de la dette totale du Québec, sur un seul projet! Ou veux-tu en venir? Tu veux miner la crédibilité de mon argumentation? Oui j'habite en ville, elle s'apelle Ville de Laval. Je paies mes impôts au gouvernement du Québec pour payer ce projet et subventionner les programmes sociaux dont je ne profite pas. Et toi t'habites en campagne?
  13. Je comprends pourquoi une étude sur une ligne de bus prends 10 ans (ou plusieurs études si vous voulez). Me semble que c'est pas aussi compliqué que d'aller sur la lune. C'est du niaisage, c'est ça que ça donne des employés syndiqués.
  14. Voici mon commentaire envoyé au journal de Montréal: Ces gens sont des NIMBY ( des "pas dans ma cours"), ils veulent que le port se pousse plus vers l'est pour qu'ils puissent profiter du fleuve, ils ne veulent pas un gros boulevard pour pas avoir de bruit. Ils veulent la vie de bohème en plein coeur de la ville à côté d'un des ports à conteneurs les plus achalandés sur l'atlantique nord. Le gouvernement du Québec aurait dû mettre ses culottes depuis longtemps et terminer la maudite autoroute 720 pour la relier à la 25, moins de congestion, moins de pollution, des employés au bureau à la place d'être pris dans un bouchon et de la marchandise qui ne traînent pas sur les camions ferait en sorte que Montréal deviennent une ville plus forte économiquement. On veut devenir les meilleurs, qu'on prenne les moyens pour y arriver.
  15. Bonne chance sur ce forum... en passant il y a un fil qui existe déjà.
  16. Roche double la taille de son siège social canadien 6 décembre 2007 - 06h59 La Presse Laurier Cloutier Roche Diagnostics double la superficie de son siège social canadien, à Laval, et se donne le défi d'améliorer ses tests pour dépister les maladies. var nsteinWords;nsteinWords = unescape('');Christopher Parker, président-directeur général de Roche Diagnostics Canada, et Severin Schawn, PDG de Roche Diagnostics -qui deviendra le grand patron du Groupe Roche, de Suisse, en mars prochain- ont inauguré hier le siège de Laval, qui a été agrandi de 26 230 pieds carrés, après des investissements de 20 millions de dollars. Le géant mondial, qui compte 75 000 employés, a réalisé l'an dernier un chiffre d'affaires de plus de 45 milliards. Au Canada, Roche emploie 875 personnes. Roche Diagnostics compte de son côté 400 employés, dont 260 au Québec, surtout à Laval, un effectif auquel s'ajoute celui de Roche Pharma. Durant son mandat de cinq ans, Christopher Parker assure que Roche réinvestira au pays. Le nouveau siège de Laval donne de la marge pour la croissance, a-t-il ajouté. Roche mise sur un modèle d'affaires qui comprend un réseau de chercheurs à l'externe et des partenariats. Roche détient des participations majoritaires dans Genentech et Chugai, qui demeurent autonomes, souligne Severin Schawn. Avec les coudées franches, les partenaires peuvent multiplier les idées brillantes et cela fait le succès de Roche, selon lui. Avec ses tests, Roche Diagnostics permet toutefois de trouver plus facilement les bons médicaments pour les malades, malgré leurs spécificités, dit M. Schawn. Critique des gouvernements Les gouvernements sabrent leurs coûts de santé et souvent ceux des tests. Pourtant, ces tests ne représentent que 1% de la facture totale et peuvent réduire les frais d'hôpitaux (30% du total), souligne le PDG. Roche a mis au point le test du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) en un temps record, lance Severin Schawn. La population découvre les bons produits et fera pression sur le gouvernement pour les utiliser, selon lui. La mondialisation augmente les risques d'infection, mais elle multiplie le bassin de compétences pour Roche, dit Severin Schawn. Les pays développés constituent encore 80% du marché, mais les besoins augmentent par ailleurs dans les autres. Sans être connue comme Coca-Cola, Roche jouit d'une notoriété dans son industrie qui l'aide à recruter des spécialistes dans plusieurs disciplines, dont au Canada, selon MM. Schawn et Parker.
  17. Une grosse fumisterie. De l'argent jeté par les fenêtres par la ville!!!!! Un copain viens de s'acheter un condo neuf, il s'est arrangé avec le courtier pour que le prix de vente soit en dessous du 165,000$ pour avoir le 6500$, ensuite des enveloppes brunes remplis de dizaines de milliers d'argent ont étés échangés avec le promoteur pour compenser le vrai prix du condo. Et c'est même pas lui qui a proposé ça, mais le courtier.
  18. mtlurb

    Vidéos sur Montréal

    Bordel à Montréal: http://ca.youtube.com/watch?v=j7duv4wT8xQ
  19. mtlurb

    Vidéos sur Montréal

    Beau vidéo avec de belles vues de Montréal: http://ca.youtube.com/watch?v=tTHt02M5Wn8
  20. Protocole de Kyoto Québec fait la leçon à Ottawa Jean Charest et Line Beauchamp Alors qu'Ottawa essuie les critiques des environnementalistes à la conférence de Bali sur les changements climatiques, Québec annonce de nouvelles mesures afin de s'assurer que la province atteigne les objectifs du protocole de Kyoto. La ministre de l'Environnement, Line Beauchamp, a annoncé jeudi la façon dont Québec compte utiliser les 350 millions versés par Ottawa. Cette somme permet de bonifier l'argent versé au Fonds vert de 1,2 à 1,55 milliard de dollars en six ans. L'argent sera consacré à des mesures qui s'articulent autour de huit axes: efficacité énergétique, gestion des matières résiduelles, transports, développement et déploiement de nouvelles technologies, adaptation aux changements climatiques, qualité de l'air, sensibilisation et éducation publique et soutien aux municipalités. Le premier ministre Jean Charest, dont la présence pour cette annonce n'a été annoncée qu'à la dernière minute, a profité de l'occasion pour envoyer un message sans équivoque au gouvernement Harper, dont la dernière mouture du plan vert fait fi des objectifs de Kyoto. C'est quoi le prix de l'inaction? Quel prix devrons-nous payer si nous n'assumons pas notre leadership? [...] Ce sont nos enfants et nos petits-enfants qui auront la réponse. — Jean Charest Le premier ministre du Québec n'a pas nommément parlé du premier ministre canadien Stephen Harper, mais a souligné que cette question mettait à l'épreuve tous les chefs d'État et de gouvernement. M. Charest n'a pas fait de mystère quant au moment choisi par son gouvernement pour faire son annonce. « On le fait à la veille de la conférence de Bali, parce qu'on veut arriver là en présentant à nos alliés, à ceux qui s'intéressent à cette question-là, un plan qui est détaillé, qui fait la démonstration qu'il est possible de réduire nos gaz à effet de serre, que c'est possible de respecter Kyoto, à la condition d'y mettre les efforts et les moyens. » Mme Beauchamp, qui doit se rendre à Bali la semaine prochaine, soutient de son côté que Québec se présentera à la conférence avec deux importants atouts en main: une motion unanime de l'Assemblée nationale en faveur d'un respect des cibles de Kyoto et ce qu'elle a appelé le « meilleur plan de lutte aux changements climatiques en Amérique du Nord ». M. Charest et Mme Beauchamp ont tous deux soutenu que l'objectif du Québec à Bali était d'influencer les décisions, de créer des alliances avec des régions et des pays et de promouvoir le rayonnement du Québec en matière d'environnement. Série de mesures La ministre Beauchamp a expliqué que les nouvelles mesures annoncées jeudi grâce aux 350 millions de dollars provenant de l'Écofiducie fédérale sont issues du travail de plusieurs ministères. Ces derniers ont soumis des projets qui ont été évalués sur les plans environnemental et économique. Voici certains de ceux qui ont été retenus et annoncés par la ministre: Efficacité énergétique: Nouveaux programmes pour remplacer les générateurs d'air chaud et les chaudières inefficaces utilisés par les industries et les institutions de la province. Les procédés de réfrigération dans les édifices (arénas, supermarchés, entrepôts frigorifiques) seront aussi modifiés. Gestion des matières résiduelles: 38 millions seront consacrés à encourager le captage, l'élimination ou la valorisation du biogaz généré par certains dépotoirs au Québec. Ce biogaz est essentiellement composé de méthane, un gaz à effet de serre qui présente un potentiel de réchauffement 21 fois plus élevé que le dioxyde de carbone (CO2). Soutien aux municipalités: Les municipalités recevront de l'argent pour effectuer un bilan de leurs émissions de gaz à effet de serre et élaborer un plan de lutte qui leur est propre. Les municipalités qui auront un règlement pour limiter la marche des moteurs au ralenti recevront aussi de l'aide, notamment pour déployer une signalisation routière adaptée. Nouvelles technologies: 100 millions seront consacrés à la recherche et au développement, notamment dans le domaine de la séquestration du CO2. Transports: 75 millions sont ajoutés pour accroître l'efficacité du transport des marchandises. Selon la ministre Beauchamp, la moitié du 1,55 milliard du Fonds vert est consacré à la problématique du transport. Adaptation aux changements climatiques: 20 millions seront consacrés à améliorer le réseau de surveillance du climat. Québec veut aussi s'attaquer aux problèmes de la fonte du pergélisol et d'érosion des berges dans l'estuaire du Saint-Laurent.
  21. Pratt & Whitney ouvre une chaîne de montage à St-Hubert 6 décembre 2007 - 11h43 Presse Canadienne [/url] Pratt & Whitney Canada ouvre une nouvelle chaîne de montage pour les moteurs d'hélicoptères à ses installations de Saint-Hubert. Le fabicant de moteurs d'avions envisage une nouvelle augmentation de ses effectifs. L'entreprise produira notamment des moteurs pour les hélicoptères PT6T Twin-Pac. L'installation de Saint-Hubert demeurera également un important centre de révision et de réparation. Pratt & Whitney Canada, dont le siège social est à Longueuil, entend ainsi continuer d'accroître sa production notamment dans les secteurs de l'aviation d'affaires, de l'aviation régionale et des hélicoptères. Depuis juin dernier, le motoriste a embauché environ 200 employés à la production pour augmenter sa capacité de fabrication. Il a ainsi comblé des postes de machinistes, de mécaniciens au banc, de monteurs de moteurs, de tôliers et d'inspecteurs des opérations. L'entreprise pourrait pourvoir de 30 à 50 postes additionnels dans un avenir rapproché. Pratt & Whitney Canada compte actuellement environ 5800 employés dans ses installations au Québec, et plus de 7300 au Canada.
  22. Valeurs mobilières: Ottawa veut laisser le Québec derrière Presse Canadienne, 5 décembre 2007 Le gouvernement fédéral n'attendra pas nécessairement d'avoir l'appui de toutes les provinces avant de mettre sur pied une commission nationale des valeurs mobilières, a indiqué mercredi le ministre des Finances, Jim Flaherty. A son avis, "une masse critique" de juridictions suffirait à légitimer le projet, soutenu par l'Ontario mais vigoureusement dénoncé par le Québec ainsi que par les 11 autres provinces et territoires. Le ministre n'a pas précisé quel était le nombre minimal d'appuis qu'il souhaitait obtenir avant de donner le feu vert à la création de l'organisme. Il a toutefois précisé qu'il était prêt à envisager la coexistence de quelques commissions au Canada pendant encore un moment. Il y a actuellement 13 systèmes au pays. Si nous réduisions cela à deux, ce serait une amélioration, a-d-il fait valoir. Les promoteurs d'une commission nationale affirment qu'un tel organisme renforcerait la lutte contre les crimes financiers au Canada en plus de faciliter le travail des entreprises inscrites en bourse ou qui souhaitent le faire. Ses opposants rappellent pour leur part que les valeurs mobilières sont de juridiction provinciale et que la création d'une commission unique concentrerait trop de pouvoirs en Ontario, où se trouve déjà l'essentiel de l'industrie des services financiers du pays.
  23. Québec présentera une mise à jour budgétaire le mardi 11 décembre Il y a 16 heures QUEBEC - Les contribuables apprendront mardi prochain comment le gouvernement Charest perçoit l'état de santé des finances publiques et de l'économie du Québec. La ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, présentera alors une mise à jour budgétaire et économique, presque sept mois après la présentation de son budget. A cette occasion, la ministre confirmera surtout les détails de sa réforme de la comptabilité gouvernementale, visant à ce que le Québec se conforme aux règles en vigueur ailleurs au pays. On sait déjà que les institutions d'enseignement, les commissions scolaires et les hôpitaux - affligés d'un déficit global dépassant les 100 millions $ - seront bientôt inclus dans le périmètre comptable du gouvernement. Les contribuables pourront ainsi avoir un portrait beaucoup plus juste de la situation financière réelle du Québec, conformément au voeu du Vérificateur général, qui, année après année, reproche au gouvernement de jouer avec les chiffres et d'afficher un faux "déficit zéro". Pour 2005-2006, il évaluait à 5,3 milliards $ le déficit réel du gouvernement du Québec. Les nouvelles règles comptables mises en place ne modifieront pas l'objectif du gouvernement de respecter le désormais sacrosaint équilibre budgétaire, rappellera Mme Jérôme-Forget. L'an dernier, la mise à jour budgétaire avait été faite en octobre et le ministre des Finances de l'époque, Michel Audet, avait annoncé qu'il versait 500 millions $ au Fonds des générations pour rembourser la dette. Il ne faut cependant pas s'attendre à ce genre de coup d'éclat cette année. De plus, la ministre fera le point sur les prévisions de croissance économique et déposera les comptes publics pour l'année en cours. La ministre des Finances avait vendu la mèche sur ses intentions, relativement au périmètre comptable, il y a quelques semaines, lors d'une allocution devant la Chambre de commerce de Québec. En mai dernier, lors de la présentation de son budget, elle avait déjà annoncé son intention de donner suite aux recommandations du Vérificateur général - et aux pressions jumelées de l'Action démocratique et du Parti québécois - en mettant sur pied un groupe de travail chargé de produire un projet de réforme du périmètre comptable. C'est le résultat des cogitations du groupe de travail qu'elle rendra public mardi. Depuis 2004, le Vérificateur général revient périodiquement à la charge pour presser Québec de se conformer aux principes comptables généralement reconnus (PCGR) du Canada, comme le font d'autres provinces canadiennes. La dernière réforme d'envergure de la comptabilité gouvernementale remonte à 1998. Après la présentation de sa mise à jour de mardi prochain, la ministre entreprendra les consultations prébudgétaires en prévision de son prochain budget attendu au printemps.
  24. Tu fais une distinction que beaucoup de gens dans la région métropolitaine ne font plus. Montréal et sa banlieu font un. La ville veut être le centre d'emploi, de la culture, du sport et du commerce, alors elle doit accomoder les gens qui doivent et veulent y venir. C'est pas une autoroute à 60kmh:rolleyes: qui va régler le problème de centralisation qui est sur l'île.
  25. Son commentaire est très drôle sur le port... du nimbysme! On veux pas accomoder le port parcequ'on en veut pas, il peut concentrer ses activités "plus loin par là"... mais il y a des gens là bas, eux doivent endurer plus de bordel parceque les hippies de HOMA n'en veulent pas? voyons donc.
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