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  1. La valeur nette nationale du Canada a augmenté de 20G$ 15 mars 2010 | 10h44 La Presse Canadienne La valeur nette nationale du Canada a augmenté de 20 milliards $ au quatrième trimestre pour atteindre 6 billions $. Statistique Canada indique que cette hausse reflète l'augmentation de 0,7 pour cent de la valeur du patrimoine national, particulièrement les actifs en biens immobiliers résidentiels. La progression de la valeur nette nationale a été tempérée par un accroissement de 19 milliards $ de la dette extérieure nette en raison d'une diminution de l'épargne nationale. La valeur nette nationale correspond au patrimoine national moins la dette extérieure nette. Elle constitue la somme de la valeur nette des particuliers et des entreprises individuelles, des sociétés et des administrations publiques. Du troisième trimestre au quatrième trimestre, la valeur nette nationale par habitant n'a pas changé, s'étant établie à 175 900 $. Cependant, la valeur nette des ménages a augmenté de 93 milliards $ pour atteindre 5,9 billions $. L'accroissement de la valeur des actifs financiers, surtout les actions, les assurances-vie et les rentes, ainsi que celui des biens immobiliers résidentiels, explique en grande partie l'augmentation de la valeur nette. La valeur nette des ménages par habitant a progressé pour atteindre 172 600 $ au quatrième trimestre. Pendant ce temps, la dette nette des administrations publiques a continué d'augmenter. La valeur nette du secteur des administrations publiques a baissé de 20 milliards $, car la valeur de la dette nette continuait de croître. Le ratio d'endettement des sociétés a diminué légèrement. Le financement par actions des sociétés non financières a ralenti du troisième trimestre au quatrième trimestre, tandis que l'émission d'obligations s'est affermie. Toutefois, la valeur globale des émissions d'actions et des bénéfices non répartis a dépassé celle de l'emprunt.
  2. Projet d'oléoduc entre Lévis et Montréal Le BAPE donne son accord Dernières nouvelles La raffinerie Ultramar à Lévis (archives) Le Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE) appuie le projet d'oléoduc d'Ultramar entre la raffinerie de Lévis et le terminal de Montréal-Est. Le BAPE considère que le transport du pétrole est plus sécuritaire et plus flexible par oléoduc que par train ou par navire. Le BAPE évalue que la capacité de production actuelle des raffineries du Québec et de l'Ontario ne répond pas à la demande intérieure. Il manquerait actuellement 100 000 barils par jour. Selon l'organisme, ce déficit pourrait être en partie comblé par la construction du nouvel oléoduc, le pipeline Saint-Laurent, puisqu'Ultramar espère ainsi transporter deux fois plus de barils de pétrole par jour entre Lévis et Montréal, soit 100 000 barils quotidiennement. Le BAPE estime également que le pipeline Saint-Laurent produirait moins de gaz à effet de serre. Inquiétudes Le projet soulève toutefois certaines inquiétudes, particulièrement auprès des producteurs agricoles. Selon la présidente du secteur Kennedy de l'Union des producteurs agricoles (UPA), Gaétane Dallaire, plusieurs agriculteurs ne souhaitent pas que l'oléoduc passe sur leurs terres puisqu'ils craignent notamment de l'endommager avec leur machinerie agricole et d'en être tenus responsables. Le BAPE mentionne à cet effet, dans son rapport, que le tracé de l'oléoduc doit être revu. En plus de traverser plusieurs terres agricoles, le tracé actuel contribuerait à accroître le déboisement des zones forestières. Le Bureau d'audiences publiques sur l'environnement suggère que l'oléoduc longe plutôt l'autoroute 20 et emprunte des emprises de l'oléoduc de l'entreprise ESSO. Le BAPE recommande également que des consultations publiques soient menées à ce sujet. L'UPA pourrait également proposer un autre tracé au cours des prochaines semaines. Ultramar reste sur ses positions De son côté, Ultramar rejette la possibilité de revoir le tracé du futur oléoduc entre Lévis et Montréal ou de mener des consultations publiques à ce sujet. L'entreprise soutient que les dangers sont pratiquement inexistants et qu'elle assumerait la responsabilité advenant une rupture de l'oléoduc. Selon le porte-parole d'Ultramar, Michel Martin, la pétrolière a déjà fait ses devoirs. « Depuis le tout début, on a rencontré une multitude de gens tout le long du tracé proposé. Il y a de nombreux aménagements qui ont été faits le long du tracé pour résoudre les problématiques qui se présentaient localement. » Ultramar espère que la construction de l'oléoduc débutera d'ici le début de l'année 2008.
  3. Les Québécois veulent à tout prix que leur gouvernement fasse du ménage dans sa propre maison avant de fouiller dans leurs poches. C'est ce qui ressort clairement d'un sondage Léger Marketing réalisé au début janvier pour le compte du réseau TVA et du Journal de Montréal. Pas moins de 57 % des Québécois se disent prêts à couper dans les services publics pour ne pas voir leur fardeau fiscal augmenter de nouveau, un taux sans précédent en 20 ans de sondages menés par Léger Marketing. Le message ne peut pas être plus clair alors que s'amorce aujourd'hui le forum économique présidé par le premier ministre Jean Charest, à Lévis «Les gens nous disent : c'est fini, on en a assez. C'est l'heure des choix», résume Jean-Marc Léger. Ce taux serait encore plus élevé, analyse Christian Bourque, vice-président de la recherche chez Léger Marketing, si le sondage n'incluait pas obligatoirement une juste proportion de personnes âgées et d'autres personnes qui ne travaillent pas ou ne paient pas d'impôts. Ces personnes-là, bien évidemment, ne veulent pas couper dans des services qui ne leur coûtent rien de toute façon. Trop de gaspillage Les Québécois estiment que le gouvernement est mal administré, qu'il y a trop de gaspillage (84 %) pour qu'il se permette de venir fouiller impunément dans leurs poches pour régler ses problèmes. Autrement dit, les Québécois pensent que le gouvernement a suffisamment d'argent, mais qu'il est caché un peu partout dans son fouillis et que, pour le retrouver, les politiciens doivent faire du ménage. Les gens sont inquiets Les Québécois ne connaissent peut-être pas les chiffres par coeur, comme notre quiz publié hier a pu le démontrer (à peine 12 % des gens sondés ont obtenu la note de passage à ce test de 10 questions sur les finances publiques), mais cela ne veut pas dire qu'ils n'ont pas le portrait d'en-semble. Selon 54 % des personnes sondées, les finances publiques sont dans un état précaire et de plus, 20 % pensent que nous courons à la catastrophe. C'est donc 74 % des Québécois qui sont inquiets. Des coupures intelligentes Les Québécois ne veulent pas pour autant couper partout et n'importe comment. Ils veulent que le gouver nement se concentre sur ses vraies fonctions de base : l'éducation et la santé, par exemple. Ils souhaitent plutôt qu'il se retire des secteurs où il s'est lentement immiscé, qu'il laisse tomber des structures qu'ils jugent inutiles. Dans la même veine, ils veulent qu'on valorise les employés de l'État qui jouent un rôle concret. En fait, 76 % des Québécois estiment que le gouvernement est trouvé trop gros et qu'il faut réduire significativement la taille de l'État. DEMAIN : 10 SOLUTIONS - Si le gouvernement cherche des milliards pour équilibrer son budget, ce n'est pas parce que les Québécois ne sont pas d'accord pour remettre en question les pseudo vaches sacrées. Demain, les Québécois proposent au moins dix solutions à leurs élus. * * * Personnellement, êtes-vous prêt(e) à faire des sacrifices financiers afin d'aider à améliorer l'état des finances publiques du Québec? En vous basant sur vos propres perceptions, comment qualifieriezvous l'état des finances publiques du Québec ? 11 % : Ne sait pas / Refus 47 % : Non, ce n'est pas à moi de payer pour ça 43 % : Oui, nous devons tous faire des efforts et se serrer la ceinture 54 %: Elles sont dans un état précaire 20 %: Nous courons à la catastrophe 1%: Elles sont excellentes 21%: Elles sont bonnes malgré quelques difficultés passagères liées à la crise Les experts prévoient qu'il sera impossible de maintenir les services publics avec les revenus actuels de l'État. En conséquence, préférez-vous : 28 %: PAYER DAVANTAGE pour les services publics et CONSERVER le niveau de service actuel 42 % : PAYER LE MÊME MONTANT, mais subir une DIMINUTION des services publics 15 % : PAYER MOINS que maintenant et subir une DIMINUTION MAJEURE des services publics 15 % : Ne sait pas / Refus
  4. Le plan Carbonneau pour ruiner le Québec Permalink 09/12/09 13:52, Pierre Duhamel / Général, 682 mots Pour la présidente de la CSN, Claudette Carbonneau, les choses sont claires et simples. Les contribuables québécois doivent payer plus d’impôts pour payer les augmentations de salaires des employés de l’État. Ses propositions sur les finances publiques du Québec seraient désastreuses pour les Québécois et leur économie. Voici pourquoi. Hausser les impôts Claudette Carbonneau veut reprendre les baisses d’impôts de 950 millions de dollars accordées aux Québécois en janvier 2008. Ces baisses réduisaient de 40 % l’écart entre les Québécois et les autres Canadiens. Je fais remarquer à la présidente de la CSN qu’il subsiste un écart de 60 % et que seules trois provinces sont plus imposées que le Québec. Sa proposition ne vise qu’à nous redonner le titre de contribuables les plus imposés en Amérique du Nord, un championnat auquel je ne tiens pas particulièrement. Quant aux entreprises, soulignons que le Québec est la seule province à avoir augmenter l’impôt des entreprises depuis 2001. Les juridictions concurrentes cherchent à diminuer le fardeau fiscal des entreprises pour qu’elles puissent prospérer, investir et embaucher sur leur territoire. Pour rester concurrentiel, le Québec a entrepris d’éliminer la taxe sur le capital, une mesure qui a permis aux sociétés d’abaisser leur fardeau fiscal de 20 % depuis 2002. Non à la compression des dépenses Le gouvernement Charest veut limiter la croissance des dépenses à 3,2 % par année. On ne parle pas ici de diminution des dépenses, mais d’un ralentissement de leur augmentation. De plus, cette hausse de 3,2% reste un peu plus élevée que la croissance anticipée de l’économie au cours des prochaines années. Ce n’est pas comme si le Québec avait du rattrapage à faire au niveau des dépenses publiques, bien au contraire. Les dépenses de programmes – les services de l’État à la population – représentaient en moyenne 26 % du PIB québécois entre 1989 et 2009, contre 17 % pour l’Ontario et 20,3 % pour la moyenne des provinces canadiennes. Surtout pas de hausse de la TVQ L’idée de Madame Carbonneau, c’est de faire payer toute la facture par les 58,6 % des contribuables qui paient de l’impôt et d’épargner tous les autres. Elle fait partie d’une école où vaut mieux taxer la production, plutôt que la consommation. Pour elle, une hausse d’un point de la TVQ serait évidemment «régressive», puisqu’elle avantagerait les mieux nantis. Je lui ferait néanmoins remarquer que les Québécois de la classe moyenne sont déjà lourdement imposés et que les mieux nantis seraient les premières cibles d’une hausse de la TVQ, parce qu’ils consomment davantage. De plus, les plus démunis sont compensés par le gouvernement pour la TVQ et il en serait varisemblablement ainsi si le gouvernement voulait hausser les tarifs d’électricité. Sept ans pour rétablir l’équilibre budgétaire Le gouvernement Charest prévoit des déficits cumulés de 13,2 milliards de dollars d’ici 2013-2014. 13 milliards qui s’ajoutent à la dette déjà considérable du Québec. En ne limitant pas la croissance des dépenses et en refusant l’augmentation de la TVQ, le déficit atteindrait 26,9 milliards de dollars, soit plus du double. Même en ajoutant la ponction fiscale de 3,6 milliards de dollars en quatre ans favorisée par la CSN, on arrive avec 10 milliards de dollars supplémentaires à ajouter à la dette du Québec. En ajoutant deux autres années de déficit au niveau de 2013-2014, on parle de plus de 30 milliards de dollars. Ces dizaines de milliards participeront à la croissance du service de la dette, déjà le troisième poste budgétaire après la santé et l’éducation. Les propositions de Claudette Carbonneau sont injustes pour les contribuables Québécois et ruineuses pour les finances publiques. C’est bête et c’est cher et cela rendra le financement des services de l’État encore plus difficile.
  5. La Suède, durement frappée par la récession mondiale, versera dorénavant qu'un salaire fixe aux dirigeants des entreprises publiques du pays. Le secteur privé est invité à discuter «de niveaux de rémunération raisonnables». Pour en lire plus...
  6. Les banquiers québécois tiennent à leur cagnotte Publié le 04 février 2009 à 06h01 | Mis à jour à 06h04 (Montréal) Les dirigeants des trois plus grandes banques canadiennes renoncent à certaines de leurs primes en ces temps difficiles. D'autres le font aussi ailleurs, par choix ou parce qu'on leur force la main. Mais ici, les dirigeants des deux banques québécoises ont décidé de garder toute la cagnotte qu'ils considèrent leur être due. Les deux principaux banquiers du Québec veulent toutes leurs primes salariales, malgré la conjoncture économique et financière difficile. Ainsi, Louis Vachon, président et chef de la direction de la Banque Nationale (T.NA), et Réjean Robitaille, de la Banque Laurentienne (T.LB), n'ont pas l'intention d'imiter leurs homologues torontois qui renoncent à des millions de dollars en primes salariales, en invoquant la situation économique difficile. «La réponse est non. Ces primes font partie de la rémunération totale de M. Vachon et il n'a pas l'intention d'y renoncer», a indiqué le porte-parole médiatique de la Banque Nationale, Denis Dubé. «Ces primes ont été consenties par le conseil d'administration parce que la banque a obtenu de meilleurs résultats en 2008 par rapport aux cinq autres principales banques canadiennes.» Commentaire semblable à la haute direction de la Banque Laurentienne. «M. Robitaille n'a pas l'intention de renoncer à une partie de sa rémunération parce qu'elle reflète la performance de la banque l'an dernier, qui a dépassé tous ses objectifs financiers», a indiqué Gladys Caron, vice-présidente aux affaires publiques. Pourtant, depuis le début de la semaine, les présidents de trois des plus grandes banques canadiennes ont renoncé publiquement à 16,7 millions en primes auxquelles ils étaient admissibles, selon les clauses de leur contrat professionnel. Deux de ces présidents, Gordon Nixon de la Banque Royale (T.RY), et Bill Downe, de la Banque de Montréal (T.BMO), ont renoncé en tout à 9 millions en primes qui leur auraient été versées en options d'achat d'actions et autres titres liés à la prochaine performance financière et boursière de leur banque. Pour les présidents des banques Nationale et Laurentienne, la renonciation à leurs primes semblables pour 2008 équivaudrait à 4,1 millions, la moitié environ de leur rémunération combinée de 7,33 millions. À lui seul, Louis Vachon devrait renoncer à 3,2 millions en primes de titres de sa rémunération totale de 5,28 millions. Par ailleurs, fait très inusité, les présidents Nixon et Downe ont annoncé leur désistement après que leurs primes eurent été convenues avec le conseil d'administration de leur banque respective, et détaillées même dans leur circulaire envoyée aux actionnaires en prévision de leur prochaine assemblée annuelle. Bill Downe, de la Banque de Montréal, a indiqué que «ma décision de renoncer à cette rémunération est le résultat de ma réflexion face à la situation économique actuelle». Pour Gordon Nixon, président de la Banque Royale, renoncer à des primes déjà convenues est «une bonne décision pour moi et pour la banque, en raison de l'état actuel des marchés mondiaux et des défis que doivent relever tant de citoyens au Canada et ailleurs dans le monde». Relations publiques Geste significatif ou vil exercice de relations publiques? «Je dis chapeau à M. Nixon et M. Downe dans le contexte économique et financier actuel, même s'il y a un peu de gestion d'image personnelle et de relations publiques dans ces décisions», a commenté Michel Nadeau, directeur général de l'Institut sur la gouvernance d'organisations privées et publiques. Quant à l'autre président de banque ayant renoncé à des millions en rémunération admissible, il s'agit de Gerry McCaughey, de la Banque CIBC (T.CM). Sa renonciation est considérable: au moins 7,6 millions amputés d'une rémunération qui aurait pu atteindre 12,9 millions. Toutefois, ce montant était prévu pour la rémunération 2007 du grand patron de la banque CIBC, selon son protocole particulier d'évaluation salariale différée. (Sa rémunération pour l'exercice 2008 sera déterminée après la fin de l'exercice 2009.) Aussi, à la différence des présidents de BMO et de RBC, cette réduction avait été négociée par étapes entre le conseil d'administration et M. McCaughey, à sa demande. Cette démarche est aussi expliquée dans la circulaire envoyée aux actionnaires de la banque CIBC. Du côté des deux autres grandes banques, le président de la Scotia, Richard E. Waugh, a déjà subi une réduction de sa rémunération admissible de 25% pour l'exercice 2008, à 7,5 millions. Mais il n'a pas encore dit mot de son intention d'imiter ou non ses vis-à-vis torontois en renonçant à la part de sa rémunération qui est constituée d'options d'achat d'actions et d'autres titres, pour une valeur de trois millions. Quant à la banque Toronto-Dominion, elle n'a pas encore publié sa circulaire de direction qui détaillera la rémunération de ses hauts dirigeants. LA RÉMUNÉRATION DES BANQUIERS LOUIS VACHON Président de la Banque Nationale Rémunération totale prévue (1) 5,28 millions var. un an: "40% Rémunération après désistement Aucun renoncement RÉJEAN ROBITAILLE Président de la Banque Laurentienne Rémunération totale prévue (1) 2,04 millions var. un an: "42% Rémunération après désistement Aucun renoncement GERRY McCAUGHEY Président de la Banque CIBC (2) Rémunération totale prévue (1) 12,96 millions var. un an: "85% Rémunération après désistement 5,3 millions var. un an: -23% GORDON NIXON Président de la Banque Royale Rémunération totale prévue (1) 9,56 millions var. un an: -18% Rémunération après désistement 4,6 millions var. un an: -60% BILL DOWNE Président de la Banque de Montréal Rémunération totale prévue (1) 6,37 millions var. un an: -34% Rémunération après désistement 2,27 millions var. un an: -76% 1: Rémunération totale selon la circulaire de direction: salaire et prime au comptant, options d'achat d'actions et autres titres de valeur, prestations de fonds de retraite, autre rémunération spéciale. 2: Le calcul de la rémunération du président de la Banque CIBC est décalé d'un an en fonction des résultats subséquents, donc pour 2007 dans ce tableau. Sources: banques
  7. Le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, affirme que son budget du 27 janvier sera axé sur les dépenses, mais admet que cela aura un impact sur les finances publiques. Pour en lire plus...
  8. Le danger est grand, pour les entreprises qui affrontent la crise, de disparaître de l'esprit de la clientèle, faute d'avoir pris les moyens d'y rester. Pour en lire plus...
  9. Un administrateur indépendant, c'est bien, mais un administrateur légitime et crédible, c'est encore mieux, selon l'Institut sur la gouvernance d'organisations privées et publiques. Pour en lire plus...
  10. Critiquée de toutes parts, vilipendée même aux États-Unis, son principal marché, l'industrie pétrolière canadienne admet qu'elle a failli à la tâche sur le plan de relations publiques. Pour en lire plus...
  11. Des opposants au projet des frères Rémillard qui veulent fermer la salle des nouvelles de Télévision Quatre-Saisons se feront entendre à Québec dans le cadre des consultations sur le renouvellement de la licence de TQS devant le CRTC. Pour en lire plus...
  12. Le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes entame des consultations sur le renouvellement de la licence de la chaîne privée, qui compte se départir de ses salles de nouvelles d'ici l'automne prochain. Pour en lire plus...
  13. Montréal, le 13 décembre 2007 - Le maire de Montréal, monsieur Gérald Tremblay, et le maire de l'arrondissement de Rosemont—La Petite-Patrie, monsieur André Lavallée, sont heureux d'annoncer qu'une nouvelle bibliothèque publique sera construite sur les terrains des anciens ateliers municipaux Rosemont. Il s'agit d'un investissement total de 12,5 M$. « Les bibliothèques représentent en quelque sorte le cœur d'un quartier. Véritables lieux de rencontre, elles donnent à ceux qui les fréquentent accès à la culture et au savoir. Ces lieux de convergence sont une porte d'entrée sur le monde et sur toute l'histoire de l'humanité. Quand on entre dans une bibliothèque, les frontières du monde et du temps tombent. La construction de cette nouvelle bibliothèque démontre, encore une fois, que notre administration est résolue à consolider Montréal comme ville de savoir et comme métropole culturelle », a déclaré le maire Tremblay. Après avoir augmenté de façon significative les heures d'ouverture des 44 bibliothèques publiques puis procédé à l'harmonisation des systèmes informatiques, cette nouvelle bibliothèque représente un pas de plus dans la réalisation du plan de consolidation du réseau de bibliothèques publiques de Montréal, mis de l'avant depuis 2005. « Ce projet répond à un besoin clairement exprimé par la population de Rosemont—La Petite-Patrie, soit celui d'avoir accès à des lieux de savoir et de culture dans leur quartier. La future bibliothèque qui sera érigée dans l'environnement immédiat du métro Rosemont, pourra ainsi desservir un important bassin de population, et plus particulièrement les familles du quartier. Cette annonce constitue un pas en avant très significatif par rapport au plan de développement culturel de l'arrondissement adopté l'an dernier », de se réjouir monsieur Lavallée. Une bibliothèque adaptée aux familles Le concept de famille guidera la conception de cette bibliothèque, ses aménagements et ses services. La vocation familiale sera perceptible dans plusieurs choix de la bibliothèque : des espaces spécifiques seront aménagés pour les adultes, les adolescents et les enfants; une répartition différente accordera une importance particulière aux enfants et l'aménagement sera adapté aux besoins de la clientèle famille (tables à langer, emplacement pour les poussettes). Quant aux adultes et adolescents, ils pourront profiter de salons de lecture, de sections d'écoute et de petites salles fermées pour le travail en équipe. Une salle multimédia sera également aménagée. Finalement, les programmes d'animation et de médiation culturelle seront adaptés à la clientèle. Plan de consolidation des bibliothèques publiques de Montréal Depuis 2005, la Ville de Montréal a entamé un important plan de consolidation des bibliothèques publiques. Ainsi, la gratuité a été instaurée partout et 4,7 M$ sont investis de façon récurrente afin d'augmenter les heures d'ouverture jusqu'à un minimum de 53 heures par semaine dans chacune des 44 bibliothèques publiques de Montréal. De plus, la Ville a investi quelque 4,5 M$ pour l'harmonisation des systèmes informatiques. Récemment, la Ville lançait un site Internet amélioré comprenant le catalogue Nelligan qui permet désormais aux citoyens d'accéder aux plus récentes technologies de l'information, et ce, à partir de leur bibliothèque de quartier.
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