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  1. Publié le 27 avril 2009 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Budget 2008 de la fête du Canada: 85% au Québec Malorie Beauchemin La Presse (Ottawa) Tant sous les conservateurs que sous les libéraux, le Québec continue d'être inondé d'argent pour célébrer la fête du Canada. L'an dernier, c'est 3,2 millions de dollars qui ont été accordés à la Belle Province par Patrimoine Canada pour financer le comité Le Canada en fête, responsable des festivités, selon des documents obtenus grâce à la loi d'accès à l'information. Or, le budget total du Ministère pour tous les comités des 10 provinces et trois territoires s'élève à 3,77 millions. L'Ontario, en comparaison, a reçu 100 000$ de Patrimoine Canada pour son comité Le Canada en fête, l'Alberta, 50 000$, le Yukon, 20000$ et l'ensemble des régions de l'Atlantique, un total de 196 000$. Le Québec retire donc à lui seul 85% de l'enveloppe, soulevant la grogne, de nouveau, des souverainistes. «C'est 85% qui va au Québec, mais c'est pour 100% de propagande», estime Carole Lavallée, porte-parole du Bloc québécois sur les enjeux touchant le ministère du Patrimoine canadien. «Normalement le Québec a de la difficulté à avoir sa juste part dans les différents programmes, ajoute-t-elle. Encore récemment, on le voit concernant l'harmonisation des taxes, le Québec n'a pas sa part, on réclame des milliards au fédéral. Le seul moment où on a plus que notre part, une part injuste, c'est quand ils veulent fêter le Canada.» À Patrimoine Canada, on explique que le Québec bénéficie de la contribution la plus élevée parce que le comité «organise des activités dans 29 villes importantes d'un bout à l'autre de la province, en plus d'accorder des subventions et des contributions pour des célébrations communautaires», indique le document obtenu par La Presse. D'autres événements Au bureau du ministre du Patrimoine, James Moore, on rappelle par ailleurs que le comité Le Canada en fête au Québec contribue aussi au financement des célébrations entourant d'autres événements, dont la Saint-Jean-Baptiste, le 24 juin, et la Journée nationale des Autochtones, le 21 juin. «C'est la seule province où ça fonctionne de cette façon», souligne Deirdra McCraken, porte-parole du ministre. Pour le Bloc québécois, l'enjeu revient continuellement, peu importe le gouvernement en place. «Les conservateurs et les libéraux, sur le plan de la propagande fédéraliste, sont pas mal à égalité. Il n'y a pas de différence, soutient Carole Lavallée. Ils essaient de nous faire avaler le drapeau du Canada de force dans la gorge comme on gave des oies. Ils doivent bien s'apercevoir que ça ne fonctionne pas.» Le gouvernement libéral, en 2005, a réduit le budget total des comités des célébrations du Canada de 4,9 à 3,7 millions, et la contribution attribuée au Québec est passée de 4,5 millions à 3,2 millions, «afin que des fonds puissent être répartis à d'autres provinces et territoires», stipule le document. Mais dans les faits, le budget des autres provinces et territoires n'a été augmenté que de quelques milliers de dollars, selon les chiffres de Patrimoine Canada. Le budget pour les fêtes de cet été est actuellement en cours d'approbation, note-t-on au Ministère. Avec la collaboration de William Leclerc
  2. Le groupe pétrolier a annoncé mardi une récompense pouvant aller jusqu'à 500 000 dollars pour trouver le ou les auteurs d'actes de sabotage sur un de ses gazoducs. Pour en lire plus...
  3. MARCHÉ IMMOBILIER Plateau: le marché ralentit, les prix se maintiennent Publié le 7 janvier 2009 à 11:03:51 | Mis à jour à 13:26:22 La Presse Le marché immobilier du Plateau Mont-Royal montre des signes de ralentissement. «On sent que les acheteurs sont hésitants. Ils ont un peu plus de choix, font moins de compromis qu'au temps où les propriétés se vendaient en deux semaines», constate René Legault, directeur du Groupe Le Pailleur. «C'est moins un marché de vendeurs», dit-il. L'agent Pascal Atlan-Wallet du Groupe Sutton Immobia est très surpris que les prix se maintiennent, dans ce contexte. «La demande est là pour des cottages sur le Plateau, rénovés et de bon goût. En bas de 600 000$, ça se vend très bien», dit-il. Un cottage de 1800 pieds carrés qu'il a vendu 525 000$ en décembre 2007 vient d'être revendu 564 000$, douze mois plus tard, rue Garnier. Ces jours-ci, on peut trouver un cottage pour 425 000$ - à rénover, précise René Legault - et un appartement de deux chambres à coucher pour environ 225 000$, 275 000$ et plus si celui-ci a été rénové. Agrandir Agrandir La superficie habitable de l'appartement est de 1001 pieds carrés. Photo Alain Roberge, La Presse Toujours dans le Plateau, un condo coûte grosso modo de 250$ à 300$ le pied carré, estime Pascal Atlan-Wallet. Plusieurs variables déterminent bien sûr le prix, comme le voisinage, l'étage, la présence ou non d'une terrasse, d'un stationnement, le design... Un exemple? L'agent Pierre Viens, de La Capitale du Mont-Royal, demande 319$ le pied carré pour cet appartement situé rue de la Roche. Superficie habitable: 1001 pieds carrés. Outre sa localisation à 100 mètres de l'avenue du Mont-Royal, cette copropriété présente deux atouts «vendeurs»: un aménagement intérieur conçu par un professionnel, et une succession de fenêtres en forme de «V» arrondi. Orientées au sud, au sud-ouest et à l'ouest, ces fenêtres éclaircissent trois des cinq pièces. Les planchers craquent. L'immeuble date de 1900. C'est en 1995 que cet appartement, au deuxième, a été rénové. L'intérieur a été dessiné et aménagé par le designer Richard Bélanger. Deux cabinets sont encastrés au salon et dans la salle à manger. Le premier incorpore un plan de travail et une bibliothèque. Le deuxième, un vaisselier, est surmonté de deux spots encastrés au plafond. Son dosseret argenté et texturé réfléchit la lumière. Petite, la cuisine peut loger une petite table et deux ou trois chaises. Les deux chambres se trouvent du côté de la rue de la Roche. L'une d'elle a un balcon. Les fenêtres sont oscillo-battantes. La chambre principale possède une penderie. À noter: les portes sont pleine hauteur, mettant en valeur les neufs pieds et demi de plafond. Il y a un autre balcon, accessible de la cuisine, et un espace de stationnement via la ruelle. Ceux qui ne peuvent pas s'offrir le Plateau se tournent apparemment vers Villeray et La Petite-Patrie, incluant la Petite Italie. Mais pas Outremont, d'après l'expérience de René Legault: «Les gens (dans le Plateau) aiment ce style de vie-là, par exemple ceux qui n'ont pas de voiture et qui veulent un endroit pour leur bicyclette (...) même s'ils sont un peu plus tassés (qu'à Outremont).» La propriété en bref Prix demandé : 319 000 $ Évaluation municipale : 158 300 $ Nombre de pièces : 5 Salle de bains : 1 Impôt foncier : 1621 $ Taxes scolaires : 363 $
  4. Des emplois en usine qui rapportent moins qu'ils ne coûtent? 17 octobre 2008 - 06h00 La Presse Pour la plupart des économistes, le Québec ne gagne rien en vendant son électricité pour faire des lingots d'aluminium à 4 cents le kilowattheure alors qu'il en coûte le double pour développer des nouveaux projets hydroélectriques et que cette énergie pourrait être exportée sur les marchés voisins à 10 cents le kilowattheure. Ce choix politique équivaut à subventionner les emplois dans les alumineries, font valoir par exemple les économistes Gérard Bélanger et Jean-Thomas Bernard, qui ont examiné l'équation. Ils estiment le coût de cette subvention à 175 000$ par emploi par année. C'est comme si tous les clients d'Hydro-Québec - les contribuables québécois - se cotisaient pour permettre à une aluminerie de créer des emplois à 100 000$ par année à un coût de 175 000$. À une époque où la pénurie de main-d'oeuvre menace l'économie et que l'énergie renouvelable prend de la valeur partout dans le monde, il ne faut pas s'étonner de la controverse. Il faudrait chercher longtemps pour trouver quelqu'un à Deschambault qui croit que les emplois de l'aluminerie sont subventionnés et que l'économie du Québec se porterait mieux sans eux. «C'est vrai qu'on pourrait vendre cette électricité deux et trois fois plus cher mais après, on fait quoi? demande Claude Fiset, un aubergiste qui bénéficie grandement de la présence d'Alcoa. Si on s'en sert pour créer de l'emploi, il y a des gens qui travaillent, qui dépensent, qui vivent quoi.» Selon Alcoa, l'aluminerie de Deschambault dépense 315 millions par année en salaires, en taxes et en achats de produits et services. Claude Fiset reconnaît que la présence d'une industrie lourde génère des inconvénients, comme de la circulation et des émissions. «Mais je suis d'avis que les avantages sont plus importants que les inconvénients.» La production d'aluminium en lingots emploie 8500 personnes dans une dizaine de fonderies au Saguenay, sur la Côte-Nord et en Mauricie. À Deschambault, près de 600 personnes travaillent chez Alcoa.
  5. Michel Caron a ouvert les pages économiques du journal, hier matin, au retour de vacances. Une mauvaise nouvelle l'attendait: ses placements boursiers avaient chuté de 35 000$. Pour en lire plus...
  6. Voici un excellent article sur la mentalitée Québecoise vis à vis l'Argent! http://www.cyberpresse.ca/article/20080915/CPACTUALITES/809150875/6730/CPACTUALITES Le lundi 15 septembre 2008 Le tabou de la richesse Émilie Côté La Presse Pas facile d'interviewer quelqu'un au sujet de sa réussite financière. Jonathan Brunet a accepté à la condition qu'on ne révèle pas son vrai nom. Il craignait que ses clients aient des pensées du genre: «Toi, t'as de l'argent, pas moi.» Quand il est arrivé à un tournoi de golf au volant de sa première voiture de luxe, Jonathan Brunet a compris: lorsqu'il est question d'argent, mieux vaut rester discret. C'était il y a 13 ans. Le jeune professionnel venait de remplacer sa vieille Honda Civic par une BMW flambant neuve. «Lors du cocktail, ma nouvelle auto est devenue un sujet de conversation, raconte-t-il. J'ai compris qu'il y a des choses qu'on est mieux de garder pour soi.» Ce fut aussi le conseil de son patron de l'époque. «Si t'es beige, les clients aiment ça.» Âgé de 42 ans, Jonathan Brunet travaille dans le domaine des finances. Il est père de deux enfants. Il habite dans un quartier cossu de Montréal. Il possède aussi un chalet pour s'évader de la ville avec sa femme et ses enfants. Le sujet de l'argent est tabou. Surtout au Québec, déplore le professionnel, qui vient d'un milieu modeste. «Dans la communauté francophone, et c'est peut-être un legs religieux, célébrer le succès et le succès financier est presque tabou, dit Isabelle Hudon, présidente de la chambre de commerce du Montréal métropolitain. Mais je dirais que nous sommes passés du tabou à la timidité. Les gens ne se sentent pas coupables, mais ils sont gênés d'en parler et de le démontrer.» Parlez-en à Julie Bourque, mère de famille de 32 ans. Son mari a acheté une entreprise à la fin de sa vingtaine. Depuis, les revenus du couple ont beaucoup augmenté. «On a un petit complexe que ça aille trop bien, confie-t-elle. Nous sommes un peu mal à l'aise avec ça.» Quand elle reçoit à Noël, Mme Bourque marche sur des oeufs. Depuis que des membres de sa famille ont dit tout bas qu'elle en faisait «trop», elle ralentit ses ardeurs quand vient le temps de décorer sa maison et de cuisiner des plats. Cette attitude de sa famille l'attriste. «J'aimerais que tout le monde soit bien, chez nous», dit-elle. «Avec le temps, tu gagnes des connaissances et tu en perds, poursuit Jonathan Brunet. J'ai des amis d'enfance qui n'ont pas eu la même réussite financière que moi mais qui ont réussi dans leur domaine. Il n'y a aucune jalousie, car nous avons vécu des trips qui vont au-delà de tout ça.» Le matin de notre entrevue avec M. Brunet, l'ex-ministre de la Santé, Philippe Couillard, se faisait vilipender dans les médias parce qu'il venait de s'associer à un fonds d'investissement privé en santé. M. Brunet a déploré le traitement réservé à M. Couillard. Selon lui, ce n'est pas l'apparence de conflit d'intérêts qui a dérangé l'opinion publique, mais le fait que le médecin se lie au secteur privé. «Ça ne motive personne, dit-il. Les politiciens ont beau vouloir parler de la création d'une certaine richesse, dans le concret, la culture nivelle par le bas.» Un legs historique L'affaire du «palace» de Pauline Marois a aussi fait couler beaucoup d'encre. La chef du Parti québécois a dû justifier les transactions immobilières qui l'ont menée, avec son mari, Claude Blanchet, à acquérir des terres publiques. Mais dans les tribunes téléphoniques, les gens discutaient davantage de la valeur totale de leur domaine, évalué à 3 millions. L'économiste Pierre Fortin rappelle que la génération des 55-60 ans a été élevée alors que les francophones gagnaient en moyenne les deux tiers du salaire des anglophones. «Il y avait les bons Canadiens français syndiqués et les riches anglophones. Il y avait une habitude de rejeter la richesse.» «Au Québec, nous avons toujours eu une culture très égalitaire, explique-t-il. Nous avons voulu adopter une société où il n'y a pas d'inégalités.» Si beaucoup de leaders d'opinion plus âgés considèrent que «la richesse, c'est méchant», M. Fortin croit que c'est différent pour les générations plus jeunes. Isabelle Hudon comprend que le public sursaute quand un PDG change de poste et qu'on dévoile son salaire annuel. Elle entend souvent: «500 000$, quelle honte!» Mais la présidente de la chambre de commerce du Montréal métropolitain rappelle que le Québec évolue dans un monde compétitif et non «en vase clos». «Il y a un risque afférent aux grandes ambitions, souligne-t-elle. Autant le succès ne me rend pas timide, autant l'échec ne me fait pas peur.» Selon Mme Hudon, c'est une question de culture. «Chez les anglophones, on ne renie pas le succès financier. Mais à ceux qui réussissent, on dit: partagez avec la communauté.» Quand on compare les dons que reçoivent l'Université McGill et l'Université de Montréal, par exemple, on constate que les Québécois francophones donnent moins aux organismes de bienfaisance que les anglophones. Selon l'Enquête canadienne sur le don, le bénévolat et la participation (ECDBP) de 2004, le donateur québécois figure même au dernier rang au pays pour la valeur des dons annuels qu'il verse à des organismes (176$, contre 488$ en Ontario). Quand on se compare... C'est aussi une question de comparaison et de milieu, ajoute Pierre Fortin. Qu'on soit à une réunion d'actionnaires ou à un souper de retrouvailles du secondaire, l'attitude des gens change. «Il y a des gens qui méprisent la richesse et qui sont riches, précise le professeur en économie. Ça dépend avec qui tu te tiens.» «J'ai des amis millionnaires et je ne jalouse pas leur maison, dit pour sa part Julie Bourque. En même temps, c'est peut-être parce que j'ai un certain niveau de vie.» Mais quand la femme de 32 ans lit dans la revue de Martha Stewart que la reine de la maison est «découragée» de devoir refaire la décoration de ses six chambres d'invités, elle se demande pourquoi elle a peur d'en «faire trop» quand elle reçoit sa famille à Noël. Sur ces mots, Pierre Fortin conclut: «La richesse est toujours relative.» Quelques statistiques > 2,7% des familles au Québec ont un revenu annuel total de 150 000$ et plus > 0,008 des familles du Québec ont un revenu annuel total de 225 000$ et plus (environ 8 familles sur 1000) > 0,002 des familles du Québec ont un revenu annuel total de 300 000$ et plus (entre 1,8 et 2,1 familles sur 1000) > 0,0008 des familles du Québec ont un revenu annuel total de 350 000$ et plus (entre 7 et 8 familles sur 10 000) > La proportion de familles canadiennes ayant un avoir net d'un million de dollars et plus est passée de 5% en 1999 à 9% en 2005. Selon Statistique Canada, le cercle des millionnaires canadiens comptait alors 1,1 million de ménages. > À Montréal, les ventes de propriétés de 900 000$ et plus ont grimpé de 14% l'an dernier, selon le rapport annuel des services immobiliers Royal LePage sur les maisons de prestige. > Selon un sondage Ipsos Reid mené auprès de Canadiens bien nantis, près de la moitié d'entre eux citent le travail assidu comme principale raison de leur accession à la richesse, alors que seulement 4% mentionnent le facteur familial. > Un sondage Harris/Décima réalisé auprès de 1000 Canadiens pour le compte de BMO Groupe financier révèle que 46% des répondants considèrent que l'argent est le sujet de conversation le plus délicat à aborder. Source: Institut de la statistique du Québec. Enquête sur la dynamique du travail et du revenu, 2005.
  7. Selon la proposition faite récemment aux créanciers, seulement 860 000$ dollars sont disponibles pour distribution, tandis que le passif dépasse les 87 millions de dollars. Pour en lire plus...
  8. Dans mes rêves, j'habite cette tour...elle est vraiment vraiment belle. Le projet prévoit l'ajout d'un 9e étage sur le dessus, qui sera le penthouse. Il y a présentement une grue sur le site. La construction est donc commencée. ---------------------------------------------------------- Projet : Europa Secteur : Vieux-Montréal Adresse : 750 Places d'Armes Prix : Plus que 3 unités... #31, 1942 pc., 799 000$ #81, 1920 pc., 799 000$ #90, 4000 pc., 2 000 000$ Nombre d'unité : 22 Chambre : 2 Salle de bains : 1+1 Garage : disponible Agent : Mickaël Chaput, agent immobilier affilié Montréal Téléphone : 514.502.7519 Site Web : www.projeteuropa.com ----------------------------------------------------------
  9. Immobilier: la revente s’essouffle à Montréal 3 avril 2008 - 11h03 LaPresseAffaires.com Jean-François Cloutier Après une année 2007 marquée par une croissance dans les deux chiffres, le marché de la revente dans le Grand Montréal a ralenti au cours des trois premiers mois de l’année. Avec 12 138 propriétés vendues au premier trimestre, le recul est de l’ordre de 4%, une baisse que le directeur de la Chambre immobilière du Grand Montréal, Michel Beauséjour, met tout de même en contexte dans le cadre d’un bilan général jugé positif. «La région métropolitaine tire son épingle du jeu, considérant la performance des autres grandes villes canadiennes, comme Calgary et Toronto, qui ont enregistré de plus fortes baisses d’activités depuis le début de l’année», affirme-t-il. Le déséquilibre est prononcé dans les ventes selon le type de résidences. Les condos ont continué d’avoir la cote avec une hausse de 7% du nombre d’unités vendues, pendant que le nombre de maisons unifamiliales chutait inversement de 7%. La vigueur du marché a aussi varié selon la géographie. Dans le secteur Vaudreuil-Soulanges, les ventes sont demeurées stables, alors qu’on enregistrait sur la Rive-Sud et l’île de Montréal des baisses de 2 et 3%. La banlieue nord a fermé la marche avec de plus fortes baisses de 6% pour Laval et de 8% pour la Rive-Nord. Encore un marché de vendeur Au même moment, le prix médian des propriétés a continué de grimper, preuve que Montréal reste encore un marché de vendeur. La hausse est de l’ordre de 8%, à 220 000$, pour les maisons unifamiliales, de 6%, à 330 000$, pour les «plex» (2 à 5 logements) et de 4%, à 177 9000$, pour les condos. À noter que la chute du nombre de ventes a été particulièrement prononcée en mars, où elle a été de 7% par rapport à mars 2007. Malgré ce dernier mois difficile et la crise bancaire qui a assombri les perspectives économiques au cours du trimestre, Michel Beauséjour demeure cependant optimiste pour le reste de l’année. «La baisse des taux d’intérêt et le marché de l’emploi solide devraient avoir une incidence positive sur les résultats au cours des prochains mois», prédit-il. source: http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080403/LAINFORMER/80403219/5891/LAINFORMER01
  10. Petite Italie: une autre usine transformée en lofts L'ancienne usine de meubles est de taille modeste. Son apparence massive, son revêtement de brique et sa structure d'acier sont caractéristiques de l'architecture industrielle. Photo François Roy, La Presse Le vendredi 7 mars 2008 Sophie Ouimet-Lamothe La Presse L'Imperia est un nouveau projet de reconversion d'usine en lofts dans l'ancien secteur industriel Marconi-Alexandra, à l'ouest de la Petite Italie. Promoteur : Construction Concept Imperia. Architecte : Colin Fraser de GCA Groupe Conseil Architectural. Nombre d'habitations : 27 lofts (55% sont vendus). Superficie : de 500 à 1100 pieds carrés. Prix : de 125 000$ à 295 000$ (plus taxes); stationnement souterrain optionnel, 20 000$ (plus taxes). Arrondissement : Rosemont-La Petite-Patrie. >> Visitez un loft-témoin du projet L'Imperia en photos. Description : Dans ce bâtiment construit en 1946, tout a été remis à neuf, sauf la structure, les murs extérieurs et le plafond. Les lofts ont tout de même gardé certaines caractéristiques de l'architecture industrielle : plafonds de 11 pieds, fenêtres larges, murs de brique. Certains logements sont sur deux niveaux ou équipés d'une mezzanine. Un ascenseur dessert les trois étages de l'immeuble. Tous les lofts sont climatisés. Livraison : au printemps. À cinq minutes : la station de métro De Castelneau, le marché Jean-Talon et les cafés, épiceries fines et restaurants italiens du boulevard Saint-Laurent. Clientèle cible : les premiers acheteurs, les jeunes professionnels, les couples. On aime : les qualités spatiales intéressantes héritées de l'architecture industrielle (plafonds hauts, grandes ouvertures, matériaux bruts). On aime moins : le projet aurait gagné à conserver davantage du cachet d'origine. Adresse et site internet : 6820, rue Saint-Urbain, entre Beaumont et Saint-Zotique Tél. : 514-293-9088 www.conceptimperia.com http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/articles/7247-Petite-Italie-une-autre-usine-transformee-en-lofts.html
  11. Le Coloniale: là où la ville ne dort jamais Taille du texteImprimerEnvoyer Agrandir L'une des façades du complexe Le Coloniale donne sur la rue Prince-Arthur. Le promoteur promet de ne pas louer à un bar ou à un restaurant le local commercial donnant sur la rue piétonnière. Photo Bernard Brault, La Presse Simon Diotte (collaboration spéciale) La Presse Le complexe immobilier Le Coloniale se trouve au coeur d'un des endroits les plus chauds en ville, à un jet de pierre du boulevard Saint-Laurent. >> Visitez le Le Coloniale en photos. Projet: Le Coloniale, un complexe d'habitation situé au coin des rues Prince-Arthur et Coloniale Promoteur: Projet Le Coloniale Nombre d'habitations: 12 condos. Deux autres unités avec accès direct sur la rue Coloniale peuvent être occupées comme bureau ou appartement, selon les désirs de l'acheteur. Il reste encore quatre logements à vendre. Superficie: de 643 à 1400 pieds carrés. Prix: de 195 000$ à 410 000$ (taxes incluses) Arrondissement: Plateau Mont-Royal Description: Si vous désirez habiter dans un coin super tranquille, Le Coloniale n'est pas pour vous. Ce complexe immobilier se trouve au coeur d'un des endroits les plus chauds en ville, au coin de la rue Prince-Arthur et Coloniale, à un jet de pierre du boulevard Saint-Laurent. Les fins de semaine, ça grouille de monde jusqu'aux petites heures du matin et en été, les terrasses débordent de touristes. Les résidants profitent à la fois du caractère résidentiel de la rue Coloniale et du côté commercial de Prince-Arthur, la seule rue piétonnière à Montréal. Trois appartements possèdent une terrasse privée et l'ensemble des résidants ont accès à une terrasse commune sur le toit. Le bâtiment, qui possède une structure en acier et béton, est équipé d'un ascenseur et d'un système de gicleur. La bâtisse est classée incombustible, ce qui réduit les frais d'assurance. À 5 cinq minutes: cinéma Ex-Centris, carré Saint-Louis, métro Sherbrooke, bars et restaurants à profusion Clientèle cible: les acheteurs sont essentiellement de jeunes professionnels urbains, dont certains étrangers, dit-on. On aime: vivre à proximité de tout On n'aime moins: le bruit de la rue Prince-Arthur Adresse et site internet: 3558, rue Coloniale (coin Prince Arthur), www.lecoloniale.com
  12. 18 septembre 2007 Le mur du Plateau sera végétalisé au printemps 2008. Le verdissement, originalement prévu au montant de 175 225$, coûtera trois fois plus cher, soit 400 000$. Le mur de béton, qui sépare les arrondissements Plateau-Mont-Royal et Rosemont-La Petite-Patrie, a été érigé afin de réduire le bruit des trains pour les résidants du Plateau-Mont-Royal. Tout en réduisant le bruit au sud, ce mur crée aussi un effet de réverbération pour les résidants de la Petite-Patrie, au nord des voies ferrées. Ces derniers se plaignaient de la nuisance acoustique. En pleine campagne électorale, en 2005, le maire de Montréal, Gérald Tremblay, promettait de «stopper» la construction du mur. L'année suivante, le promoteur en achevait la construction sur près d'un kilomètre et d'une hauteur de 4,5 mètres. Au mois de juin 2006, les deux maires des arrondissements, André Lavallée et Helen Fotopulos, annonçaient la végétalisation du mur acoustique. Le couvert végétal embellirait le mur de béton. De plus, des tiges de saule, doublées de vigne, plantées au pied du mur, rendraient impossible l'accès au mur pour les graffiteurs. «La population de l'arrondissement Rosemont-La Petite-Patrie a maintes fois décrié la laideur de la vue du côté de la voie ferrée», précise le sommaire décisionnel. Coût Le coût de 400 000$ sera réparti en trois. Le budget proviendra du Programme triennal d'immobilisation selon la répartition suivante: 50% pour la ville centrale, 25% pour l'arrondissement Rosemont-La Petite-Patrie et 25% pour l'arrondissement Plateau-Mont-Royal. Les travaux seront réalisés par l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal, au printemps 2008. «Les travaux de plantation doivent absolument être effectués d'ici au 15 mai 2008, sinon le succès du projet est compromis», peut-on lire dans le sommaire décisionnel.
  13. à partir de 125 000$ taxes incluses (quoique la plupart des unités oscillent autour de 200 000$) http://www.7225durocher.com
  14. Le MBA de HEC Montréal remarqué par Forbes 27 août 2007 - 12h11 LaPresseAffaires.com Jean-François Cloutier Agrandir Photo HEC Grossir caractèreImprimerEnvoyer Pour la troisième fois consécutive, HEC Montréal figure dans le palmarès biennal des meilleurs MBA hors États-Unis du magazine financier Forbes à paraître cette semaine. var nsteinWords;nsteinWords = unescape('');L’école de commerce montréalaise arrive dernière, au 11e rang sur 11, dans une liste des meilleurs MBA d’un an qui inclut des écoles prestigieuses comme Cambridge, Oxford et l’Insead. Avec HEC Montréal, l’Université Queen’s de Kingston est la seule école canadienne à figurer au classement, une place plus haut que HEC à la 10e place. Le classement de Forbes est basé sur le retour sur investissement obtenu par un étudiant après avoir complété son MBA. Sur la base de questionnaires envoyés à des finissants de la promotion 2002, le magazine a calculé qu’en moyenne l’étudiant inscrit aux HEC faisait 34 000$ par année avant de commencer son programme, et 86 000$ trois ans après l’avoir complété. C’est l’IMD, de Lausanne en Suisse, qui se situe au premier rang. Forbes a calculé que le salaire d’un étudiant «pré-MBA» s’élevait à 70 000$ et passait à 183 000$ deux ans après avoir eu son diplôme. 18 500 diplômés en 2002 de 102 établissements à travers le monde ont été sondés par la revue. Le directeur du MBA pour cadres de l’UQAM, Benoît Bazoge, se défend d’offrir un moins bon MBA qu’HEC. Il explique l’absence de son établissement du classement par le fait que le programme offert est exclusivement en français et est sensiblement différent. L’UQAM offre un MBA dit «executive» qui s’adresse à une clientèle plus âgée qui effectue le programme à temps partiel. Récemment, HEC Montréal s’était aussi classée dans une liste des meilleurs MBA établie par Business Week, où l’école arrivait cette fois au 20e rang sur 20 des meilleures écoles hors États-Unis. Âgé en moyenne de 30 ans, le candidat au MBA chez HEC est généralement issu des filières de l’administration, du génie ou des sciences, et possède une expérience de six ans sur le marché du travail. Kathleen Grant, directrice des communications et du recrutement chez HEC, fait valoir que le retour sur investissement est encore plus grand pour un étudiant québécois. S’il en coûte 21 000$ par année pour un étudiant étranger pour s’inscrire au MBA, les droits de scolarité ne s’élèvent qu’à 5000$ environ pour celui-ci. Le programme de MBA de HEC est offert en français, en anglais ou dans les deux langues. >>> Voyez le classement de Forbes.
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