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  1. A man with a soft spot for Montreal's seafarers He kept a low profile but he was gregarious, a giant of Old Montreal, with a strong feel for its history ALAN HUSTAKThe Gazette Sunday, January 27, 2008 Grant Townsend, who owned a waterfront maritime supply company, was for more than 30 years involved in the direction of Mariners House, a hostel and social centre for itinerant seafarers in Old Montreal. Much more than an active Mariners House board member, he often contributed directly to sailors in need out of his own pocket. Townsend was 92 when he died at St. Mary's Hospital on Jan. 9. "He was a very good money manager. He was very involved in the welfare of Mariners House," said the institution's manager, Carolyn Osborne. "He never wanted to be board president because he was always bucking the board's considered opinion. "When our original building was put up for sale in the 1970s, the board was ready to take the first measly offer it could get, but he insisted they hold out for a much more substantial offer to guarantee the future of Mariners House." Grant William Townsend, the eldest of six children in a ship's chandler's family, was born in Montreal on Sept. 15, 1915, into a long line of seafarers. One of his ancestors was a British navy officer who took part in the siege of Louisbourg in 1758. His grandfather was the captain of a Nova Scotia windjammer. His father, Dudley Roy Townsend, founded the Montreal shipping supply company in 1917 and was Canada's comptroller for shipping supplies during the Second World War. For his contributions he was awarded the Order of the British Empire. Townsend had hoped to enlist in the Royal Canadian Navy during the war, but was rejected because of poor eyesight. Townsend was raised in Westmount and obtained an engineering degree from McGill University in 1950. He worked for Alcan then started a scaffolding company that he owned with a partner until he joined his father's business in 1961. Encouraged by his father, Townsend took an active interest in sailors' welfare and was a fundraiser for the Sailors' Institute. He helped negotiate its 1968 merger with the Catholic Sailors Club, which had been started in 1893, into the non-denominational Mariners House. A gregarious individual with a soft spot for those who worked the waterfront, he often housed as many or six or seven seamen in the second floor of his warehouse. "The work he did was unbelievable, he was always involved in service clubs, like the Rotary Club, and as vice-president of the Ship Suppliers Association. He kept a very low profile," said his widow, Berna Nardin. "He always could work his way around any problem and find a solution. "He was very determined. More than money, he used his influence to get things done. He was soft. He'd often hire people because they needed a job, not because they were necessarily qualified." Townsend's company warehouse in the Gillespie Moffatt building on Place d'Youville stood on the site of a mansion built in 1691 for Louis-Hector de Callière, who was governor of Montreal from 1684 to 1698 and then governor of New France until he died in 1703. Seven years ago Townsend sold the historic property to the Pointe à Callière archeological museum for well below its market value. It was, he said, his gift to the city. The museum plans to incorporate the foundations of the mansion into an expanded $30-million underground gallery. "He adored Old Montreal and was steeped in its history," Nardin said. "Rather than see the building fall into the hands of a developer who wouldn't respect the historic foundations, he wanted it preserved as an archeological site." His first marriage ended in divorce. He is survived by his second wife, Berna Nardin, a former teacher and translator whom he married in 1982, and by the four children he and his first wife adopted. ahustak@thegazette.canwest.com © The Gazette (Montreal) 2008 http://www.canada.com/components/print.aspx?id=d15bfab5-c24f-4c3f-862c-daeb870f75dc
  2. Le lundi 28 janvier 2008 Le Red Light pourrait passer au vert La Société de développement Angus, Fondaction (CSN) ainsi que le propriétaire de la quasi-totalité des bâtiments entre Saint-Laurent, Sainte-Catherine, Clark et René-Lévesque discutent d’un futur pôle vert. Photo Martin Chamberland, La Presse François Cardinal La Presse Le Red Light pourrait changer du rouge au vert d’ici cinq ans. Un projet en cours de négociation vise à transformer le quadrilatère du Monument-National en un îlot consacré au commerce responsable. La Presse a appris que la Société de développement Angus, Fondaction (CSN) ainsi que le propriétaire de la quasi-totalité des bâtiments compris entre Saint-Laurent, Sainte-Catherine, Clark et René-Lévesque discutent activement de ce futur pôle vert. Pour l’heure, le projet consiste en la démolition des édifices, hormis le Monument-National et quelques façades, au profit d’un nouveau complexe étagé. On y retrouverait des bureaux d’entreprises spécialisées dans le domaine de la création (design, architecture, production vidéo, etc.) et, au rez-de-chaussée, des restaurants, des bars et des commerces de produits équitables, biologiques, locaux. «On travaille en effet sur ce projet avec différents partenaires, a confirmé hier Christian Yaccarini, président de la Société de développement Angus. Notre rêve, c’est de faire du commerce responsable une destination en soi.» Bien que la Ville de Montréal soit au courant du projet, que l’on appelle «La rue du commerce responsable», aucun document ou plan n’a encore été soumis. Il s’agit essentiellement de discussions préliminaires. À noter, le projet prévoit également la transformation de la rue Clark en rue piétonnière, avec l’ouverture de façades commerciales du côté est. Cela, croit-on, serait un complément logique au Quartier des spectacles, à l’éventuelle Place des festivals, à la salle de l’OSM et, surtout, à la Maison du développement durable, le futur quartier général des groupes écolos. Mais existe-t-il une offre suffisante dans le domaine du commerce responsable pour remplir le quadrilatère? «En termes de clientèle, oui c’est certain. En terme d’offre commerciale, ce l’est moins. D’où l’importance de développer cette même offre», indique M. Yaccarini. La Société de développement Angus, dont les bureaux se trouvent sur le site du Technopôle Angus à Rosemont, est déjà active dans le secteur puisque c’est elle qui a mis sur papier le projet «2-22 Sainte-Catherine Est;», à la demande de l’arrondissement de Ville-Marie. Il s’agit de ce bâtiment de six étages qui, au coin sud-est de la rue Sainte-Catherine et du boulevard Saint-Laurent, deviendra la porte d’entrée du Quartier des spectacles. On prévoit y installer la «Vitrine culturelle de Montréal», guichet unique de la culture offrant information et billets de spectacles, ainsi que le restaurant Au petit extra, la librairie Olivieri et la station de radio CIBL. Alors que ce bâtiment doit voir le jour dès 2009, le projet de pôle vert est prévu sur un horizon d’environ cinq ans, soit d’ici 2013. Cet échéancier, croit-on, serait suffisant pour s’entendre sur les titres de propriété, déposer un projet formel et convaincre le ministère québécois de la Culture de la pertinence d’une telle transformation de l’îlot. Car, détail important, le quadrilatère en question est en quelque sorte protégé. Le Monument-National étant classé bien culturel par le gouvernement du Québec, tout changement prévu dans un rayon de 152 mètres (500 pieds) doit recevoir l’assentiment du Ministère. Ce n’est pas la première fois que le propriétaire des lieux, Socrate Goulakos, tente de développer l’îlot. En 2001, il avait d’ailleurs dû réfréner ses ardeurs en raison, justement, du statut de protection du Monument-National. Il souhaitait tout démolir en vue de la construction de nouveaux édifices réservés aux organismes culturels. Les promoteurs aimeraient bien que la réalisation de ce projet vienne consolider encore un peu plus la revitalisation du secteur du boulevard Saint-Laurent, entre la rue Sherbrooke et le boulevard René-Lévesque, entamé il y a quelques années. Il a été impossible de joindre M. Goulakos, hier. http://www.cyberpresse.ca/article/20080128/CPACTUALITES/80128278/6737/CPACTUALITES
  3. Laurent Beaudoin n'est pas chaud à l'idée de partager avec Alstom Mise en ligne 25/01/2008 04h00 © Corbis En vidéo, écoutez les explications de Jean-Philippe Décarie, chroniqueur économique au Journal de Montréal Jean-Philippe Décarie Le Journal de Montréal DAVOS | Laurent Beaudoin, le grand patron de Bombardier, n’est pas chaud à l’idée de devoir éventuellement partager le contrat de fabrication des wagons du métro de Montréal avec son concurrent Alstom. Cette solution de compromis, qui a déjà été évoquée pour éviter les délais de réalisation du contrat de remplacement du métro de Montréal, ne semble pas plaire d’emblée au PDG de Bombardier. Mentionnons que, le mois dernier, la Cour supérieure du Québec a donné raison à Alstom qui contestait la décision du gouvernement du Québec d’accorder de gré à gré à Bombardier le contrat du métro de Montréal. Le premier ministre Jean Charest a rappelé, avant-hier à Davos, que Québec va annoncer le 8 février sa décision d’aller en appel du jugement ou de procéder à un appel d’offres en bonne et due forme, comme l’a recommandé le juge Joel Silcoff. « On étudie nos options », a renchéri le ministre du Développement économique, Raymond Bachand. Ce dernier n’a pas voulu indiquer si le gouvernement du Québec favorisait également le partage du contrat entre Alstom et Bombardier. Des délais certains Pour sa part, Laurent Beaudoin n’a fait que serrer les lèvres durant plusieurs secondes lorsqu’on lui a évoqué pareil scénario, avant de répondre : « Je vous avais dit que la contestation judiciaire du contrat par Alstom allait entraîner des délais dans la réalisation du contrat. Ça va être le cas. » Bombardier n’avait jamais commenté la décision de la Cour supérieure du Québec, et Laurent Beaudoin n’a pas voulu le faire, se contentant de constater les effets qu’elle aura. « Le gouvernement va décider s’il va en appel du jugement ou s’il procède par appel d’offres. Dans les deux cas, on parle d’un report d’au moins un an de la production des wagons à La Pocatière. « On avait fait beaucoup de chemin, et presque tous les points du devis du contrat avaient été négociés. » Pas de trêve Quant à enterrer la hache de guerre et tendre la main à Alstom, il s’agit d’un pas que n’est pas prêt à franchir M. Beaudoin. « On a eu un contrat de gré à gré avec Toronto, et il n’y a pas eu de problème », soulève-t-il. Laurent Beaudoin fait aussi observer que lorsqu’elle a obtenu par appel d’offres un important contrat de renouvellement du RER parisien, Bombardier avait offert à Alstom d’y participer. « Alstom devait nous aider et nous offrir de travailler sur le TGV. Elle a décidé d’aller seule avec le TGV et de ne pas participer au contrat du RER », rappelle-t-il. http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2008/01/20080124-222342.html
  4. Québec en a soupé de la fraude dans les restos 26 janvier 2008 - 09h40 La Presse Denis Lessard Dès 2011, tous les restaurateurs devront se conformer à une standardisation des factures. [/url] Une frite, un hot-dog et une eau gazeuse; la petite commande rapide au-dessus du comptoir n'échappera plus jamais à l'oeil vigilant du ministre du Revenu. D'ici un an, les Québécois commenceront à voir apparaître l'empreinte digitale du fisc québécois sur les factures de restaurant. Un sentiment d'urgence s'est emparé du gouvernement Charest dans ce domaine. Il y a deux ans, on estimait que l'évasion fiscale dans le secteur de la restauration atteignait 300 M$ par an, soit 16% des ventes. On a dû revoir ces chiffres à la hausse: une augmentation de 40%, à pas moins de 425 millions. On s'approche du demi-milliard chaque année, dont 140 millions en taxe de vente du Québec. Une telle somme représente l'équivalent des soins de santé pour les résidants d'une ville comme Laval. Ou encore les budgets additionnés de l'Institut de cardiologie et de l'hôpital Sainte-Justine! Facture obligatoire Actuellement, rien n'oblige votre restaurateur à vous donner une facture. Dans un proche avenir, cela va changer. Et la facture «Revenu Québec» n'aura pas l'allure du papier gribouillé que vous remet, parfois, le propriétaire de votre restaurant vietnamien préféré; un code-barres se trouvera en évidence sur ces documents désormais standardisés. Ces changements et quelques autres doivent être annoncés lundi par le ministre du Revenu, Jean-Marc Fournier, dans un point de presse organisé à la réputée Taverne Magnan, à Montréal. Des sources indiquaient hier à La Presse que le ministre aura, pour les 18 000 restaurateurs, un plat de résistance: Québec va payer la facture d'environ 20 millions que nécessitera l'installation de «mouchards», le «module d'enregistrement des ventes», un dispositif électronique relié à la caisse enregistreuse qui permettra d'enregistrer toutes les transactions. Ces appareils ne seront pas reliés en ligne avec le Ministère, mais les inspecteurs du revenu pourront seuls, en se rendant dans l'établissement, avoir accès aux données qu'il contient. Ce processus était déjà promis dans le budget du Québec en 2006. Projet pilote Pour l'heure, le ministre Fournier annoncera un projet pilote: dans les grandes régions de Montréal et Québec, les restaurateurs seront invités à adhérer volontairement à ces nouveaux processus de contrôle, histoire de vérifier si ce qui a été conçu au ministère du Revenu tient la route une fois transposé derrière le comptoir. À partir de cette expérience, un projet de loi sera déposé à l'Assemblée nationale pour remettre au goût du jour les mesures fiscales dans le domaine de la restauration. Dans les prochains mois, le projet pilote devrait être en marche. On vise l'automne 2009 pour mettre en vigueur l'obligation pour tous les nouveaux établissements de brancher les caisses sur les «mouchards». Au même moment, on demandera aussi aux restaurants qui ont déjà été trouvés coupables d'évasion fiscale de se plier aux nouvelles règles. À compter du 1er janvier 2011, tous les restaurants devront avoir leur «module» branché sur leur caisse et se servir des factures à «code-barres» du Ministère. Il y a plusieurs années, le ministère du Revenu du Québec distribuait largement des tablettes de factures, mais celles-ci n'étaient pas obligatoires. C'était en fait un service que rendait gratuitement le Ministère pour aider les commerces à standardiser leur comptabilité. La future facture à signature électronique sera, elle, obligatoire. La possibilité pour un restaurateur de tricher avec l'impôt lui procure un avantage déloyal sur ses compétiteurs. Ces Houdini de la facturation sont souvent aussi des spécialistes du travail au noir, un engrenage qui prive les serveurs et les employés de cuisine des protections minimales quant à leurs conditions de travail. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080126/LAINFORMER/80126022/5891/LAINFORMER01
  5. ¡Cuba! Art and History from 1868 to Today in Montreal, Canada Thanks to the involvement of the Museo Nacional de Bellas Artes and the Fototeca de Cuba, and the collaboration of many collectors and museums in the United States, including the MoMA, this exhibition will draw a broad panorama of Cuban art and history. ¡Cuba! Art and History from 1868 to Today, which brings together some 400 works of art, will be the first exhibition to showcase the art of this Caribbean island, which Christopher Columbus described as “the most beautiful land eyes have ever seen.” This lively and well-conceived multidisciplinary exhibition will bring together about one hundred paintings, including a huge collective mural produced in 1967 by many artists, two hundred photographs and documents, approximately one hundred works on paper (in particular two collections of pre- and post-1959-Revolution posters), some two hundred photographs and documents, installations and videos, in addition to music and film excerpts. Exhibition Summary - This ambitious exhibition will feature the art of Cuba, an island that has witnessed the twentieth-century’s principal historical events (decolonization, the search for a national identity, wars of independence and the Revolution, the building of political utopias and ideological clashes). Located at the crossroads of Old Europe and the New World, Cuba is a rich cultural terrain: its music and literature are well known outside of the country, but the same cannot be said of its visual arts. The exhibition is divided into five sections: Depicting Cuba: Finding Ways to Express a Nation (1868-1927); Arte Nuevo: The Avant-garde and the Re-creation of Identity (1927-1938); Cubanness: Affirming a Cuban Style (1938-1959); Within the Revolution, Everything, Against the Revolution, Nothing (1959-1979); The Revolution and Me: The Individual Within History (1980-2007). The exhibition’s historical narrative will be told through a selection of significant photographs: from those that have never been shown to the iconic, these pictures will illustrate the chronology of events as recorded by remarkable photographers. Within this account will be images illustrating the major chapters in the history of Cuban art, from the nineteenth-century’s wars of independence through to the uncertainties of the future. Throughout the twentieth century, artists engaged in international discourses sought to define a national identity, Cubanidad. Intermingling a re-examination of its colonialist past and openness to the avant-garde, Cuban artists created a profoundly original art of synthesis (Baroque and academic legacies, Spanish and African roots, Catholic and traditional spirituality). Central to the century and the exhibition, with the presentation of twenty paintings, the landmark work of Wifredo Lam will embody this synthesis. At times a vehicle for collective political action and at times a personal expression vis-à-vis history, Cuban art deals with matters pertaining to a sense of place and the role of the artist in society, issues that outstanding contemporary artists continue to explore in relevant ways. The Curators - The exhibition is organized by the Montreal Museum of Fine Art (MMFA) in collaboration with the Museo Nacional de Bellas Artes (MNBA) and the Fototeca de Cuba, Havana. Nathalie Bondil, director of the MMFA, is the general curator of the exhibition, in collaboration with Moraima Clavijo Colom, director of the MNBA, and Lourdes Socarrás, director of the Fototeca de Cuba. The curatorial committee also includes Hortensia Montero Méndez, curator of Cuban art, MNBA; Luz Merino Acosta, technical director, MNBA; Rufino del Valle, curator, Fototeca de Cuba; Iliana Cepero, associate curator, MNBA; Stéphane Aquin, curator of contemporary art, MMFA; and the team of curators of the MNBA. The Catalogue - Under the general editorship of Nathalie Bondil, a 370-page catalogue will be produced by the Montreal Museum of Fine Arts’ Publishing Department. This book, which will include some 450 colour illustrations, is the first publication covering the whole history of Cuban art. It will provide essays by Cuban and international specialists on various aspects of the subject and some 140 biographical notes. It will be published in separate French, English and Spanish editions. Sponsors - In Montreal, the exhibition is presented by Sun Life Financial, in collaboration with METRO. The Montreal Museum of Fine Arts wishes to thank Cubana and media partners La Presse and The Gazette. Its gratitude also extends to Quebec’s Ministère de la Culture et des Communications for its ongoing support. The Museum would like to thank the Volunteer Association of the Montreal Museum of Fine Arts for its invaluable support. It would also like to thank all its Friends and the many corporations, foundations and people who support its mission. The Montreal Museum of Fine Arts’ International Exhibition Programme receives financial support from the Exhibition Fund of the Montreal Museum of Fine Arts Foundation and the Paul G. Desmarais Fund.
  6. Filmmaker is a Montreal wannabe Brendan KellyCanwest News Service Friday, January 25, 2008 MONTREAL -- When the Oscar nominations were announced Tuesday, the Montreal film community was all abuzz about the best animated-short nod for hipsters Chris Lavis and Maciek Szczerbowski and their inspired stop-motion horror flick Madame Tutli-Putli. A little later in the day, talk surfaced that there was another Montrealer in the race in the same category. A few phone calls later, it was ascertained that Josh Raskin -- whose film, I Met the Walrus, is also nominated for animated short at the Oscars -- is in fact a Torontonian. But it's easy to see why some folks think Raskin is from Montreal. On the phone from the Sundance Film Festival, where I Met the Walrus was screening this week, Raskin pretty well pleaded to be considered as a honorary Montrealer. "I think it's easily the best city in North America, except for the 15-month winter," said Raskin. "I worked on a strangely misguided film project (in Montreal) for three months three or four years ago. I've been there at least a few times a year and sometimes for weeks or months at a time. It's really my second home." Raskin has many good pals here, including his longtime friend James Braithwaite, whose striking hand-drawn pen illustrations are showcased in Raskin's five-minute film. The digital animation is courtesy of Alex Kurina. Braithwaite's animation style is reminiscent of the distinctive doodlings of John Lennon made famous in books like In His Own Write and on some of his album jackets. The Lennon homage is no accident -- I Met the Walrus is inspired by an interview with the late Beatle done in Toronto in 1969 by a 14-year-old kid named Jerry Levitan. Levitan, now a Toronto lawyer and the producer of the film, somehow convinced Lennon to do an interview on May 26, 1969, just hours before John and Yoko headed to Montreal for their famous bed-in for peace. For more than 30 years, Levitan didn't do anything with the half-hour interview -- in which the pop-music icon chatted about everything from world peace to George Harrison's place in The Beatles -- though he had plenty of offers from producers hoping to make a film based on the incident. He finally turned to up-and-coming Toronto filmmaker Raskin after seeing some of his animated work. Raskin decided to chop the interview down to just over five minutes and used that as the audio soundtrack for an experimental animation short that mixes the whack-job animation style of Terry Gilliam from Monty Python with Lennon-esque sketches. "Cutting it down to five minutes was easily the hardest part of making the film because everything John said was simple, profound and poetic, and I felt was important for the world to hear now," said Raskin. "It's mostly about peace and what John was up to at the time. But (Jerry) is a 14-year-old kid, so he talks about how he's not too keen on George and he always thought John was the better guitar player. He was probably barely even listening to the answers because he's so overwhelmed. "What I was trying to do with the film was put you inside the head of a 14-year-old starstruck kid interviewing his idol and it's this stream-of-consciousness, free-associative visual interpretation of the words," Raskin said. "The things they're speaking of in the interview are more relevant than they were then," said Braithwaite, who moved to Montreal from Toronto seven years ago to study English lit at Concordia University and now lives and works in Montreal as a freelance illustrator. "We need another John Lennon," added Braithwaite, who is at Sundance this week with his pal Raskin. Lennon was in Canada at the time because the authorities wouldn't let him into the U.S., a state of affairs he weighs in on in the film with some typically barbed social commentary. "War is big business and they like war because it keeps them fat and happy," Lennon tells Levitan. "I'm anti-war. So they're trying to keep me out. But I'll get in because they'll have to own up in public that they're against peace." © Times Colonist (Victoria) 2008 http://www.canada.com/components/print.aspx?id=e8d4ebc6-9c62-42d6-be6a-88532c659e7a
  7. Québec s'attaque à l'évasion fiscale Dernières nouvelles (archives) Le gouvernement du Québec intensifie ses efforts dans la lutte contre l'évasion fiscale dans le secteur de la restauration. Radio-Canada a appris que le ministère du Revenu annoncera lundi le lancement d'un projet pilote pour contrer ce phénomène. Revenu Québec va installer gratuitement un logiciel d'enregistrement fiscal dans une cinquantaine de restaurants pour comptabiliser leurs véritables revenus. Le projet se fera en accord avec l'Association des restaurateurs du Québec. Le gouvernement souhaite que tous les restaurants soient équipés de ce logiciel d'ici 2011. Chaque année, l'évasion fiscale dans le secteur de la restauration prive le trésor public du Québec de 425 millions de dollars. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Politique/2008/01/25/002-Restauration-Fiscal.shtml
  8. en espérant qu'il y a pas de fluides au plutonium dans le sous-sol de cet endroit... tout est possible à Montréal après tout !
  9. Je naisais en passant pour ma tristesse de la coupe d'arbres. Plus du double sera replanter, alors on a pas à chialer. Ben cet été. C'est une étape.
  10. J'ai l'impression qu'on parle de ça une fois par semaine... Et Habsfan va dire que la place de la cité international sera la première, parce qu'elle pourra être construite plus rapidement. Désolé de te voler la réplique habsfan.
  11. J'essaie de trouver de meilleurs renseignements, mais je n'en trouve pas... désolé. L'école de dance contemporaine va se retrouver là finalement. 24 heures
  12. Tout s'explique maintenant : Quartier des spectacles La Société d’habitation et de développement de Montréal (SHDM) doit procéder à des travaux préparatoires pour l’aménagement de la première phasede la place du Quartier des spectacles Montréal, le 7 décembre 2007 – Dans l’objectif de réaliser son mandat d’aménagement de la place du Quartier des spectacles dans les délais, la SHDM devra procéder à des études de sols pour déterminer si des travaux de décontamination sont nécessaires. De plus, avant même de s’attaquer aux travaux de réalisation de la place, la SHDM devra, au cours des prochains jours, procéder à des travaux préparatoires essentiels qui auront pour effet de déplacer certains des arbres qui se retrouvent sur le site. « Ces travaux doivent être réalisés avant la période de gel intense des sols pour permettre de déplacer les arbres qui seront immédiatement transportés sur le site du développement résidentiel Contrecoeur, piloté par la SHDM dans l’est de Montréal », a souligné Frédéric Deslongchamps, directeur, Développement immobilier, à la SHDM. La SHDM est un organisme à but non lucratif qui a pour mission de contribuer au développement du territoire par la réalisation d’interventions immobilières structurantes et entraînantes en visant une autonomie financière. Elle est le bras immobilier de la Ville de Montréal et un partenaire privilégié dans la mise en oeuvre de ses politiques et dans l’atteinte de ses objectifs.
  13. Je crois que je devrais attendre au moment où l'on verra réellement de l'action. (Je crois qu'ils parlaient de cet été) Parce l'immense terrain à côté du pont Jacques Cartier aussi est barricadé et il n'y a plus de projet pourtant... En fait, c'est juste pour pas se faire de fausse joie.
  14. eh tout le monde! Je suis contre ce projet de place des festivals : Ils vont couper les arbres en bordure de l'îlot Balmoral... c'est inaceptable!
  15. HEHEHE!!! Il commence déjà à préparer pour cet été! Merci pour la bonne nouvelle et les photos Miska!
  16. Ok merci. Comme j'avais dit, j'ai relu presque tous les messages du fil. Je ne suis pas du genre a demander avant d'avoir cherché. J'ai vu tes messages, et ton tableau. Le problème était que je n'avais pas vu le sous-titre du tableau qui dit que le classement est fait par espace à louer. Finalement, lac mirabel n'est même pas dans les 15 plus important.
  17. On va simplement tout déplacer vers l'est. C'est pas un projet de ce genre qui va sortir les travailleurs du sexe de leur situation.
  18. J'ai relu beaucoup des messages sur ce fil. Je voudrais juste savoir à quel rang mondial sera le Lac Mirabel une fois complété dans la liste des plus gros centres commerciaux?
  19. Je veux pas trop m'avancer sur un sujet que je connais pas comme les métaux, mais je crois qu'ils décontaminent parce qu'il y a de l'amiante partout dans le bâtiment. Connaissant légèrement ses effets sur la santé, j'imagine que ça doit pas être super bon que de la poussière d'amiante se retouvre dans l'air du quartier. C'est ce que j'ai déduit, mais je ne connais rien vraiment sur le sujet.
  20. Mise à jour: 24/01/2008 09:45 Montréal Des quartiers seront refaits(Journal de Montréal) André Beauvais Journal de Montréal Des investissements privés qui atteindront près d'un milliard de dollars permettront la construction de 3000 nouvelles unités de logement et des centaines de commerces qui changeront le visage du pourtour de la station de métro Rosemont. «Nous allons refaire des quartiers complets de la ville en périphérie de la station de métro Rosemont. Il y a un potentiel minimum de 3000 nouveaux logements sur trois grands emplacements», a déclaré le maire Gérald Tremblay au Journal de Montréal. Dans une entrevue qui a suivi sa conférence de presse pour annoncer le redéveloppement du secteur Saint-Viateur Est, Gérald Tremblay a expliqué que «c'est plus que des promesses puisque des sommes d'argent importantes sont déjà engagées dans deux des secteurs visés». Le maire avait convoqué les médias hier pour annoncer le redéploiement des quartiers formant le secteur Saint-Viateur Est, compris entre le boulevard Saint-Laurent, la rue Laurier, la rue Henri-Julien et bordé au nord par la voie ferrée du CN. Le potentiel de développement dans ce secteur se situe entre 250 et 300 M$, selon le maire. Il se trouve à une centaine de mètres de la station de métro à laquelle il sera lié par une passerelle au-dessus de la voie du CN. «Le redéploiement du plus grand secteur de la station de métro, poursuit Gérald Tremblay, est le site du 6000 Saint-Denis où l'ex-gouvernement péquiste voulait construire le CHUM.» Le maire croit que le potentiel minimum de ce site est de 2000 logements et que les investissements totaux pourraient dépasser les 500 millions de dollars. Rosemont passe à l'action Pour sa part, le maire de Rosemont-Petite- Patrie, André Lavallée, a confirmé au Journal que l'arrondissement passera à l'action bientôt. Il a soutenu qu'il fera une annonce importante dans trois semaines, relativement à ce projet. Le troisième secteur en voie de développement est celui des anciens ateliers municipaux, boulevard Rosemont à l'est de Saint-Denis. La Ville est très avancée dans ce projet de redéveloppement qui dépassera les 100 M$. «Il sera possible de construire au moins 500 logements sur ce site», affirme le maire. Tous ces projets font partie du redéploiement de Montréal dont tous les grands projets totalisant des milliards de dollars sont regroupés sous le vocable Montréal 2025 qui englobe entre autres les projets dans Griffintown, le Quartier des spectacles, la Cité du Havre, le CHUM et plusieurs autres. http://www2.canoe.com/cgi-bin/imprimer.cgi?id=340760
  21. TransGlobe achète 45 immeubles locatifs à Montréal 23 janvier 2008 - 06h22 La Presse Laurier Cloutier L'ontarienne TransGlobe entre en force au Québec par l'achat d'un seul coup de 45 immeubles locatifs dans la région de Montréal, dans l'arrondissement de Saint-Laurent et à Longueuil. En tout, plus de 1300 appartements aux loyers abordables. Le marché de Montréal est attrayant dans les immeubles locatifs, avec des rendements financiers qui s'annoncent prometteurs, explique à La Presse Affaires Anita Walicki, directrice régionale de TransGlobe Property Management Services depuis octobre dernier. TransGlobe vient sans doute de réaliser la plus importante transaction du secteur dans la région depuis l'acquisition en 2002 de 3450 logements, à L'Île-des-Soeurs et à Québec, par Boardwalk Equities, de Calgary. Anita Walicki ne peut cependant le confirmer, mais assure que TransGlobe garde les yeux ouverts pour une autre acquisition, une fois l'actuelle digérée. La directrice régionale ne veut pas, par ailleurs, préciser le prix payé au vendeur, l'entreprise Capreit, qui possède des immeubles locatifs dans plus de 50 villes nord-américaines. Les prix de location commencent à 550$, selon elle, dans les immeubles acquis qui sont en bonne condition, mais qui profiteront immédiatement d'un programme de rénovations de 5 millions de dollars. Les travaux porteront sur les parties communes des immeubles et sur un certain nombre d'appartements, de même que sur le remplacement des systèmes de chauffage et d'éclairage grâce à des solutions éconergétiques. Programme d'expansion TransGlobe est l'une des grandes sociétés de gestion immobilière qui connaissent une croissance rapide au Canada. L'entreprise a adopté un programme d'expansion au pays et, après son entrée au Québec, elle veut y investir davantage, assure-t-elle. Le portefeuille immobilier de TransGlobe comprend déjà 26 000 logements locatifs et plus de 5,2 millions de pieds carrés de locaux commerciaux. Les propriétés acquises dans l'arrondissement de Saint-Laurent et à Longueuil comprennent de petits immeubles locatifs bien entretenus et bien situés, selon le président de TransGlobe, Daniel Drimmer. Le marché du Québec offre une excellente plateforme de croissance, dit-il. La région de Montréal comprend 480 000 logements locatifs et constitue le plus gros marché de ce secteur au Canada, mais la demande demeure élevée, dit-il. À Longueuil, TransGlobe met la main sur des propriétés situées chemin Chambly, près du centre commercial Place Désormeaux. Les immeubles font partie des complexes Jardin sur le Parc et Complexe sur le Parc. Dans l'arrondissement de Saint-Laurent, les acquisitions portent surtout sur des propriétés situées boulevard Côte-Vertu et dans le secteur Bois Franc. Elles comprennent huit immeubles de trois à quatre étages, de même qu'une tour de 12 étages rue Laframboise. TransGlobe possède des immeubles industriels, commerciaux et résidentiels dans sept provinces canadiennes et assure qu'elle mise sur le service à la clientèle. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080123/LAINFORMER/801230912/5891/LAINFORMER01
  22. Montréal welcomes PaperWeek International 2008 from February 5 to 7 MONTREAL, Jan. 24 /CNW Telbec/ - From February 5 to 7, Montréal will host the 94th annual meeting of the Canadian Pulp and Paper Technical Association of Canada. This year also marks the 50th anniversary of Exfor, the world's principal annual exhibition of the pulp and paper industry. These two events, both to be held at the Palais des Congrès, will bring together over 2 000 delegates and 250 exhibitors to interact, share ideas and discuss, among other things, new technological advances, marketing trends and environmental challenges faced by the pulp and paper industry. '"We are extremely pleased to once again host this prestigious conference this year," comments Charles Lapointe, President and CEO of Tourisme Montréal, "We are particularly proud that PAPTAC members chose our city for the 50th anniversary celebration of Exfor. This choice confirms Montréal's excellent reputation as a host city for large-scale, professional events. In addition to the delegates having the opportunity to discover our wonderful city, this major event will result in an economic fall-out of $4.1 million for Montréal's tourism sector" concludes Mr. Lapointe. The three-day programme includes approximately 200 technical presentations to be given by industry specialists through the course of thirty sessions. Topics will include research and development, quality control, manufacturing processes, recycling and energy sources. New to the programme this year is the Business section, which will discuss the actual state of the industry, globalization and supporting innovation. PAPTAC is a Canadian-based, non-profit organization, dedicated to improving the technical and professional capabilities of its members worldwide, and to the advancement of the pulp and paper industry. Tourisme Montréal is responsible for providing leadership in the concerted efforts of hospitality and promotion in order to position the destination on leisure and business travel markets. It is also responsible for developing Montréal's tourism product in accordance with the ever-changing conditions of the market. For further information: Pierre Bellerose, Vice President, Public Relations, Product Research and Development, Tourisme Montréal, (514) 844-2404, bellerose.pierre@tourisme-montreal.org
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