Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'rire'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

12 résultats trouvés

  1. On peut bien accuser MacLeans ou Financial post de faire du Québec bashing, mais on s'aide pas non plus avec des situations de ce genre! Je suis entièrement d'accord avec le fait de vouloir protéger le français, mais faut pas exagérer non plus! Campagne promotionnelle du Village Le «franglais» ne fait pas rire La dernière campagne promotionnelle de l'arrondissement de Ville-Marie ne fait pas rigoler tout le monde alors que des affiches placées sur la rue Sainte-Catherine Est, dans le Village, invitent les passants à rire «en franglais». «Mangez indien, recevez un massage suédois, riez en « franglais» et finissez avec une poutine italienne», peut-on lire sur les affiches déployées depuis le 9 juin dernier. Les défenseurs de la langue française y voient une situation qui est non seulement provocante, mais également inacceptable. «C'est un signal d'alarme puisque le terme est institutionnalisé. Une administration l'utilise pour faire la promotion de son quartier et ça soulève un questionnement quant à la dégradation de notre langue», a mentionné Christian Rivard, président par intérim du mouvement Québec français. Clin d'œil à Sugar Sammy L'arrondissement de Ville-Marie soutient que la campagne vise à mettre en valeur le caractère unique et festif du centre-ville. L'administration municipale mentionne avoir collaboré avec les Sociétés de développement commercial (SDC) sur son territoire pour la conception de ces affiches. Le «riez en franglais» n'apparaît donc que sur les affiches du Village. Ailleurs, on retrouvera plutôt: «Regardez un film bulgare». «Le terme fait référence au spectacle de Sugar Sammy (You're gonna rire et En français svp) présenté à l'Olympia», a expliqué Anik De Repentigny, chargée de communication à l'arrondissement de Ville-Marie. Sur les réseaux sociaux, les images de ces affiches provoquent de vives réactions depuis les derniers jours. L'arrondissement de Ville-Marie assure toutefois qu'aucune plainte à ce sujet n'a été reçue, au contraire dit-on la campagne est «très bien reçue par le public». Aspect provocateur Des passants rencontrés à proximité de l'Olympia où se retrouve une des affiches étaient pour la plupart peu interpellés par le message sur celles-ci. L'un confie ne pas avoir fait le lien avec le spectacle de Sugar Sammy. Une autre dame quant à elle estime qu'il faut arrêter de voir le terme comme une provocation. «Ça fait partie de la réalité de Montréal, je ne me sens pas heurtée», a commenté Laurie Côté. http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/regional/montreal/archives/2014/07/20140730-063447.html
  2. Le festival Juste pour rire se décline en version bruxelloise « Juste pour rire » et « Kings of comedy » ont présenté, jeudi après-midi, au Kings of comedy club à Ixelles, leur refonte du Brussels comedy festival dans la formule internationale de « Juste pour rire ». Du 27 avril au 12 mai prochain, les nouveaux talents belges seront mis en lumière par des vedettes francophones du rire au Cirque royal, au théâtre 140 et au théâtre Saint-Michel. Le Kings comedy club accueillera, en seconde semaine, des artistes de la nouvelle vague québécoise. La troisième édition du Brussels comedy festival adopte le nom « Juste pour rire Brussels » pour 2013. Gilles Morin, fondateur de « Kings of comedy », a l’ambition de pousser les humoristes belges sur le devant de la scène francophone internationale et rêve « un cirque du soleil du rire dont l’énergie rayonne hors des frontières ». http://www.lesoir.be/141800/article/actualite/fil-info/2012-12-20/festival-juste-pour-rire-se-d%C3%A9cline-en-version-bruxelloise
  3. http://www.lapresse.ca/vivre/cuisine/restaurants/201205/04/01-4522129-la-restauration-mobile-demenage.php
  4. Gros lancement de la dernière saison de Man Men au réseau AMC aux USA et le Québec était tout à l'honneur. La québécoise Jessica Paré a fait tout un splash en dansant sur la chanson "zoubizoubizou" (à la St-Tropez). J'ai éclaté de rire lorsque son personnage lâcha un puissant "Câlice!!!" dans une scène. Disons que son personnage est plutôt "penchée" vers la chose. Bien sûr, elle parle français!
  5. Festival Zoofest 17/07/2009 Une controverse linguistique vient assombrir les festivités entourant les festivals Juste Pour Rire et Zoofest. Un artiste anglophone a décidé, hier après-midi, de mettre la clé dans la porte de son théâtre, après avoir insulté et provoqué la colère de francophones qui demandaient à recevoir des informations en français. Eric Amber, qui a ouvert le Theatre Ste.Catherine en 2004, s’est retrouvé dans la tourmente à cause de deux courriels et de quelques gros mots anglais à quatre lettres. L’histoire a débuté par un envoi massif d’un courriel – en anglais seulement– décrivant la programmation du Zoofest au Theatre Ste. Catherine. «Tout ce que nous avons demandé, très poliment, c’est que nous voulions recevoir les courriels en français et que, si ce n’était pas possible, que nous souhaitions être retirés de leur liste d’envoi», explique Jacob Brind’amour, de la compagnie de théâtre trifluvienne Les Sages Fous, qui avait reçu le courriel. «Fanatique sans éducation» Pour toute réponse, il s’est fait traiter de «fanatique sans éducation» avant de se faire envoyer promener crûment dans la langue de Shakespeare. «Est-ce que vous comprenez l'expression anglophone: Go Fuck Yourself?», leur a écrit M. Amber. Choquée de cette réponse, la collègue de M. Brind’amour, elle-même anglophone d’origine américaine, South Miller, a répondu en anglais, par un courriel plus long (voir échange de courriels). Une fois de plus, elle s’est fait envoyer paître. Rencontré hier après-midi, le propriétaire du Theatre Ste. Catherine (TSC) a expliqué, en français, qu’il s’agissait d’un «gros malentendu». Eric Amber dit avoir reçu plusieurs courriels «agressifs» à la suite de cet envoi en anglais seulement de sa programmation. «Je me suis fait traiter de “sale Anglais juif ”. Je me suis senti insulté et j’ai répondu comme ça», explique M. Amber, un homme de théâtre né d’une mère francophone et d’un père immigrant et qui a grandi en Alberta avant de s’installer à Montréal. Le Journal a voulu voir les courriels «agressifs» en question, mais Eric Amber n’a pas voulu nous les montrer, de peur de mettre de l’huile sur le feu. Les deux artistes des Sages Fous, quant à eux, assurent ne jamais avoir insulté qui que ce soit. Un peu plus tard en fin d’après-midi, le proprio du théâtre a mis la clé dans la porte de son établissement en signe de protestation contre la montée du racisme et de l’intolérance à Montréal. «En raison du racisme et de l’intolérance écrasants de la société francophone au Québec à l’endroit des minorités et des cultures non francophones, le Theatre Ste. Catherine va fermer ses portes en signe de protestation», peut-on lire en anglais dans un courriel envoyé par le TSC. La fermeture sera effective le 21 décembre prochain. Juste Pour Rire s’en dissocie Sylvie Simard, responsable des médias pour Juste Pour Rire, n’entendait d’ailleurs pas à rire, hier. «Évidemment, nous nous dissocions de ces propos qui sont des bêtises gratuites. En 27 ans, au Festival, il n’y a jamais eu d’irrespect envers qui que ce soit. Nous allons parler aux gens du Theatre Ste. Catherine», a-t-elle réagi. L’ÉCHANGE DE COURRIELS 1er courriel: « Bonjour, Merci de nous envoyer vos messages en français ou de nous retirer de votre liste d'envois. Les Sages Fous» 1ère réponse: « The shows listed were in english and therefore so is the message. You obviously can't read in english because you are an uneducated bigot. Est-ce que vous comprenez l'expression anglophone: Go Fuck Yourself?» 2ème courriel: «Hello, [...] Your response is an incredibly inappropriate, ugly and aggressive message. [...] It seems that it is you the bigot. We, at Les Sages Fous all speak at least three languages, have travelled the world and are obviously more educated and open minded than you. I myself am one of the few anglophones who proudly speaks french in a continent that insists on being monolingual. [...] [...] Ever thought of moving to Georgia Back woods Texas? They like people like you down there. [...] South Miller, Les Sages Fous» 2ème réponse: «just delete the message and move on with your life. ps: fuck you» © Le Journal de Montréal
  6. Source: Cyberpresse (Chicago) Gilbert Rozon va frapper un autre grand coup dans le monde du spectacle. Le Groupe Juste pour rire discute avec le géant de l'humour américain, Second City, de son installation permanente à Montréal. Déjà implanté à Los Angeles et à Toronto, en plus d'offrir de la formation dans plusieurs autres villes, le groupe de spectacles d'humour de Chicago, qui a lancé les carrières des John Belushi, Dan Aykroyd, Bill Murray, Mike Myers et Steve Carell, entre autres, trouvera sa niche montréalaise dans l'édifice du Musée Juste pour rire. «Nous représentons les deux plus grandes marques en humour dans le monde. On se connaît depuis longtemps et on discute depuis des mois. Nous en sommes présentement à monter le plan d'affaires», a confirmé le fondateur de Juste pour rire, Gilbert Rozon, en visite à Chicago pour la présentation du premier festival Just for Laughs dans la Ville des vents. 50 ans d'humour Le groupe Second City fête ses 50 ans cette année en présentant au Festival Juste pour rire, à partir du 14 juillet, une primeur mondiale intitulée Rêverie. Ce spectacle de près de 80 minutes d'humour non verbal mêle comédie, danse, acrobatie et pantomime. Le grand manitou du rire montréalais explique que son groupe continuera d'archiver et de conserver tout ce qui a trait à l'humour, mais qu'il fera la demande d'un changement de vocation pour l'édifice du Musée. «On n'est pas vraiment des muséologues, notre truc c'est le spectacle, alors cette nouvelle association nous ramène à notre vocation première», résume Gilbert Rozon. Second City vient à Montréal pour faire ce qu'il fait à Chicago depuis 1959: des spectacles, des sketchs, de l'improvisation et, éventuellement, de la formation, autant en anglais qu'en français. Il s'agit toutefois d'un plan à long terme qui ne se fera pas en criant improvisation mixte. «Nous allons prendre le temps de bien faire les choses. Ça fait longtemps que nous voulons travailler ensemble, nous avons accumulé peut-être 800 projets depuis le temps!» lance en rigolant Kelly Leonard, vice-président du groupe The Second City, qui a offert une visite de ce haut lieu de l'humour américain à <i>La Presse</i>. Le siège social de Second City à Chicago est un vaste complexe sur plusieurs étages qui comprend deux salles de spectacles de 290 et 180 places. On y trouve également un centre de formation qui reçoit 2400 étudiants par année et qui possède aussi sa propre scène. «Quand nous sommes entrés dans le Musée Juste pour rire de Montréal, nous nous sommes dit: Wow! ça pourrait être comme ici (à Chicago). À nouveau!» s'emballe Kelly Leonard, également président de Second City Theatricals. «Nous avons, dans le fond, un espace similaire à celui que possède Second City à Chicago, donc c'était un mariage naturel», ajoute Gilbert Rozon. Anglos et francos De son côté, Bruce Hills, président de Just for Laughs, précise que le festival montréalais présente depuis des années déjà beaucoup de spectacles à sketchs à forte saveur Second City. «Le potentiel est là à Montréal, dit-il. Pour Second City, c'est la plateforme parfaite. Naturellement, nous allons réunir nos artistes locaux, anglophones et francophones autour de ce partenariat.» Il souligne que la troupe de Chicago possède également un immense répertoire de comédies, courtes et longues, qui pourraient très bien être adaptées dans la langue de Molière. Gilbert Rozon indique, pour sa part, avoir vu à Édimbourg tous les ans lors du festival Fringe de l'endroit «des artistes britanniques extraordinaires qui pourraient venir en tournée à Montréal». Le théâtre The Second City a ouvert ses portes en décembre 1959 à Chicago avec d'anciens étudiants universitaires en scène. Le secteur télévision a ensuite vu le jour, en 1963. Second City offre des cours pour adultes et des camps d'étés aux enfants, tout en donnant des spectacles à Chicago, Toronto et Los Angeles, et en effectuant des tournées partout en Amérique, mais aussi sur des bateaux de croisière norvégiens!
  7. Un nouveau festival pour Juste pour rire Le Groupe Juste pour rire lancera un nouveau festival cet été. L'événement, qui se déroulera du 10 au 26 juillet, sera axé sur l'humour, la musique, la danse, le cirque et le théâtre. Le nom du festival, qui sera distinct du Festival Juste pour rire, devrait être annoncé le 9 juin prochain, tout comme l'ensemble de la programmation. Ce nouvel événement ciblera un public de 15 à 35 ans et proposera des spectacles dans des petites salles.
  8. Publié le 15 février 2009 à 15h05 | Mis à jour à 15h10 Juste pour rire poursuit son expansion
  9. Juste pour rire habitera l'esplanade de la PdA Fabien Deglise Édition du mardi 22 juillet 2008 Mots clés : Quartier latin, Place des Arts, festival Juste pour rire, Culture, Festival et fête, Montréal Le festival Juste pour rire songe à déménager dès l'an prochain ses amuseurs de rue et ses spectacles en plein air sur l'esplanade de la Place des Arts (PdA), un terrain d'ordinaire occupé pendant l'été par le Festival international de jazz de Montréal et les Francofolies de Montréal. Ce déplacement, souhaité par la Ville, est qualifié de majeur pour la grand-messe de l'humour, qui a passé le plus clair de son existence dans le Quartier latin de la métropole, un endroit où elle aimerait d'ailleurs toujours garder un pied. «Il va falloir regarder comment nous allons pouvoir faire vivre les animations de rue aux deux endroits en même temps sans perdre notre identité, a indiqué au Devoir Gilbert Rozon, fondateur du festival Juste pour rire. Nos équipes de production se penchent actuellement sur cette question et on espère trouver une solution avant la 27e édition du festival, l'an prochain.» Ce changement de cadre urbain pour les activités gratuites de la fête du rire fait suite à une entente intervenue récemment entre Juste pour rire et la Place des Arts. Pendant cinq ans, le festival s'est engagé en effet à présenter à cet endroit la plupart de ses spectacles en salles. «Avec notre présence au Théâtre du Nouveau Monde (TNM), cela vient créer un pôle d'activité dans ce coin de la ville qui peut justifier la présentation de spectacles gratuits sur l'esplanade de la PdA», dit le grand manitou de l'humour au Québec. Autre motivation: la Ville de Montréal souhaite concentrer dans ce secteur les grands festivals qui font vibrer la métropole. L'idée est ainsi de donner vie et de dynamiser le Quartier des spectacles, un concept dont la première phase de construction doit être complétée d'ici la fin de juin 2009. En théorie. Il s'agit de la Place des festivals qui s'apprête à émerger, dans les prochains mois, d'un terrain vague situé à l'ouest de la PDA. Afin de planifier ce déménagement, une rencontre est d'ailleurs prévue la semaine prochaine entre le chef des clowns au Québec et Alain Simard, président de l'Équipe Spectra, l'entreprise qui pilote les festivals de jazz et de la chanson française et qui depuis près de 30 ans s'approprie l'esplanade de la PDA l'été. Dans la chronologie des événements culturels estivaux, Juste pour rire se retrouve entre les deux. Les deux hommes devraient donc évaluer la possibilité de mettre en commun certains équipements techniques destinés à la présentation des spectacles de rue, spectacles qui, dans le cas de l'humour, pourraient bien voir leur forme changer radicalement. «C'est un défi de contenu, indique André Pérusse, responsable de la programmation extérieure du festival Juste pour rire. Pour le moment, nous offrons beaucoup de performances d'artistes en mouvement dans la rue. Sur l'esplanade de la PDA, il va falloir plutôt penser à des rendez-vous fixes, comme nous l'avons fait par exemple cette année avec Caïus [une pièce de Shakespeare présentée dans la ruelle Joly pendant toute la durée du festival]. Il va falloir aussi trouver une façon de faire un lien entre les activités sur la rue Saint-Denis et la Place des Arts», deux secteurs séparés par une station de métro ainsi que par le grand secteur résidentiel du centre-ville, les habitations Jeanne-Mance. «Cela ne va pas être facile», convient M. Pérusse. Une cuvée exceptionnelle La cogitation liée à la refonte en profondeur des activités extérieures du festival Juste pour rire arrive alors que l'événement a complété, dimanche soir dernier, son 26e tour de piste avec la présentation du Grand Charivarir, un grand carnaval estival qui a attiré près de 50 000 personnes dans les rues de la métropole. «L'an dernier, nous avons offert à Montréal un des plus vieux carnavals du monde, celui de Nantes [en France], a indiqué Danielle Roy, la femme derrière ce projet. Cette année, c'est à la naissance du premier carnaval montréalais que nous avons assisté.» Avec ce défilé urbain populaire dans lequel la multinationale du rire a injecté près d'un million de dollars, Juste pour rire espère par ailleurs poser les bases d'un rendez-vous annuel placé sous le signe de la procession divertissante à grand déploiement. Au total, la cuvée 2008 du festival de l'humour a livré aux deux millions de personnes qui, depuis le 10 juillet dernier, y ont participé près de 78 spectacles en salles et 1200 représentations à l'extérieur, ont annoncé hier les organisateurs lors d'une conférence de presse bilan. Ils se sont également réjouis de plusieurs belles prises cette année, comme Les Correspondances de Groucho Marx, mettant sur scène les acteurs français Jean-Pierre Marielle et Pierre Vernier autour des délires épistolaires du comique américain, mais aussi la présentation du Malade imaginaire, de Molière, par la célèbre troupe de la Comédie-Française. «Cette institution n'était pas venue au Québec depuis 25 ans, a résumé Manon McHugh, responsable de la programmation du festival du rire. Ç'a été une grande fierté pour nous de les recevoir dans le cadre du festival Juste pour rire.» Par ailleurs, avec des recettes de 10 millions de dollars générées par la présence de 230 000 spectateurs -- principalement attirés par les galas, ces grandes compilations d'humour sur scène destinées à devenir des émissions de télévision ultrapopulaires le reste de l'année -- Juste pour rire s'est dit totalement satisfait par cette 26e édition de son festival, dont l'impact économique cette année n'a pas été encore calculé. «Toutefois, Tourisme Montréal confirme qu'en 2007 les retombées économiques que le festival a engendrées étaient de 100 millions de dollars, dont 65 millions en retombées touristiques», ont indiqué les organisateurs.
  10. Selon un analyste de l'Institut Fraser, le financement public des événements bien établis, tels le Festival Juste pour rire et le Festival international de jazz de Montréal, devrait être aboli. Pour en lire plus...
  11. Les consommateurs n'entendent pas à rire. Déjà deux recours collectifs concernant les cartels des prix de l'essence ont été déposés hier en Cour supérieure. Pour en lire plus...
×
×
  • Créer...