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  1. La Presse Canadienne . les affaires.com . 14-06-2012 (modifié le 14-06-2012 à 11:57) Québec solidaire a déposé jeudi, à l'Assemblée nationale, une pétition portant 3330 signatures qui vise à protéger les employés des magasins Zellers, la chaîne dont plusieurs magasins porteront bientôt la bannière Target. L'acquisition de plus de 35 magasins Zellers au Québec par la chaîne américaine Target pourrait causer la perte de plus de 5000 emplois en 2012, très majoritairement occupés par des femmes. Target prétend n'avoir aucune obligation de respecter l'ancienneté, les salaires et les avantages sociaux des anciens employés de Zellers, ou de les reprendre à son emploi. Le député de Québec solidaire, Amir Khadir, croit que Target contourne l'article 96 de la Loi sur les normes du travail du Québec qui protège les salariés lorsque les entreprises qui les emploient changent de propriétaire. Il reproche à Target d'affirmer que sa reprise des magasins Zellers ne serait en fait qu'une transaction immobilière. Il réclame donc l'intervention de la ministre du Travail, Lise Thériault. Avec des affaires comme ca, ne venez pas me dire qu'on est a droite au Quebec...
  2. La Presse Le vendredi 02 novembre 2007 Le motel Canada vit ses dernières heures. Comme nous l'apprenait l'émission Infoman la semaine dernière, le gîte du boulevard Taschereau, réputé pour ses chambres thématiques particulièrement kitsch, fermera ses portes le 4 novembre, après 47 ans d'activités. Il a été vendu à une «grosse compagnie» qui n'a probablement pas l'intention d'en faire un musée. L'affaire aurait pu en rester là, si des psychotroniques bienveillants ne s'en étaient pas mêlés. Pressée par Infoman de trouver une solution, l'amazone du kitsch mont- réalais, Roxanne Arsenault, a carrément décidé de lancer une pétition visant à protéger le motel d'une probable destruction. «Le motel Canada n'est pas seulement un des derniers motels de la région métropolitaine, explique Mme Arsenault, qui écrit actuellement une thèse sur le kitsch au Québec. C'est un des rares motels qui s'est donné la peine d'être créatif avec son environnement.» On ne lui fait pas dire. Avec ses baignoires en forme de coeur, ses chambres en rondins style bûcheron, ses lits encastrés dans des bagnoles des années 50 et ses décorations victorienne ou polynésienne, le motel Canada fait effectivement figure d'exception. Sa réputation est largement due à sa décoration unique et farfelue. Sur 53 chambres, l'endroit comprend une douzaine de pièces thématiques, dont sept suites. Mais la valeur du motel Canada ne s'arrête pas là, de dire Roxanne Arsenault. C'est aussi un des derniers îlots de poésie et de folie sur une des artères les plus laides du Québec. «On a intérêt à préserver ce qui reste de beau sur le boulevard Taschereau, estime Mme Arsenault. Ce boulevard, c'est le royaume du stationnement et de l'architecture récente. Tout le monde se demande comment le revaloriser et là, on parle de raser un des seuls éléments historiques, un des seuls endroits qui a encore des arbres dans ce paysage d'asphalte. Si on fait ça, on va le rendre comme n'importe quel coin de rue dans les environs.» Une décision réfléchie Au motel Canada, on se dit surpris de voir tout le branle-bas autour de cette vente. D'abord Infoman, puis la pétition, et maintenant La Presse et The Gazette qui s'en mêlent. La propriétaire, Ginette Simard, n'en demandait pas tant. «On savait pas qu'on était aimés autant que ça», résume la dame de 57 ans, un peu dépitée par notre appel téléphonique. Mais cette preuve d'affection ne suffit pas à lui faire regretter son geste. Si elle admet être «nostalgique par moments», la vente du motel est, selon elle, le fruit d'une décision mûrement réfléchie. «Ça fait 47 ans qu'on existe, explique-t-elle. Mon père, qui a fondé la place, a 86 ans. Et moi j'y travaille depuis que j'ai 11 ans. C'est pas que les affaires allaient mal, mais il n'y a pas de relève. À un moment donné, il faut savoir s'arrêter.» Fondé en 1960, le motel Canada est, comme L'oiseau bleu, la Siesta ou Oscar, un des nombreux motels à avoir été construits après la guerre sur le boulevard Taschereau. C'était l'essor de la banlieue et de l'automobile, époque du rêve américain et des premiers disques de Michèle Richard. On construisait des motels en périphérie de Montréal, pour faciliter la vie aux voyageurs. Au fil des ans, le motel Canada gagné en personnalité. À partir de 1967, les rénovations se sont faites dans un esprit thématique, suivant l'exemple de plusieurs motels américains. «Mon père fait n'importe quoi, mon mari fait n'importe quoi. On avait le kit parfait pour refaire nos chambres de cette façon-là!» lance Mme Simard, d'un ton mi-figue, mi-raisin. Ce «n'importe quoi» devait avoir de la valeur, puisqu'on y a tourné quelques émissions de télé et des longs métrages. Mais ces dernières années, les propriétaires semblaient plus méfiants, interdisant d'y filmer ou de prendre des photos. Coauteure du livre Motel Univers, hommage photographique aux hôtels «vintage» du Québec, Olga Duhamel-Noyer se souvient avoir été chassée sans ménagement par les gens de la place lorsqu'elle s'est pointée avec son photographe. «Ils ont été mal-aimables» résume-t-elle, encore un peu déçue. Résultat: on ne trouve aucune photo du mythique motel dans son bouquin. Peut-être, en effet, était-il temps pour Mme Simard et son père Maurice Généreux de fermer boutique. Kitsch et patrimoine Roxanne Arsenault ne sait pas si sa pétition portera fruits. Mais elle sait que ce genre «d'action concrète» est souvent la seule façon de «faire bouger les dossiers». Surtout si elle profite d'une certaine couverture médiatique. Selon l'étudiante (qui est aussi coordonnatrice d'une galerie d'art, chanteuse de hip hop et animatrice à CISM!), il est grand temps que la culture rétro soit reconnue à sa juste valeur, ce qui la rendrait digne d'être sauvegardée, au même titre que certains bâtiments dits «historiques». «Il s'agit pour moi de voir comment on pourrait intégrer la notion de kitsch à la notion de patrimoine, explique-t-elle. Vrai que le patrimoine implique généralement une architecture noble et des matériaux de qualité. Mais les lieux kitsch ne sont pas anodins pour autant. Ils appartiennent à un contexte historique et socioculturel.» Chez Héritage Montréal, où l'on appuie officiellement la pétition, on va dans le même sens. «Faut-il classer tous les vieux motels qui ont une intention poétique? C'est à voir, lance son directeur Dinu Bumbaru. Sans dire que leur valeur est absolue, ce sont des édifices qui devraient être systématiquement documentés avant que quiconque ne songe à les détruire. Qui, par exemple, imaginerait le Madrid disparaître? Ces lieux, comme le motel Canada, font partie de notre imaginaire.» Aux États-Unis, c'est quelque chose qu'on a déjà compris. Même si plusieurs motels vintage ont été rasés, d'autres ont été rénovés par des hipsters, qui mesurent bien le potentiel commercial et touristique de ces lieux anachroniques. Ce n'est visiblement pas le cas des propriétaires du motel Canada qui, après près d'un demi-siècle d'activités, ont cessé de voir le charme de leur établissement. Mme Simard ne sait pas ce qu'il adviendra de son terrain et avoue qu'elle«"aimerait bien le savoir». Mais une chose est sûre: elle espère que la fermeture de son motel se fera discrètement, sans faire plus de bruit. «On veut s'éteindre tranquillement, dit-elle. Que voulez-vous. C'est comme ça. On est comme ça de nature.
  3. Publié le 15 novembre 2010 à 12h15 | Mis à jour à 13h04 Pétition pour la démission de Charest http://www.facebook.com/l.php?u=https%3A%2F%2Fwww.assnat.qc.ca%2Ffr%2Fexprimez-votre-opinion%2Fpetition%2FPetition-1123%2Findex.html&h=c901bFQYY_IMOqF8wQewUSTBOnQ Le site de l'Assemblée nationale héberge depuis ce matin une pétition demandant que Jean Charest démissionne de son poste de premier ministre. La pétition (cliquer ici pour y accéder) est une initiative du Mouvement citoyen national du Québec (MCNQ), un groupe formé en mai dernier en réaction au budget Bachand. Elle a été parrainée par le seul député de Québec solidaire, Amir Khadir. Elle restera jusqu'au 15 février 2011 sur le site de l'Assemblée. Plus de 1082 individus l'avaient signée au moment d'écrire ces lignes. La démission de M. Charest est demandée pour trois raisons: son refus de déclencher une commission d'enquête sur l'industrie de la construction, son refus d'imposer un moratoire sur l'exploration et l'exploitation des gaz de schiste et son «refus de négocier (...) les mesures prévues dans le budget 2010». Le groupe prétend que la majorité de la population s'oppose au budget du gouvernement Charest, et que le premier ministre «refuse de collaborer avec la population». Le MCNQ a été fondé le printemps dernier par Steve Brosseau, un préposé aux bénéficiaires d'un hôpital, âgé dans la trentenaire. Le groupe se dit non-partisan. Il est coadministré par Anthony Leclerc, un étudiant de secondaire 5 de la région de Québec qui avait réalisé un lipdub contre la réforme pédagogique. Le site de leur mouvement est http://www.unissonslequebec.org. Pour entrer dans le site ce matin, il fallait cliquer sur une fleur de lys. Pour en sortir, il fallait cliquer sur une feuille d'érable. Questionné à ce sujet, M. Leclerc a insisté que le groupe «n'était pas souverainiste». Cette page d'accueil a été enlevée quelques minutes après notre interview pour «enlever ces doutes» et pour «effacer une faute d'orthographe», a confirmé un peu plus tard Steve Brosseau. M. Brosseau avoue avoir déjà été un partisan du PQ, mais il dit préférer aujourd'hui Québec solidaire. «Mais mon groupe n'est pas associé à eux. On veut rallier des partisans de tous les partis», précise-t-il. Sur son site, le MCNQ trafique une photo de Jean Charest. Le premier ministre est affublé d'une perruque et d'un nez de clown. Le MCNQ se définit comme étant le «plus gros groupe anti-PLQ et anti-Charest à ce jour!!!». Leur groupe Facebook «1 000 000 de Québecois pour sortir le PLQ et Jean Charest du pouvoir!!!» compte 41 640 membres. Le MCNQ a contacté M. Khadir, le député indépendant et ex-adéquiste Éric Caire et quelques députés péquistes, indique M. Brosseau. «Amir Khadir a été le seul à daigner nous répondre. On n'est pas les premiers à vouloir déposer une telle pétition. Mais on a peut être été les plus tenaces. C'est vraiment compliqué, il a fallu communiquer une trentaine de fois avec le bureau de M. Khadir et modifier notre texte quatre ou cinq fois pour répondre aux exigences de l'Assemblée nationale.» L'Assemblée nationale a accepté la pétition vendredi dernier.
  4. (on dirait que Laval suit l'exemple de Montréal) 40 km/h dans les zones résidentielles: un projet à l’étude Publié le 6 Août 2010 Anne-Laure Jeanson Les demandes de citoyens pour des réductions de vitesse dans leur quartier sont telles que la Ville de Laval a commandé à son service de l’ingénierie une étude pour l’implantation de la limitation de vitesse à 40 km/h dans les rues résidentielles. «Le mercredi 11 août, les mesures pour communiquer notre projet pilote, qui concerne les rues du Souchet et du Corbeau à Duvernay-Est, seront présentées au Comité exécutif. Il s’agit de voir si l’implantation d’une limitation à 40 km/h au lieu de 50 pourrait s’appliquer dans certaines rues», dit Benoît Collette, chef de division – relations avec les citoyens de la Ville de Laval. Des rues ont déjà fait l’objet de modifications comme le Chemin de la Bretagne dans le secteur Duvernay-Pont-Viau. «La portion près du parc est passée à 30 km/h à la suite de plaintes concernant le bruit et la vitesse», dit le lieutenant Daniel Guérin des Affaires publiques de la police de Laval. Pétition Lors de la séance du conseil municipal du 12 juillet, David De Cotis a remis au maire de Laval Gilles Vaillancourt, une première pétition de 81 signatures de résidents de la rue d’Amay, à Auteuil, pour réduire la vitesse de 50 à 30 km/h. La demande est faite «considérant que la rue est une voie à sens unique, donc étroite, et que des enfants se rendent à pied à l’école Charles-Bruneau», peut-on lire sur la pétition dont Le Courrier Laval a obtenu copie. «Lors du conseil municipal du 2 août, j’ai demandé au maire si notre dossier avançait. Il m’a répondu qu’il était content de notre initiative et que l’étude est en cours, mais on ne sait jamais combien de temps cela prendra», dit le président du Mouvement lavallois. Lors de la même séance, Stéphane Beaulieu requérait l’ajout de panneaux «Attention à nos enfants» et «30 km/h» face au parc Mayfield sur la rue Mayfield, dans Saint-François. Direction territoriale «La Ville nous a présenté son projet pour les rues du Souchet et du Corbeau. Une fois qu’elle aura initié son projet, le ministère des Transports du Québec (MTQ) aura 90 jours pour invalider la demande s’il la juge irrecevable. Toutefois, jusqu’ici cela semble prometteur», indique Sarah Couillard, porte-parole du MTQ. La direction territoriale de Laval du MTQ n’est cependant pas au courant de l’étude qui s’effectue sur l’ensemble du territoire. Selon Pierre Desjardins, attaché politique du cabinet du maire, «les conclusions des experts devraient être livrées avant le dépôt du budget municipal, en décembre prochain. La mise en application de la nouvelle règlementation et de la signalisation se ferait ensuite progressivement, par secteur.» Limiter la vitesse à 40 km/h dans les rues locales, «ça devient un standard partout», dit M. Desjardins, en évoquant le cas de Montréal, qui a déjà contraint les automobilistes à cette nouvelle règle dans huit arrondissements. Montréal «Au 31 décembre 2010, les 19 arrondissements de Montréal auront adopté notre proposition de règlement», dit Lucie-Anne Fabien, chargée de communication à la Ville de Montréal. Et, depuis le 3 août, les Lavallois qui empruntent les ponts Lachapelle, Médéric-Martin et Viau devront réduire leur vitesse à 40 km/h, une fois arrivés à Montréal. Le principe de base de cette réglementation est d’arriver à un nombre d’accident nul. Une étude du MTQ sur l’ensemble du Québec indique que «la probabilité de décès d’un piéton heurté par une voiture qui roule à 50 km/h est de 70 % et seulement de 25% lorsqu’elle roule à 40 km/h». À Laval, la planification urbaine est différente de celle de Montréal, explique M. Desjardins. «Il s’agit d’anciennes villes jumelées dans lesquelles les standards n’étaient pas les mêmes. À Saint-Vincent-de-Paul, les rues sont plus étroites qu’ailleurs, par exemple. Les résultats vont dépendre des rapports d’experts», conclut M. Desjardins. Avec la collaboration de Nathalie Villeneuve. A lire aussi: Des citoyens signent pour que l'on ralentisse [http://www.courrierlaval.com/Actualites/2010-08-06/article-1653923/Des-citoyens-signent-pour-que-l%26rsquo;on-ralentisse/1] http://www.courrierlaval.com/Actualites/2010-08-06/article-1653920/40-km-h-dans-les-zones-residentielles:-un-projet-a-l%26rsquo;etude/1
  5. Read more: http://www.montrealgazette.com/entertainment/Lambert+shouts+enough/3317503/story.html#ixzz0uhaLT8LV
  6. Residents take airport grievance to auditor-general Want probe into expansion. Supreme Court nixed coalition's request to launch class-action suit against ADM The Gazette Published: 9 hours ago A coalition of Montreal residents has appealed to the auditor-general to investigate Trudeau Airport and what the coalition sees as unchecked expansion that does not consider impact on the environment or the quality of life of thousands of Montrealers. In a petition delivered yesterday to Sheila Fraser, Citizens for Quality of Life asked for an investigation into grievances that date back to 1995, when flights were transferred from Mirabel to Dorval without, the coalition says, public consultation. Night flights, the loss of green space to airport expansion, an increasing number of flight traffic and noise pollution are all cited in the petition. But like other Canadian airport authorities, Aéroports de Montréal is private and therefore outside the auditor-general's purview. Ghislain Desjardins, a spokesperson in the auditor-general's office, said that while the Dorval airport authority cannot be audited, its 60-year lease with Transport Canada can. However, Desjardins noted, any new audit would not happen immediately. Audit reports of federal departments and crown corporations that are already planned take the office into 2010. The coalition alleges Transport Canada failed to appropriately monitor the environmental clauses in its long-term lease with ADM. Copied to more than 40 elected officials, including Prime Minister Stephen Harper and Federal Transport Minister Lawrence Cannon, the petition targets the $1.5 billion in airport expansions that have taken place since 1996. Luc Marion, president of the coalition representing residents in eight Montreal municipalities, including Dorval, St. Laurent, Lachine and Lasalle, said the group was forced to go to the auditor-general after the Supreme Court of Canada refused to grant its request to launch a class-action lawsuit against ADM. "We are questioning the manner in which ADM has been able to move from Mirabel to Dorval, expand as it has without (looking at) the environmental impact now, 20 and 30 years from now," Marion said. There were 543 daily aircraft movements at Dorval airport in 1995, the year before flights were moved back there from Mirabel, Marion said. By 2007, that number had jumped to 666 a day. Marion said if ADM projections of the airport's growth are accurate, the number would reach 716 by 2010 and 864 by 2015. "We are not going to let another 200 planes fly over our heads a day," Marion said. - - - Dorval's airport is getting busier Daily aircraft movements at Dorval's airport 1966 345 1995 543 2007 666 2010* 716 2015* 864 *Projected figures Source: Citizens for quality of life
  7. Manifestation devant Wall Street et pétition de 33000 signatures: les primes de départ suscitent la colère de plusieurs Américains. En Europe, l'heure est à la réglementation. Pour en lire plus...
  8. Trois groupes environnementaux lancent ce mercredi une pétition en ligne pour s'opposer à un projet de pipeline destiné à importer du pétrole issu des sables bitumineux à Montréal. Pour en lire plus...
  9. Croisade contre deux tours et des commerces à l'île Paton Sara Champagne La Presse http://www.cyberpresse.ca/article/20080320/CPACTUALITES/803200661/1019/CPACTUALITES Les propriétaires des immeubles en copropriété de l'île Paton entreprennent une croisade pour empêcher la construction de deux tours avec commerces dans leur oasis de Chomedey, à Laval. Une pétition signée par 1000 résidants de l'île et des alentours a abouti, cette semaine, sur le bureau du maire Gilles Vaillancourt. Les signataires s'insurgent «vivement, catégoriquement et solidairement», contre un changement de zonage qui permettrait une hauteur de 23 étages dans l'île, où les règles d'urbanisme prévoient des immeubles d'environ 12 étages. Ils s'inquiètent aussi de la venue de commerces et des répercussions du projet «sur l'équilibre de l'environnement naturel de l'île, et sur leur quiétude de vie». La corporation immobilière Magil Laurentienne, qui détient et gère notamment la tour de la Bourse, à Montréal, pilote le projet controversé. Son président, Sol J. Polachek, a déjà participé à la construction d'un immeuble résidentiel de l'île Paton, le luxueux Héritage, érigé dans les années 90, sur les berges de la Rivière des Prairies. Joint hier, l'un des gestionnaires de Magil Laurentienne, Jean-Claude Cyr, a indiqué que le projet est dans sa «phase préliminaire.» Il a ajouté que des rencontres exploratoires ont déjà eu lieu avec les propriétaires de l'Héritage. Il a cependant renvoyé La Presse à la firme de communications Morrow Marketing pour connaître les plans d'architecte et de zonage. Le responsable de la firme, André Morrow, n'avait toujours pas rappelé, hier, en fin de journée. Selon les instigateurs de la pétition, qui ont assisté aux rencontres avec des représentants de Magil, une demande de changement de zonage a déjà été acheminée au service d'urbanisme de la Ville de Laval, au début de mars. Le cabinet du maire de Laval dément totalement l'information. Sur les lieux, il y a déjà des traces d'arpentage. Gilles Bouchard, l'un des signataires de la pétition, explique que les résidants n'ont pas besoin de commerces dans l'île, surtout aux abords d'un parc. «Les commerces que nous avons et les autres à proximité sont amplement suffisants pour nos besoins», dit-il. Il précise que d'autres propriétaires, partis se réchauffer dans le Sud, vont signer la pétition au cours des prochains jours ou des prochaines semaines. Huit étages au maximum Occupé par la dernière séance de son comité exécutif avant le congé pascal, le maire Vaillancourt n'a pas répondu directement aux questions de La Presse, hier. Après vérifications, son attachée de presse, Amélie Cliche, a soutenu «qu'aucun projet n'a été déposé officiellement auprès de la Ville de Laval». «Il n'y a eu aucune approche, a-t-elle ajouté. Je peux vous dire que le promoteur devra se conformer au zonage, et il n'y a aucune intention de modification de la part de l'administration municipale.» Quant à la rumeur qui circule dans l'île voulant que le maire de Laval songe à s'installer au dernier étage de l'une des futures tours, Mme Cliche a insisté pour dire que c'est totalement faux. «M. Vaillancourt fait dire que sa femme ne va pas vivre plus haut que huit étages. Elle a le vertige.» En fin de journée hier, Gilles Vaillancourt devait s'attabler pour répondre personnellement à tous les signataires de la pétition. «C'est sa façon de procéder. Il est très proche de ses citoyens», a conclu son attachée de presse. Aux dernières nouvelles, le maire de Laval vit toujours dans une maison unifamiliale construite sur le bord de l'eau, à proximité de l'île Paton. L'île de Hugh Paton Le premier propriétaire de l'île Paton est Hugh Paton, qui l'occupa de 1880 à 1941. En plus de se faire construire un pont, il se fit bâtir vers 1890-1892 une superbe villa d'été de plus de 50 pièces, qu'on appelait château. Elle abritait une grande serre, des écuries et un terrain de golf. Par testament, il a ensuite cédé son île à Georges C. Paton et al., qui vont plus tard vendre l'île Paton et le pont à la société L'île des Prairies.
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