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  1. Terre-Neuve songe à des sanctions Mise à jour le vendredi 11 juin 2010 à 11 h 14 L'Assemblée législative de Terre-Neuve-et-Labrador. L'Assemblée législative de Terre-Neuve-et-Labrador débat de la possibilité de refuser d'accorder des contrats à toute entreprise québécoise. Par exemple, le gouvernement terre-neuvien inaugure vendredi un centre de soin de longue durée à Corner Brook. Ce projet de 50 millions de dollars a été réalisé par Pomerleau, une entreprise québécoise. Au moins cinq grands projets sont dirigés par des compagnies québécoises à Terre-Neuve-et-Labrador à l'heure actuelle. La chef de l'opposition officielle, la libérale Yvonne Jones, propose d'arrêter l'octroi de contrats à ces entreprises. Le premier ministre progressiste-conservateur, Danny Williams, ne cache pas sa colère contre le Québec, qu'il accuse de freiner les projets hydroélectriques de sa province sur le bas du fleuve Churchill, au Labrador. Danny Williams n'est toutefois pas prêt à aller aussi loin que le veut l'opposition. Il explique que le fait de refuser systématiquement d'octroyer des contrats à des entreprises québécoises contreviendrait à la loi sur les appels d'offres. La chef libérale répond que le gouvernement a déjà contourné cette loi dans le passé en accordant des exemptions. Yvonne Jones ajoute que le gouvernement terre-neuvien ne peut pas donner d'une main des baffes au Québec sur la place publique tout en signant de l'autre main des chèques à des entreprises québécoises.
  2. La Presse Canadienne Montréal 17 novembre 2009 Gérald Tremblay assumera la présidence du nouveau comité exécutif de la Ville de Montréal, mais il réserve aussi un siège chacun aux deux principaux partis d'opposition. Le maire Tremblay, qui a dévoilé la composition de son nouveau comité exécutif mardi, s'est entouré de fidèles de longue date en nommant à la vice-présidence du comité Alan DeSousa et Michael Applebaum, chacun ayant des responsabilités différentes. La mairesse de Lasalle, Manon Barbe, hérite quant à elle du dossier des transports tandis qu'Hélène Fotopoulos s'occupera de la culture, du patrimoine et de la condition féminine. Les deux partis d'opposition font leur entrée au comité exécutif. Lyn Thériault, du parti Vision Montréal, s'est vu confier les dossiers du développement communautaire et social, tandis que le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, s'occupera d'urbanisme. La chef de Vision Montréal, Louise Harel, ne pouvait siéger au comité exécutif puisqu'elle occupe déjà le poste de chef de l'opposition officielle. Le maire Gérald Tremblay a dit poser ce «geste d'ouverture» pour servir l'intérêt supérieur de Montréal.
  3. Publié le 26 juin 2009 à 07h36 | Mis à jour à 09h59 Les scandales de Montréal dans The Economist Martin Croteau La Presse Les scandales qui ébranlent la mairie de Montréal commencent à attirer l'attention des médias étrangers, et non les moindres. La prestigieuse revue britannique The Economist consacre un article aux allégations de conflits d'intérêts qui minent l'administration Tremblay dans sa livraison d'hier, une terrible publicité pour la Ville selon l'opposition. Intitulé «Eau et crasse» («Water and Grime»), l'article de quatre paragraphes rapporte que cinq enquêtes policières sont en cours sur les agissements de proches du maire Gérald Tremblay. Il donne certains détails sur les dossiers de la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM) ainsi que sur le contrat des compteurs d'eau.The Economist explique que l'ancien chef de cabinet du maire Tremblay a présidé à la vente d'un terrain évalué à 31 millions à une fraction de sa valeur. Le promoteur qui l'a acheté «avait été photographié par la police avec Nicolo Rizutto, un gangster octogénaire et père du mafioso numéro un au Canada«. L'hebdomadaire résume aussi l'attribution du contrat des compteurs d'eau à un consortium mené, entre autres, par Tony Accurso, «un vieil ami de Frank Zampino, qui a dirigé le comité exécutif de la Ville», peut-on lire. Il rappelle que l'ancien bras droit du maire Tremblay avait séjourné deux fois sur le yacht de M. Accurso avant d'accepter un emploi chez Dessau, l'autre firme du consortium GÉNIeau. «Peu soupçonnent (le maire Gérald) Tremblay, qui avait eu une longue carrière au Parti libéral du Québec, d'être malhonnête et il n'y a aucune preuve à cet effet», précise le magazine. Mais pour les partis de l'opposition, le mal est déjà fait. Louise Harel, candidate à la mairie pour Vision Montréal, estime qu'un tel reportage est la pire publicité imaginable pour Montréal. Car The Economist est lu par des décideurs et des gens d'affaires partout dans le monde. «Le message qu'ils envoient, c'est qu'il y a quelque chose qui ne tourne pas rond, a-t-elle dit. Et pire encore, qu'il y a de la corruption. Et donc, c'est un message qui est de nature à décourager les investisseurs.» «Quand on passe dans The Economist, c'est un fait d'armes inouï, a renchéri le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron. Mais pas pour le motif pour lequel on passe aujourd'hui. C'est honteux que la réputation de Montréal soit faite ainsi.» «Nous avons largement commenté, et à maintes reprises, le sujet traité par cet article, a indiqué le porte-parole du maire, Martin Tremblay. Il n'y a aucun élément nouveau, et nous n'avons rien à ajouter à ce qui a déjà été dit.» The Economist est imprimé dans cinq pays, et distribué à 1,3 million d'exemplaires dans le monde. Illustration(s) : Goupil, Jean Les odeurs de scandales qu'exhale depuis quelque temps l'hôtel de ville de Montréal ont eu des échos jusque dans la prestigieuse revue britannique The Economist.
  4. Le ministre fédéral des Finances n'écarte pas la possibilité de changements au régime, comme le réclame l'opposition. Pour en lire plus...
  5. Publié le 05 mai 2009 à 00h13 | Mis à jour à 00h17 Québec doit mettre Montréal en tutelle, estime Louise O'Sullivan Catherine Handfield La Presse Louise O'Sullivan, ancienne conseillère municipale et candidate à la mairie de Montréal, a demandé à Québec lundi de mettre en tutelle l'administration du maire Gérald Tremblay jusqu'aux élections du 1er novembre. «Vous n'avez d'autres alternatives que d'imposer la tutelle (...) et de mandater la Commission municipale du Québec pour superviser dorénavant toutes les décisions du comité exécutif et des divers arrondissements», a écrit Mme O'Sullivan dans une lettre adressée à la ministre des Affaires municipales, Nathalie Normandeau. Louise O'Sullivan, qui a quitté l'équipe du maire Tremblay en 2005 et qui a fondé son propre parti ce printemps, demande également de convoquer Gérald Tremblay et ses lieutenants à une commission parlementaire pour faire la lumière sur les controverses qui ont ébranlé la Ville ces derniers mois. «Devant la tournure de plus en plus malsaine que prend chaque jour la saga des scandales entourant l'administration de la Ville de Montréal, je me vois dans l'obligation de vos réécrire pour vous demander d'agir de façon urgente et sévère pour rétablir le climat de confiance envers les actions de nos élus municipaux», écrit-elle. L'ex-conseillère estime que le chef de l'opposition officielle, Benoît Labonté, et le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, ont failli à leur tâche. «Tous les élus ont voté en faveur de projets douteux de l'administration sortante et ce n'est qu'après le travail d'enquête de certains journalistes, particulièrement du quotidien La Presse, que l'opposition a commencé à poser des questions», poursuit-elle. Au cours des derniers mois, les médias ont mis au jour les séjours de l'ancien président du comité exécutif de Montréal, Frank Zampino, sur le yacht de l'homme d'affaires Tony Accurso, alors que la Ville s'apprêtait à octroyer le contrat des compteurs d'eau. Un autre controverse entoure la gestion du projet Contrecoeur par la SHDM, un dossier qui a incité le vérificateur général à recommander la tenue d'une enquête policière.
  6. Mise à jour le lundi 20 avril 2009 à 12 h 22 RadioCanada.ca La ministre Yolande James (archives) Radio-Canada a appris que le gouvernement de Jean Charest n'a pas atteint son objectif en matière d'immigration. Le Québec a accueilli 4000 immigrants de moins que la cible maximale fixée par la ministre Yolande James. En 2007, la ministre de l'Immigration annonçait que la province accueillerait 10 000 immigrants de plus par année d'ici 2010 et pour la seule année 2008, Yolande James parlait d'une croissance de 8 %. Mme James déclarait à l'époque: « Pour une première année, notre objectif est de 49 000 et on s'assure d'avoir les mesures nécessaires pour ce faire ». Au ministère, on cherche à minimiser, en expliquant que la ministre parlait d'une cible maximale. Selon Claude Fradet, il faut se référer à la cible inférieure fixée cette année-là à 46 700. Selon lui, les chiffres planifiés sont une fourchette. Selon le ministère, des impondérables peuvent expliquer les résultats de l'an dernier. Mais l'opposition croit qu'Immigration Québec n'a pas les moyens de ses ambitions. « On a beau se fixer des objectifs qui paraissent très importants, si le budget du ministère n'est pas à la hauteur, on n'arrivera pas à atteindre ces résultats que l'on annonce », a estimé le porte-parole de l'opposition officielle en matière d'immigration, Camil Bouchard. Par ailleurs, les cas référés par le fédéral ont baissé de plus de 50 % en cinq ans, ce qui fait dire au Parti québécois qu'Ottawa nuit à l'immigration québécoise.
  7. Le ministre des Finances invite l'opposition à lui laisser les mains libres pour injecter rapidement des fonds destinés à stimuler l'économie. Pour en lire plus...
  8. La chef de l'Opposition à Québec, Pauline Marois, ne cache pas son malaise face aux primes de départ consenties aux présidents de grandes sociétés d'État. Pour en lire plus...
  9. Est-il trop tard pour Harper ? Hélène Buzzetti Édition du lundi 01 décembre 2008 Les compromis conservateurs n'arrêtent pas le projet d'une coalition PLC-NPD Ottawa -- Les concessions accordées par les troupes de Stephen Harper au cours du week-end n'ont pas apaisé les velléités de l'opposition. Au contraire, la coalition Parti libéral-NPD qui désire se substituer au gouvernement minoritaire conservateur prend de plus en plus forme. Il ne lui manque plus qu'un chef et, selon les informations du Devoir, Stéphane Dion entend proposer à son caucus ce matin de devenir ce premier ministre recherché. Il a l'appui de Bob Rae. Le réseau anglais de Radio-Canada a indiqué hier soir qu'une entente avait été conclue entre le chef libéral, Stéphane Dion, et le leader néo-démocrate, Jack Layton, accordant au NPD le quart des sièges dans le cabinet ministériel de coalition. Selon cette entente, le ministère des Finances serait confié à un député du Parti libéral. Au cours du week-end, les troupes de Stephen Harper ont battu en retraite sur plusieurs fronts. D'abord, le gouvernement met de côté son idée d'abolir les allocations d'État versées aux partis politiques: le 1,95 $ versé pour chaque vote obtenu sera plutôt gelé (et non plus indexé selon l'inflation). Les conservateurs s'engagent à faire de son abolition une promesse électorale défendue au cours d'une prochaine campagne. Ensuite, le gouvernement renonce à suspendre le droit de grève des fonctionnaires fédéraux. Enfin, le ministre des Finances, Jim Flaherty, s'engage à déposer un budget plus tôt que prévu: le 27 janvier prochain au lieu de la dernière semaine de février comme cela est la norme à Ottawa. L'interdiction faite aux fonctionnaires de s'adresser aux tribunaux pour faire respecter l'équité salariale n'est pas levée. Ces annonces n'ont pas eu l'heur d'apaiser les ardeurs de l'opposition. «C'est trop peu, trop tard. On ne se retrouvera pas une fois de plus comme Charlie Brown sur le dos parce que Lucie a retiré la balle», a lancé le député du NPD, Thomas Mulcair, au cours d'une conférence de presse hier soir. Selon M. Mulcair, ces tentatives d'utiliser la crise économique comme un prétexte pour faire passer des mesures de droite ont révélé le vrai visage du parti de Stephen Harper. «Pendant des années, M. Harper a tenté de faire croire aux Canadiens qu'il n'avait pas un ordre du jour caché alors qu'il rassurait sa base qu'il en avait bien un. Cette fois, le chat sort du sac. Nous ne lui laisserons pas une autre chance», dit-il. Rencontres au sommet Les chefs des trois partis d'opposition se sont rencontrés en soirée hier pour s'entendre sur les mesures que prendrait la coalition pour venir en aide à l'économie. Le PLC et le NPD ont discuté intensément samedi et hier matin pour déterminer la forme que prendrait ce gouvernement de coalition. La rumeur la plus persistante veut que le cabinet comporterait 30 ministres, dont 10 néodémocrates. Le but hier soir était de présenter à Gilles Duceppe le fruit de ces discussions et s'assurer ainsi l'appui de ses troupes. D'autre part, les trois prétendants à la direction libérale -- Bob Rae, Michael Ignatieff et Dominic LeBlanc -- se sont aussi rencontrés tard hier soir à Toronto dans un contexte où la coalition se cherche un chef. À cette rencontre, Bob Rae, que plusieurs disent tirer de l'arrière dans la course, s'est fait le défenseur de Stéphane Dion. Il a demandé à ses adversaires de se rallier à la proposition de M. Dion à l'effet qu'il reste le chef jusqu'à ce qu'un vainqueur soit couronné en mai. «Il y a une course au leadership légitime en cours et M. Rae ne voit aucune raison de changer cela», a confié un proche conseiller de M. Rae. Selon cette source, «M. Rae est à l'aise [avec le fait que M. dion soit le chef]et il encourage les deux autres de faire de même.» Les clans de MM. Ignatieff et LeBlanc n'ont pas voulu commenter la rencontre hier soir. Quelles mesures de stimulation? Dans leur énoncé économique, déposé jeudi et à l'origine de toute cette crise politique, les conservateurs ont choisi de réduire les dépenses de l'État de 4,3 milliards de dollars afin d'afficher un surplus plutôt que d'injecter des sommes et de stimuler l'économie. Il n'est pas assuré que les conservateurs dévoileront dans le budget les mesures attendues par l'opposition. Au cours d'une conférence de presse téléphonique hier, le ministre Jim Flaherty a encore présenté le tout au conditionnel. «Nous utiliserons de la stimulation temporaire si cela est nécessaire», a-t-il déclaré. Il a répété qu'il n'imiterait pas les États-Unis dont l'approche a consisté à «disperser l'argent en espérant que cela fonctionnerait». Le ministre aime rappeler que les diminutions d'impôts et la baisse de la TPS déjà consenties, et qui seront toutes en vigueur le 1er janvier, représenteront un stimulus d'une valeur de 2 % du PIB canadien. Or, c'est justement ce que la communauté internationale demande aux gouvernement nationaux d'investir pour sauver l'économie mondiale. Est-ce donc à dire qu'Ottawa juge avoir déjà assez fait? Le ministre reste vague. «Aiderons-nous un secteur précis ou certains secteurs précis? La réponse est probablement que oui.» Le secteur de l'automobile doit présenter d'ici vendredi un plan de relance et ce n'est qu'à ce moment que le gouvernement entend étudier la possibilité de l'aider. Plus tôt dans la journée, le lieutenant pour le Québec, Christian Paradis, avait déclaré que ce serait une «hérésie» si le Canada agissait avant de savoir ce que les États-Unis feraient à ce chapitre. «Ce serait garrocher de l'argent par les fenêtres.» Geste antidémocratique Les conservateurs ont répété au cours du week-end que la tentative de déloger le gouvernement s'apparente à un coup d'État. L'opposition a vite fait de rappeler que Stephen Harper avait une opinion bien différente il y a quatre ans. En septembre 2004, alors que Paul Martin dirigeait un gouvernement libéral minoritaire, l'opposition avait rédigé une lettre à l'intention de la gouverneure générale de l'époque, Adrienne Clarkson. «Nous faisons valoir avec respect que les partis d'opposition, qui ensemble représentent une majorité à la Chambre, sont en discussions très étroites. Nous croyons que si le gouvernement vous demandait de dissoudre la Chambre, vous devriez consulter, comme la pratique constitutionnelle le veut, les chefs de l'opposition et considérer toutes les options avant d'exercer votre autorité.» Cette lettre du 9 septembre était signée par Gilles Duceppe, Jack Layton et... Stephen Harper. En outre, les conservateurs, qui se moquent de la légitimité d'une coalition ayant besoin de l'appui des «séparatistes» du Bloc québécois, oublient de mentionner qu'en 2006, lorsqu'ils n'avaient que 124 sièges à la Chambre des communes, ils avaient eu besoin eux aussi des bloquistes pour faire adopter leur premier budget. Michael Ignatieff a d'ailleurs déclaré qu'aucun compromis ne serait fait avec le Bloc québécois sur des questions touchant l'intégrité du Canada. «C'est hors de question de compromettre l'unité nationale de notre pays.» Écoute électronique La crise politique prend par ailleurs une tournure imprévue. Le NPD songe à intenter une poursuite contre le Parti conservateur pour avoir effectué de l'écoute électronique illégale. Le Parti conservateur a en effet pu participer à un appel-conférence de Jack Layton avec ses députés samedi. M. Layton y a dit que toutes ces discussions de coalition n'auraient pas pu être possibles n'eussent été des discussions préalables avec le Bloc québécois «il y a longtemps». Pour les conservateurs, il s'agit d'une preuve que l'opposition veut renverser le gouvernement parce qu'elle le peut et non parce qu'elle est insatisfaite de l'énoncé économique. Le Bloc québécois et le NPD ont nié ces allégations, expliquant qu'en situation minoritaire, les partis d'opposition sont en contacts continuels. Les conservateurs ont admis avoir obtenu accidentellement les coordonnées pour se joindre à l'appel. Selon Thomas Mulcair, un député d'arrière-banc conservateur a écouté la conversation à l'insu des néodémocrates. La transcription d'une partie de l'appel a été distribuée aux journalistes. «Nous avons déjà contacté des spécialistes en droit des médias pour voir si le Code criminel a été enfreint, car il s'agit ici d'avoir intercepté, enregistré et diffusé un appel. Ça montre leur désespoir.»
  10. La Fédération canadienne des contribuables exhorte les gouvernements fédéral et ontarien à ne plus venir à la rescousse des constructeurs automobiles du pays. Pour en lire plus...
  11. La privatisation des hippodromes du Québec et le choix de la firme Attractions Hippiques pour relancer cette industrie sont passés au peigne fin en commission parlementaire par les députés de l'opposition. Pour en lire plus...
  12. 02/03/2007 Alors que de nombreuses pétitions sont en marche contre les parcomètres, les marchands des rues commerciales de Montréal qui protestent contre les nouveaux tarifs ont reçu l'appui de l'opposition officielle à l'hôtel de ville. Noushig Eloyan apporte son aide politique, d'abord dans son arrondissement, aux commerçants de la rue Fleury qui ont organisé plusieurs pétitions parmi leur clientèle. «C'est une taxe cachée, a dénoncé Mme Eloyan, une taxe issue de la restructuration budgétaire de l'administration Tremblay.» Elle a rappelé que les deux arrondissements où les conseillers de Vision Montréal détiennent la majorité ont refusé de percevoir les tarifs les soirs de semaine ainsi que le dimanche. C'est le cas dans le Sud-Ouest et dans Mercier - Hochelaga-Maisonneuve. Cette perception le dimanche agace beaucoup les administrateurs des Sociétés de développement commercial (SDC) dans plusieurs quartiers. André Poulin, au centre-ville, et Claude Rainville, dans le Quartier latin, appréhendent un ralentissement des activités commerciales, surtout le dimanche. Le dimanche «Il en coûte maintenant 9 $ aux parcomètres, le dimanche, pour aller au cinéma, rue Saint-Denis», explique Claude Rainville, ajoutant que «le stationnement est gratuit au Marché central». André Poulin croit que la Ville de Montréal devra imiter New York, qui a éliminé les tarifs des parcomètres dans son centre-ville en 2005, «sans quoi de nouvelles habitudes vont se créer et le centre-ville va se vider».
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