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  1. Dubaï souhaite un accord de jumelage avec la Ville de Montréal Dubaï a embauché un lobbyiste la semaine dernière afin qu'il fasse la promotion, à l'Hôtel de Ville de Montréal, d'un accord de jumelage entre les deux villes. Une telle entente de coopération a généralement pour but de permettre le transfert d'informations, de savoir-faire et d'expertises sur des sujets d'intérêts et de compétences communs. Selon la Chambre de commerce et d'industrie de Dubaï, qui a embauché le lobbyiste, la conclusion d'une entente de jumelage vise notamment la signature d'un accord de collaboration en vue de l'exposition universelle de 2020 de Dubaï, « afin de partager l'expertise de Montréal dans le domaine de l'horticulture ». L'expertise de Montréal en matière d'horticulture s'est développée au fil des années, avec le Jardin botanique, mais aussi, notamment, grâce à l'exposition internationale les Floralies, en 1980, suivies de trois éditions des Mosaïcultures internationales dans les années 2000. http://quebec.huffingtonpost.ca/2015/01/21/dubai-desire-montreal-comme-jumelle_n_6516102.html
  2. Une superbe vue de Manhattan à 360 degré. Se mettre en plein écran est un must. http://bit.ly/1Ach9cg Pour ceux qui ne sont pas familier avec GigaPan, ils créent des photos en collant ensemble des centaines même des milliers de photos, ce qui donne une résolution absolument incroyable. On peut par la suite explorer ces photos en "zoomant" et en se déplaçant. Des heures de plaisir!!!! La photo de NY ci-haut fait juste 5 Gigapixels, vous pouvez vous amuser avec des plus grandes: Shanghai: 272 Gigapixels (http://gigapan.com/galleries/10347/gigapans/66626) Rio: 152 Gigapixels (http://gigapan.com/galleries/10347/gigapans/58857) Dubai: 45 Gigapixels (http://gigapan.com/gigapans/48492) Pas un GigaPan mais même technique et supposément, la plus grande photographie du monde: London: 320 Gigapixels (http://360gigapixels.com/london-320-gigapixel-panorama)
  3. Les pétrodollars des pays du Golfe sont dans la mire du maire de Montréal, Gérald Tremblay, qui y mènera une mission économique du 30 avril au 4 mai prochain. Accompagné de responsables de 14 entreprises montréalaises, le maire s'arrêtera à Dubaï, Abou Dhabi et Doha. Avec des réserves de capitaux de 800 milliards de dollars, «les investisseurs du Moyen-Orient sont devenus des joueurs commerciaux incontournables», a expliqué en point de presse M. Tremblay. La mission servira à soutenir les entreprises montréalaises qui veulent amorcer une démarche d'affaires dans la péninsule arabique. On souhaite également inciter des investisseurs du Golfe à s'intéresser à Montréal. On mise sur les quelque 6000 Canadiens vivant dans ses pays pour faciliter les contacts. Des rendez-vous avec des politiciens locaux sont également prévus. «C'est important pour les entreprises d'avoir accès à des décideurs», dit le maire. Il prononcera notamment un discours à l'Annual Investment Meeting à Dubaï, rendez-vous de plus de 3000 investisseurs internationaux. «La présence du maire est un grand facilitateur pour les entreprises, a précisé Michel Leblanc, président de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, qui sera du voyage. On sème une graine qui, par la suite, va les aider sur d'autres marchés.» Les entreprises invitées proviennent de domaines très divers, du Bureau du cinéma et de la télévision du Québec à la firme de génie-conseil CIMA +, du Groupe Sutton aux spécialistes de la sécurité Garda World. «On est mieux de ne pas être trop nombreux, et de focaliser sur des projets précis», explique M. Leblanc. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201204/25/01-4518955-le-maire-tremblay-senvole-pour-les-pays-du-golfe.php
  4. La construction de gratte-ciel annoncerait une crise : Une étude de la banque britannique Barclays analyse la construction de bâtiments monumentaux comme un signe avant-coureur de problèmes économiques. La construction de gratte-ciel a souvent précédé des crises financières, si bien que les investisseurs devraient se méfier de la Chine et de l’Inde où les chantiers se multiplient, conclut une étude publiée mercredi par la banque britannique Barclays. Barclays Capital estime qu’il existe «une corrélation dangereuse entre la construction des plus grands immeubles du monde et une crise financière imminente: New York 1930, Chicago 1974, Kuala Lumpur 1997 et Dubaï 2010». Dernier exemple en date: la tour Burj Khalifa à Dubaï, géant de plus de 800 mètres de haut inauguré au moment où l’émirat était rattrapé par une crise financière. Ce lien, qui peut être illustré sur les 140 dernières années, n’est pas le fait du hasard, affirment les experts de la banque d’affaires. ………… L’Inde doit aussi être surveillée de près: avec seulement deux tours géantes achevées, elle en a 14 autres en construction, et elle doit inaugurer d’ici 2016 la deuxième plus grande du monde, la «Tower of India». http://www.boursorama.com/actualites/la-construction-de-gratte-ciel-annoncerait-une-crise-5497ead12093f3d71a56a2bac288777a
  5. Selon un communiqué de presse du CTBUH: Je ne sais combien de mètres de plus ça donne au 1000 de la Gauchetière, il faudra envoyer quelqu'un mesurer
  6. World's Most Stunning City Skylines 13 Greatest urban silhouettes Forbes Traveler.Com What makes a skyline great? It has to be more than merely memorable, it must have some exceptional characteristics: It not only should be instantly recognizable but, from the traveler’s perspective particularly, it should be an enticing view of great buildings and monuments. If it’s really special, you want to be a part of it. So we’ve asked a group of star architects to help us make the choices. See our slideshow of World's Most Stunning City Skylines. It’s no surprise that New York’s skyline is mentioned the most often—and this despite the dolorous replacement of the Twin Towers with Ground Zero. A single iconic building can make a skyline stand out, as can geography, and New York City is a case study for both. According to Peter Stamberg and Paul Aferiat, partners in Stamberg Aferiat Architecture in New York, the city’s great skyline “is partly a result of Manhattan being a long narrow island, maximizing the impact. And the agglomeration of New York skyscrapers has as its centerpiece the Empire State Building, which is such an iconic romantic building, and through the accidents of economics and zoning, it stands alone.” They architects also cite Chicago as a city of great architectural monuments and major iconic skyscrapers like the Sears Tower. But while the great race for height in which Chicago and New York were longtime contestants has largely shifted overseas, the vertical element in skylines still figures prominently across the board. “The image of a city in the 21st century still depends on the skyscraper idea,” says Andres Lepik, architecture and design curator at The Museum of Modern Art in New York City and author of the book Skyscrapers. “City governments know that the economy is pushing forward to gave high-rise buildings in city centers.” Examples? Lepik says London and Frankfurt are standouts. Still, high-rises are not a prerequisite for a great skyline. “City skylines aren’t necessarily defined by skyscrapers,” say Aferiat and Stamberg. “There’s Sydney with its Opera House, for example, which defines the city, St. Louis with the arch,” they add, “and Seattle has the Space Needle.” For that matter, we’ll always have Paris, which thanks to its concentration of historic slate gray-roofed six and seven-story buildings, many of which date from the mid-19th century and before, has a remarkably uniform and distinct skyline. Most architects would agree that a great skyline takes time to develop. “A skyline is something that comes up and comes together and somehow it’s unplanned,” Lepik says. “If you go to Shanghai right now, there are hundreds of skycrapers but they don’t form any really beautiful skyline,” he adds. By contrast, he says, “New York had a certain slow development, which sped up in the 1920s and ‘30s with the Art Deco skyscrapers such as the Chrysler Building and Empire State—but it took 30 years to get the coherent skyline.” What of a future-forward city like Dubai? “I wouldn’t call Dubai’s skyline beautiful,” says Lepik, “because it has grown too fast, without a general idea of what they’re trying to achieve.” But if there is beauty in boldness, Dubai has an incontestably sensational skyline in progress: It started with the erection of the 1,053-foot-tall Burj al Arab Hotel in 1999, a “seven-star” hotel on an artificial island and complete with helicopter landing pad. And soon it will have the tallest skyscraper in the world: the 1,900-foot Burj Dubai tower. Financial crisis or not, more brash towers are in the works for the desert sheikdom. It’s hard to beat Asian tigers like Hong Kong for urban audacity, but our round-up of great skylines holds some surprises, such as… Pittsburgh? Indeed. The city is “right at the intersection of three fairly large rivers, and you approach it through a mountain tunnel, so you arrive completely deprived of a view—and then you’re on a bridge looking at the city,” say Stamberg and Aferiat. “It’s very beautifully proportioned the way it starts fairly low at the river and then climbs to the U.S. Steel building, which is the tallest one there.” As for Europe, it’s not just about historical aesthetics—modernity is moving in. In his book on skyscrapers, Lepik features two Frankfurt towers, one designed by Norman Foster. Cities like London and Paris increasingly represent a mixture of old and new in which traditional icons mingle memorably with new visions of star architects like Jean Nouvel and Renzo Piano. By accident or by design, the result is urban landscapes even more compelling for today’s travelers to discover and explore.
  7. Un gigantesque centre commercial, l'un des plus importants de la planète, a ouvert ses portes mardi à Dubaï, en dépit des menaces de récession mondiale. Pour en lire plus...
  8. Une compagnie immobilière appartenant au gouvernement lance un projet de construction d'une nouvelle cité dans l'émirat pour un investissement total de quelque 95 G$ US sur 12 ans. Pour en lire plus...
  9. John Leopold et deux de ses collègues ont représenté les deux sociétés de Dubaï qui ont pris une participation dans le Cirque du Soleil. Prochain objectif de ces avocats? Les fonds souverains. Pour en lire plus...
  10. En vendant 20% de ses actions à deux sociétés d'investissement de Dubaï, Guy Laliberté a pu monnayer une partie de son avoir personnel dans l'entreprise. Pour en lire plus...
  11. En 2007, le Cirque a annoncé un partenariat avec Nakheel afin de créer un spectacle permanent sur le Palm Jumeirah (un île artificielle qui appartient à Nakheel) pour une période de 15 ans à partir de 2011. Pour en lire plus...
  12. Par l'entremise de ses filiales exclusives Nakheel et Istithmar World Capital, qui ont acquis chacune 10% du Cirque du Soleil, le fonds souverain Dubaï World fait une entrée remarquée dans le monde du spectacle. Pour en lire plus...
  13. Le fondateur de l'entreprise de spectacles et de divertissement, Guy Laliberté, vend 20 % de ses actions à deux firmes de l'émirat. Pour en lire plus...
  14. Le Cirque du Soleil à vendre ? 16 juin 2008 - 11h21 LaPresseAffaires.com Le Cirque du Soleil serait à vendre. Enfin, c’est ce qu’affirme le London Daily Telegraph dans son édition de lundi. Le populaire cirque qui a des activités partout sur le globe aurait été approché par plusieurs acheteurs potentiels notamment un groupe d’investisseurs de Dubaï. Le nom de ce possible acheteur n’est pas nommé par le quotidien anglais, mais la transaction pourrait valoir 2 G$. Nakheel PJSC, promoteur des fameuses îles de Dubaï, a déjà offert au Cirque du Soleil de construire un théâtre permanent sur un des complexes, la Palm Island. Un porte-parole du Cirque du Soleil a indiqué que la nouvelle selon laquelle la troupe aurait été approchée par Istithmar, une firme associée à Nakheel, n’est que «rumeurs et spéculations».
  15. Ces 100 appareils représentent un montant de 12,6 G$ CAN au prix catalogue. Pour en lire plus...
  16. Grumpy

    Dubai...

    As controversial this city may be take a look at this :
  17. Et si on devenait le Dubaï de l’Amérique du Nord ? René Vézina Les Affaires samedi 24 mai 2008 Le Québec aurait avantage à hausser les tarifs d’électricité, quitte à rembourser en partie ses citoyens, particulièrement ceux qui risquent d’être coincés par l’alourdissement de leur facture. Il gagnerait au change et pourrait ainsi se constituer une réserve financière pour mieux promouvoir ses intérêts. L’argument n’est pas neuf, c’est vrai, mais il mérite votre attention, ne serait-ce qu’à cause du messager qui le transmet : Rodrigue Tremblay, professeur émérite de sciences économiques de l’Université de Montréal et ancien ministre de l’Industrie et du Commerce sous le gouvernement de René Lévesque. Ce n’est pas la première fois que M. Tremblay plonge dans la mêlée. Dès 1970, il avait lancé l’idée d’un marché commun entre le Québec et les États-Unis... 10 ans avant qu’on commence à discuter de libre-échange. Voilà qu’il remet ça. M. Tremblay prononçait la conférence de clôture du dernier congrès de l’Association des économistes québécois, le 16 mai, à Gatineau. Il en a profité pour revenir sur cette question : Comment le Québec pourrait-il suivre l’exemple d’autres États, c’est-à-dire créer un fonds souverain, un fonds de placement détenu par le gouvernement ? Dubaï en a un. Les milliards de dollars que l’Émirat retire du pétrole sont mis à contribution pour acheter aussi bien des ports que des mines. La Norvège (cinq millions d’habitants) également. Le fonds norvégien dispose actuellement d’un capital de 322 milliards de dollars, qui provient en bonne partie des redevances pétrolières. Globalement, ces fonds souverains représentent une énorme force de frappe. La Deutsche Bank évalue leur valeur totale à 3 000 milliards de dollars, et prévoit que celle-ci pourrait tripler d’ici 10 ans. Le Québec ? Oui, nous avons la Caisse de dépôt et placement, mais ses milliards sont d’abord destinés à la retraite de ses déposants. Dieu merci, on a fini par le comprendre, et la Caisse évite maintenant d’intervenir maladroitement au nom de la cause du moment. Reste Hydro-Québec. Le Fonds des générations créé par l’ancien ministre des Finances Michel Audet, correspond davantage au modèle. Il est alimenté par des contributions d’Hydro-Québec et des droits perçus auprès des producteurs privés, à raison de quelques centaines de millions de dollars par année. Mais il est tout jeune et sert essentiellement à rembourser la dette publique québécoise. Rodrigue Tremblay suggère une approche plus dynamique. L’hydroélectricité, c’est notre pétrole. Elle sera de plus en plus convoitée à notre époque qui valorise les énergies propres et renouvelables. Mais encore faut-il en avoir à vendre à nos voisins, alors que les surplus sont appelés à fondre. Une façon de réduire la consommation au Québec est d’augmenter les prix. On le voit bien, ces jours-ci, avec l’essence. Les gens sont forcés de faire attention. Mais les finances des citoyens, justement, sont serrées. De là l’idée de leur redistribuer des dividendes après coup. Apparemment, c’est revenir au point de départ, sauf qu’entre les deux opérations, le Québec gagne de l’électricité qu’il peut exporter au prix fort. Il peut en récolter de jolis bénéfices. Les dividendes, eux, sont imposables. Les contribuables aux revenus élevés finissent par redonner de l’argent à l’État, tandis que les personnes peu fortunées conservent le remboursement qui leur permet entre autres d’amortir la facture d’électricité. On neutralise ainsi l’argument selon lequel plusieurs seraient pris à la gorge. Après cette présentation, ça jasait fort dans la salle. Le conférencier n’a probablement pas convaincu tout le monde. Les économistes sont rarement unanimes... Au moins, on saura mieux, dorénavant, où loge la majorité d’entre eux : l’Association a décidé de sonder régulièrement ses membres sur les grandes questions de l’heure. Pourquoi ne pas commencer avec la thèse de Rodrigue Tremblay ? http://www.lesaffaires.com/article/1/publication--lesaffaires/2008-05-24/478238/et-si-on-devenait-le-dubai-de-lamerique-du-nord-.fr.html
  18. L'auteur vend la photo originale pour 3000 euros
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