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Anglo anxiety is understandable

 

BY DON MACPHERSON, THE GAZETTE FEBRUARY 27, 2014

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Diane De Courcy, Quebec minister responsible for the French Language Charter, has said a PQ majority government would be “without mercy” in combating the use of English in business and in public.

 

Photograph by: Jacques Boissinot , THE CANADIAN PRESS

 

If you live in Quebec’s English-speaking community, you shouldn’t have been surprised by the poll results made public this week suggesting that half of non-francophones have thought recently about leaving the province.

 

In the poll, conducted Feb. 10-18 by EKOS for the CBC, 51 per cent of English-speaking Quebecers and 49 per cent of those with other mother tongues said they have “seriously considered leaving Quebec in the past year.”

Talk among anglos of leaving the province flared up again shortly before the 2012 election.

 

With the Parti Québécois leading in the polls on an anti-minority, pro-secession platform, I heard a lot of anglo friends say they’d leave Quebec if the PQ won.

 

Most are bilingual. But after decades of language wars and referendums, including the gut-wrenching final days of the 1995 campaign that the sovereignists almost won, they were suffering from political battle fatigue. And they knew they would have no peace from a PQ government.

 

My friends didn’t leave, though. For one thing, it’s easier to talk about leaving than it is to do it.

 

We’re not nomads who can simply pack up our tents and drive our animals to new grazing. Before we leave our old home, we need to secure such things as suitable jobs and housing in our new one.

 

The PQ did win the election, and four months later, in an EKOS poll for the CBC, 42 per cent of anglophones said they had considered leaving the province in the wake of the PQ victory.

 

But the PQ government had been held to a minority, acted incompetently for most of its first year in power, failed to sell its anti-English Bill 14, and set records for early unpopularity.

 

And after the Liberals chose a new leader, Philippe Couillard, the PQ fell behind them in popularity.

 

Then, last fall, the PQ introduced another anti-minority measure, its proposed “values” charter, and rode it in a steady rise in popularity toward majority territory.

 

Couillard said he’s “worried” by the latest EKOS-CBC poll results.He should be, because they reflect a lack of confidence in his ability to stop the PQ from winning that majority.

 

EKOS had almost completed its polling before the publication on Feb. 18 of the results of another survey, by CROP for La Presse, suggesting the PQ would have won a majority in mid-February.

 

So the EKOS-CBC results don’t reflect the sudden outbreak of anxiety among anglos over this latest CROP poll.

Since the publication of CROP’s results, wherever I go in English Montreal, I’m asked whether the PQ will win a majority in the election that is almost certain to be called in the next few weeks. The short answer is that while it’s not a sure thing, at this point it appears to be the most likely outcome.

 

The PQ is doing nothing to calm anglos’ anxiety.

 

In the days before the EKOS-CBC results were made public, there were two expressions of the PQ’s growing fanaticism under Marois.

 

The premier herself deliberately avoided using the words “Canada” or “Canadian” in two statements congratulating Quebec athletes at the Sochi Olympics.

 

Some French-speaking commentators called the premier’s gesture pettyand embarrassing to Quebec.

And language minister Diane De Courcy said a PQ majority government would pass Bill 14, which would make it harder to get public services in English.

 

What’s more, she said it would be “without mercy” in combating the use of English in business and in public.

Don’t count on the threats by Madame Merciless to be forgotten after the election.

 

A PQ majority government would be expected by its supporters, starting with the members of Marois’s party, to apply the promises on which it was elected.

 

So I wouldn’t blame anglos for thinking about leaving.

 

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Curiously, I have read nothing yet in British, French and American print/electronic medias over this whole matter. Does that say something?

 

What an invalid point! This is a provincial matter and it is definitely normal that internationally, there are no coverage on this subject.

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Ca vaut la peine de lire les commentaires de monsieur et madame tout le monde dans le lien.

 

http://blogues.lapresse.ca/avenirmtl/2014/03/01/charte-et-anglos-d%E2%80%99un-malaise-a-l%E2%80%99autre%E2%80%A6/

 

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François Cardinal

 

François Cardinal est éditorialiste à La Presse. Journaliste depuis près de 20 ans, il est également chroniqueur à la radio et auteur des essais Le mythe du Québec vert et Perdus sans la nature.

Samedi 1 mars 2014 | Mise en ligne à 7h21 | icon-comment.gifCommentaires (70)

Charte et anglos: d’un malaise à l’autre…

 

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Y a-t-il véritablement un malaise chez les anglophones du Québec, comme le révèle une enquête d’opinion CBC-EKOS? Sont-ils nombreux à avoir envisagé de quitter la province?

 

Non, répondent plusieurs commentateurs, évoquant des études et des statistiques, citant des chercheurs et des sondages. Avec rigueur, ils scrutent ainsi les données quantifiables pour évaluer la véritable ampleur des doléances des anglophones. Avec raison.

 

Mais pourquoi n’applique-t-on pas la même rigueur dans le dossier de la charte? Aurait-on plus de facilité à rejeter les affirmations qui nous confrontent que celles qui nous réconfortent?

 

Il est en effet réconfortant de se faire dire que la charte va amoindrir les tensions avec les communautés culturelles et religieuses, régler la crise des accommodements raisonnables, ramener la neutralité de l’État.

 

D’accord avec la réponse, on accepte ainsi la prémisse, sans exiger de preuves de l’existence de tensions avec les communautés culturelles et religieuses, d’une crise des accommodements raisonnables, d’un problème de neutralité de l’État.

 

Par contre, il est confrontant de se faire dire que les anglos vivent un malaise au Québec, que la moitié d’entre eux ont envisagé de quitter la province, que certains ont de la difficulté avec l’actuel climat politique et linguistique.

 

En désaccord avec leur constat, on refuse la prémisse. On sort les chiffres qui montrent qu’il y a peu de départs dans la communauté anglophone, on cite les chercheurs qui réfutent l’existence d’un malaise, on traque les contradictions dans les études et les sondages.

 

Or s’il est pertinent d’évaluer avec acuité les conclusions du sondage CBC-EKOS avant de s’alarmer, il est tout aussi important de mesurer l’ampleur du problème que l’on prétend régler avec la Charte. Chose qui n’a toujours pas été faite.

 

Le ministre Drainville n’a pas encore apporté le moindre chiffre, la moindre preuve qu’il existe un problème, encore moins une crise (réfutée par la Commission Bouchard-Taylor). Et surtout, il n’a pas démontré qu’il fallait absolument y répondre avec une charte qui interdit le port de signes religieux ostentatoires «mur à mur» dans l’ensemble de la fonction publique plutôt que de se contenter des seules personnes qui représentent l’autorité de l’État et de baliser les accommodements.

 

Il y a certes des tensions à l’occasion avec des communautés culturelles et religieuses, il y a des manifestations d’intégrisme, il y a des femmes obligées de se voiler par leur mari ou une autorité religieuse.

 

Mais quelle ampleur ont ces phénomènes? Et surtout, quelle ampleur ont-ils dans la fonction publique? On cherche en vain les études, données, statistiques et sondages en appui au projet de loi 60.

 

Oui, il existe un malaise dans la population par rapport à certains signes religieux, cela est indéniable. Mais pourquoi ce malaise réclame-t-il une réponse aussi musclée, alors que le malaise des anglophones est aussi facilement écarté?

Modifié par IluvMTL
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Et voila, cela dit tout. Cardinal emmène un bon point. Et son point démontre que la charte n'est qu'un outil pour aller chercher des votes même si cela divise la population, même si cela se fait sur le dos de Montréal et même s'il n'y avait aucun problème. C'est davantage à ce niveau que j'en veut au PQ. Car en principe je ne suis pas contre l'ensemble des éléments de la charte....comme je ne suis pas contre une charte qui obligerait les martiens a stationner leur soucoupe volante ailleurs qu'au centre-ville.....

 

J'ai comme principe qu'il faut régler le problème de toiture lorsqu'elle coule avant de décorer la maison. Et le PQ ne l'a pas fait.

 

Quant aux anglos, je suis ravi d'apprendre qu'il n'y a pas vraiment d'exode, qu'ils ne vont pas vraiment s'en aller, enfin, pas en grand nombre. Alors tant mieux car on en a déjà assez perdu par le passé. Mais pourquoi s'attaquer à eux constamment, à leur langue ? Pourquoi les écœurer ? En quoi le Québec est gagnant dans tout cela ? Nous nous sommes entredéchiré en 1977 pour en arriver à une loi 101 qui accepté par l'ensemble de la population aujourd'hui. Elle a eu son effet et on a qu'à penser aux enfants d'immigrants qui aujourd'hui parlent le Français mieux que plusieurs petits québécois pure laines. Ca c'est la vrai victoire de la loi 101. Et les anglos se sont adaptés.

 

Maintenant, il ne faudrait pas recommencer encore une fois pour légiférer davantage. Oh non, svp, on a d'autres choses à faire. On va pas refaire les mêmes batailles, alors que le Québec avait déjà tranché. On veut passer à autre chose, car si on ne peut pas passer à d'autres chose cela voudra dire que nous n'avançons pas, mais que nous stagnions en tant que société, et qu'au pire, nous régressons. Tout le monde sait que le Québec est majoritairement et prioritairement Français. Tout le monde reconnait la primauté du Français, il n'y a personne qui doute de cela. Alors passons à autres choses.

 

Le jour ou tous les langues du monde pourront être parlé à Montréal et que le Français sera prioritaire.....alors on aura gagné, on aura prouvé que nous sommes quelque chose comme un ''grand'' peuple !!!

 

Alors je le répète encore une fois, il faut changer le mandat de l'OQLF. Soit on abolit et on sauve 25 millions par année, soit on prend les ressources et on les envois dans les écoles de langues pour qu'ils puissent apprendre le Français au plus grand nombre de personne possible. Ne laissons pas un organisme qui cause plus de tort que de bien à notre société. Nous sommes mieux que cela !

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Une exemple du genre de commentaire d'un ministre qui envoie un message negative aux minorités ainsi qu'aux touristes qui lissent ces choses la. Cela peut sembler anodin, mais à la longue toutes les commentaires et actions s'accumullent. Peux-tu imaginer une personne qui travaille dans un magasin ou restaurant et dit Bonjour-Hi à la mauvaise personne qui l'a entendu le ministre De Courcy et croit que c'est contre la loi. C'est le genre de chose qui influence les personnes dans le recent sondage de la CBC.

 

http://www.montrealgazette.com/life/Macpherson+Diane+Courcy+Bonjour+remark+serious+implications/9563945/story.html

 

Diane De Courcy’s Bonjour-Hi remark isn’t so funny

 

 

We laugh at the apparent pettiness of Diane De Courcy’s attempt to discourage Montreal businesses from greeting customers with a “Hi” as well as a “Bonjour.”

Nevertheless, the Parti Québécois language minister’s remarks this weekabout “Bonjour-Hi,” an offer to serve the customer in either French or English, have serious implications for English-speaking Quebecers.

For it’s an attempt by the PQ government, by pressure if not legislation, to discourage not only private businesses from offering service in English, but even individuals from speaking English in public.

And it’s connected to legislation that would make public services in English less available in areas under provincial jurisdiction, including municipalities and health services.

The connection is the PQ’s opposition to what it calls “institutional bilingualism,” or the availability of service in English, in the private sector as well as the public one.

The rationale of the PQ and anti-English hawks is that if service in English is available, minorities will conclude that they don’t need to learn and use French.

When De Courcy introduced her anti-English Bill 14 in December 2012,she said the PQ government was worried about “slippage toward institutional bilingualism in the municipalities, hospitals, government corporations, ministries and government bodies.”

She complained about another such “slippage,” only this time in the private sector, in her speech on Monday.

This is the speech in which she complained about bilingual greetings — that is, “Bonjour-Hi” — in Montreal businesses.

The former Liberal language minister, Christine St-Pierre, also =pr%EF%BF%BDoccup%EF%BF%BDe&tx_ttnews[periode]=y&tx_ttnews[year]=2012&tx_ttnews[posted]=1&tx_ttnews[tt_news]=6150&tx_ttnews[backPid]=2408&cHash=98ae97798e8b2ad3f4c05dcacce5161c"]expressed “concern” about bilingual greetings, “even if it is allowed by the French Language Charter,” Bill 101.

De Courcy, however, suggested to her business audience that enterprises in Quebec should only use English in dealing with customers outside the province.

“Doing business at the international level and using a language other than French is one thing. That it replaces French as the language of work right here in Quebec is really something else.”

Also, the PQ minister said it is all right for businesses to require prospective employees to have a knowledge of English “as needed.”

It was “unacceptable,” however, for them to require it systematically for all jobs, “even if they are not in contact with foreign clientele or trading partners.”

After her speech, De Courcy told reporters institutional bilingualism must be fought “without mercy.”

She stopped short of threatening explicitly to legislate against “Bonjour-Hi.” Bill 14, which the PQ minority government was unable to pass, did not address that question.

She was, however, using what Theodore Roosevelt called the “bully pulpit” — meaning, in early-20th century American English, a terrific platform of political power — to put pressure on businesses and intimidate English-speakers.

De Courcy also told reporters a PQ majority government would bring back Bill 14 and pass it.

Bill 14 would allow the government, under certain conditions, to withdraw the “recognized” bilingual status of some municipalities that allows them to provide more services in English than municipalities without that status.

Also, at the provincial level, it would have the government, its departments and other agencies play an “exemplary” role by making French the “normal and everyday language” in which they “address others and are addressed,” and “the language used in the public sphere.”

And if the PQ wins a majority in the election that Premier Pauline Marois is expected to call within the next couple of weeks, its members and supporters will expect the government to keep De Courcy’s promise.

Modifié par IluvMTL
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People complain about the ROC against Quebec, but here in Quebec it is ROQ against Montreal.

 

I got into an argument with an acquaintance because I consider "Quebec" a shithole. I am not sure if he tried bringing up Israel to upset me (seeing I am Jewish - but not religious) or if it was a viable reason. I do understand that people dislike Israel because of the whole displacement of Palestinians after WW2 by the British. Plus certain wars, plus the whole building a barrier dividing the West Bank from Israel. Plus making the life of the Gazans quite miserable. It is sad what is happening there, but nothing will ever change. That whole region will be in conflict until the end of time.

 

Yet here, we have been in conflict for a few hundred years because of a loss on the Plains of Abraham. On honestly feel Quebecers feel like Americans from the Deep South, like they were forced to give up their "identity" to rejoin the Union. I guess people here feel like they are a "conquered people". If you feel like that I am sorry, but you shouldn't go on day in a day out, feeling like that.

 

No matter where a person goes, almost everywhere is a shithole even including Israel. Only difference between Israel and Quebec, here we are divided by an invisible wall that our politicians are using to divide us and it shouldn't be like that.

 

I know my words probably will not change anyones mind but this is how I feel.

Modifié par jesseps
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Yet here, we have been in conflict for a few hundred years because of a loss on the Plains of Abraham.

Ce n'est pas pour cette raison que les francophones sont en maudit. C'est plutôt que par après, les anglos ont tenté de les assimiler et les ont traités comme des second-class citizens. Je ne crois pas que les Plaines d'Abraham soient quelque chose de mauvais dans nos souvenirs car c'est probablement le plus beau parc au Quebec, et tout le monde l'aime.

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Ce n'est pas pour cette raison que les francophones sont en maudit. C'est plutôt que par après, les anglos ont tenté de les assimiler et les ont traités comme des second-class citizens.

 

Les francophones sont en maudit contre qui? Et c'est quoi le rapport avec les non-francophones (et quelques francos) qui songent à quitter le Québec maintenant?

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