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Half of Quebec's anglophone and allophone population have considered leaving the province in the past year, a new EKOS poll commissioned by the CBC suggests.

 

While only 10 per cent of francophone respondents said they had considered leaving, the top reasons why people said they have considered leaving weren't centred on language.

 

Most people across all groups named taxes, jobs, political uncertainty and the economy as the most significant reasons they had contemplated a departure.

 

As part of an exclusive two-week series, CBC Montreal will look at what is pushing people to consider relocating out of Quebec, what is keeping them in the province, and what hopes they have for their future in Quebec. A total of 2,020 Quebec residents were interviewed by phone between Feb. 10 and 18, 2014, with a margin of error of plus or minus 2.2 percentage points, 19 times out of 20. More information about the survey methodology appears at the bottom of this story.

 

Asserting 'English-ness'

 

Marc Stamos is a native Quebecer, but he is planning to move his family elsewhere after the birth of his second child.

 

Stamos said his bilingualism used to be a source of pride, but language has become so politicized again in the province that it's become a point of contention.

 

"For the first time since the '90s, I feel like I have to assert my anglophone-ness, my English-ness," he said. "You know, things have been dormant and so calm for so long that my brother and myself and my friends were comfortable speaking French."

 

He said Bill 101 had a significant impact on his life, but the economy picked up and things looked better.

 

"All of a sudden, our friends, our bilingual friends and even some of our French friends … are starting to want to leave again, starting to think, do they want to go through the whole roller-coaster again. Because of that, I don't want to speak French in public anymore."

 

Stamos, who has lived outside of the province but chose to return to raise his family, said the access to education, health care and social services that initially brought him back to Montreal isn't enough to keep him here anymore.

 

Economic factors

 

In total, 16 per cent of respondents cited the economy as their main reason for considering a move out of province. It was tied with political uncertainty as the top reason for potentially leaving Quebec.

 

Brett House, senior fellow at the Jeanne Sauve Foundation and the Centre for international Governance Innovation, says the economic picture in Quebec isn't as bleak as some of the perceptions, but the province is underperforming.

 

"We're mediocre right now — we're not doing great, but we're not a disaster either," he said. "We're improving a bit, but we could do a lot better.

 

"Quebec has the potential to be one of the two economic engines of this country, in addition to Ontario and yet, it's still performing far below what it should be."

 

About the survey

 

A total of 2,020 Quebec residents were interviewed by phone between Feb. 10 and 18, 2014, as part of this CBC-commissioned EKOS study. The margin of error for a sample of 2,020 is plus or minus 2.2 percentage points, 19 times out of 20.

 

Those surveyed included 782 anglophones (with a margin of error of plus or minus 3.5 percentage points 95 per cent of the time), 1,009 francophones (with a margin of error of plus or minus 3.1 percentage points 95 per cent of the time) and 223 allophones (with a margine of error of plus or minus 6.5 percentage points 95 per cent of the time).

 

Anglophones are respondents who identified their mother tongue as English; francophones are people who identified their mother tongue as French; and allophones identified their mother tongue as "other."

 

http://www.cbc.ca/news/canada/montreal/half-of-quebec-non-francophones-consider-leaving-1.2549484

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If speaking French is such an important problem, well, there is a WHOLE continent 45 minutes away for you were you can have the fun of speaking in English all the damn time with more than 350 million people! Francophones cannot say the same so let them live in their language and culture in the 1% of the continent were they can.

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It is both good and bad. It all depends on how you look at it. The PQ has less to worry about vote wise, but they would lose tax payers (so there probably goes like a billion or two in revenue). Plus property values would go down a nice percentage if millions of homes hit the market at once (so cities will have to redo their property taxes - so Montreal will get screwed once again by Quebec). There might be some fire sales. It will favour the poor here, but screw everyone else.

 

Let everyone worry about the stupid language and what someone is wearing because of their religion, than something important as debt, economy and other things. Lets all stay blind to the real problem.

 

No matter what, this province will be screwed for another 50 years.

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Voici l'article en Français de Radio-Canada

 

La moitié des non-francophones songent à quitter le Québec

 

Exclusif - La moitié des communautés anglophone et allophone du Québec a envisagé de quitter la province l'année dernière, révèle un nouveau sondage EKOS commandé par CBC/Radio-Canada.

 

Même si seulement 10 % des répondants francophones affirment songer à quitter le Québec, les principales raisons évoquées par l'ensemble des répondants pour déménager ne sont pas fondées sur la langue.

 

Une majorité des répondants de chaque groupe mentionnent plutôt les taxes, l'emploi, l'incertitude politique et l'économie.

 

CBC/Radio-Canada se penchera dans les prochains jours sur ce qui pousse des Québécois à vouloir quitter la province, ce qui les retient, et les espoirs qu'ils entretiennent pour leur avenir au Québec.

 

Les facteurs économiques

 

Au total, 16 % des répondants ont cité l'économie comme principale raison pour déménager hors de la province. L'incertitude politique arrive ex aequo en première position.

 

Brett House, chercheur à la Fondation Jeanne Sauvé et au Centre pour l'innovation dans la gouvernance internationale, estime que la situation économique au Québec n'est pas aussi sombre que le pensent certains, mais la province est peu performante.

 

« Nous sommes médiocres en ce moment - nous ne sommes pas en grande forme, mais nous ne sommes pas une catastrophe non plus. Nous nous améliorons un peu, mais nous pourrions faire beaucoup mieux », souligne-t-il.

 

« Le Québec a le potentiel d'être l'un des deux moteurs de l'économie de ce pays avec l'Ontario, et pourtant, l'économie se porte moins bien que ce qu'elle devrait », ajoute-t-il.

 

Anxiété bilingue

 

Suni Hope Johnston, qui a quitté l'Angleterre pour s'installer à Montréal au début des années 70, affirme avoir été attirée par la métropole québécoise pour son flair européen et son bouillonnement.

 

« Je me souviens que mon mari et moi dansions jusqu'à 4 h du matin. Nous nous sommes beaucoup amusés, et puis ça s'est terminé », se souvient-elle.

 

Mme Johnston a fondé une famille et son mode de vie a changé. Tout comme la ville qu'elle jugeait autrefois si attrayante.

 

Selon elle, l'ambiance actuelle au Québec est marquée par les divisions. « Je pense que c'est un droit de naissance de tous les jeunes Québécois de parler les deux langues. Chaque enfant devrait aller à l'école pour apprendre le français et l'anglais. Pour le moment, ce genre de division me semble tragique », dit-elle.

 

Elle envisage de déménager en Ontario, une destination populaire chez les personnes qui songent à quitter le Québec, suggèrent les résultats du sondage EKOS. En effet, 40 % des répondants francophones et non-francophones qui pensent quitter le Québec iraient s'installer en Ontario, devant les États-Unis (14 %).

 

Marc Stamos, qui est originaire de Montréal, considère également s'installer en Ontario. Pour lui, le bilinguisme constitue une source de fierté, mais il déplore que la langue soit devenue politisée à nouveau dans la province, au point de devenir un sujet de discorde.

 

« Pour la première fois depuis les années 1990, je sens que je dois affirmer mon "anglophonité". Vous savez, les choses étaient si calmes pendant si longtemps que mon frère, mes amis et moi étions à l'aise en français. »

— Marc Stamos, originaire de Montréal

Mais avec une élection imminente et la possibilité d'un gouvernement péquiste majoritaire, M. Stamos affirme que lui et ses amis se demandent s'ils veulent vivre une autre période de soubresauts.

 

Ces changements d'humeur relevés dans le sondage ne se sont pas encore traduits concrètement dans le marché immobilier, par exemple, mais ce sont des signes susceptibles d'attirer l'attention des politiciens.

 

À propos de l'enquête

 

Un total de 2020 résidents du Québec ont été interrogés par téléphone entre le 10 et le 18 février 2014, dans le cadre de cette étude EKOS commandée par CBC/Radio-Canada. La marge d'erreur pour un échantillon de 2020 est de plus ou moins 2,2 points de pourcentage, soit 19 fois sur 20.

 

Les personnes interrogées incluent :

 

782 anglophones (avec une marge d'erreur de plus ou moins 3,5 points de pourcentage 95 % du temps);

1009 francophones (avec une marge d'erreur de plus ou moins 3,1 points de pourcentage 95 % du temps);

223 allophones (avec une marge d'erreur de plus ou moins 6,5 points de pourcentage 95 % de du temps).

Les anglophones représentent les répondants ayant indiqué que leur langue maternelle est l'anglais, et les francophones ayant indiqué le français. Les allophones ont identifié leur langue maternelle comme étant « autre ».

 

http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2014/02/25/004-sondage-anglophones-allophones-francophones-envisage-rester-quitter-quebec.shtml

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dommage

Que la moitié des anglophone et des allo songent à quitter le Québec en cette période de conjoncture politique trouble témoigne de leur angoisse et de l'échec du Parti québécois à les amadouer. Ce qui signifie par centre que ce cinquante pour-cent rejette le Québec nationaliste. C'est ici que vous pouvez constater une fracture dans l'électorat fédéraliste. Car, on peut ne pas être d'accord avec le PQ, on peut être fédéraliste mais accepter de devenir un citoyen d'un Québec indépendant si on doit en arriver la.

 

 

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Envisager et agir ne sont pas la même chose. Comme par le passé, certains passeront à l'action, mais rien ne laisse présager un exode. En effet, rien dans les circonstances actuelles ou prévisibles ne ressemble à des conditions intenables ne laissant pas vraiment le choix de partir. On ne parle tout de même pas de persécutions! Concernant l'état de l'économie, encore là rien de désastreux, ou rien de différent de ce qui pousse certains Français, Britanniques ou personnes de semblables nationalités à vouloir chercher un avenir meilleur ailleurs. Songez aussi que de nombreux Allemands d'origine quittent leur pays tous les ans, malgré les conditions économiques apparemment bonnes, tandis que d'autres nationaux (par exemple: Espagnols, Grecs, etc.) émigrent chez eux. Il est évident qu'un véritable exode causerait des problèmes économiques considérables; cependant, il serait vain de s'étendre sur lesdites conséquences, quand la probabilité est infime. Ce serait un peu comme se demander ce qui arriverait si la planète se réchauffait soudainement de 5 degrés.

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Sera-t-on futé?

Je ne suis pas architecte, mais j'ai travaillé dans le journalisme politique. L'électorat québécois est collectivement surprenant. Il a réussi au cours des quatre dernières-nées décennies à ne pas se laisser piéger ni par les fédéralistes ni par les souverainistes.

Au Québec, on s'énerve pour des vétilles. Les chiffons rouges ne se comparent a rien de ce qu'on voit présentement à Kiev.

 

 

 

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If speaking French is such an important problem, well, there is a WHOLE continent 45 minutes away for you were you can have the fun of speaking in English all the damn time with more than 350 million people! Francophones cannot say the same so let them live in their language and culture in the 1% of the continent were they can.

 

As tu pris la peine de lire l'article comme il le faut??

 

the top reasons why people said they have considered leaving weren't centered on language.

 

L'économie morose, le manque d'emplois et la maudite charte sont les raisons pourquoi ils songent à quitter. Je viens de voir la première partie du Reportage de CBC MOntréal, et les chiffres présentés par l'étude de la BMO sont très claires! depuis les 15 dernières années, Montréal traine de la patte vis à vis les 5 autres grandes villes du Canada. Ce n'est pas normal! Nous sommes de loin la deuxième plus grosse ville au Canada, on devrait être un moteur économique, mais malheureusement ce n'Est pas le cas.

 

Justement, j'étais à Toronto aujourd'hui pour une conférence sur le marché immobilier Canadien. Ça me chicotte toujours quand je reviens dans ma ville pour constater que nous ne faisons rien pour rectifier le problème...que nous sommes rendu une ville provinciale!

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the figures presented by the study of BMO are very clear! for the past 15 years, Montreal drags the leg opposite the 5 other major cities in Canada. This is not normal!

 

The sad part of the BMO report is that it will go straight into the wastebasket

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