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Construction d'un stade: Québec pourrait participer

 

http://www.lapresse.ca/sports/baseball/201606/17/01-4992837-construction-dun-stade-quebec-pourrait-participer.php

 

Québec ne ferme pas la porte à une éventuelle participation financière dans la construction d'un stade de baseball majeur à Montréal, à condition que le secteur privé demeure maître d'oeuvre du projet. C'est ce qu'a laissé entendre le premier ministre Philippe Couillard, en entrevue sur les ondes de Radio-Canada, mercredi soir.

«Si c'est une bonne affaire pour le secteur privé, il faut qu'on fasse partie des bénéfices. Sinon, je préfère que le secteur privé s'occupe de cela. Éventuellement, on pourrait venir en appui, mais après eux, et si on a également notre part des bénéfices», a-t-il affirmé.

Cette réponse de M.*Couillard à une question du public se veut beaucoup moins catégorique que celle qu'il avait fournie il y a un peu moins d'un an, alors qu'il se trouvait en mission à Rome. À ce moment-là, il semblait hors de question que son gouvernement consacre quelque argent que ce soit à la construction d'un stade.

«Regardez bien, actuellement, il n'y a pas d'argent public prévu pour ça... Pas du tout. Ce sont des entreprises très rentables, à ce que j'en sais, les concessions de baseball majeur. On va laisser le dossier évoluer», avait-il alors déclaré, tel que cité dans un article paru dans*La Presse*du 30*mai 2015.

«Les gens aiment le baseball à Montréal, c'est bien connu, avait ajouté M.*Couillard. Mais il faut que le secteur privé joue son rôle ici.»

Rien de différent

Du côté du bureau du premier ministre, hier, on assurait cependant que la position du gouvernement en cette matière n'avait pas changé depuis l'an dernier.

«L'idée, pour nous, c'est qu'on ne pense pas que le gouvernement devrait investir dans une équipe de baseball. On a d'autres priorités», a indiqué*Harold Fortin,*porte-parole du premier ministre.

Le gouvernement libéral précédent, sous Jean Charest, avait accepté de verser 200*millions pour la construction du Centre Vidéotron de Québec. M.*Fortin souligne toutefois que cet investissement dépassait largement les frontières du sport professionnel, en ce sens que ses retombées ne se limitaient pas à l'arrivée possible d'une équipe de la LNH dans la Vieille Capitale.

«Quand le gouvernement Charest a investi dans un amphithéâtre à Québec, tout le monde parlait des Nordiques. Mais dans tout l'est du Québec, il n'y avait aucun édifice du genre. [...] Si ç'avait seulement été pour ramener les Nordiques, je ne crois pas qu'il serait allé pour ça», a-t-il observé.

«Si, par exemple, le Stade olympique avait été construit par un consortium privé, il y a des bouches de métro autour, illustre M.*Fortin. C'est la même chose pour l'amphithéâtre de Québec. Ça a changé pas mal de choses.»

Luc Poirier n'est pas surpris

Le promoteur immobilier Luc Poirier, l'un des acteurs du secteur privé ayant manifesté leur intérêt pour le retour du baseball majeur dans la métropole, affirme qu'il n'est pas surpris par cette déclaration du premier ministre. Joint par*La Presse, il a lancé: «J'ai toujours été sûr qu'ils allaient embarquer.»

À son avis, il serait réaliste de croire que Québec finance à hauteur «de 10*à 15%» un projet de retour du baseball à Montréal, évalué à 1,5*milliard.

«Ils ont investi dans un amphithéâtre à Québec. Ils ne peuvent pas être dans un [projet] et ne pas être dans l'autre», ajoute l'homme d'affaires qui travaille notamment avec l'ex-lanceur Éric Gagné pour ramener une équipe en ville.

«C'est facile de dire non quand il n'y a rien de sérieux, mais quand on a un emplacement et des partenaires, c'est différent. Ce sont des revenus qui vont revenir à l'État.»

L'an dernier, M. Poirier a acquis le terrain de l'ancien Hôpital de Montréal pour enfants, situé dans le quartier Griffintown, dans le but d'y ériger un stade de baseball. Le maire de Montréal, Denis Coderre, lui a toutefois fait savoir que l'idée ne serait pas retenue, puisqu'il préférerait voir l'édifice construit plus près du centre-ville, dans le secteur du bassin Peel.

Bien qu'il ne soit pas convaincu qu'il s'agisse d'une bonne décision, M.*Poirier réitère néanmoins qu'il croit au retour du baseball majeur à Montréal «à long terme». «C'est le plus gros marché nord-américain à ne pas être desservi par un club de baseball», fait-il valoir.

Invité à réagir, le président et chef de la direction de la chambre de commerce du Montréal métropolitain, Michel Leblanc, n'était pas disponible pour une entrevue. Le bureau du maire Coderre n'avait pas rappelé*La Presse*au moment d'écrire ces lignes.

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Re: «Québec pourrait participer».

 

Il est encore un peu tôt pour y aller d'une offre concrète, mais dans l'hypothèse où il y a réellement (ou sincèrement) une envie de contribuer financièrement au projet, je pense que le Gouvernement du Québec et la Ville de Montréal devraient commencer à examiner des «formules créatives», dont les caractéristiques fondamentales seraient:

 

1) Pas d'injections (contributions/subventions) financières, ni maintenant ni dans l'avenir; et

 

2) Des concessions fiscales (taxes et impôts) étalées dans le temps, et d'une ampleur inférieure ou égale aux retombées fiscales directes (et donc excluant les retombées indirectes, considérant le caractère arbitraire, subjectif et aléatoire des estimations que pourraient fournir divers «experts»).

 

En approchant la question de la participation de cette manière, la Ville de Montréal et le Gouvernement du Québec pourraient en toute crédibilité affirmer que leur soutien se ferait à coût nul pour le public. Il leur faudrait toutefois établir des balises solides pour empêcher que ne viennent à leurs tours d'autres promoteurs réclamer un traitement équivalent, inconditionnellement.

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http://www.lapresse.ca/sports/baseball/201606/22/01-4994563-montreal-sera-de-retour-dans-le-baseball-majeur-selon-larry-king.php

 

Larry King y est allé de toute une prédiction lors du dévoilement des contrats de Jackie Robinson à l'hôtel de ville de Montréal: le Baseball majeur sera de retour.

Quelques secondes après que Claude Raymond eut conclu son allocution par un vibrant: «Play Ball! Et accueillons de nouveau les Expos», l'ex-animateur de CNN a pris le micro pour affirmer que le souhait de «Frenchie» allait se réaliser.

«Les Expos reviendront ('The Expos are coming back')», a déclaré celui qui agit à titre d'ambassadeur pour Collectors Cafe, propriétaire des contrats originaux signés par Robinson avec les Royaux de Montréal et les Dodgers de Brooklyn.

En entrevue avec La Presse canadienne quelques instants plus tard, King a souligné qu'il ne s'agissait pas du tout d'un souhait.

«J'ai parlé à plusieurs propriétaires, dont certains sont des amis personnels - des gars comme Fred Wilpon (propriétaire des Mets de New York, qu'il appelle "Freddie") et Jerry Reinsdorf (White Sox de Chicago), notamment. Ils adorent tous Montréal, ils souhaitent tous le retour de Montréal. Ils sont tous d'accord sur le fait que le Baseball majeur a besoin d'une autre équipe au Canada.«Je gagerais que Montréal sera de retour dans le Baseball majeur en 2020.»

L'échéancier avancé par King fait du sens quand on étudie d'un peu plus près les récents propos du commissaire Rob Manfred, qui a rappelé qu'avant de songer à une expansion, le Baseball majeur devait d'abord signer une nouvelle convention collective et régler les dossiers des stades des Rays de Tampa Bay et des Athletics d'Oakland.

La convention collective vient à échéance le 31 décembre prochain. Après plus de 20 ans sans conflit de travail, on peut parier que le Baseball majeur voudra ouvrir les prochains camps d'entraînement avec un nouveau contrat de travail en poche. Ce qui laisse ensuite toute l'année 2017 pour régler les situations à Tampa et Oakland, avant de potentiellement annoncer un processus d'expansion en 2018.

Manfred a déjà mentionné plusieurs fois que ses candidates de premier choix seraient Montréal et Mexico.

King est un grand amateur - et collectionneur - de baseball. Il a grandi à Brooklyn et a assisté au premier match de Robinson avec les Dodgers, alors qu'il était âgé de 13 ans.

«J'ai littéralement grandi dans les estrades populaires d'Ebbetts Field, a-t-il indiqué. Du sang bleu Dodgers coule dans mes veines. Je suis un fanatique de baseball. J'adore toujours les Dodgers, ils seront toujours une grande partie de ma vie. Ça a été un honneur d'assister au premier match de Jackie et de pouvoir plus tard l'interviewer.»

Le vénérable journaliste a toujours eu les yeux tournés vers Montréal, ville qu'il a découverte justement en raison de son association avec les Dodgers.

«Je lisais toujours les statistiques des matchs de la Ligue internationale, particulièrement ceux des Royaux, puisque je voulais connaître les prochains joueurs qui allaient être rappelés par les Dodgers. Bien sûr, Jackie a connu cette incroyable saison 1946 à Montréal.»

Cette année-là, les Royaux ont remporté la Petite Série mondiale à Louisville, dans le Kentucky, «berceau du racisme», rappelle King.

«Quand ils ont gagné le match, les joueurs des Royaux ont porté Robinson en triomphe devant tous les partisans de Louisville. Il fallait le faire.»

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Larry King est d'avis que le Baseball majeur sera de retour à Montréal

 

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FRÉDÉRIC DAIGLE

MERCREDI, 22 JUIN 2016. 19:20

 

MONTRÉAL - Larry King y est allé de toute une prédiction lors du dévoilement des contrats de Jackie Robinson à l'hôtel de ville de Montréal: le Baseball majeur sera de retour.

 

Quelques secondes après que Claude Raymond eut conclu son allocution par un vibrant: "Play Ball! Et accueillons de nouveau les Expos", l'ex-animateur de CNN a pris le micro pour affirmer que le souhait de "Frenchie" allait se réaliser.

 

« Les Expos reviendront ('The Expos are coming back') », a déclaré celui qui agit à titre d'ambassadeur pour Collectors Cafe, propriétaire des contrats originaux signés par Robinson avec les Royaux de Montréal et les Dodgers de Brooklyn.

 

En entrevue avec La Presse canadienne quelques instants plus tard, King a souligné qu'il ne s'agissait pas du tout d'un souhait.

 

« J'ai parlé à plusieurs propriétaires, dont certains sont des amis personnels - des gars comme Fred Wilpon (propriétaire des Mets de New York, qu'il appelle 'Freddie') et Jerry Reinsdorf (White Sox de Chicago), notamment. Ils adorent tous Montréal, ils souhaitent tous le retour de Montréal. Ils sont tous d'accord sur le fait que le Baseball majeur a besoin d'une autre équipe au Canada. « Je gagerais que Montréal sera de retour dans le Baseball majeur en 2020. »

 

L'échéancier avancé par King fait du sens quand on étudie d'un peu plus près les récents propos du commissaire Rob Manfred, qui a rappelé qu'avant de songer à une expansion, le Baseball majeur devait d'abord signer une nouvelle convention collective et régler les dossiers des stades des Rays de Tampa Bay et des Athletics d'Oakland.

 

La convention collective vient à échéance le 31 décembre prochain. Après plus de 20 ans sans conflit de travail, on peut parier que le Baseball majeur voudra ouvrir les prochains camps d'entraînement avec un nouveau contrat de travail en poche. Ce qui laisse ensuite toute l'année 2017 pour régler les situations à Tampa et Oakland, avant de potentiellement annoncer un processus d'expansion en 2018.

 

Manfred a déjà mentionné plusieurs fois que ses candidates de premier choix seraient Montréal et Mexico.

 

King est un grand amateur - et collectionneur - de baseball. Il a grandi à Brooklyn et a assisté au premier match de Robinson avec les Dodgers, alors qu'il était âgé de 13 ans.

 

« J'ai littéralement grandi dans les estrades populaires d'Ebbetts Field, a-t-il indiqué. Du sang bleu Dodgers coule dans mes veines. Je suis un fanatique de baseball. J'adore toujours les Dodgers, ils seront toujours une grande partie de ma vie. Ça a été un honneur d'assister au premier match de Jackie et de pouvoir plus tard l'interviewer. »

 

Le vénérable journaliste a toujours eu les yeux tournés vers Montréal, ville qu'il a découverte justement en raison de son association avec les Dodgers.

 

« Je lisais toujours les statistiques des matchs de la Ligue internationale, particulièrement ceux des Royaux, puisque je voulais connaître les prochains joueurs qui allaient être rappelés par les Dodgers. Bien sûr, Jackie a connu cette incroyable saison 1946 à Montréal. »

 

Cette année-là, les Royaux ont remporté la Petite Série mondiale à Louisville, dans le Kentucky, "berceau du racisme", rappelle King.

 

« Quand ils ont gagné le match, les joueurs des Royaux ont porté Robinson en triomphe devant tous les partisans de Louisville. Il fallait le faire. »

 

http://www.rds.ca/baseball/mlb/larry-king-est-d-avis-que-le-baseball-majeur-sera-de-retour-a-montreal-1.3436782

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Tout le monde fait des raccourcis simplistes là-dedans. Il y a des différences majeures entre Qc et Mtl dans ces dossiers.

 

LNH Qc:

 

- la LNH manifeste peu d'intérêt envers ce marché

- on a construit un gros amphithéâtre 100% public sans aucune garantie d'équipe (ce qui était exigé par la LNH, précisons, mais tout de même...)

- Malgré la popularité du sport à Qc, ce marché demeurerait le plus petit de toute la ligue (et de toutes LES ligues de sports), n'ajoutant finalement que peu de visibilité à la LNH dans l'ensemble existant

 

Baseball Mtl :

 

- MLB ne cesse de montrer son intérêt envers Mtl

- Mtl est le PLUS gros marché sans baseball en ce moment. Un potentiel de visibilité intéressant, d'autant plus qu'on créerait une rivalité pour un pays complet, le Canada.

- MLB n'exige PAS du tout la construction d'un stade AVANT la confirmation d'une équipe. On pourrait jouer au SO pendant la construction du nouveau. Grosse différence.

- Les investisseurs privés sont présents, contrairement à Qc, bien que la facture totale soit plus élevée.

 

Le manque de rigueur des journalistes à ce sujet est frustrant.

 

Cela dit, je suis, par principe, contre un don public pour cet équipement, comme je l'étais pour Qc. Je pourrais accepter l'idée d'avantages fiscaux et de prêts.

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  • 1 mois plus tard...

Passé inaperçu (pour moi) au moment de sa publication :

 

Le baseball a le vent dans les voiles.

 

Voilà une phrase que nous n’avions pas entendue depuis la course au record de coups de circuit qui a opposé Mark McGwire à Sammy Sosa, à l’été 1998. C’est pourtant bel et bien le cas. Le baseball gagne des adeptes, et ce, tant sur le terrain qu’à la télévision.

Alors que le baseball majeur s’apprête à entrer dans une période au cours de laquelle il célébrera pendant quelques semaines (concours de coups de circuit lundi, match des étoiles mardi et intronisation de Ken Griffey fils et de Mike Piazza à Cooperstown fin juillet), on ne manquera certes pas de souligner ce regain de popularité.

Qu’est-ce qui fait en sorte que les amateurs de sport sont de plus en plus nombreux à se tourner vers le baseball et que les inscriptions au baseball mineur sont en forte hausse au Canada?

 

Il y a tout d’abord la présence de vedettes du baseball de plus en plus jeunes et dynamiques. Comme le hockey, le baseball est pris d’assaut par la jeunesse. Les Jaromir Jagr et Joe Thornton, au hockey, de même que les David Ortiz, au baseball, ne constituent pas la norme.

Le passe-temps favori des Américains a aujourd’hui comme visage les Bryce Harper, Mike Trout, Giancarlo Stanton, Carlos Correa, Nolan Arenado, Kris Bryant et Jose Fernandez. À 26 ans, Stanton est le plus vieux du groupe.

Cet engouement renouvelé pour le baseball dans certains marchés est aussi attribuable à un autre élément clé: les succès sur le terrain. Si les jeunes Torontois sont si nombreux à vouloir jouer au baseball, c’est en grande partie en raison des récents succès des Jays.

Il y a de l’espoir

Le facteur «victoire» vient donner espoir à ceux qui travaillent au retour d’une équipe de baseball à Montréal. Il y a de fortes chances qu’une éventuelle équipe ne compterait pas sur un Bryce Harper ou un Mike Trout au sein de son alignement dès le départ, mais une équipe compétitive pallierait l’absence d’un joueur de cette envergure.

Vous en voulez une preuve? Aussi incroyable que cela puisse paraître, l’équipe new-yorkaise qui génère les meilleures cotes d’écoute cette saison n’évolue pas dans le Bronx. Surfant sur leur participation à la plus récente Série mondiale ainsi que sur leur présente course pour le titre de division, les Mets parviennent à rallier plus d’amateurs que les Yankees devant le petit écran.

La rotation partante composée des jeunes Jacob deGrom, Noah Syndergaard, Matt Harvey et Steven Matz, sans oublier l’ancien porte-couleurs des Expos Bartolo Colon, fait écarquiller bien des yeux.

Ce phénomène n’est d’ailleurs pas unique à la Grosse Pomme. Quelle que soit la taille du marché, on a la confirmation que les amateurs seront au rendez-vous si l’équipe offre un produit de qualité et qu’elle gagne sur une base régulière.

Admirablement dirigés par un autre ancien des Expos, Terry Francona, les Indians de Cleveland ont récemment signé 14 gains d’affilée, un record d’équipe. Résultat: on note une hausse importante au chapitre des ventes de billets.

Quant aux cotes d’écoute des matchs des Indians à la télé, elles connaissent également une croissance fulgurante. Pour le mois de juin, on a observé une hausse de 74 % comparativement à celles du mois de juin 2015. Qui plus est, il ne faut pas oublier qu’au même moment, une bonne partie des amateurs de sport de Cleveland consacraient toute leur attention à la conquête du championnat de la NBA par les Cavaliers.

Bref, même des Padres de San Diego dominants gagneraient de nouveaux partisans.

 

http://www.journaldemontreal.com/2016/07/08/la-cle-du-succes

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