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etienne

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Tout ce qui a été posté par etienne

  1. Cette image date de longtemps, c'est tiré de l'étude de préfaisabilité technique du projet, et en effet, il y avait une expropriation d'une bande de 1,5 m de chaque côté. C'est une marge non construite en général ou on retrouve le plus souvent des escaliers. Je pense également que Parc, à cette hauteur n'est pas la meilleur option, le tramway devrait tourner sur Mont-Royal pour aller rejoindre le garage de la STM sur Fullum. C'est l'ancien trajet de la ligne de tramway 52, qui se rendait à l'ancien Forum par Sainte-Catherine. Il est évoqué dans les écrits de Michel Tremblay. Les commerçant de tapis tiennent énormément à leur places de stationnement. Ils craignent ce projet comme la peste. Ce n'est pas pour rien si on recommande d'aller de l'avant avec la ligne Côte-des-neiges.
  2. what about this one ! le tramway passe de René-Lévesque à Notre-Dame. Ça ne se pourra pas avec le projet du MTQ certain, il faudrait... ... UN BOULEVARD URBAIN ?
  3. WOW, c'est vraiment inspirant. Surtout la 3e ligne, qui emprunterait René-Lévesque et puis Notre-Dame jusqu'à Pie-IX, raison de plus pour repenser la rue Notre-Dame comme un boulevard urbain.
  4. Saviez-vous qu'il y avait une proposition semblable faite en 1990 et qui a été renversé par l'intervention de... Héritage Montréal ! J'pense que je viens de trouver un point commun entre Cataclaw et Dinu Bumbaru.
  5. C'est tellement ridicule comme concept marketting "le quartier de la vie". Y'a pas plus générique et vide de sens. Il fallait vraiment un fonctionnaire blasé pour trouver ça. Évidemment qu'on fera pas le "quartier de la mort". Au fait, il existe peut être déja...
  6. Mount Royal condo project too large: report By Jason Magder, The GazetteAugust 11, 2009 3:13 PMComments (15) MONTREAL – Montreal’s public consultation office has recommended developers scale back a housing project planned for the former campus of Marianopolis College. In a report made public Tuesday, the Office de consultation publique de Montréal said the project is an important one because it’s the first test of the city’s Mount Royal protection policy, adopted last April. Développement CATO Inc. plans a $300 million project to build 325 condominium units, townhouses and single-family homes on the 6.5 hectare site. Plans call for the facade of the former college, built in 1894, to be preserved, and to be turned into condominiums. Several multi-storey townhouses would be built around the former college, and there would be an underground parking lot built. The college’s tennis courts would be turned into 10 luxury single-family homes, which would be worth several million dollars. The office said the developers, who bought the land from the Sulpician priests last year for $46 million, wish to increase land use by 70 per cent. While developers say this would still leave 85 per cent of the site undeveloped, the office said the density would be too high for the area. “The commission doesn’t believe this increase conforms to the message of moderation mentioned in the city’s protection policy,” the report states. Several residents who attended consultations said they were upset that the buildings would block the view of the city skyline from Mount Royal Park. The former college is located on Côte des Neiges Rd., at the corner of Cedar Ave. – directly across the street from Mount Royal Park. It has pedestrian access with staircases on either side of the building. source
  7. Amherst et McGill devrait être abolis... bon, OK, juste Amherst. Et on la renomme Maurice Richard.
  8. Non, éclectisme c'est s'ils se mettaient à mélanger les styles, en faisant un collage de différentes influences. Ça s'est vu dans les années 80, avec le post-modernisme, mais heureusement ça n'a pas fait long feu.
  9. En effet, la série est passionnante. Bravo pour l'initiative. Je tripe vraiment sur ton compte Flickr, tu devrait le publier en livre. L'édifice centrale du parlement à Ottawa est considéré gothique moderne, alors que les édifices Est et Ouest sont considérés gothique victorien (victorian gothic revival). C'est que l'édifice du centre a été reconstruit et donc interprété à la manière de 1916 par les architectes Pearson et Marchand. L'édifice originale s'inspirait de la reconstruction du palais de Westminster. Il faut lire sur le débat qu'il y a eut sur le choix du style de la reconstruction de Westminster (entre Élizabethain et Gothique) à une époque ou le style néoclassique était en vogue, surtout aux États-Unis (Washington entre autre), pour comprendre à quel point l'architecture était, à l'époque, tiraillée dans des imitations du passé. Inspirés des monuments grecs, romains, ou les cathédrales du 12e et 13e siècle, ces bâtiments "empruntaient" la forme qu'ils voulaient, selon l'usage, et on "trichait" en dissimulant une structure d'acier ultra-moderne derrière les pierres.
  10. Invitation - Les articulés de la STM arrivent en ville ! MONTREAL, le 10 août /CNW Telbec/ - Le président du conseil d'administration de la Société de transport de Montréal (STM), M. Michel Labrecque invite les médias à un point de presse pour souligner l'arrivée de bus articulés à Montréal. Ce point de presse aura lieu en présence du maire de Montréal, M. Gérald Tremblay et du vice-président du comité exécutif de la Ville de Montréal, responsable du dossier transport, M. André Lavallée. Les journalistes auront droit à une "visite guidée" du bus ce qui leur permettra d'en constater les nouvelles caractéristiques. Des images pourront être prises au moment de l'arrivée du bus sur la rue Notre-Dame, direction Ouest. Quoi : Point de presse / photo-op Date : Le mardi 11 août 2009 Heure : 14 h Lieu : Face à l'Hôtel de Ville 275, rue Notre-Dame Est Montréal Des entrevues individuelles, après le point de presse, seront possibles à l'intérieur du bus. Renseignements: Marianne Rouette, Affaires publiques, (514) 280-5508
  11. Tout ce que vous voyez en gris sur cette carte sont les terres remblayées, du terrain gagné sur le fleuve au fil du temps. Si on sait très bien de quoi est composé ceux de la cité du Havre et de l'île Notre-Dame, soit la terre enlevée pour faire le métro, les terrains du Technoparc sont issu un ancien dépotoir avec des contaminants lourds. Ce n'est pas une petite contrainte pour le projet du Havre, c'est pourquoi ils ont décidé de se concentrer à l'intérieur des terres, sur l'entrée Bonaventure. On ne verra pas le Technoparc se développer d'aussi tôt. Selon moi, on devrait en faire une réserve foncière à long terme et y essayer les techniques de phytoremédiation (selon Wiki: La phytoremédiation est la dépollution des sols, l'épuration des eaux usées ou l'assainissement de l'air intérieur, utilisant des plantes vasculaires, des algues (phycoremédiation) ou des champignons (mycoremédiation), et par extension des écosystèmes qui supportent ces végétaux. Ainsi on élimine ou contrôle des contaminations. La dégradation de composés nocifs est accélérée par l'activité microbienne.)
  12. Publié le 09 août 2009 à 05h00 | Mis à jour à 10h38 La décontamination de l'ex-Technoparc retardée de deux ans Depuis qu'elle a acquis le terrain de l'ex-Technoparc à la fin des années 80, la Ville de Montréal a dépensé 5 millions pour capter les substances toxiques qui coulent dans le fleuve, sans jamais réussir à décontaminer les sols une fois pour toutes. Martin Croteau Cyberpresse La restauration du Parc d'entreprises de la Pointe-Saint-Charles est retardée d'au moins deux ans. La Ville de Montréal souhaitait amorcer le nettoyage de ce vaste terrain contaminé situé au bord du Saint-Laurent cette année, mais les travaux ne commerceront pas avant 2011 ou 2012, a appris La Presse. La décontamination de l\'ex-Technoparc retardée de deux ans Daniel Green, co-président de la société pour vaincre la pollution, prend un échantillon d'eau polluée par les résidus de pétrole sur les berges du fleuve St-Laurent, tout près du pont Victoria. «Il y a déjà eu des études préliminaires et des essais faits au printemps, explique le directeur du ministère de l'Environnement pour la région de Montréal, Pierre Robert. Ça a mis en évidence une problématique environnementale plus complexe que celle qui était anticipée.»Aux abords du fleuve, à quelques mètres à peine du pont Victoria, un muret de plastique orange est tenu en place par des flotteurs noirs. Un fort débit coule d'un côté. De l'autre, à l'abri du courant, des boudins beiges flottent dans une eau stagnante. Ce sont des capteurs qui absorbent les hydrocarbures. Les roches qui se trouvent au bord de l'eau sont couvertes d'une boue qui empeste l'essence. On peut voir l'auréole des taches d'huile flottant sur l'eau. Ce dispositif de captage de la pollution est une «solution temporaire». En juin 2008, la Ville avait annoncé son intention de lancer dans l'année des travaux de nettoyage permanents, mais elle doit attendre encore. Les roches qui se trouvent au bord de l'eau sont couvertes d'une boue qui empeste l'essence. «Les travaux visant à implanter la solution permanente pourraient avoir lieu autour de 2011 ou 2012», affirme Pierre Robert. Autrefois appelé le Technoparc, le site a été une gare de triage ferroviaire, un stationnement pour Expo 67, un aéroport et un dépotoir. Il recèle entre 4 et 8 millions de litres de diesel, ainsi qu'une à deux tonnes de biphényles polychlorés (BPC). Ces substances s'écoulent dans le fleuve depuis le début des années 90, et leurs traces ont été retrouvées à plusieurs kilomètres en aval. En 2005, la Ville a bâti un mur de béton souterrain d'une longueur de 160 mètres afin d'empêcher les polluants de s'écouler dans le fleuve. Un système de flotteurs déployé à deux endroits sur la rive permet de capter des matières toxiques qui coulent dans le fleuve et de les éliminer. Mais cette méthode n'empêche pas les substances toxiques de se retrouver dans le fleuve, affirme l'écologiste Daniel Green. D'autant plus que les flotteurs sont retirés de l'eau en hiver pour éviter qu'ils soient broyés par la glace. «Tous les efforts que déploient la Ville de Montréal pour l'environnement - le Bixi, le transport en commun - sont annulés par cette pollution causée au fleuve», a indiqué le directeur de la Société pour vaincre la pollution. Pierre Robert, lui, prêche la patience. «Ce n'est pas comme mettre de l'asphalte sur une route, lorsque le risque de se tromper est faible, fait-il valoir. Dans ce cas-ci, on ne voit pas en-dessous de la terre. Alors il est très important de faire une analyse fine avant de procéder.» Montréal a acquis ce terrain lourdement pollué des gouvernements fédéral et provincial, dans les années 80. Depuis, elle a déjà dépensé entre 5 et 6 millions pour étudier le problème et contrôler les déversements toxiques. Et à maintes reprises, elle a indiqué qu'elle n'avait pas été avertie de l'ampleur des travaux de décontamination. Une étude de la Commission de coopération environnementale, l'organisme nord-américain de surveillance de l'environnement, a d'ailleurs souligné qu'Ottawa savait dès le début des années 80 que les terrains recelaient des substances toxiques. Mais Montréal a renoncé à toute réclamation auprès des vendeurs en les acquérant. Les autorités municipales ignorent toujours comment s'y prendre pour nettoyer le terrain une fois pour toutes. La Ville a commandé une étude de 1,5 million au Centre d'excellence de Montréal en réhabilitation des sites (CEMRS) pour qu'il lui propose des technologies. Mais elle n'a toujours pas reçu le rapport, qui devait pourtant lui être rendu en février. Le responsable du dossier à la Ville de Montréal, Alan Desousa, a refusé de commenter le dossier, hier.
  13. Un autre clou dans le cercueil des PPP Lisa-Marie Gervais Édition du samedi 25 et du dimanche 26 juillet 2009 Mots clés : Échangeur Turcot, PPP, Gouvernement, Réseau routier, Montréal, Québec (province) La reconstruction de l'échangeur Turcot sera réalisée en mode «hybride» Autre clou dans le cercueil des partenariats public-privé au Québec, le ministère des Transports a confirmé hier qu'il abandonnait ce mode pour la reconstruction de l'échangeur Turcot. En ce contexte de crise économique mondiale, la ministre Julie Boulet a expliqué que les économies de 100 millions que le recours au mode PPP allait permettre n'allaient plus être possibles. Elle a également invoqué le manque de souplesse d'un tel mode pour justifier sa décision, prise à l'issue d'une réflexion amorcée ce printemps. «Je suis au coeur d'une nouvelle communauté fortement urbanisée. La Ville de Montréal et cinq arrondissements sont impliqués [...] je vais avoir besoin de flexibilité», a-t-elle dit. Contrairement aux projets de réfection des autoroutes 25 et 30, planifiés en mode PPP, l'échangeur Turcot est un projet «avec une dynamique particulière» puisque construit en milieu urbain «et non dans un champ». Mme Boulet a indiqué que le projet serait réalisé selon un mode «hybride», soit un mode classique combinant «toutes les meilleures pratiques qui existent», y compris des aspects du mode PPP, comme le partage de risque avec des entrepreneurs et des firmes d'ingénieurs. Cette annonce survient alors que l'appel d'offres, la première étape du choix d'un partenaire en PPP, devait être lancé cet été par Transports Québec. En septembre prochain, le projet devrait être déposé entre les mains du Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE). L'instance aura alors 60 jours pour l'étudier et faire ses recommandations. La ministre promet d'être à l'écoute et de tenter de limiter les expropriations. Elle n'exclut pas la possibilité que certaines suggestions du BAPE puissent conduire à une augmentation des coûts. «D'après ce qu'on entendra aux audiences, il y aura peut-être des ajouts et des bonifications au projet, par exemple pour favoriser le transport collectif. On va évaluer ces demandes des partenaires et les annoncer à la population, a dit Mme Boulet. Mais ce ne sont pas des dépassements de coûts.» Un mode critiqué Le choix du mode PPP pour la reconstruction de cet échangeur de l'ouest de l'île, évaluée à 1,5 milliard de dollars, avait été critiqué de toutes parts. Mme Boulet affirme avoir été à l'écoute des commentaires en faveur de l'abandon du mode PPP pour l'échangeur Turcot. «Ç'a alimenté notre réflexion, mais ce qui était à la base de notre décision, c'est la mise à jour de l'élément économique», a-t-elle assuré. La Ville de Montréal faisait partie des principaux détracteurs de ce choix de mode. «Pour des projets complexes et appelés à évoluer dans le temps, ce n'est pas le mode approprié. Et le gouvernement commence à le réaliser», a dit André Lavallé, responsable de l'aménagement urbain et du transport collectif au comité exécutif, qui interprète ce geste comme une ouverture. Pour Jean-Paul Dupré, ancien professeur associé aux HEC qui a longtemps oeuvré dans le domaine de la construction, le gouvernement n'a fait que succomber à la pression de son électorat. «C'est décevant de voir que les gens en politique agissent de plus en plus en fonction des sondages», a-t-il soutenu. Si l'argument de la crise économique est très valable pour un projet présentant un très haut risque financier, se cacher uniquement derrière l'argument de la récession «ne permet pas de donner des justifications détaillées» sur les motifs réels d'une telle décision. Selon lui, l'idée de retourner à un mode plus traditionnel, où des entreprises d'ici peuvent soumissionner pour les diverses étapes du projet, permet à la province de prouver qu'elle a les choses bien en main, a-t-il ajouté. Pour sa part, le Parti québécois croit que c'est par «dogmatisme» que le gouvernement libéral a continué aussi longtemps sur la voie des PPP avant de faire volte-face. «Il s'est entêté à faire avaler son projet, avec une formule de financement inappropriée et au concept passéiste. Résultat: on vient de perdre une année, alors qu'il aurait fallu travailler d'une seule voix, avec les autorités locales, pour développer un projet intelligent, digne du XXIe siècle», a souligné par voie de communiqué le député Stéphane Bergeron, porte-parole de l'opposition officielle en matière de transport. Déclin des PPP Cette volte-face du gouvernement est certes le signe du déclin de l'intérêt pour le mode PPP, dans lequel le CHUM serait pour beaucoup, soutient Jean-Paul Dupré. «C'est le CHUM qui a le plus causé de tort à l'image des PPP et entraîné un retournement de l'opinion publique», a-t-il noté. S'il est convaincu que le mode traditionnel fera grimper les coûts et rallongera les délais -- en raison de tous les appels d'offres qu'il faudra faire à chaque étape de la construction du projet --, il croit que renoncer au PPP, dans le cas de l'échangeur Turcot et des projets comme le CHUM, demeure parfois la meilleure décision. Ces contrats permettent néanmoins de «stimuler la productivité», insiste-t-il. Avec l'abandon du mode PPP pour ce projet de 1,5 milliard, l'Agence des partenariats public-privé, «une structure complexe et bureaucratique», aura du mal à justifier son existence, croit M. Dupré, qui a collaboré à la construction du pont de la Confédération dans les Maritimes. «Vous avez une agence qui a embauché 30 personnes pendant quatre ans pour avoir les meilleurs contrats. Regardez le salaire de ces personnes, regardez l'argent dépensé», a-t-il dit. Selon lui, quelques personnes suffiraient à faire le même travail, au risque que tout ne soit pas parfait. «Il vaut mieux faire de petites omissions qui vont coûter quelques milliers de dollars que produire un dossier parfait qui aura coûté 30 millions en salaires», a-t-il noté. Le mois dernier, le ministre de la Santé, Yves Bolduc, avait déclaré que l'emploi du mode PPP pour la construction des deux centres hospitaliers universitaires n'était pas «une religion». Il répondait ainsi aux pressions de plusieurs ordres professionnels, fédérations de médecins, syndicats, élus et regroupements de la société civile dénonçant le recours au mode PPP. Quant à l'échangeur Turcot, les travaux doivent débuter cet automne pour se terminer en 2016.
  14. Est-ce qu'il y'avait quelqu'un au 18e étage ou le bloc s'est juste poussé par lui-même ?
  15. WTF ? Latulipe est dans le plateau Mont-Royal, peut importe la config, celle-là est pas au coeur du quartier des spectacle, à deux pas de la place du quartier des spectacle. Elle n'a pas l'ampleur mythique du vieux cinéma Alouette. C'est juste pas le Spectrum dammit Le pire c'est que personne n'a réagit pour la sauver. Oh, sauf peut-être les 15464 personnes qui ont signé la pétition contre sa destruction sans remplacement.
  16. C'est Moshé Safdie Cf. Réponse à la question no.1 Il y a 4 blocs, et au total 7 pièces plus 3 salles de bain, et 3 terrasses. Le salon à une mezzanine ou se trouvait le bureau de Safdie. Non, c'est le mobilier du gars qui habite là qu'on voit sur les photos. Il a une entente avec Moshé Safdie pour rendre l'unité disponible pour les visites (le CCA, l'UQAM, l'OAQ et Docomomo en ont profité jusqu'à maintenant). Son projet est de mettre sur pied une fondation pour le rendre accessible au visites tout l'été, sauf que le syndic des proprios est pas chaud à l'idée. C'est le prix en ce moment. Comme c'est encore à l'état de projet. Selon le plan d'affaire, il faudrait 70 000 $ de revenu par année pour que ce soit réalisable. Il le rendrait disponible aussi aux événements privés. C'est apparemment le prix pour juste la maintenance et les frais de condos. C'est tout ce que je sais. En effet. Y'a pas meilleur vue.
  17. Faut que tu remettes en contexte: à l'époque c'était révolutionnaire, hyper-minimal. Les toilettes faites d'une seule coque par thermoformage, la cuisine était le nec-plus-ultra de frigidaire, et avec toute la mécanique dissimulée sous le plancher, il n'y a pas de plinthes électrique, qu'une fine ligne d'aération au pourtour des mur. Think 1967.
  18. J'ai gardé le contact du gars qui fait les visites. On pourrait en organiser une pour MTLURB, ça revient à 10$ par personne, il faudrait être au moins 20.
  19. Petite visite de l'unité de Moshé Safdie (le 1011) Lundi soir. L'intérieur de cette unité est le même qu'en 67 (maintenant protégé par la loi sur les monuments), c'était la suite de Pierre Dupuis pendant l'Expo. Le général de Gaule y aurait logé le soir du fameux discours du balcon de l'hôtel-de-ville. Quelle vue...
  20. Ben oui, le débat est terminé !?! Pis ça va être vraiment beau à long terme...
  21. Si il y a personne qui règlementait la construction sur le Mont-Royal, il y aurait plus de Mont-Royal. Que des grosses cabannes privées sans accès au public. Il y a mille autre terrain et mille autre opportunités pour le développement autre que sur l'unique Mont-Royal. Autant dire qu'Obama nous a fait entrer dans la nouvelle aire de socialisme. Franchement. Pas fort.
  22. Bien placé quand même le "Granola" : chez SECOR. Sérieux je trouve que l'argument "granola" ou "hippie" est trop souvent utilisé et a pour effet d'écourter le débat avec ceux qui aimeraient qu'on réfléchisse à ce qu'on veut faire avec cette ville. Marcel Côté soulève une question intéressante, sous prétexte qu'à chaque génération on aura des "pôvres" pris avec des terrains immenses qu'ils ne peuvent plus rentabiliser par leur activités, on privatise à chaque fois des morceaux de terrain qui auront pour effet de dénaturer le concept même qui fait du Mont-Royal un fait unique, soit une montagne remplie de verdure en plein coeur du centre-ville. Et ça continue. Chaque génération a ses «pôvres» Sulpiciens, et pour les appuyer, ses maires et ses chambres de commerce qui aiment la construction. Mais il n'y a qu'une montagne à Montréal, et malheureusement de génération en génération, elle rétrécit, comme une peau de chagrin. C'est très bien dit comme ça. Et si vous voulez débattre, proposez quelquechose d'un peu plus fort comme argument que, "c'est un Granola".
  23. etienne

    Canadiens de Montréal

    It all depends on the dwarfs: Gionta 5'7"-175 lbs, Cammalleri 5'9"-185lb, Gomez 5'11"-200 lbs and if "sleepy" wakes up in the net...
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