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mtlurb

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Tout ce qui a été posté par mtlurb

  1. Comme je vous l'avais dit, voici une photo du mystérieux chantier de Yara:
  2. Hey les gars!! Moi aussi je l'aime! C'est de l'art! À conserver à jamais!
  3. mtlurb

    Le 2-22 - 6 étages (2013)

    Je t'invite à lire l'article de ce fil. Il répondera à ta question.
  4. Merci de toutes tes infos cjb! Ne le prend pas mal, mais avoir a choisir entre le 701 et les deux tours...je prend les deux tours sans hésiter. Je suis heureux de savoir que l'espace se fait rare! GDS Calme toi un peu. Je ne comprends pas ta réaction. Pour moi (et pour les autres d'ailleurs) il était clair que cjb travaillait dans le domaine pour être au courant comme ça. Je veux te prévenir avant que tu lui fasses un accueil comme celui-là : supermanmtl travaille aussi dans le domaine et a des infos que l'on ne connait aucunement. Donc, si jamais il décide de nous faire une primeur (comme il a déjà fait avec le 400), ben tâche de simplement le remercier et de ne pas remettre ses infos et lui en question.
  5. mtlurb

    Le 2-22 - 6 étages (2013)

    oooff... t'en demandes une grosse là... L'opéra ont mis des millions pour se faire, je crois pas qu'ils vont laisser tomber la balle si vite.
  6. Toute infrastructure passe par endettement, c'est comme ça que le monde fonctionne... sauf si t'as un puit de pétrole dans le jardin en arrière.
  7. ooooooooooooof.... alors, on va sûrement chercher à "optimiser" l'investissement??? plus de densité dans le coin?
  8. Avec le nouvel étage, 45 nouvelles embauches lundi Je tappes ça et ils font faire un tour guidé de la place aux nouveaux.
  9. Très vrai, après avoir complètement pris le 3ième du CCMM, on commence à prendre une partie du 6ième, qui était en partie utilisée par les archives.
  10. Une poignée de main de 1,2 milliard Àprès plus d'un an de négociations, le gouvernement libéral de Jean Charest s'entend avec la multinationale Alcoa pour moderniser l'aluminerie de Baie-Comeau au coût de plus de 1,2 milliard de dollars. Le premier ministre du Québec, Jean Charest, et le président d'Alcoa, Alain Belda, étaient à Baie-Comeau mardi pour en faire l'annonce. Québec réservera un bloc de 175 mégawatts d'électricité pour ce projet. Le premier ministre a aussi indiqué que Québec accordera un prêt sans intérêt de 228 millions pour aider Alcoa à entreprendre les travaux. L'entente permettra de préserver l'usine Baie-Comeau dont la technologie était vieillissante. Alcoa entend lancer son chantier en 2008 et prévoit terminer les travaux en 2015. Québec estime que ce chantier créera quelque 7000 emplois directs et indirects. Le gouvernement renouvellera aussi, à partir de 2015, un autre bloc de 517 mégawatts ce qui vient stabiliser l'approvisionnement en énergie pour les trois alumineries d'Alcoa au Québec, soit Baie-Comeau, Deschambault et Bécancour. L'accord prévoit aussi un minimum de 3000 emplois dans ces alumineries, dont près de la moitié à Baie-Comeau. Si des emplois supplémentaires sont abolis, la multinationale devra payer une pénalité de 100 000 $ par emploi éliminé. Longue histoire Au cours de ces 50 ans d'histoire, l'usine a connu quatre phases d'expansion et trois propriétaires. La modernisation des installations est à l'ordre du jour depuis le début des années 2000. En 2002, le bloc énergétique de 500 mégawatts promis par Québec pour un projet de développement dans l'industrie de l'aluminium a finalement été accordé au projet d'agrandissement d'Alouette-Alcan au détriment de l'aluminerie Alcoa. Puis, toujours en 2002, un premier projet de modernisation de l'aluminerie avait été accepté par le gouvernement Landry, puis rejeté par Québec un an après l'élection des libéraux. Alcoa s'engageait alors à investir plus de 1 milliard de dollars pour changer les vieilles cuves de l'aluminerie. À l'époque, le projet, et notamment la promesse de réserver un bloc de 175 mégawatts d'électricité au tarif de la grande entreprise, avait été jugé trop coûteux pour le Québec. Au cours des dernières années, le paysage économique s'est toutefois modifié. Le marché de l'aluminium poursuit sa croissance. Parallèlement, Hydro-Québec dispose de surplus d'énergie à un moment où le taux de change rend l'exportation vers les États-Unis un peu moins attrayante. http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/03/04/002-quebec-alcoa_n.asp
  11. Montréal coupe des arbres... et en plantera Selon le SHDM, les arbres coupés «étaient impossibles à transplanter à cause de leur diamètre trop imposant ou parce qu’ils étaient dans une pente abrupte et dotés d’un système radiculaire déficient». Photo fournie par Christian Lecompte Éric Clément La Presse Pour aménager les lieux qui accueilleront la première phase de la place du Quartier des spectacles, la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM) a fait procéder, jeudi, à une autre coupe d'arbres: 20 ormes de Sibérie ont goûté à la tronçonneuse. Et d'autres encore seront coupés. Selon la firme de communication Octane, porte-voix de la SHDM, «environ 40 arbres ont déjà été coupés» dans cette partie du centre-ville de Montréal, non loin du coin des rues Jeanne-Mance et Sainte-Catherine Ouest. Avant de procéder à la coupe de ces arbres, la SHDM a fait évaluer chaque arbre à la firme d'architecture et de design urbain Daoust Lestage. Cette firme n'a pas rappelé La Presse pour préciser comment cette évaluation a été faite. La SHDM avait un permis de l'arrondissement de Ville-Marie. Selon la SHDM, les arbres coupés «étaient impossibles à transplanter à cause de leur diamètre trop imposant ou parce qu'ils étaient dans une pente abrupte et dotés d'un système radiculaire déficient». Il y aura donc encore des coupes. «La coupe des arbres restants est absolument incontournable pour réaliser les travaux, dit Stéphanie Gareau, relationniste d'Octane. 50 000 tonnes de sols seront retirées sous les arbres pour ramener le site en pente douce jusqu'à la rue Jeanne-Mance et installer les fondations de la place.» Aux alentours du 10 décembre, une vingtaine d'arbres, des pommetiers Royalty et des frênes de Pennsylvanie, avaient été sortis de terre et transplantés sur le site du développement résidentiel de Contrecoeur, dans l'est de Montréal. La SHDM pense que cette transplantation a réussi. «On l'a fait avant les grands gels, dit Mme Gareau. C'est la firme qui a conseillé à la SHDM de les planter en décembre.» Pour Jacques Barbe, serriculteur de Saint-Eustache, l'arbre devait être en dormance en décembre et ce n'est qu'au printemps qu'on saura si les arbres survivront. «On a eu un hiver pas trop froid, avec beaucoup de neige au sol, dit M. Barbe. Si cela a été fait dans les règles de l'art, les arbres devraient survivre. Ce qui est très important, c'est la grosseur des mottes de terre qui accompagnaient l'arbre et ses racines et il ne faudra pas qu'il fasse chaud trop vite ce printemps.» Voulant favoriser l'environnement, la SHDM promet qu'elle plantera une centaine d'arbres «de bon gabarit» en 2009 à cet endroit. Elle ne sait pas encore quelles essences seront choisies. http://www.cyberpresse.ca/article/20080304/CPACTUALITES/803040572/7044/CPACTUALITES
  12. Je me demande pourquoi l'auteur de cet article mélange les chose, l'étude de l'IEDM fait partie de cet article. Certes, on parle de paieage, par contre l'IEDM utiliserait les fonds receuillis pour maintenir le réseau routier et non pour les transports en commun comme veut le faire M. Tremblay... On mélange les lecteurs pour pousser l'agenda du maire... déplorable.
  13. Péage: Montréal aurait à négocier avec Ottawa Tristan Péloquin La Presse Aussi alléchante soit-elle pour Montréal, l'instauration de péages à la sortie des ponts reliant la métropole n'est pas gagnée d'avance. En plus de faire face à l'opposition de l'ADQ, l'administration Tremblay-Zampino devrait s'entendre avec la Société des ponts fédéraux avant d'installer la moindre guérite. L'organisme fédéral, qui gère les ponts Jacques-Cartier et Champlain ainsi qu'une partie du pont Mercier et de l'autoroute Bonaventure, assure leur entretien grâce à une enveloppe gouvernementale de 30 millions. «Si Montréal voulait mettre des péages, il faudrait négocier. Cela impliquerait probablement une réduction de crédits de la part du Parlement; c'est un peu naïf de penser le contraire», affirme André Girard, porte-parole de la Société des ponts fédéraux. Pour l'instant, il n'y a aucun projet de la sorte à l'étude, indique-t-on au bureau du ministre des Transports, Lawrence Cannon. La Presse publiait hier les conclusions d'une étude de l'Institut économique de Montréal, selon laquelle l'instauration de péages sur les routes pourrait rapporter 1,6 milliard par année au gouvernent québécois. Dans le cadre de son Plan de transport, la Ville de Montréal envisage déjà l'instauration de tels péages sur les 15 ponts donnant accès à l'île. «C'est une des solutions de financement qui est à l'étude, parmi plusieurs autres. Mais ce qui est à retenir, c'est que les éventuels péages serviraient strictement au financement du transport en commun», indique le porte-parole du cabinet du maire, Maxime Chagnon. Selon le ministère des Affaires municipales, en vertu de la Loi sur les compétences municipales, la Ville de Montréal aurait parfaitement le droit d'installer des péages sur son territoire «dans la mesure où ils sont à la sortie des ponts», explique Jonathan Trudeau, porte-parole de la ministre Nathalie Normandeau. «Prématuré», juge l'ADQ Mais à l'Assemblée nationale, l'idée ne fait pas pour autant l'unanimité. Sans être complètement contre, l'ADQ la juge «prématurée». «Le problème, c'est que l'offre alternative est loin d'être adéquate, tant sur le plan du transport collectif que sur celui du réseau routier», estime le député adéquiste Pierre Gingras, porte-parole de l'opposition officielle en matière de transport. «Tant que le réseau n'est pas complété, il n'y a aucun véritable moyen de contourner Montréal sans passer par les ponts. Imposer un péage équivaudrait à prendre la population en otage» affirme-t-il. «Nous croyons aussi que les automobilistes paient déjà trop pour ce qu'ils reçoivent. En plus du coût relativement élevé des immatriculations et du permis de conduire, chaque fois qu'il y a une hausse du prix de l'essence, ça représente une hausse de taxe qui va directement dans les comptes du gouvernement. Pourtant, les routes ne sont pas mieux entretenues», commente le député. Le Parti québécois se montre quant à lui plus favorable à l'idée des péages. «Nous avons cependant certaines conditions, affirme le député Serge Vallières. Il faut que ces péages soient liés à un plus grand développement du transport en commun. Il faudrait qu'on s'engage sur des projets très tangibles - comme le système léger sur rails de l'estacade du pont Champlain et le train de banlieue de La Prairie, par exemple - ou qu'on arrête enfin d'en parler», dit-il. http://www.cyberpresse.ca/article/20080304/CPACTUALITES/803040569/1019/CPACTUALITES
  14. Genivar fait l'acquisition de EXH Engineering 3 mars 2008 - 11h28 Presse Canadienne Grossir caractèreImprimerEnvoyer Le Fonds de revenu Genivar (GNV.UN), une firme de services de génie-conseil basée à Montréal, se porte acquéreur de EXH Engineering Services Ltd., une entreprise de l'Alberta qui compte 275 employés dans 14 bureaux. EXH est spécialisée en transport et en infrastructures municipales. Le montant de la transaction n'a pas été précisé. En procédant à cette annonce lundi, la direction de Genivar a indiqué que cette acquisition représente un jalon important pour le développement de la plateforme de la compagnie dans cette province. «Avec EXH au sein de notre équipe, Genivar devient un acteur clé en transport et en infrastructures municipales, deux marchés qui demeureront vigoureux pour les années à venir. Nous poursuivrons l'élargissement de notre équipe dans tous nos autres marchés, particulièrement en bâtiment, en environnement, en industriel et en énergie», a déclaré Pierre Shoiry, président et chef de la direction de Genivar. La transaction a été complétée le 29 février. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080303/LAINFORMER/80303120/5891/LAINFORMER01
  15. Men's Wearhouse fermera son usine de Montréal 3 mars 2008 - 17h41 Presse Canadienne The Men's Wearhouse (MW), l'entreprise américaine du vêtement propriétaire des 116 magasins Moores au Canada, a annoncé lundi la fermeture de son usine de Montréal en juillet, ce qui entraînera l'élimination de 540 emplois. La société de Houston a expliqué sa décision en évoquant la vigueur du dollar canadien et la forte concurrence de l'importation dans le secteur du vêtement d'affaires de la part de concurrents en Asie et ailleurs. Le fondateur, président et chef de la direction de Men's Wearhouse, George Zimmer, a indiqué dans un communiqué que la décision avait été très difficile à prendre et qu'elle n'avait pas été prise à la légère. Selon M. Zimmer, Men's Wearhouse ne pouvait plus «nager à contre-courant» vis-à-vis de l'appréciation du dollar et de la concurrence de l'importation, deux facteurs qui l'ont forcée à réduire sa production canadienne d'environ 50%. La nouvelle a été annoncée en fin d'après-midi lundi, après la fermeture des marchés. La fermeture de l'usine n'aura aucun sur les 116 magasins Moores au Canada, a précisé la société. Fondée en 1973, Men's Wearhouse est un des plus grands détaillants spécialisés dans le vêtement pour hommes, avec 1273 magasins. L'action de Men's Wearhouse a progressé lundi de 11 cents US à 23,15 $ US à la Bourse de New York. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080303/LAINFORMER/80303194/5891/LAINFORMER01
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