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Tout ce qui a été posté par mtlurb

  1. P.S. Rien ne sera construit en passant, Bombardier va occuper des locaux vacants.
  2. Bombardier uniting 1,550 development workers at Montreal's Technoparc February 25, 2008 - 3:16 pm By: Ross Marowits, THE CANADIAN PRESS MONTREAL - Bombardier's (TSX:BBD.B) growing aerospace business has prompted the aviation giant to unite more than 1,500 development workers at a new campus in Montreal's Technoparc. The aviation company's aerospace product development centre will be relocated to a leased site and be joined by engineers, IT workers and employees working primarily on new projects, including the CSeries aircraft. Additional workers could be added to the site should Bombardier formally launch the CSeries, as expected, later this year, Bombardier spokesman Marc Duchesne said Monday. "Since most of these programs are still under development they wanted to centralize all these resources in the same area to help facilitate the work together between all these different program members," he said in an interview. Teams of workers will begin moving from other locations in April. They will share the four-building campus with Nortel Networks (TSX:NT), which once occupied much of the one million square feet of space near Pierre Elliott Trudeau Airport during the optical boom. Nortel now leases a couple of floors in one building for the remaining 550 employees working out of the site, said a company spokesman. Bombardier plans to transfer 350 product development and 600 IT workers from a building it plans to vacate. Another 250 core engineers and nearly 200 people working on the CSeries will be relocated from the company's administrative headquarters. Some 150 employees working on the Learjet 85 business aircraft will be transferred from Wichita, Kansas and Montreal. Bombardier's arrival is welcome news for the Technoparc, which had seen the numbers of workers at the site dip to 5,000 from 6,200 a few years ago. "For us, it's good news," Technoparc CEO Mario Monette said in an interview. In 2000, the first of several facilities were built in the Technoparc, which is billed the largest centre dedicated to high-tech research and development in Canada. The leased buildings that Bombardier will occupy are owned by Belmont Equities of Mississauga. Bombardier shares gained 12 cents, at $5.74 Monday on the Toronto Stock Exchange. http://www.news1130.com/news/business/article.jsp?content=b0225152A
  3. Montreal goes to Chicago Windy City gets its own comedy festival Montreal’s prestigious Just For Laughs comedy festival is spreading its wings – with a new festival in Chicago. The 25-year-old event, a long-time favourite of talent-spotting American TV executives, has teamed up with the TBS network for the new festival in summer 2009. It comes after the rival HBO cable network cancelled its comedy arts festival in Aspen, Colorado, in favour of a less industry-orientated event in Los Angeles. Ellen DeGeneres will headline the five-day event, but the rest of the line-up – including stand-up, improv and sketch shows, plus Latino and black showcases, will not be announced until the autumn. Steve Koonin, president of Turner Entertainment Networks, sad: ‘We couldn’t be happier that the enormously talented and always funny Ellen DeGeneres is on board. Just For Laughs: A Very Funny Festival is a perfect opportunity for us to showcase some of the best talents in the comedy industry.’ Just For Laughs president Gilbert Rozon added: ‘Looking back, it’s hard to believe that Just For Laughs started out as a small local comedy showcase and has grown and evolved to become one of the biggest producers of comedy in the world. We are thrilled to be involved in this endeavour with TBS, and to have Chicago as our flagship comedy event in the US.’ Chicago has an illustrious comedy heritage, especially with improv and sketch acts, with comedians such as John Belushi, Tina Fey, Bill Murray, and Steve Carell starting their careers there. http://www.chortle.co.uk/news/2008/02/20/6439/montreal_goes_to_chicago?rss
  4. http://maps.google.com/?ie=UTF8&ll=45.505738,-73.556219&spn=0.002639,0.004989&t=h&z=18
  5. mtlurb

    Gare Viger

    J'espère bien, le promoteur n'as pas revu son projet pour y inclure des HLM?? Quoi de plus pour ces chialeurs?
  6. J'ai mis il y a quelques semaines de ça le nombre de camions qui sortent/rentrent du port à chaque jour. On parle je me rapelle bien de 3000 par jour. Soit un camion au 30 secondes 24/7.
  7. La notre dame actuellement à une multitude de feux de circulations qui ne font que créer une fausse congestion, les gens viennent de la 25 (ou 720) à une certaine vitesse et ils doivent ralentir considérablement ou arrêter à cause des feux lors des heures de pointes. Le traffic est automatique. Là le MTQ veut réduire et éliminer le rouge durant les heures de pointes, cela va considérablement réduire le temps de parcours. Mais la congestion ne pourra jamais être éliminée complètement (tout le monde doit être à la "même place" au même moment). Évidemment éliminer les autoroutes et les rues réduisent le nombre d'autos, faut vraiment avoir un phd pour nous dire ça? Mais quel en sont les coûts économiques et de pertes d'opportunités de toutes sortes? Voyons donc, faut être raisonnable. Il n'y a pas eue de nouvelles voies rapides dans la grande région de Montréal depuis les 20 dernières années pendant ce temps là la population à augmenté de plusieurs centaines de milliers (2 fois laval) de gens (et d'autos), l'économie à grossi et plus spécifiquement le port de Montréal n'as jamais été aussi occupé. Les gens de ton camps se plaignent qu'il n'y jamais rien pour le transport en commun, en 20 ans il y a eu l'ajout de 3 lignes de trains de banlieu, quelques stations de métro, et plus important une augmentation de capacité sur toute les lignes, avec plusieurs projets sur la table. Le développement des voies rapide et le transport en commun depuis 20 ans ont rien de comparable. En passant, ton milieu urbain m'intrigue, il n'y a rien d'urbain là, je dirais que c'est industriel. Personne ne se promène sur la notre dame, il n'y a pas de commerces avec des façades y donnant. Des hangars et des conteneurs, rien d'urbain là dans, joue pas avec les mots. Moi je suis pour un équilibre entre les deux et ne penche ni pour l'un ni pour l'autre, je suis pour le développement des transports en commun ET des infrastructures routières.
  8. hehehehe J'y crois pas une miette Étienne, on parle pas de doubler une autoroute. On parle de rendre une rue en une autoroute pour éliminer les feux et les arrêts inutiles. Me semble qu'on compare pas les mêmes choses.
  9. C'est ça, toi te placeras dans la sous-compacte, moi dans le SUV, avec une collision directe (qui sont les plus meurtrières) et on va voir qui va sortir le plus magané. J'ai un ami qui s'est fait ramasser solide dans sa petite sentra contre un jeep, l'autre gars à rien eu (en plus pour en rajouter il était saoul), mon ami s'en remet encore, ça fait encore 18 mois. Devine c'est quelle auto qu'il s'est procuré pour remplacer sa sentra perte totale, sûrement pas une compacte.
  10. Habsfan, tu viens de prouver que tu ne sais pas lire Toutes les voitures que t'as nommé sont des berlines intermédiaires et non compactes. En plus je parle de "mes enfants" non "d'un enfant". Et finalement je parle de " SI j'avais le choix" dans le sens que tu mets ces deux types d'autos devant moi, je n'hésiterais pas à choisir le SUV. J'ai présentement un berline intermédiaire et aucun enfant, je vois pas pourquoi tu me sautes à la gorge pour une situation hypothétique.
  11. Évidemment, c'est surtout due au "rollover", plus un véhicule est haut, plus il a de chances de se renverser. Par contre, choisir entre placer mes enfants dans une compacte ou pire sous-compacte (pour protéger la nature) contre un SUV, je crois que j'y penserais même pas deux fois. Mes priorités sont à la bonne place.
  12. C'est ce que je vous disais par rapport au Hilton (400): Si un bâtiment respecte les règles d'urbanisme, il n'y a pas de raisons de faire une consultation publique.
  13. Le samedi 23 février 2008 Flou autour du futur «Red Light» Sara Champagne La Presse Un certain flou entoure la construction de l'édifice «Red Light», la future porte d'entrée du Quartier des spectacles au centre-ville. Après une expropriation et une démolition qui auront coûté un demi-million à la Ville de Montréal, le 2.22 Sainte-Catherine a été démoli cette semaine, mais aucun projet n'a été présenté à la table des élus. Au cabinet du maire, on a expliqué à La Presse hier qu'un seul projet est présentement étudié par le Service de mise en valeur du territoire et du patrimoine de la ville centre. Après analyse, il sera soumis directement au comité exécutif de l'administration Tremblay, sans passer par l'arrondissement de Ville-Marie, comme le souhaiterait le maire Benoît Labonté. «Il s'agit d'un projet métropolitain, qui sera construit au centre-ville, explique Renée Sauriol, attachée de presse du maire de Montréal. Gérald Tremblay a déjà dit qu'il s'occuperait personnellement du développement du Quartier des spectacles, et c'est ce qu'il fait. Tout ce que je peux vous dire, c'est qu'on procède rapidement, on ne parle pas d'années.» Le projet étudié par la Ville est en fait celui de la Société de développement Angus, d'abord évalué à 16 millions (maintenant à 15 millions), avec des subventions provinciales et fédérales totalisant 5 millions. Il consiste à ériger un immeuble de six étages avec une vitrine culturelle au rez-de-chaussée, qui regrouperait un guichet d'information et de promotion culturelle et la vente de billets. La Ville de Montréal n'a pas l'intention d'accorder d'autre financement au groupe Angus, mais elle assure son appui une fois «l'entente conclue», ajoute Mme Sauriol. Bref, la balle sera bientôt dans le camp du promoteur, donc de la Société de développement Angus. Christian Yaccarini, président-directeur général du Technopôle Angus, explique qu'afin de se conformer aux règles d'urbanisme et de ne pas avoir à passer par des audiences de l'Office de consultation publique de Montréal, la hauteur du futur «Red Light» est passée de huit à six étages. Il ajoute que son groupe entend tenir une assemblée publique sur son projet, probablement en juin, et qu'il est ouvert à rencontrer tous les élus concernés, même ceux de Ville-Marie. «Nous, ce qu'on espère, c'est être en mesure d'effectuer la première pelletée de terre à l'automne 2008, et l'inauguration un an plus tard, à l'automne 2009. Nous ne sommes plus certains que la Société de musique contemporaine du Québec et CIBL vont se joindre à nous, mais ce ne sera pas un problème d'aller chercher des partenaires», affirme M. Yaccarini, qui se dit satisfait que la démolition ait eu lieu après un long processus d'expropriation de plus de deux ans.
  14. euh, c'est sûr, mais les maronites ont un style d'église, que tu trouves peut-être pas beau mais c'est ton opinion. Je vois pas pourquoi tu dois te moquer de ce style, je crois pas avoir entendu dire des libanais que les églises québecoises ressemblent à des étables. :stirthepot:
  15. La fin du pétrole, pas de la voiture Mathieu Perreault - La Presse Photo Archives La Presse - Agrandir La fin de l'ère du pétrole ne siginifie pas nécessairement la fin de l'automobile, estiment les spécialistes. Pour beaucoup d'écologistes, la fin de l'ère du pétrole est synonyme de la disparition de l'automobile. Moins de stations service, plus de trains, tramways et métros à gogo, et des kilomètres de rues piétonnes. Pas si vite, disent cependant deux journalistes du mensuel The Economist. Dans leur livre Zoom, ils admettent que la consommation de pétrole ne pourra pas continuer à augmenter indéfiniment. Mais ils considèrent que l'automobile est trop pratique pour disparaître. «C'est dommage pour les gens qui détestent les automobiles, mais la fin du pétrole ne signera pas l'arrêt de mort de la voiture», a expliqué, en entrevue depuis Londres, l'un des coauteurs, Iain Carson. «Les transports en commun ne peuvent tout simplement pas remplacer totalement les déplacements individuels. Et du point de vue du transport des marchandises, le camion est tout simplement indispensable sur les derniers kilomètres.» L'idée du livre est venue à M. Carson après une discussion avec l'ancien président de Ford, Alex Trotman (décédé en 2005). «C'était un Écossais comme moi, alors nous avons eu des discussions à bâtons rompus. Une fois, il s'était plaint du fait que l'industrie automobile est tenue responsable de tous les maux environnementaux. Alors qu'en fait, le problème, c'est le pétrole. En y réfléchissant bien, et en discutant avec mon collègue qui couvre l'industrie du pétrole, la pertinence d'un livre est devenue évidente. Nous avons même découvert que Jane Jacobs, la grande ennemie de la banlieue, ne tenait pas l'automobile responsable du déclin des centres-villes.» Pour faire le point Le livre ratisse large, et parvient à faire le point sur plusieurs aspects du débat. Tout d'abord, on apprend que les premières voitures étaient à 90% électriques. Henry Ford a même acheté une voiture électrique à sa femme en 1908. Le premier brevet de moteur hybride à l'électricité et à l'essence date de 1905. Il a fallu l'apparition du démarreur électrique, en 1912, pour que le moteur à essence se démarque définitivement. Auparavant, on devait tourner une manivelle, une opération éreintante et souvent dangereuse. Le recul soudain a cassé bien des bras. Zoom fait aussi le procès des partisans du «pic du pétrole «, qui préviennent que d'ici peu, la production d'or noir va nécessairement chuter faute de nouvelles découvertes de gisements. «Quand on assiste à leurs réunions, on dirait qu'on se trouve en présence d'anciens alcooliques, ou de revendeurs de drogue repentis, dit M. Carson. Ce sont très souvent d'anciens membres de l'industrie pétrolière. Ils font montre d'une émotion messianique. Ils ignorent totalement les gisements de pétrole non conventionnels, et les avancées de la technologie d'exploitation des puits. De toute façon, je ne pense pas qu'on ait besoin de prédire un pic de pétrole pour chercher à remplacer l'essence comme carburant automobile. Les sables bitumineux de l'Alberta, par exemple, vont durer longtemps, mais ils sont extraordinairement polluants. Ça ne peut tout simplement pas durer.» Les journalistes sont toutefois optimistes. M. Carson note que les gains d'efficacité des moteurs hybrides n'ont pas été entièrement utilisés pour augmenter la puissance de moteurs, contrairement aux améliorations des 20 dernières années. «Je ne comprends pas ceux qui s'indignent de retrouver un moteur hybride dans un 4X4. C'est tout de même mieux qu'un moteur à essence conventionnel. Le 4X4 Lexus hybride, par exemple, n'a pas plus de puissance que la version normale.» http://monvolant.cyberpresse.ca/200802/19/dossiers/techno/7119-la-fin-du-petrole-pas-de-la-voiture.php
  16. mtlurb

    Gare Viger

    Homburg montre ses couleurs Les Affaires Le drapeau du nouveau propriétaire a commencé à flotter dans la salle des pas perdus de la Gare centrale, au centre-ville de Montréal. Richard Homburg, 58 ans, a investi près de un milliard de dollars au Québec en achetant l'immeuble de la Gare centrale du Canadien National et la fiducie Alexis Nihon en 2007. Sa société Homburg Invest est prête à injecter encore trois milliards au Québec et au Canada au cours des huit prochaines années. À Montréal, Richard Homburg travaille de concert avec la famille De Gaspé-Beaubien sur le redéveloppement du Château Viger, un projet de 400 millions, et construit la deuxième phase du 333, Sherbrooke Est, un immeuble de condos de luxe. Il sera le conférencier d'honneur du prochain Sommet immobilier de Montréal qui se tiendra le 1er avril. http://www.lesaffaires.com/article/1/publication--lesaffaires/2008-02-23/472298/homburg-montre-ses-couleurs.fr.html
  17. c'est sûr que tu peux construire n'importe quoi quand tes travailleurs de construction gagnent 1$ de l'heure (et je suis généreux).
  18. La construction tirera l'économie jusqu'en 2011 Les Affaires, 00:00 Récession, vous dites ? Pas dans la construction, en tout cas. L'industrie connaît un niveau d'activité digne de l'effervescente des années 1970. Hausse des heures travaillées et embauche massive sont au menu des prochaines années. Organisme chargé de veiller à l'application des conventions collectives dans l'industrie de la construction, la Commission de la construction du Québec (CCQ) voit la conjoncture favorable se prolonger jusqu'en 2011, récession américaine ou pas. Pour 2008, la CCQ prévoit 128 millions d'heures, une hausse de 3 % par rapport à 2007. Ce nombre grimpera à 140 millions en 2010 et 2011. Plan québécois des infrastructures Le gouvernement du Québec prend les bouchées doubles pour récupérer le retard dans l'entretien de ses infrastructures. En cinq ans, 30 milliards de dollars seront investis dans les écoles, les hôpitaux, les routes, les aqueducs et les égouts. " Ces investissements profiteront grandement à l'industrie de la construction ", a souligné David Whissel, ministre du Travail, lors de la conférence de la CCQ sur les perspectives économiques de l'industrie, qui s'est tenue le 3 décembre. En parallèle, Hydro-Québec a reçu le feu vert de Québec pour ouvrir les vannes de son réservoir de projets. Pas moins de 31 milliards de dollars seront investis dans l'énergie en 10 ans. Bref, l'activité ne manquera pas dans la voirie, le génie civil et l'institutionnel. Il suffit que l'activité se maintienne dans l'industriel et le commercial pour que les prévisions de la CCQ se réalisent. Les économistes de la CCQ s'attendent à ce que les mises en chantier du secteur résidentiel ralentissent au cours de la période 2008-2011, pour des raisons démographiques. Le secteur a toutefois surpris en 2007 tandis que le nombre de logements mis en chantier a de nouveau franchi le cap des 50 000 unités. Au Nord Où seront situés les points chauds ? Le Nord ignore les soubresauts économiques du Sud, m'a dit récemment un industriel de Joliette, Mario Gareau, des Industries Harnois, qui vend des mégadômes pour les entreprises minières. Le volume de travail doublera à la baie James grâce au chantier d'Eastmain-1-A-Rupert. En Abitibi-Témiscamingue on conservera un niveau d'heures travaillées comparable à 2007, en attendant le premier coup de pelle de la mine d'or Osisko, à Malarctic. Le secteur industriel permettra à la Côte-Nord d'atteindre une croissance de 5 %, en attendant le signal du départ du méga chantier des centrales de la Romaine de 1550 mégawatts de puissance. " Si tout va comme on le souhaite, les travaux du complexe Romaine devraient s'amorcer dès 2009 ", dit Réal Laporte, président d'Hydro-Québec Équipement et pdg de la Société d'énergie de la Baie James lors du congrès annuel de l'association des constructeurs de routes et grands travaux du Québec le 16 janvier. Recherché : 56 000 travailleurs Toute cette effervescence nécessitera l'embauche de 14 000 travailleurs par année, dont 10 000 seulement pour combler des départs à la retraite, pendant quatre ans. Fin 2007, l'industrie comptait 134 000 travailleurs actifs. Ce nombre approchera les 150 000 à la fin de 2011. Ce niveau a été atteint la dernière fois lors de la période 1974 à 1977. " On va déballer bientôt notre plan d'action pour les cinq prochaines années. Fiez-vous sur nous et sur l'industrie. On a augmenté le nombre de travailleurs de 50 000 dans l'industrie [depuis 1995], on va rester vigilant pour réussir à combler les besoins de main-d'oeuvre ", a dit André Ménard, pdg de la CCQ, en marge de la conférence annuelle. Hommage aux constructeurs Les Affaires veut refléter le dynamisme du secteur en consacrant un dossier immobilier aux grands constructeurs. Nos collaborateurs ont dressé le profil de deux constructeurs tirant leur épingle du jeu, le premier dans les grands travaux et l'autre dans la construction de copropriétés divises à Montréal. Les sujets d'actualité comme la prolifération des résidences pour personnes âgées, l'acceptation sociale d'un projet d'envergure et la certification environnementale des immeubles figurent aussi au menu de ce dossier spécial. Bonne lecture. http://www.lesaffaires.com/article/1/publication--lesaffaires/2008-02-23/472385/la-construction-tirera-leconomie-jusquen-2011.fr.html andre.dubuc@transcontinental.ca
  19. Un nouveau pont pour remplacer Champlain ? Les Affaires, La Société des ponts fédéraux devrait construire au plus vite un nouveau pont de 8 à 10 voies au lieu de continuer à mettre de l'argent dans la réparation du pont Champlain. C'est du moins ce que soutient une étude - jamais rendue publique - que la firme de génie-conseil Génivar a réalisée pour la Société des ponts fédéraux en 2006, affirment plusieurs sources bien au fait du dossier. À un milliard de dollars, la construction d'un nouveau pont coûtera moins cher si elle est entreprise dans de courts délais. Plus la Société des ponts attend, plus les coûts grimperont, et plus l'entretien du pont Champlain vieillissant coûtera cher. Le nouveau pont permettrait en outre de réserver deux voies pour le projet de train léger entre la Gare centrale et Brossard, proposé par l'Agence métropolitaine de transports l'an dernier et jugé prioritaire par Québec. Le cabinet du ministre fédéral des Transports, Lawrence Cannon, précise cependant qu'aucun projet de nouveau pont n'est prévu pour l'instant. " Le tablier du pont est encore bon pour une quinzaine d'années ", affirme Catherine Loubier, directrice des communications du cabinet. La Société des ponts fédéraux refuse de rendre l'étude publique; même Transports Québec n'y a pas accès. http://www.lesaffaires.com/article/1/publication--lesaffaires/2008-02-23/472299/un-nouveau-pont-pour-remplacer-champlain-.fr.html
  20. Un nouveau pont pour remplacer Champlain ? Les Affaires, La Société des ponts fédéraux devrait construire au plus vite un nouveau pont de 8 à 10 voies au lieu de continuer à mettre de l'argent dans la réparation du pont Champlain. C'est du moins ce que soutient une étude - jamais rendue publique - que la firme de génie-conseil Génivar a réalisée pour la Société des ponts fédéraux en 2006, affirment plusieurs sources bien au fait du dossier. À un milliard de dollars, la construction d'un nouveau pont coûtera moins cher si elle est entreprise dans de courts délais. Plus la Société des ponts attend, plus les coûts grimperont, et plus l'entretien du pont Champlain vieillissant coûtera cher. Le nouveau pont permettrait en outre de réserver deux voies pour le projet de train léger entre la Gare centrale et Brossard, proposé par l'Agence métropolitaine de transports l'an dernier et jugé prioritaire par Québec. Le cabinet du ministre fédéral des Transports, Lawrence Cannon, précise cependant qu'aucun projet de nouveau pont n'est prévu pour l'instant. " Le tablier du pont est encore bon pour une quinzaine d'années ", affirme Catherine Loubier, directrice des communications du cabinet. La Société des ponts fédéraux refuse de rendre l'étude publique; même Transports Québec n'y a pas accès. http://www.lesaffaires.com/article/1/publication--lesaffaires/2008-02-23/472299/un-nouveau-pont-pour-remplacer-champlain-.fr.html
  21. Un centre commercial de 200 millions $ dans la carrière Saint-Michel Mise en ligne 22/02/2008 04h00 fctAdTag("bigbox",MyGenericTagVar,1);dcmaxversion = 9dcminversion = 9DoOn Error Resume Nextplugin = (IsObject(CreateObject("ShockwaveFlash.ShockwaveFlash." & dcmaxversion & "")))If plugin = true Then Exit Dodcmaxversion = dcmaxversion - 1Loop While dcmaxversion >= dcminversion Marie-Eve Fournier Le Journal de Montréal Un centre commercial et récréatif de 200 millions de dollars commencera à être construit dans la carrière Saint-Michel dans moins de 2 ans. SmartCentres s’est entendue avec la Ville de Montréal pour acheter une partie du terrain au coût de 10 M$. Le promoteur immobilier ontarien SmartCentres, qui reluquait l’immense superficie depuis trois ans, a annoncé hier que son projet pouvait enfin aller de l’avant. La prochaine étape sera la tenue d’audiences publiques qui permettront aux citoyens de se prononcer sur les plans et d’avoir accès aux études d’impact. SmartCentres prévoit construire un centre commercial de 75 000 m2, un peu plus grand, donc, que le Mail Champlain de Brossard (67 500 m2). « Ce sera un mélange de petits, de moyens et de grands commerces, comme au Quartier Dix30 », a précisé au Journal John Gardonio, vice-président, développement du promoteur. L’identité des futurs locataires n’a pas été révélée. SmartCentres soutient qu’aucune discussion en vue de la signature de baux n’a encore été entamée. Le projet « unique au monde », qui se veut aussi un pôle récréotouristique, comprendra une zone d’escalade, un lac, des belvédères et une piste cyclable. 2 800 emplois La Corporation de développement économique communautaire (CDEC) Centre-Nord accueille favorablement la nouvelle. « Quelque 900 personnes qui habitent le quartier trouveront un emploi dans ce projet », se réjouit Denis Sirois, directeur général de l’organisme. SmartCentres s’est engagée à encourager les détaillants à embaucher au moins 55 % de résidants de Saint-Michel. Au total, le projet créera 1 600 emplois, et 1 200 autres pendant la phase de construction. - On estime à 1,6 G$ la valeur des achats effectués par les résidants de Saint-Michel à l’extérieur de leur quartier. mefournier@journalmtl.com http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2008/02/20080221-223956.html
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