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  1. This article is simply opinion. But talks are to begin in 2016. http://montrealgazette.com/news/local-news/opinion-progress-toward-special-status-for-montreal-has-been-way-too-slow Sent from my iPhone using Tapatalk
  2. Croissance surprenante du PIB québécois Les analystes ont été surpris par la hausse du PIB québécois en août. Cette nouvelle donnée vient remettre l’économie du Québec sur les rails. Le PIB du Québec a bondi de 0,4 % en août, un gain qui s’ajoute à l’augmentation de 1,5 % en juillet, et qui se compare à une progression de 0,3 % à l’échelle canadienne. Ce faisant, pour les huit premiers mois, la progression du PIB québécois s’inscrit à 1,1 % par rapport aux mêmes mois de 2012, comparativement à 1,5 % au Canada, selon les données de l’Institut de la statistique du Québec (ISQ). « La hausse du PIB du mois d’août est généralisée dans presque tous les grands secteurs d’activité économique », a souligné l’ISQ. Cette activité a toutefois été plombée par un recul de 0,5 % dans le secteur de la construction. Compte tenu de la faiblesse des derniers trimestres, ce rapport est le bienvenu, a écrit Matthieu Arseneau, économiste principal à la Financière Banque Nationale. « L’activité économique atteint un niveau record dans le secteur des services, et la production industrielle affiche un second gain mensuel consécutif, une première en 2013. » L’analyste met cependant en exergue le poids du recul de l’activité dans la construction et son effet d’entraînement sur les dépenses de consommation. À ses yeux, la performance d’août ne devrait pas être suffisante « pour empêcher l’économie de décélérer pour une troisième année consécutive en 2013 ». Au Mouvement Desjardins l’économiste principale, Hélène Bégin, a précisé que la statistique d’août excède les attentes. « Les diverses statistiques mensuelles publiées récemment par Statistique Canada étaient plutôt mixtes, ce qui ne laissait pas présager un résultat aussi positif. L’activité économique au Canada, qui a progressé de 0,3 % en août grâce à l’impulsion du secteur de l’énergie, plaçait la barre haute pour le Québec. » Le Québec devait au moins récupérer le terrain perdu au fil de 2013, « c’est maintenant fait ». Mme Bégin va plus loin. Au-delà de l’effet de surprise, le gain mensuel est significatif. « Il permet de solidifier les bases de l’économie qui semblaient chancelantes depuis quelque temps. L’acquis de croissance du PIB réel pour le troisième trimestre se situe à 3,3 %, ce qui remettra le Québec sur les rails. » L’analyste maintient sa prévision de croissance du PIB québécois pour 2013 à 1,2 %. http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/393907/croissance-surprenante-du-pib-quebecois
  3. Dégradation accrue de l'abordabilité au Canada Publié le 29 octobre 2013 à 10h39 | Mis à jour à 10h39 Maxime Bergeron La Presse (Montréal) Le marché immobilier canadien est moins abordable qu'il ne l'a été en moyenne depuis 25 ans, indiquent de nouvelles statistiques publiées mardi matin. Selon le Mouvement Desjardins, «l'indice d'abordabilité» a reculé presque partout au pays pendant le troisième trimestre, conséquence directe du rebond récent des ventes de maisons. «Les prix des propriétés, qui ont progressé plus rapidement que les revenus des ménages au troisième trimestre, ainsi que la légère remontée des taux hypothécaires expliquent cette détérioration», souligne Hélène Bégin, l'économiste principale du groupe. Desjardins calcule son indice d'abordabilité en faisant le ratio entre le revenu disponible moyen des ménages et le revenu nécessaire pour obtenir une hypothèque sur une résidence au prix moyen. De toutes les villes canadiennes, c'est maintenant à Sherbrooke où le marché immobilier est le moins abordable, indique le rapport. Les maisons y sont certes moins chères qu'à Vancouver ou Toronto, mais les salaires y sont aussi nettement inférieurs. Vancouver est la deuxième ville la moins abordable du pays, suivie de Québec et Trois-Rivières. Remontée récente Les ventes résidentielles sont reparties à la hausse dans plusieurs villes de pays au printemps, après le coup de frein enregistré à l'été 2012. «La remontée des taux hypothécaires au cours de l'été a provoqué un effet d'empressement auprès des acheteurs, souligne Hélène Bégin. Plusieurs d'entre eux sont passés à l'action craignant que les taux hypothécaires montent davantage.» La remontée des prix enregistrée depuis le début de 2013, combinée à la hausse des taux, a contribué à réduire encore davantage l'abordabilité pour une majorité de Canadiens. La valeur moyenne d'une propriété s'établissait à 386 000$ au pays en septembre, une hausse de 8,8% sur un an. La reprise est si fulgurante que le ministre des Finances, Jim Flaherty, compte rencontrer sous peu les principaux promoteurs du pays pour mieux comprendre les causes de ce nouveau boom. Il dit cependant ne «pas vouloir interférer» dans le marché, comme il l'a déjà en resserrant à quatre reprises les règles d'emprunt depuis 2008. Au Québec, la progression des prix a été beaucoup plus modérée et des reculs commencent même à être enregistrés dans certains secteurs. Le «surplus de copropriétés» est à blâmer pour ces baisses, souligne Hélène Bégin. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201310/29/01-4704879-degradation-accrue-de-labordabilite-au-canada.php
  4. http://www.oprah.com/own-super-soul-sunday/21-Swings-How-Perfect-Strangers-Make-Beautiful-Music-Video
  5. http://www.huffingtonpost.ca/2011/10/19/yvon-gingras-quebec-drunk-driving_n_1020885.html When will the idiots in Quebec change the law? Are they waiting for one of them or one of their family members to be run over
  6. pedepy

    Montreal, Expos'd

    this is kinda old, but it's well written and pretty interesting from an 'historical' point of view, of sorts ... it's a 1999 washington post tourism piece, set in the context of a d.c. man visiting montreal, and going to a ball game "to see the team washington will probably inherit". it nicely highlights the city's unique attractions, all the while quite accurately summing up the general mood that surrounded baseball in montreal at the time. oh, and for extra sentimentality, read with in the background ... ----------------------------------- Montreal, Expos'd Visiting the City Whose Team Might Call D.C. Home By Mike Tidwell The Washington Post Sunday, July 11, 1999 Hundreds of crazed fans in this crowd of 5,000 foreigners begin standing and savagely slamming the backs of their chairs up and down, up and down to register their intense approval of what's going on on the playing field. The act creates sharp explosions of sound not unlike small-arms fire. The only people not banging chairs, it seems, are the sticky-fingered children eating deep-fried dough or forking strange mounds of fried potatoes laced with cheese and gravy. Suddenly, down on the field halfway through this "match," something bad happens for the home team. The French-speaking fans begin yelling at the mostly Spanish-speaking players: "Pourri! Pourri!" Rotten! Rotten! People whistle and blow long, booming plastic horns. I am, of course, taking in a major league baseball game in Montreal. I'm watching the pinstriped Expos on their home turf, a nine-inning experience that's perhaps the best multicultural adventure available to Washingtonians within easy flying distance of Reagan National Airport. It's a spectacle, a combination of God's two greatest inventions: baseball and international travel. As a junkie for both, I'm borderline apoplectic, immersed in fastballs and home runs, foreign billboards and surnames I can't pronounce. But a worrisome question nags as I sip my Molson: Do we really want these guys? Unless you're tone deaf to sports news, you probably know there's rampant speculation that the financially troubled Expos may move to the D.C. area. So I've come here as more than a sports tourist. I'm on a scouting mission, crossing the border for a sneak preview. I've already told my 2-year-old son, an emerging fan back in Takoma Park, that this is his team. He wears a tiny Expos hat when we play Whiffle ball in the back yard. But seeing this team firsthand reveals the naked truth: They're awful. Just now, an Expos batter strikes out on four pitches against the Philadelphia Phillies, triggering grumbles from the sparse crowd at Olympic Stadium. The team mascot--an orange and hairy something called "Youppi" (French for "hooray")--leads the fans in more chair-slamming fun, trying to keep a rally alive. The next batter runs the count full, teasing the fans, before popping out to the pitcher. More grumbles. The Expos have the lowest team payroll in baseball and some of the youngest players--and they are off to one of their worst starts in the team's 30-year history. Two nights ago, the players committed six errors in a single game. Again: Do we really want these guys? The answer, of course: Oui! Si! Yes! Please! Pretty please! Pretty please with whipped cream and a new, stylishly retro downtown stadium within easy walking distance of the Metro on top! Expos second baseman Wilton Guerrero steps to the plate as Youppi waves his hirsute arms wildly and the fans begin yelling things in French I can't understand. Guerrero, like the rest of the team, is in a terrible slump, and he falls behind in the count just as I come to a realization: Whatever happens in this game, I'll leave without regrets. If the Expos decamp for Washington, this will be the last summer to see French Canadian big-league baseball, a phenomenon worth catching before it goes, if for no other reason than it provides something found nowhere else in North America: minor league baseball with major league players. For anyone fashionably tired of big pro salaries, high ticket prices, arrogant players and the hassle of big crowds, the Expos offer the best of all worlds. I took a cheap Air Canada flight here, spent two days touring one of the world's great cities, and now I'm getting the farm league treatment: a tiny crowd, players barely old enough to shave, a crazy marriage proposal in the stands brokered by the mascot, and a wooden outfield scoreboard with numbers updated manually by teenagers. All this for the ridiculously low ticket price of less than $5 U.S. and a seat so close to the action that I can almost smell the pine tar. Guerrero bounces to second for an out, ending the inning. I do the only sensible thing. I order another Molson. My innkeeper in downtown Montreal, Madeline, says in accented English, "So what if the Expos leave town? There are many things fantastique and unique in Montreal besides just the Expos." She's right, of course, and during my two-day stay I'm determined see some "things fantastique" before hitting the ballpark. I begin by renting a mountain bike and pedaling straight to the top of Mont Royal, the dramatic, forested mountain (okay, a big hill) in the dead center of town that gives the city its name. A winding gravel road takes me through stands of Canadian maples to a beautiful summit park designed by Frederick Law Olmsted. It's odd to stand at the grassy pinnacle and be eyeball to eyeball with the tops of skyscrapers just 10 blocks away. On the way down, pausing for great views of the lovely St. Lawrence River, I pass a pair of oddly segregated cemeteries--one for French speakers, one for English speakers--a site that mutely summarizes the long-festering cultural divisions within Quebec. I pedal to the cobblestone streets of Old Montreal, a 40-square-block delight of colonial structures and alleyways filled with horse-drawn caleches and itinerant artists. A warm spring sun has unloosed crowds of diners on the city's Euro-gamut of outdoor cafes, bistros and restaurants. The legendary French Canadian reputation for highly developed leisure skills is on full display this Sunday afternoon amid a sea of white tablecloths and red wines so good that even the vin de maison is a pretty sure bet. I eat grilled salmon served rare with escargots on a bed of scallions and garlic, and nearly swoon. The next day is game day. I visit the Old Fort on St. Helen's Island, in the middle of the St. Lawrence River, before heading to Olympic Stadium. After the War of 1812, the British prepared for a possible American invasion of Montreal by building this moated fortress with eight-foot-long cannons and two-meter-thick stone walls. As something of an invader myself, I grow slightly self-conscious inside those walls. Maybe I'm paranoid, but the eyes of those period-dress sentries make me think they're onto me, pegging me as the expeditionary fingertip of Washington's long arm reaching up to snatch the Expos. I make a discreet but hasty exit. I arrive three hours before the game, leaving plenty of time to tour the flag-festooned Olympic Park. I buy a ticket for the highly touted gondola ride rising from the spine of Olympic Stadium. Photos of the 1976 Games ornament the waiting area: Nadia Comaneci, Kornelia Ender, Sugar Ray Leonard. But I soon learn something unexpected about myself: Facing backward in a gondola rapidly moving upward at a 45-degree angle makes me afraid. At the top, pale and sweating, I take in a dramatic aerial view of the famous Olympic Village, the Montreal Botanical Garden and the city's 1967 international Expo site. Back on terra firma, there's time for one more stop: Moe's Deli and Bar, where Expos fans gather. It's a friendly place with exposed-brick walls, barbecued ribs and desserts kept in an old phone booth by the bar. It's happy hour--two-for-one Labatt beers--till well past game time, perhaps to anesthetize the fans for the poor play sure to follow. I sit at the bar next to Daniel, a baseball-hatted Expos loyalist, who has a message for D.C. fans. "Don't accept our Expos," he tells me. "You've lost two teams of your own before, so you know what it feels like. Please don't do this to us." I grimace and finish my second Labatt and push back my stool while Daniel, like all Montrealers I meet, remains a friendly sport to the end. "When you reach the stadium," he says, "buy the cheapest ticket in the house. It's only $7 Canadian [$4.80 U.S.]. Then, after the first pitch, sit wherever you want." "A $7 seat, please," I tell the stadium ticket seller moments later, handing over my money. I walk through the turnstile, past the popcorn and pennant venders, toward Section 139, right field. Virtually alone in my area, I take in batting practice amid thoroughly modern trappings: artificial turf, a space-age stadium roof, a gargantuan replay screen in center field. But already it doesn't quite feel like major league baseball. First, of course, there's the ticket price, about a quarter of what you'd pay at Camden Yards. Then there's the action on the field. An Expos coach is pitching batting practice using a wobbly shopping cart full of baseballs, and he's throwing to the beat of French rock music blasting over the P.A. Thirty feet below me, two teenage boys are standing on a crude scaffold, diligently updating a sprawling pre-World War II-type wooden scoreboard that gives results from around the league. This old-fashioned work, utterly exposed to those of us in the cheap seats, involves taking scores from a press-box official, then reaching into several wooden troughs for wooden slabs hand-painted with numbers and sliding them into the appropriate slot. One of them wears a felt Gatsby hat. I exit the stands for a quick pregame bite. "One order of poutine," I tell the uniformed attendant at a concession stand. Poutine, a uniquely Quebecois concoction combining french fries, cheddar cheese and beef-stock gravy, is so popular that it's served at McDonald's restaurants throughout the province. I watch the cook in back combine the fries and cheese in a tall paper cup, then slop on a ladleful of thick gravy from a stainless-steel vat. He pauses and then, momentarily indecisive, adds a second, heaping ladleful. I'm back at my seat in time for the national anthem, spearing dripping mouthfuls of poutine with a fork. For extreme junk food, it's not so bad, though halfway through the serving my stomach begins making odd noises that compete with the junior high school band playing "O Canada" with tubas and French horns on the field. The Expos take the field next, and the crowd, sprinkled more or less evenly across the stadium, begins banging empty seats up and down in preparation for the opening pitch. Twenty-five-year-old Expos pitcher Mike Thurman is on the mound, and as he warms up you can almost sense the whole place cringe. With an 0-2 record and an ERA of 8.05, he's the worst pitcher on the second-worst pitching staff in the National League. Just two nights ago, Expos pitchers gave up 17 runs in a game. But the first pitch from Thurman is a strike on the outside corner, and cheers go up just as the strange migration begins. True to Daniel's prediction, everyone in the stands not already seated behind home plate makes a beeline for amazingly choice (and empty) lower-level seats just 20 rows from the field (above a narrow VIP section) in an arc from dugout to dugout. I grab the rest of my poutine and join the exodus. By the end of the first inning, we fans are huddled cozily around home plate. In the third inning, the Expos stage a mini rally. Third baseman Mike Mordecai lines a clean single to left, and the juices start flowing in the stands. I get caught up in the excitement--this is my team, too--so I stand and begin slamming the back of my chair and cheer madly like those around me. The noise coming from these fans is, no exaggeration, as much as I've heard from crowds four times as big in other parks. Despite the high-decibel support, the rally sputters when Thurman strikes out trying to lay down a bunt. Next to me, a serious fan named Jean Yves Leduc is studiously scoring the game. He says he's attended at least 40 Expos home games every year for the past two decades. He puts down his scoring pencil and reminisces about highlights, including the 22-inning game against Los Angeles in 1987 and the time he shook hands with third baseman Tim Wallach in the parking lot before a game. "I could feel all the calluses on Wallach's hand from taking extra batting practice every day," Yves says. "I'll never forget those calluses. He was so dedicated to this team and to the game." And what will Yves do if the Expos leave town? "I had a talk with my girlfriend," he says, "and I decided that, with all my new free time, I would just go ahead and get married and have a life." It's the top of the fourth when Thurman makes a mistake pitch and Phillies right-fielder Bobby Abreu lifts a second two-run homer into left field. Four-zip, Philadelphia. "One more Phillies run," mutters the old farmer next to me after removing his teeth, whistling and putting them back in, "and I'm going home to watch hockey." Halfway through the fifth inning, Yves gets into an animated conversation with a hot dog vendor. It's all in French, and they both laugh a great deal, and I ask Yves what's so funny. "The crowd's so small tonight that the stadium is telling all the vendors--when they go back for more hot dogs--to go home. They're getting paid for only half a game. But this vendor's decided to avoid the order by not going back to resupply. That way, he can at least get his base pay for the rest of the game." Sure enough, the vendor walks away with a smile, barking to the crowd, "No hot dogs here! No hot dogs! Pas de chiens chauds!" Unexpectedly, the Expos make a heroic comeback with three runs in the seventh, while a young relief pitcher called up from Double-A somehow keeps the Phillies scoreless. By the bottom of the ninth, the drama escalates. The Expos are down 4-3 with two outs and a man on second. First baseman Ryan McGuire, who has power, steps to the plate. We may be few, but we fans do our best. Youppi claps his hairy orange hands and directs our cheers to the field. Chairs are banging. The vendor has stopped not selling hot dogs and is rooting like everyone else. The scoreboard guys are smoking nervously, peeping through a hole in the outfield scoreboard. The guy with the false teeth, true to his word, has stayed to the end. On a 2-1 pitch, McGuire lifts a towering blast to left field. We jump for joy and cheer louder and louder. But the Phillies's left fielder refuses to give up on the ball. He drifts back, back, back and, incredibly, makes the catch standing against the outfield fence. Five thousand people collapse in their seats in anguish and disbelief. It was a good game, and the young Expos have no reason to drop their chins. But there is something very sad about the way these previously boisterous fans shuffle slowly out of the stadium. An unusually large number stop and linger at souvenir stands by the exit gates. Souvenir. A French word meaning "to remember." For many of these fans, this may very well be the last time they see their Expos. They buy hats, T-shirts, pennants. To remember. I take the Montreal Metro back to downtown thinking two things. First, I sincerely hope Montreal figures out a way to keep its team, and prosper, even if it means we in D.C. don't get one. Second, if the Expos do come to us, I can't wait for the day when I can take the Washington Metro to a baseball game with my son. I'll really show him how to make a stadium chair hum. ----------------------------------- :rolleyes:
  7. Le Québec est en récession, estime Desjardins Éric Desrosiers Édition du vendredi 06 février 2009 La crise s'annonce moins grave qu'en 1991 Au nombre des mauvaises nouvelles dont a tenu compte le Mouvement Desjardins, on compte le fléchissement de la confiance des ménages ainsi que la baisse des ventes au détail. Le Québec est probablement en récession depuis le mois de novembre, estime le Mouvement Desjardins. Ce recul de l'économie devrait durer au moins jusqu'à l'été, mais s'annonce moins grave que la dernière crise, il y a 18 ans. Les statistiques officielles sur le produit intérieur brut (PIB) pour le mois de novembre au Québec ne seront pas connues avant le 25 février. Les plus récentes données sur le marché du travail, la consommation, le secteur immobilier, les exportations et les marchés financiers permettent cependant de conclure que l'économie québécoise a déjà commencé à se contracter, a affirmé hier le Mouvement Desjardins, au moment de dévoiler la plus récente lecture de son Indice précurseur. Ces statistiques donnent en effet à penser qu'après avoir fait du surplace en octobre, le PIB réel a reculé en novembre de 0,5 % à 1 %. «Ce recul devrait marquer officiellement le début de la récession au Québec», a noté Hélène Bégin, économiste senior de l'institution financière. Il faudra toutefois patienter encore quelques mois, a-t-elle dit, pour avoir une idée plus précise de l'ampleur de la récession. Pour le moment, l'économiste a dit s'attendre à un recul de 0,5 % du PIB réel pour l'ensemble de l'année 2009, soit une baisse relativement modeste en comparaison de la dernière, qui avait été de - 2,7 % en 1991. Sombres statistiques Faisant la synthèse de plusieurs statistiques économiques, l'Indice précurseur Desjardins (IPD) a fléchi de 0,8 % au mois de décembre. Cette baisse était la troisième consécutive, le mois d'octobre ayant accusé un premier recul de 0,5 %, et le mois de novembre une autre chute de 0,7 %. Au nombre des mauvaises nouvelles dont a tenu compte le Mouvement Desjardins, on compte le fléchissement de la confiance des ménages ainsi que la baisse des ventes au détail. Le marché du travail a aussi reculé, avec 7400 pertes d'emplois en décembre qui ont fait grimper le taux de chômage de 7,2 % à 7,3 %. «D'autres mises à pied sont attendues d'ici le printemps, a prévenu Hélène Bégin, ce qui fera grimper le taux de chômage autour de 8,5 %.» La chute du nombre de transactions sur le marché immobilier a amené, jusqu'à présent, une stabilisation du prix des maisons, a observé l'économiste. Mais «une détérioration plus importante de la conjoncture économique risque de provoquer une situation de surplus qui pourrait entraîner des baisses de prix». Après les 11 premiers mois de 2008, les exportations québécoises accusaient un retard de 3,6 % par rapport à la même période l'année d'avant. À voir la gravité de la crise aux États-Unis, la situation continuera à se dégrader. Dans l'espoir d'aider la reprise économique, la Banque du Canada a déjà réduit son taux directeur à un niveau jamais vu de 1 %. «Étant donné l'assombrissement des perspectives économiques au pays et le repli de l'inflation, une autre diminution est prévue en mars», a annoncé Hélène Bégin.
  8. Le prix des maisons risque de baisser * Hugo Joncas, Les affaires * 10:10 Banque Laurentienne prévoit une baisse de 5 % du prix des habitations sur une période de deux ans. Ça y est : les économistes n'écartent plus une baisse du prix des maisons au Québec. L'automne dernier, ils avaient prévu une stagnation des prix, mais la récession américaine est plus grave que prévu, la situation pourrait donc se corser. "Si les pertes d'emplois se poursuivent, que la confiance des ménages reste faible et que la morosité économique continue d'inciter à la prudence, ça pourrait baisser", dit Hélène Bégin, économiste au Mouvement Desjardins. Mme Bégin, qui vient de publier une mise à jour sur le marché immobilier, pense que le prix des maisons au Québec pourrait baisser d'au plus 5 % si la situation économique ne s'améliore pas en cours d'année. Le scénario principal de Mme Bégin mise cependant sur une stabilisation des prix, sans baisse. Valeurs mobilières Banque Laurentienne est plus pessimiste. Dans une note publiée le 16 janvier, Sébastien Lavoie prévoit une baisse de 5 % du prix des habitations sur une période de deux ans. "Quand il y a une récession au Québec, il y a une baisse du prix des maisons", écrit l'économiste. Consolez-vous, il y a pire ailleurs dans le monde. En Irlande, Morgan Kelly, un économiste du University College Dublin, craint que la chute des prix de l'immobilier dans l'île atteigne 80 %
  9. Le Québec tiendra-t-il le coup? * Léonie Laflamme-Savoie , Finance et Investissement * 10:53 Le secteur des exportations représente un maillon faible, selon Desjardins. Photo : Photos.com L’économie québécoise serait à l’abri d’une récession profonde selon les dernières analyses publiées par Desjardins. La force du marché du travail et du marché immobilier contribuerait jusqu’ici à contrebalancer le manque de confiance des consommateurs québécois. Selon Desjardins, peu de statistiques seraient actuellement compatibles avec le scénario d'un début de profonde récession. Pour l'instant, le marché de l'emploi demeure solide ce qui permet de soutenir pour l'instant les dépenses de consommation. De plus, le peu de dépendance que le Québec entretient envers le secteur de l'automobile devrait s'avérer utile pour l'économie. « Le manque de vigueur récent de l'économie québécoise est pour l'instant insuffisant pour provoquer des mises à pied massives d'une ampleur semblable à celles des deux dernières récessions, soutient Hélène Bégin, économiste senior chez Desjardins. Notre scénario table sur une hausse d'environ 1,5 % des dépenses en biens et services au dernier trimestre de 2008 et au premier trimestre de 2009, soit la moitié de la croissance observée en première moitié d'année. » Elle demeure toutefois prudente et ne ferme pas la porte à une détérioration plus importante de la situation : « Étant donné le faible niveau actuel de la confiance, une baisse de la consommation est possible, ce qui plongerait l'économie du Québec en véritable récession. » Quant au marché immobilier local, bien qu'il n'ait pas connu le même genre de bulle spéculative que son homologue américain, il n'est pas complètement à l'abri de la tempête actuelle. Un peu partout, la demande a ralenti de façon significative dans le segment haut de gamme, qui est d'ailleurs plus vulnérable à une baisse de prix. « Plutôt que de réduire la cadence de la construction, les conditions économiques moins favorables ont pour effet de déplacer la demande vers les produits moins dispendieux tels que les maisons jumelées et les copropriétés », précise Hélène Bégin. Les exportations connaissent également des temps difficiles, la chute de la demande américaine leur a fait prendre un plongeon important durant les derniers mois. En effet, le déficit commercial a par conséquent atteint un niveau record de plus de 25 milliards (en termes réels), ce qui tranche avec le surplus du début de la décennie. « Il s'agit du maillon faible qui distingue le cycle actuel de l'économie québécoise et qui entraînera cette fois-ci une légère récession », prédit Hélène Bégin. On serait toutefois très loin des conditions qui prévalaient lors de la dernière grande récession de 1990. En effet, le contexte général est nettement plus favorable qu'à cette époque et à moins que le marché du travail se détériore significativement, entraînant la consommation et le marché immobilier dans son sillon, la demande intérieure devrait rester cette fois en territoire positif Articles de l'industrie
  10. Pénurie de main-d’oeuvre en vue au Québec À compter de 2013, la population âgée de 15 à 64 ans, celle en âge de travailler, commencera à décliner au Québec. Photo Robert Mailloux, La Presse Pierre Saint-Arnaud Presse Canadienne Montréal Le Québec doit agir dès maintenant pour intégrer le maximum de citoyens au marché du travail car l'immigration et la natalité n'arriveront pas à compenser les effets du choc démographique qui est à nos portes. Une analyse rendue publique mercredi par le département d'études économiques du Mouvement Desjardins démontre que l'économie québécoise aura du mal à trouver la main-d'oeuvre requise à compter de 2013. C'est à compter de cette année, selon les projections de Statistique Canada, que la population âgée de 15 à 64 ans, celle en âge de travailler, commencera à décliner au Québec en raison des départs massifs à la retraite de baby-boomers et d'un nombre insuffisant de jeunes pour les remplacer. L'agence fédérale précise que, même si le vieillissement de la population touche tout le Canada, le phénomène est plus marqué au Québec en raison d'un plus grand nombre de naissances durant le baby-boom. Ainsi, contrairement à celle du Québec, la population de 15 à 64 ans en Ontario et dans le reste du Canada continuera de croître à compter de 2013, quoiqu'à un rythme moins rapide. Le gouvernement de Jean Charest a déjà annoncé qu'il entend augmenter le nombre annuel d'immigrants pour le porter à 55 000 d'ici 2010 afin de compenser en partie ce manque de travailleurs. Toutefois, selon Hélène Bégin, économiste principale au Mouvement Desjardins, l'immigration ne viendra même pas près de combler les besoins. «Les calculs des démographes de Statistique Canada montrent qu'il faudrait 300 000 immigrants par année au Québec pour empêcher une baisse du bassin de main-d'oeuvre, dit-elle. C'est à peu près l'immigration totale canadienne et c'est impossible à atteindre. Par contre, même si ce n'est pas la solution, c'est une partie de la solution.» Un autre élément de solution, bien que difficile à contrôler, est le taux de fécondité, que Québec cherche à encourager par le biais de services de garde accessibles et de congés parentaux plus généreux. Cette approche s'est d'ailleurs montrée efficace au-delà de toute attente, alors que le Québec a connu, avec 84 200 naissances en 2006, une hausse de 8 pour cent. Ce rythme ne s'est toutefois pas maintenu en 2007, la croissance chutant à 3 pour cent et les données préliminaires de 2008 laissent entrevoir une progression similaire à l'an passé. Quoiqu'il en soit, le taux de fécondité n'a augmenté que de 1,5 à 1,7 enfant par femme depuis 2005, ce qui est encore loin des 2,1 requis pour remplacer la population et, de toute façon, même ce taux ne solutionnerait pas le problème à court ou moyen terme, souligne Mme Bégin. «Puisque le bassin de main-d'oeuvre est âgé de 15 à 64 ans, même si on augmentait la fécondité, ça prendrait une vingtaine d'années avant d'avoir un effet, précise-t-elle. La fécondité peut être une solution à très long terme, alors qu'on s'en va vers une baisse du nombre de travailleurs dans cinq ans.» Il est donc essentiel, selon l'économiste, de trouver des moyens pour accroître ce bassin en augmentant la part de la population en emploi. Pour ce faire, les gouvernements doivent oeuvrer sur plusieurs fronts, à commencer par une meilleure intégration et une meilleure rétention des travailleurs immigrants, dont une proportion importante continue de quitter le Québec pour d'autres provinces, notamment l'Ontario, après quelques années. Mme Bégin souligne néanmoins les efforts du gouvernement Charest pour intégrer les quelque 400 000 personnes sans emploi mais aptes et disponibles au travail, un potentiel dont le Québec ne pourra plus se priver, selon elle. Elle suggère également de trouver des moyens pour faciliter l'accès au travail de travailleurs atypiques, comme les femmes ayant de jeunes enfants ou les gens ayant des horaires irréguliers, en augmentant par exemple l'offre de services de garde les soirs et fins de semaine. Elle estime enfin qu'il serait nécessaire d'encourager davantage les travailleurs à demeurer actifs plus longtemps en éliminant au maximum les obstacles à la retraite partielle ou même en repoussant l'âge de la retraite. Mme Bégin souligne qu'il y aura des gagnants et des perdants de cette rareté de main-d'oeuvre. Les jeunes, notamment, y trouveront leur compte. «Déjà, les jeunes ont beaucoup plus de facilité à se placer et ça va s'accentuer au cours des prochaines années, dit l'économiste. Pour eux, c'est très encourageant. Ils ont un bel avenir et pas seulement avec des formations universitaires, mais aussi dans les emplois techniques et les métiers. Il va y avoir de l'emploi dans l'ensemble des catégories.» À l'opposé, la rareté risque de pousser les salaires à la hausse, ce qui aura probablement pour conséquence d'aggraver la situation du secteur manufacturier exportateur, indique Mme Bégin. «L'augmentation des salaires, à notre avis, va favoriser davantage le déplacement du secteur manufacturier dans des pays où les salaires sont plus faibles. Et c'est certain que le déclin du secteur manufacturier qui est déjà commencé va se poursuivre et c'est vraiment le secteur des services qui va prendre le relais. C'est un peu la continuité de ce qu'on observe actuellement, mais ça pourrait donner un plus grand coup, selon que les entreprises arrivent à s'ajuster ou non», précise-t-elle. Cette situation pourrait être particulièrement problématique pour les PME, qui sont davantage sensibles aux fluctuations salariales à la hausse.
  11. La Gazette se permet un méga liste d'infrastructure en réparation et à venir. Je copie l'article ici, mais je vous averti, elle est longue cette liste. Source: http://www.canada.com/components/print.aspx?id=1250a439-510a-4947-8b97-ee3995f04682 What construction holiday? After years of infrastructure neglect, a quiet revolution is under way to overhaul Quebec's roads and bridges DAVID JOHNSTON The Gazette Saturday, August 02, 2008 This summer's construction holiday has turned out to be a holiday in name only. Sort of like the summer of 2008 so far. One image dominates. It is of the eastbound Highway 20, at the Turcot interchange. Orange pylons are configured into one giant funnel, forcing motorists into a single lane up through the interchange to the Ville Marie Expressway downtown. Why one lane? Because construction work is going on. During the construction break. The 41-year-old Turcot, slated for demolition over six years beginning next July, has been getting some geriatric care. The ensuing traffic bottlenecks have been stretching back the full length of the Turcot yards. Cue in frequent bursts of intense rain, and you get a picture of the summer of 2008. But it isn't just Montreal. It's the same in all of Quebec, as far as the supposed construction holiday is concerned. Normally, the drills and the jackhammers are silent during the last two weeks of July, and traffic flows freely. But not this year. Because after years of infrastructure neglect, a not-so-quiet revolution is under way, thanks to the Charest government and the federal infrastructure-support program conceived by the former federal Liberal government. An unprecedented $2.7 billion in provincial money and $3.2 billion overall is being spent on road and bridge infrastructure renewal in 1,800 locations throughout Quebec this year. "This is a record year for Quebec," said Nicole Ste-Marie of the Quebec Transport Department. But this is only the beginning of something much bigger. A three-year overhaul of the Mercier Bridge began in May. A six-year reconstruction of the entire Turcot interchange is to begin July next year. This fall, the first actual work on the proposed new Dorval interchange is expected to begin. And then there's the proposed new downtown-airport shuttle waiting in the planning wings. And that's just the western suburbs of Montreal. The Mohawks of Kahnawake saw all this coming. Five Mohawk firms are currently doing repair work on the Mercier. The local band council looked at the Mercier and Turcot projects and put two and two together and came to the realization that commuter traffic is going to be very difficult between the south side of the Mercier and downtown Montreal over the next six years. As a result, the band council has been lobbying for a commuter-rail station for Kahnawake on the Delson-Candiac line. "We're afraid a lot of our kids going into CEGEP and university in Montreal are going to look at the traffic and say, 'Well, forget about it,' " said Joe Delaronde, a band-council official. Dorval Mayor Edgar Rouleau said he has received assurances that measures will be taken to minimize disruption for motorists when the Dorval project gets under way. But he said Montreal has no choice but to move ahead with improving the state of the rail and road infrastructure serving the airport. Things aren't just bad; they're embarrassingly bad, he says. "Can you imagine? You come from Europe. You're finally out of the airport. You're in this taxi or bus, and you're stopped in traffic under the railway bridge (beside Dorval Circle) and you look up and you see screens to catch any concrete that might fall down on you." The September 2005 collapse of the de la Concorde Blvd. overpass in Laval, which killed five people, showed that the consequences of infrastructure neglect can be deadly. Since the Concorde incident, the provincial government has done a thorough review of Quebec's infrastructure and established new priorities for repairs and new undertakings. The Gazette today publishes a map describing 10 of the most important projects in and around the Montreal region, either under way or on the near time horizon. - - - 1. TURCOT INTERCHANGE Background: In June 2007, the provincial government announced a plan to tear down the elevated interchange and replace it over six years, beginning next summer, at a cost of $1.5 billion. Most of the new Turcot network will be built at surface level, although there will be a few elevated ramps - notably linking the new Highway 20 with the higher ground of the Décarie and Ville Marie Expressways. Highway 20 through the Turcot yards will be rebuilt more to the north, closer to the Falaise St. Jacques escarpment. That, in turn, will make the Turcot yards contiguous with adjoining industrial properties along the Lachine Canal, and make it more attractive for redevelopment. What's new: Various interchange ramps have been undergoing reinforcement work this summer, creating traffic bottlenecks. Provincial environmental hearings are likely to begin in the fall. The government has begun negotiations to buy land required to carry out the interchange modernization. Work is to begin next July. About 180 housing units are to be demolished. Tenants who are dislodged will receive at least three months' rent as compensation. 2. NOTRE DAME ST. E. Background: In development limbo since the late 1960s, a nine-kilometre stretch of Notre Dame St. E. was finally given the green light for modernization last November. A new "urban boulevard" was approved over the other option, a sunken Décarie Expressway-like highway. Quebec will pay $625 million of the $750-million cost, the city of Montreal $125 million. What's new: Public hearings were held last winter to work out operational details. As a result, changes were announced in May. Among other things, traffic-light synchronization will be altered to let traffic move with fewer red-light stops; one lane will be reserved for carpoolers; the entire nine-kilometre stretch will be subject to photo radar. Construction is to begin in October. 3. HIGHWAY 25 Background: Construction of a toll bridge between the Rivière des Prairies district of Montreal and the Duvernay district of Laval will link Highway 40 in Montreal to Highway 440 in Laval. In June 2007, the Quebec government announced a consortium headed by an engineering subsidiary of Macquarie Bank Ltd. of Australia had won the bidding to build and operate the $400-million bridge as a public-private partnership. The span is slated to open in 2011. Government regulations have set a $2.40 cap in 2011 dollars for a one-way trip over the bridge for an ordinary car, over the 35-year term of the PPP deal. What's new: Dynamite work took place in the spring on the Laval side of the proposed bridge. In June, environmental groups lost a court bid to shut down the project. On July 15, dynamiting took place on the Montreal side. In recent weeks, a lot of bridge materials have been delivered to the job site. 4. DORVAL Background: There are two projects on the horizon for Dorval. One is the proposed airport shuttle between downtown Montreal and Pierre Elliott Trudeau airport. The other is the Dorval Circle modernization. Both have been on the drawing board for more than a decade. What's new: The airport-shuttle project is stalled. Different levels of government are still trying to work out a financing agreement. All parties, however, agree that the shuttle is desirable and should have its own dedicated rail lines. So the plan is to eventually add two new rail lines north of Highway 20, parallel to existing CP and CN lines. But there is still no consensus on whether to use Central Station or Lucien L'Allier Station as the downtown terminal. Cost estimates vary from $600 million to $800 million. As for the Dorval Circle project, the provincial government passed a decree in December setting aside $210 million for the new interchange, to be known as Carrefour Dorval. The overhaul will see Trudeau airport connected to Highway 20 via a new link that will be reserved for airport traffic. The new link will pass in front of the Hilton Hotel and run through where the Budget Rent-a-Car property is now situated. It will rise over the rail lines situated between Budget and Highway 20 and connect to the highway near the Novartis building. Budget is to relocate to a new site under the plan. Highways 20 and 520 (Côte de Liesse Rd.) will also get new interchange connections. As for Dorval Circle itself, it will end up serving only local traffic. Highway 20 traffic between Pointe Claire and Lachine will continue to run over the circle in overpass fashion. Engineers are putting final touches to the Carrefour Dorval project and an official announcement is likely for the fall. Work could also begin this fall, sources say. 5. HIGHWAY 15 Background: Work began in April to completely rebuild the northbound Laurentian Autoroute lanes between Mirabel and St. Jérôme. The new surface will be done in concrete. The southbound lanes between the two towns were redone last summer. What's new: Work is proceeding on schedule and is expected to end Nov. 21. 6. HIGHWAY 13 Background: Work began in April to completely rebuild the southbound lanes of Highway 13 on Montreal Island between Highway 40 and the Mille Îles River. Work is also being done on the Louis Bisson Bridge that spans the river. Work on the northbound lanes between the 40 and the river was done last summer. What's new: Work is proceeding as planned. It is scheduled to end Sept. 30. 7. MERCIER BRIDGE Background: On June 16, the federal and provincial governments announced a plan to renovate the Mercier Bridge through November 2011. Work began in April. Federal officials said the Mercier modernization represents the largest bridge-repair project in Canadian history. Work is to be carried out in two phases, with a consortium of Mohawk firms doing $66 million of work in the first phase. Bidding will open next year for the second phase. What's new: In recent weeks, Mohawk ironworkers have been concentrating on the reinforcement of existing gusset plates under the bridge deck. They have also been installing new gusset plates. These plates support the joints where horizontal, vertical and diagonal beams meet. Later, ironworkers will bring in hydraulic jacks and start replacing individual rusted beams where necessary. About half of all the main diagonal support beams are to be replaced on the upstream bridge, which carries southbound traffic. This bridge opened in 1934. The downstream bridge, which carries northbound traffic, opened in 1963; no reinforcement work is required on it. Similarly, only the upstream span will be getting a new deck. All ramps linking the South Shore to both the 1934 and 1963 bridges are to be reinforced and given new decks. 8. HIGHWAY 35 Background: Progress has been slow with the longstanding plan to extend Highway 35 from St. Jean sur Richelieu to the Vermont border. Converting the 39-kilometre stretch of secondary Highway 133 south of St. Jean into a primary autoroute would finally give Montreal an expressway link to Interstate 89. What's new: Last August, the Quebec government passed a decree allowing for the agricultural dezoning required to carry out the project. The federal government has promised $57 million in infrastructure money for the $300-million project. A federal environmental assessment is being done. If, as expected, the process results in the feds giving the project a green light, preliminary land-preparation work could begin in October. 9. GALIPEAULT BRIDGE Background: Work began in May to rebuild the deck of the eastbound lanes and add a third lane to accommodate growing volumes of off-island commuter traffic. The Galipeault, like the Mercier Bridge, consists of two separate spans, side by side. The southern of the two, built in 1924, handles eastbound traffic between Île Perrot and Ste. Anne de Bellevue. The northern bridge, built in 1964, handles westbound traffic. While work on the southern bridge takes place, eastbound traffic is being diverted onto the northern span. What's new: Work is proceeding smoothly. 10. HIGHWAY 30 Background: After many delays, a plan to complete construction of the South Shore ring road was announced in the fall of 2006. There are two unfinished stretches to complete: a section through dezoned farm land between Candiac and Ste. Catherine, and a section between Châteauguay and the town of Vaudrueuil-Dorion. What's new: Work on the 13-kilometre Candiac-Ste. Catherine link began in early June after a political agreement was reached between the provincial government and the Mohawk Council of Kahnawake over how to proceed with settling a land-claim issue. As for the section west of Châteauguay, the government in late June announced that a Spanish-led consortium had won the bidding to build it as a part of a public-private partnership. A Canadian arm of the Spanish engineering firm Acciona won the competition. The 42-kilometre western link will see toll bridges built over the Beauharnois Canal and St. Lawrence River. Final details on the financing and construction are to be announced in September. The completed Highway 30 is expected to open in 2012. djohnston@thegazette.canwest.com
  12. Recul du PIB du Québec au premier trimestre 28 juin 2008 - 10h27 La Presse Jacques Benoit Annualisée, la hausse des dépenses de consommation s’est élevée à 2,4% au premier trimestre, comparativement à une progression beaucoup plus substantielle (+ 6%) au quatrième trimestre 2007. Le produit intérieur brut du Québec a fléchi de 0,8% en rythme annuel au premier trimestre 2008, comparativement à une diminution de 0,3% dans l'ensemble du Canada. Ce recul, tout à fait inattendu, survient «après des croissances anémiques au cours des deux trimestres précédents» signalent les Comptes économiques du Québec, 1er trimestre 2008, qu'a publiés hier l'Institut de la Statistique du Québec (ISQ). Pour les deux derniers trimestres 2007, le taux de croissance annualisé n'a atteint que 0,2%. «On pensait que le Québec était beaucoup plus à l'abri d'une récession que l'ensemble du pays, mais ces données avivent les inquiétudes», notait hier Hélène Bégin, économiste principale au Mouvement Desjardins. Click here to find out more! On juge qu'il y a récession, rappelons-le, après un fléchissement du PIB au cours de deux trimestres consécutifs. Deux grands moteurs de la croissance - les dépenses de consommation et l'état des stocks des entreprises et du secteur public - ont tous deux ralenti au premier trimestre. Annualisée, la hausse des dépenses de consommation s'est ainsi élevée à 2,4% au premier trimestre, comparativement à une progression beaucoup plus substantielle (+ 6%) au quatrième trimestre 2007. Or, comme on sait, les dépenses de consommation comptent pour environ les deux tiers du PIB. Retournement majeur en ce qui regarde les stocks qui avaient augmenté de plus de trois milliards de dollars au dernier trimestre de 2007, et qui au cours des trois premiers mois de 2008 ont au contraire diminué de 114 millions, indique l'économiste du Mouvement Desjardins. C'est, entre autres, ce «qui a mis du plomb dans l'aile à l'activité économique», dit-elle. ISQ et Desjardins Alors que l'ISQ s'en tient aux données qui concernent le trimestre uniquement, le Mouvement Desjardins les présente en rythme annuel, «ce qui permet de mieux voir la situation», note Hélène Bégin. Autre différence: l'ISQ inclut dans les investissements des entreprises la part allouée à la construction résidentielle, tout cela faisant qu'on a vu ainsi fléchir leurs investissements de 0,9% (3,6% en rythme annuel) au premier trimestre. Vue par la lorgnette du Mouvement Desjardins, la situation est différente, avec une hausse annualisée de 4,5% des investissements des entreprises - en excluant ce qui s'est passé dans le secteur de la construction résidentielle. Ceci, notamment, parce que les dépenses faites pour leurs équipements (machines et matériel) ont progressé d'un peu plus de 7% (toujours en rythme annuel). En ce qui concerne la construction résidentielle, la situation n'est guère rose, notent en substance l'ISQ et Desjardins, puisque les investissements dans ce secteur ont diminué de 3%, soit de 11,3% en rythme annuel, précise Mme Bégin. Tout au contraire, et alors que les dépenses en immobilisations du gouvernement et des administrations publiques ont fléchi (-0,5%), elles ont augmenté globalement (+3,7%), c'est-à-dire en ajoutant aux immobilisations les dépenses courantes, dont les salaires, les loyers, etc. Une surprise «La contraction du PIB réel (NDLR: exclusion faite de l'inflation) constitue une surprise puisqu'une légère hausse était anticipée», notait hier Hélène Bégin dans son analyse. Tout cela, juge-t-elle, ravive «les craintes d'une récession» à laquelle jusqu'ici le Québec semblait devoir échapper. Par ailleurs, l'indice de l'habitation Desjardins (IHD), qui donne une bonne idée de ce que seront les dépenses faites dans le domaine résidentiel au cours des trois à six mois suivants, a grimpé de 3% en mai. Autrement dit, alors que l'activité (construction et reventes) a tendance à diminuer au Québec depuis 2005, on a assisté en mai à un brusque sursaut, à la suite de la baisse à ce moment-là des taux hypothécaires. On s'attend toutefois à ce que cela reste un sursaut et donc que la tendance à la baisse se maintienne, à cause de la décision de la Banque du Canada le 10 juin de maintenir son taux directeur à 3%. Car, dans la foulée, les prêteurs ont haussé leurs taux hypothécaires, l'hypothèque de cinq ans étant désormais au taux de 7,10% comparativement à 6,65% en mai.
  13. Les 1,9 milliard de dollars que Québec versera sous peu aux 360 000 employés de l’État visés par le règlement sur l’équité salariale soutiendront les dépenses de consommation et atténueront le ralentissement appréhendé de l’économie québécoise en 2007, prévoit le service des Études économiques de Desjardins. «Bien que ces montants ne touchent qu’une partie des employés de l’État, l’ampleur des sommes en jeu alimentera les dépenses de consommation au Québec en 2007, ce qui permettra d’éviter un essoufflement trop marqué», écrit l’économiste Hélène Bégin, dans un document intitulé Point de vue économique publié la semaine dernière. Au cours d’un entretien, Mme Bégin a indiqué qu’en se basant sur des études préalables, Desjardins estime qu’environ le tiers du 1,9 G$ * 633 M$ * sera affecté à des dépenses de consommation. «Le reste passera en impôts et en épargne», a-t-elle dit. Cette injection d’argent dans l’économie permettra aux dépenses de consommation de progresser de 2,8%, soit 0,2% ou 0,3% de plus que prévu, croit-elle. «L’écart de pourcentage peut paraître insignifiant, mais on parle de gros sous», a soumis Mme Bégin. Les dépenses de consommation * qui comptent pour 60% de l’économie québécoise * ont surpris en 2006 avec une hausse de 3,1%. Ralentissement dans l’emploi Mais une régression prévue dans la création d’emplois (30 000 en 2007, la plus faible progression depuis 1995), provoquée par un ralentissement de l’économie américaine et un recul des exportations, fera passer la hausse des dépenses de consommation sous la barre du 3%. L’année 2008 sera meilleure, prévoit Desjardins, parce que l’économie américaine devrait prendre du mieux, et le PIB du Québec gonflera de 2,3%, un score plus robuste que le 1,1% attendu cette année. Hélène Bégin note que l’impact de l’équité salariale continuera de se faire sentir sur l’économie québécoise au cours des prochaines années. Le montant de 1,9G$ * qui devrait être versé d’ici la fin mars * ne constitue en effet que la portion rétroactive du règlement sur l’équité salariale. Les salaires annuels des 360 000 personnes visées * des fonctionnaires et des travailleurs de la santé et de l’éducation * seront aussi augmentés de plus de 2000$ en moyenne. «Selon les estimations contenues dans le budget de cette semaine, les hausses salariales liées à l’équité salariale totaliseront 720M$ en 2007-2008, 809M$ en 2008-2009 et 825M$ en 2009-2010», explique Hélène Bégin.
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