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le 16 novembre 2007 Une nouvelle statue du Sacré-Cœur a été installée en devanture de l'église Saint-Denis. Dimanche 11 novembre, le curé, André Anctil, a procédé à la bénédiction devant quelques fidèles.

Cette statue provient de l'ancienne église Sainte-Élisabeth du Portugal dans le quartier Saint-Henri. Cette église était fermée à la suite d'un incendie. La statue avait été épargnée.

 

Elle a été acquise grâce à la générosité des paroissiens de la paroisse Saint-Denis. Un montant avoisinant 8 000 $ a pu être amassé.

 

La nouvelle statue remplace celle qui était déjà en place, à l'angle Laurier et Berri, sur le terrain de l'église. Le socle menaçait de tomber et un cordon de sécurité empêchait les gens de s'approcher. Eglise_ST_Denie_RG_0007ReduktoRedukto.jpgLa nouvelle statue a été bénie par le curé André Anctil, de la paroisse Saint-Denis.

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le 18 novembre 2007 Plusieurs personnes auront remarqué un changement ces derniers temps à l'intersection des rues Wellington et Galt, côté nord. En effet, la statue du Sacré-Coeur, qui trônait au cœur de la ville de Verdun depuis plusieurs années et qui était un point de repère pour plusieurs passants, vient d'être déplacée vers un atelier où elle sera nettoyée et repeinte durant les mois d'hiver.

 

Tout a commencé quand Monsieur Richard Huet, le chanteur Verdunois bien connu, a proposé ses services pour un concert-bénéfice avec plusieurs autres artistes dans le but de ramasser des sous pour la réfection du monument. Le concert qui a eu lieu le 2 février dernier à l'église Notre-Dame-des-Sept-Douleurs, a permis de ramasser 5000$. Tout comme le curé Monsieur Laurent Ravenda, d'autres paroissiens ont tout de suite réagi favorablement. Après avoir étudié le projet, le conseil de fabrique a donné son aval et les travaux ont été entrepris pour réaménager le site. Un nouveau socle sera érigé pour remplacer celui qui a dû être démoli vendredi dernier.

 

«Dites-moi pas qu'ils vont nous enlever notre Sacré-Coeur», s'exclamaient plusieurs personnes à la vue de la grue mécanique. Mais elles ont été bien soulagées d'apprendre qu'il sera de retour au printemps prochain après avoir fait peau neuve.

 

Selon les expertises, le nouveau socle devrait coûter environ 21 100$ plus taxes, mais ne sera pas identique à l'original parce que reproduire une base semblable, serait beaucoup trop coûteux Quant à la statue proprement dite, Il faudra débourser aux alentours de 6000$ pour la rénover pour les générations à venir. On parle donc d'un montant de 30 000$ en tout. Un tel projet n'aurait pu être envisagé sans le capital rapidement accumulé dans ce but bien précis. Jusqu'à maintenant, le total des dons s'élève déjà à 20 000$, ce qui est un excellent départ.

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Little known fact:

 

Prior to the expansion of the City and District Bank of Montreal (now a Banque Laurentienne branch) across the street, the statue was located on the corner diagonally across from where it is now. Also note that the bank in question, along with its addition, are one of the nicest buildings in Verdun.

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Montréal, le 19 novembre 2007 - Madame Helen Fotopulos, membre du comité exécutif, responsable de l'environnement, des parcs, des espaces verts et bleus, du mont Royal et de la condition féminine, est heureuse d'annoncer le début de travaux d'aménagement riverains dans le parc René-Lévesque. Les interventions, qui débuteront aujourd'hui et qui seront réalisées par la firme Terrapro Construction Inc., sont nécessaires afin d'atténuer les problèmes d'érosion fluviale des berges, qui perdent de 10 à 30 cm de terrain annuellement.

 

« Ces travaux d'aménagement et de stabilisation des rives visent à contrôler et à corriger les problèmes d'érosion les plus sévères et les plus urgents considérant la perte de terrain significative occasionnée par les conditions environnementales excessives et l'instabilité des berges. Ils s'inscrivent dans la volonté de notre Administration d'offrir un accès à l'eau à tous les Montréalais », a déclaré madame Fotopulos.

 

D'une superficie de 14 hectares, le parc René-Lévesque a été aménagé sur une jetée dont l'origine remonte vraisemblablement à la construction du canal de Lachine vers 1825. Les travaux de stabilisation exécutés sur une longueur de 250 mètres, permettront de restaurer une partie de la rive, du côté du fleuve Saint-Laurent. Ils impliquent notamment des travaux de terrassement, d'excavation et de remblayage, de construction de structures de pierres plates et de dallage de cailloux, de même que des aménagements de plantation d'arbres, d'arbustes, de vivaces et de fagots. Au préalable, des travaux de réhabilitation environnementale seront également nécessaires dans le but d'éradiquer la présence de contaminants identifiés lors de la caractérisation des sols.

 

« Cette première phase de travaux permettra de déployer les efforts nécessaires pour répondre aux attentes justifiées de la population afin de préserver et de mettre en valeur ce site exceptionnel, situé à l'intérieur de la zone historique du canal de Lachine, tout en assurant la sécurité de ses usagers », a déclaré monsieur Claude Dauphin, maire de l'arrondissement de Lachine.

 

Précisons que ces travaux seront réalisés au courant de l'automne 2007 et au printemps 2008. Durant toute cette période, tout sera fait pour préserver la sécurité des usagers. L'accès à la pointe de la jetée sera interdit et, par le fait même, la piste cyclable sera détournée au 2/3 de son parcours.

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Voilà une très bonne nouvelle. Mieux vaut tard...

 

Compteurs d'eau: les entreprises passeront à la caisse d'ici 5 ans

 

Toutes les entreprises de l'île de Montréal devront payer pour chaque mètre cube d'eau potable consommée d'ici cinq ans. Mais l'administration Tremblay-Zampino n'est pas en mesure de dire combien l'installation obligatoire des compteurs d'eau va coûter aux propriétaires non résidentiels, ni combien ils payeront leur eau.

 

La Ville de Montréal, qui se défend de confier la gestion de son eau en partenariat public-privé (PPP), a annoncé, mercredi, l'octroi d'un contrat de 355 M$ «clés en mains qui responsabilise l'entrepreneur» au groupe d'experts Génieau, formé par Dessau et Simard-Beaudry.

 

Le consortium s'engage à assumer l'installation, puis l'entretien des compteurs d'eau durant 25 ans. Montréal investit pour sa part 67 M$, pour un total de 422 M$.

 

«Il ne s'agit pas d'un PPP parce que nous conservons la gestion de notre eau et que nous demeurons propriétaire des actifs», affirme Gérald Tremblay, maire de Montréal, qui précise qu'il n'est pas question d'étendre le projet aux propriétaires résidentiels.

 

Bon an, mal an, l'agglomération de Montréal perd 40% de son eau potable à cause de la désuétude de ses infrastructures, de ses mauvais branchements et de ses tuyaux qui fuient.

 

L'objectif premier du programme de compteurs d'eau vise à établir un «portrait de l'eau» dans l'île.

 

Pour ce faire, 600 postes de mesure et de régulation (genre de dispositif de contrôle et d'observation) seront installés partout dans le réseau de pompage et d'aqueduc.

 

Encore trop tôt

 

Au total, 30 000 compteurs d'eau seront installés à partir de 2008, incluant le remplacement de 7000 déjà existants, pour couvrir les quelque 65 000 entreprises de l'île de Montréal.

 

Un programme d'aide aux entreprises pour l'installation, estimé entre 100 et 130 millions, mais dont les détails n'ont pas été dévoilés, sera lancé l'an prochain.

 

Yves Provost, directeur général adjoint du Service des infrastructures, transport et environnement à la Ville, explique qu'il est trop tôt pour établir le détail des coûts de l'installation.

 

Quant au tarif qui sera fixé pour chaque mètre cube d'eau, l'administration veut tout d'abord établir la consommation réelle des entreprises. L'an dernier, avant les appels d'offres, il avait été question de facturer l'eau entre 1,20 et 1,60$ le mètre cube.

 

La Ville de Montréal explique enfin que les économies réalisées vont plutôt se chiffrer en termes «de coût de réparation évitée».

 

Le contrat qui lie le groupe Génieau à la Ville de Montréal correspond à un investissement d'environ 8,1 millions par année durant 15 ans, pour l'installation et l'entretien.

 

Auquel s'ajoutent 9,3 millions par année pendant 25 ans pour l'installation et l'entretien des équipements d'optimisation du réseau.

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  • 2 semaines plus tard...

le 3 décembre 2007 Les travaux d'aménagement riverains dans le parc René-Lévesque à Lachine, réalisées par la firme Terrapro Construction, sont commencés et ils ont pour but d’atténuer les problèmes d'érosion fluviale des berges, qui perdent de 10 à 30 centimètres de terrain annuellement.

«Cette première phase de travaux, à laquelle la Ville de Montréal consacre 422 600$, permettra de déployer les efforts nécessaires pour répondre aux attentes justifiées de la population afin de préserver et de mettre en valeur ce site exceptionnel, situé à l'intérieur de la zone historique du canal de Lachine, tout en assurant la sécurité de ses usagers», a déclaré le maire de l’arrondissement de Lachine, Claude Dauphin.

 

«Ces travaux d'aménagement et de stabilisation des rives visent à contrôler et à corriger les problèmes d'érosion les plus sévères et les plus urgents considérant la perte de terrain significative occasionnée par les conditions environnementales excessives et l'instabilité des berges. Ils s’inscrivent dans la volonté de la Ville de Montréal d’offrir un accès à l’eau à tous les Montréalais», a expliqué de son côté la responsable de l’environnement, des parcs, des espaces verts et bleus et de la condition féminine au comité exécutif, Helen Fotopulos.

 

D'une superficie de 14 hectares, le parc René-Lévesque a été aménagé sur une jetée dont l'origine remonte à l’époque de la construction du canal de Lachine, vers 1825. Les travaux de stabilisation, exécutés sur une longueur de 250 mètres, permettront de restaurer une partie de la rive, du côté du fleuve Saint-Laurent. Ils impliquent notamment des travaux de terrassement, d'excavation et de remblayage, de construction de structures de pierres plates et de dallage de cailloux, de même que des aménagements de plantation d'arbres, d'arbustes, de vivaces et de fagots. Au préalable, des travaux de réhabilitation environnementale seront également nécessaires dans le but d’éradiquer la présence de contaminants identifiés lors de la caractérisation des sols.

 

Durant toute la période des travaux (automne 2007 - printemps 2008), tout sera fait pour préserver la sécurité des usagers. L’accès à la pointe de la jetée est interdit et, par le fait même, la piste cyclable est détournée aux deux tiers de son parcours.

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  • 2 semaines plus tard...

13/12/2007 Le contrat le plus important jamais accordé par la Ville de Montréal serait marqué par un conflit d'intérêts. Le journal Le Devoir rapporte qu'un consortium impliquant la firme Dessau-Soprin s'est vu octroyer le contrat de 355M$ pour l'installation et l'entretien de compteurs d'eau dans les entreprises de l'île de Montréal.

 

Le hic, selon le quotidien, c'est que le partenaire commercial de Dessau-Soprin dans au moins trois autres consortiums, BPR, a participé au processus de sélection.

 

En fait, BPR aurait participé à pratiquement toutes les étapes du projet. La compagnie siège même au Bureau de projets qui a recommandé au comité exécutif de la Ville de Montréal l'octroi du contrat à Géniau, formé de Dessau-Soprin et de l'entrepreneur Simard-Beaudry. Et, à la ligne d'arrivée, le consortium Géniau a effectivement obtenu ce lucratif contrat.

 

Le Devoir affirme que BPR a resserré ses liens d'affaires avec Dessau-Soprin au moment même où elle déterminait les termes de référence du contrat pour les compteurs d'eau.

 

Les deux groupes ont travaillé ensemble en 1995. Ils ont formé une nouvelle alliance en 2006 pour autre projet, et se sont encore une fois associés le 15 octobre dernier. Moins d'un mois plus tard, Géniau obtenait le contrat de 355M$ de la Ville.

 

L'administration Tremblay-Zampino a embauché BPR pour dix ans en 2005, une affaire de 7,4M$. Son mandat consiste à faire le bilan de la consommation d'eau et à en organiser le contrôle, notamment par l'installation de compteurs dans les entreprises.

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