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Ça fait pas comme 15 ans de suite ou presque qu'ils sont au pouvoir?

 

Il est pire que Rocco. Rocco est un grognon fatigant. Mark est un missionnaire qui veut nous convertir avec sa mauvaise foi crasse, et sa propagande à 2 sous et aussi subtile que du câble à bateau.

 

Anyway, le système québécois n'a pas été fondamentalement altéré, ce qui signifie qu'il peut effectivement produire des résultats enviables. Bravo et continuons sur le bon chemin!

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Membres prolifiques

Ne pas s'asseoir sur ses lauriers surtout. * On est sur un élan et c'est très bien par contre, *on doit pas oublier les points négatifs comme le taux decrochage assez élevé. Et le taux de chômages de nos immigrants. *

 

Entièrement d'accord avec toi!

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ABB Investing $67.5M In Canada

The Swiss engineering firm will establish a new North American headquarters and research and development facility in Montréal.

 

January 19, 2017

Canadians will develop next-generation solutions for electric vehicles as a result of a $67.5 million investment by Swiss engineering firm ABB, which is establishing a new headquarters and research and development centre in Montréal.

 

The new Montréal headquarters, set to open in 2017, will maintain 700 jobs and consolidate ABB’s research and development, manufacturing, assembly and testing facilities under one roof. The new facility will also house the company’s North American Centre for Excellence in e-Mobility, which will focus on developing energy-management solutions for electric buses and trains.

 

The investment will put Canada on the map in a number of emerging technologies, such as robotics and Internet-connected devices, that will power the industrial systems of the future. The Government of Canada’s Innovation Agenda aims to make the country a global center for innovation—one that drives economic growth and leads to better skills, jobs and opportunities for all Canadians.

 

“When global companies look to invest, many seek the most innovative countries—the ones with the most creative and entrepreneurial people who can turn ideas into solutions,” said Navdeep Bains, Canada’s Minister of Innovation, Science and Economic Development. “ABB’s decision to select Canada for its flagship North American operations is a clear vote of confidence in the talent and expertise of highly skilled Canadians. As a result of this investment, Canadians will develop next-generation industrial systems and the skills needed for the jobs of the future.”

 

ABB employs more than 4,500 Canadians in 50 locations across the country

 

ABB Investing $67.5M In Montreal, Canada

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ABB Investing $67.5M In Canada

The Swiss engineering firm will establish a new North American headquarters and research and development facility in Montréal.

 

January 19, 2017

Canadians will develop next-generation solutions for electric vehicles as a result of a $67.5 million investment by Swiss engineering firm ABB, which is establishing a new headquarters and research and development centre in Montréal.

 

The new Montréal headquarters, set to open in 2017, will maintain 700 jobs and consolidate ABB’s research and development, manufacturing, assembly and testing facilities under one roof. The new facility will also house the company’s North American Centre for Excellence in e-Mobility, which will focus on developing energy-management solutions for electric buses and trains.

 

The investment will put Canada on the map in a number of emerging technologies, such as robotics and Internet-connected devices, that will power the industrial systems of the future. The Government of Canada’s Innovation Agenda aims to make the country a global center for innovation—one that drives economic growth and leads to better skills, jobs and opportunities for all Canadians.

 

“When global companies look to invest, many seek the most innovative countries—the ones with the most creative and entrepreneurial people who can turn ideas into solutions,” said Navdeep Bains, Canada’s Minister of Innovation, Science and Economic Development. “ABB’s decision to select Canada for its flagship North American operations is a clear vote of confidence in the talent and expertise of highly skilled Canadians. As a result of this investment, Canadians will develop next-generation industrial systems and the skills needed for the jobs of the future.”

 

ABB employs more than 4,500 Canadians in 50 locations across the country

 

ABB Investing $67.5M In Montreal, Canada

 

Scroll up GDS, already old news :) but here's something new:

 

Siemens investit 133 millions pour moderniser son usine de Dorval | Julien Arsenault | Technologie

 

La multinationale Siemens investira près de 133 millions dans son usine de Dorval, qui lui servira également de rampe de lancement en Amérique du Nord pour le déploiement d'une plateforme visant à aider les entreprises à accroître leur productivité et améliorer la formation de la main-d'oeuvre.

 

L'annonce a été effectuée vendredi, au Forum économique mondial de Davos, dans le cadre de la mission économique qu'effectue le premier ministre Philippe Couillard dans les alpes suisses. Québec octroie en échange un prêt de 20 millions.

 

Ainsi, le géant allemand investira 110,6 millions à Dorval, où travaillent 400 personnes, afin d'y réaliser de la recherche et du développement pour la conception ainsi que l'amélioration de turbines aérodérivées, utilisées notamment pour la production d'électricité. L'entreprise ne prévoit toutefois pas procéder à des embauches.

 

De plus, 22 millions seront déployés dans le cadre de l'initiative inspirée du modèle allemand dual, qui inclut une large proportion de la formation en milieu de travail.

 

Siemens, qui estime être un chef de file dans l'intégration des technologies de pointe en milieu industriel, propose aux intéressés de venir observer gratuitement son modèle, a expliqué son chef de la direction, Joe Kaeser, pour ensuite l'implanter au sein de leurs organisations.

 

À terme, le gouvernement Couillard souhaite que cette initiative puisse accélérer le virage technologique des entreprises québécoises ainsi qu'améliorer la formation de la main-d'oeuvre, avec la participation des établissements d'enseignement comme les cégeps et les universités.

 

Le dossier sera discuté dans le cadre du Rendez-vous national sur la main-d'oeuvre qui doit se tenir le mois prochain.

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Je remarque que toutes les récentes «bonnes nouvelles» sont explicitement motivées par l'excellence de la main-d'oeuvre locale.

 

 

Bonne observation ! Dans une économie du savoir, comme celle d'aujourd'hui, c'est la qualité de la main-d'œuvre qui fait le plus rouler une économie. Si on veut poursuivre dans cette voie il faudra investir davantage en éducation, formation et re-formation. Nous avons encore une trop grande part de la population qui est fonctionnellement analphabète, il faudra s'attaquer à ce problème de même qu'au décrochage.

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Bonne observation ! Dans une économie du savoir, comme celle d'aujourd'hui, c'est la qualité de la main-d'œuvre qui fait le plus rouler une économie. Si on veut poursuivre dans cette voie il faudra investir davantage en éducation, formation et re-formation. Nous avons encore une trop grande part de la population qui est fonctionnellement analphabète, il faudra s'attaquer à ce problème de même qu'au décrochage.
Je ne comprends pas qu'aucun parti ne veut mettre l'école obligatoire jusqu'à 18 ans (incl. 12e année).
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Je ne comprends pas qu'aucun parti ne veut mettre l'école obligatoire jusqu'à 18 ans (incl. 12e année).

 

 

Je suppose qu'il faudrait alors agrandir les écoles pour supporter une année de plus, ou du moins en construire des nouvelles. Peut être la solution passerait par les cégeps? On pourrait permettre aux étudiants d'obtenir un diplôme d'un an au cégep (appelons le un certificat d'études collégiales) composées d'une poignées de cours obligatoires (français, philosophie par exemple) et de cours choisis par les étudiants. Un étudiant aurait ainsi la possibilité d'étudier des matières qui l'intéresse ou d'explorer des sujets qu'in n'aurait pas pu aborder au secondaire. Les étudiants pourraient aussi profiter de cette année supplémentaire pour apprendre des logiciels utiles sur le marché du travail ou étudier (ou approfondir) une nouvelle langue. Souvent, les équipements des cégeps sont plus élaborés que ceux au secondaire, c'est un plus.

 

En prime, les étudiants sceptiques sur le cégep pourraient choisir ce programme de certificat pour voir s'ils aiment ça. De l'autre côté, des étudiants qui ont commencé le cégep mais qui n'aiment pas ça et qui laisseront tomber leur DEC auront la possibilité d'à tout le moins se retrouver avec un certificat plutôt que des études incomplètes.

 

Davantage d'étudiants au cégeps voudra probablement dire qu'on devra les agrandir, mais je crois que ce sera plus facile que d'agrandir les écoles secondaires. Il y a moins de cégeps et ils souvent situés sur de plus grands terrains.

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