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http://www.city-data.com/forum/toronto/2607689-toronto-has-surpassed-chicago-population-neat-19.html

 

Sur la base de ces indices, est-ce que ça pourrait être la division rail de Thales? Ils ont à peu près ce nombre d'employés à Toronto.

 

Thales est une compagnie française qui fait affaire avec Bombardier, SNC-Lavalin et Air Canada, et avec le projet du REM, ça pourrait être logique de déménager la division rail à Montréal.

 

Thales est déjà à Montréal : https://www.thalesgroup.com/fr/canada/canadian-locations

 

Cela pourrait être une consolidation mais pour l'instant, c'est une hypothèse très hypothétique!

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Membres prolifiques

Thales est déjà à Montréal : https://www.thalesgroup.com/fr/canada/canadian-locations

 

Cela pourrait être une consolidation mais pour l'instant, c'est une hypothèse très hypothétique!

 

Oui, ils ont probablement quelques centaines d'employés en aéronautique à Montréal et à Québec, mais il y a 900-1100 employés de "Thales Canada Inc & Transport Solutions qui sont basés á Toronto, soit la moitié pour ne pas dire la majorité de leurs employés au Canada.

 

aIe7NEVl.png

 

C'est tout à fait hypothétique, mais ça passe le test de la logique, et c'est dûr de trouver une compagnie qui matche mieux le profil.

Modifié par nephersir7
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Oui, merci pour ces détails, oui c'était bien sur Citydata que j'ai vu le scoop. Le gars donne un autre détail dans un de ses post précédents. '' One of our corporate offices is located in Mississauga along Hurontario near Matheson '' . ça peut peut-être aider si on cherche de quelle compagnie il s'agit. Si on va voir sur GoogleMaps, on retrouve comme près de cet endroit, la compagnie Citi, Adecco, TD bank, RBC.

Modifié par vivreenrégion
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Ça fait du sens si le gars a été à Berlin pour travailler. Une compagnie dans les transports comme Thales.Ca explique la relations avec snc lavalin et bombardier. En plus Thales est une compagnie française. Peut être que l'on a une piste dans ce cas là.

Oui, ils ont probablement quelques centaines d'employés en aéronautique à Montréal et à Québec, mais il y a 900-1100 employés de "Thales Canada Inc & Transport Solutions qui sont basés á Toronto, soit la moitié pour ne pas dire la majorité de leurs employés au Canada.

 

aIe7NEVl.png

 

C'est tout à fait hypothétique, mais ça passe le test de la logique, et c'est dûr de trouver une compagnie qui matche mieux le profil.

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Ça fait du sens si le gars a été à Berlin pour travailler. Une compagnie dans les transports comme Thales.Ca explique la relations avec snc lavalin et bombardier. En plus Thales est une compagnie française. Peut être que l'on a une piste dans ce cas là.

 

Le plus logique et probable serais Citi Cards Canada sur 5900 Hurontario près de Matheson a Mississauga . 3000 employées , centre d'appel et fidélisation clientèle. Difficultés a retenir employées bilingue et problèmes de recrutement. Scindé le bureau en deux ou tous simplement déménager logique . Si info's véridique c'est mon choix.

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Le plus logique et probable serais Citi Cards Canada sur 5900 Hurontario près de Matheson a Mississauga . 3000 employées , centre d'appel et fidélisation clientèle. Difficultés a retenir employées bilingue et problèmes de recrutement. Scindé le bureau en deux ou tous simplement déménager logique . Si info's véridique c'est mon choix.

 

Que ce soit cette compagnie ou une autre, tout est possible dans le monde des affaires. Trouver du personnel bilingue en quantité suffisante peut effectivement être une difficulté dans la Ville Reine. Cela dit une exception ne fait pas la règle et je doute qu'un mouvement soutenu aille de Toronto vers Montréal, simplement parce que je ne vois aucune indication sérieuse qui pointe dans cette direction.

 

On ne vendra pas non plus notre âme pour plaire à l'establishment anglo, par des accommodements supplémentaires au niveau linguistique. La paix sociale n'a pas de prix. Ni nous ne changerons notre vision social-démocrate, qui est un choix de société bien ancré dans l'esprit québécois. Donc nos taxes demeureront plus élevées que la moyenne, parce que nos services le sont aussi. Nous devons aussi faire un effort supplémentaire pour diminuer notre ratio d'endettement et il serait injuste de baisser les taxes et impôts pour attirer des affaires, si on transfère le fardeau sur la classe moyenne.

 

Il y a bien d'autres façons de progresser économiquement: en encourageant la recherche et développement; en soutenant l'esprit d'entrepreneur et en créant des incubateurs pour les start-ups notamment; en ciblant certaines industries prometteuses et créatrices d'emplois par des incitatifs financiers, la valorisation de nos matières premières, etc, etc. Personnellement je crois bien davantage qu'en concertant nos forces nous créions de la richesse à partir de notre savoir-faire, qu'en tentant d'inciter les entreprises à prendre la 401 direction est.

 

Tant mieux si certaines compagnies trouvent des avantages à déménager à Montréal, il y en a sûrement et on les recevra à bras ouverts. Mais on ne retournera pas en arrière pour plaire à quiconque. Car nous avons les moyens et la volonté pour devenir aussi prospères que nos voisins canadiens, en nous occupant de nos propres affaires.

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Montréal est devenu la capitale européenne de l'Amérique du Nord. Ce sont les industries euro qui déménagent ici et non anglophones. Je suis persuadé que Montréal regagnera ses épaulettes vis-à-vis Toronto dans les prochaines décennies.

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Sur les investissements européens, Mark_ac a très certainement raison.

 

Les données complètes là-dessus sont complexes et difficiles à cumuler. Il serait déjà nécessaire de distinguer entre les investissements annuels et les avoirs réels.

 

Pour les investissements annuels, on trouve quelques statistiques sur les "IDE" (Investissements directs étrangers) fournies par l'Union européenne : http://ec.europa.eu/eurostat/statistics-explained/index.php/Foreign_direct_investment_statistics/fr

 

On y voit que les États-Unis restent de loin la première destination mondiale des investissements européens. Je n'ai aucun mal à m'imaginer qu'il y a des sommes énormes dans le secteur financier dirigées vers New York et Toronto, des sommes énormes dans le secteur pétrolier vers le Texas, l'Alberta et les autres zones productrices, des sommes énormes dans le secteur industriel vers les zones productrices de voitures (Volkswagen...), d'aéronotique, etc., qui ne viennent en priorité ni à Montréal ni au Québec.

 

Il ne faut donc pas laisser l'impression d'une certaine présence européenne et surtout française, au Québec, faire illusion et nous conduire à oublier les faits réels en matière économique.

 

Cela dit, sans doute serait-il possible de faire beaucoup mieux, en jouant notamment sur le fait qu'il y a tout de même déjà une certaine base d'implantation européenne à Montréal, que les Européens peuvent retrouver ici des normes sociales et un type de vie parfois moins éloignés de ce qu'ils connaissent. (Ce n'est pas tout le monde qui rêve d'une Amérique où les armes circulent sur les campus universitaires et où un Donald Trump est rendu là où il est...) Nous pourrions aussi jouer sur une offre scolaire adaptée permettant par exemple à des familles d'envoyer leurs enfants à des écoles bilingues ou trilingues pour un séjour de 5 ou 10 ans, etc.

 

Je regrette personnellement que nous ayons stoppé le système qui permettait aux étudiants français de payer les mêmes frais à l'université que les Québécois. Ça coûtait cher (quoique pas tant que cela), mais ça a contribué à augmenter substantiellement les échanges franco-québécois, et c'était un très bon investissement à long terme. Nos gouvernements agissent souvent à courte vue, surtout en période de compression.

Modifié par uqam+
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...Je regrette personnellement que nous ayons stoppé le système qui permettait aux étudiants français de payer les mêmes frais à l'université que les Québécois. Ça coûtait cher (quoique pas tant que cela), mais ça a contribué à augmenter substantiellement les échanges franco-québécois, et c'était un très bon investissement à long terme. Nos gouvernements agissent souvent à courte vue, surtout en période de compression.

 

Effectivement, c'est dommage.

 

En plus, plusieurs de ceux-ci (s'ils aiment le coin...) demandaient ensuite un visa de travail post-diplôme (relativement facile à obtenir), tout en débutant leurs processus de résidence permanente. Selon moi, ces diplomés sont mieux adaptés à notre mentalité nord américaine (société, et marché du travail).

 

Peut être peux-t-on augmenter le nombre de place pour les PVT? Les quelques places s’envolent en quelques minutes, chaque année. Ça coûte pas grand chose en processus, et certains de ces jeunes (5 - 8%?) décident de rester.

 

 

 

 

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Modifié par YUL
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