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nephersir7

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  1. Contrats douteux pour gérer le transport en commun Un mur végétal de 63 000 $ au siège social, une œuvre d’art à 180 000 $, des contrats de consultants discutables ; l’organisme chargé de planifier le transport en commun dans le grand Montréal ne lésine pas sur les dépenses pendant qu’il demande aux sociétés de transport de se serrer la ceinture. L’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) a récemment demandé aux quatre grands réseaux de transport sous sa gouverne (STM, STL, RTL et Exo) une réduction totale de 152 M$ de leur budget. Cela doit l’aider à éponger un manque à gagner d’environ 870 M$ sur trois ans. Mais l’ARTM a elle-même accumulé les dépenses douteuses au cours des derniers mois, ont fait remarquer à notre Bureau d’enquête certains acteurs du milieu municipal. Ces derniers ont requis l’anonymat car ils n’étaient pas autorisés à parler de cet enjeu épineux sur la place publique. Contrats de communications Par exemple, en 2020, l’ARTM a octroyé un contrat pouvant aller jusqu’à 103 477,50 $ à la firme Marc Labelle Communications, ainsi qu’une entente de 40 000 $ avec le Cabinet de relations publiques National, pour des conseils et des formations en communications. « Ça m’apparaît très élevé », soutient Renaud Brossard, président de la branche québécoise de la Fédération canadienne des contribuables. Le rôle de l’ARTM est de coordonner et planifier le transport des citoyens, explique-t-il. « Elle a déjà une équipe en communication, pourquoi y a-t-il des besoins pour des consultants externes ? » ajoute-t-il. Simon Charbonneau, conseiller en affaires publiques à l’ARTM, précise que les sommes prévues n’ont pas toutes été dépensées. Il soutient que ces contrats étaient nécessaires pour « assurer la continuité des opérations de communication » après que trois postes soient devenus vacants. La rémunération double La rémunération des administrateurs de l’ARTM, qui occupent des postes à temps partiel, soulève également des questions. À son arrivée en poste en 2017, le président Pierre Shedleur était payé sur une base annuelle d’environ 60 000 $. Deux ans plus tard, en 2019, il gagnait 126 273 $. Une autre administratrice, Diane Marleau, a vu sa rémunération doubler entre 2017 et 2019, pour atteindre 81 386 $. Ces augmentations ont été possibles parce que les administrateurs de l’ARTM reçoivent une indemnisation pour chaque séance de travail à laquelle ils assistent. Le nombre de ces rencontres a explosé depuis 2017, pour atteindre une centaine par année. « C’est presque un emploi à temps plein », dit Michel Nadeau, expert en finance et en gouvernance, en faisant référence à la fréquence des rencontres. « Un montant forfaitaire fixe serait préférable. Autrement, certaines personnes s’accommodent facilement de la multiplication des rencontres », juge-t-il, en faisant remarquer qu’un conseil d’administration et ses comités ne tiennent normalement pas plus d’une trentaine de rencontres annuellement. Un autre porte-parole de l’ARTM, Mathieu Rouy, a justifié cette rémunération par le fait que l’organisation « est relativement jeune ». Un « travail considérable de démarrage s’est effectué » depuis 2017. « Le nombre, l’ampleur, la complexité des projets et le nombre d’intervenants à rallier [83 municipalités] rendent la situation de l’ARTM atypique », affirme-t-il. L’ARTM en bref C’est l’organisme public chargé de planifier et de coordonner le transport en commun dans la grande région de Montréal Environ 100 employés Dépenses annuelles de 3,4 milliards $, surtout composées de contributions aux sociétés de transport comme la STM (Montréal), le RTL (Longueuil), la STL (Laval) et Exo (train de banlieue et bus) Ça ne date pas d’hier Des dépenses controversées ne datent pas d’hier à l’ARTM. Pour l’aménagement de ses bureaux au centre-ville de Montréal, en 2017-2018, l’Autorité a fait installer 14 salles de conférence pour 120 employés. Un contrat de 250 000 $ avait été accordé à la compagnie Solotech. Selon le devis, de l’équipement de pointe a été installé, incluant 33 moniteurs LCD, quatre autres écrans de télévision, cinq salles avec des micros au plafond et quatre caméras HD. -------- EST-CE VRAIMENT NÉCESSAIRE ? Un mur végétal à 63 000 $ L’ARTM a signé un contrat de 63 000 $ pour une « banquette mur végétal, plantes et contrat d’entretien », en 2018. Il s’agit d’un mur décoratif de végétation au siège social, situé rue de La Gauchetière, au centre-ville de Montréal. Explication de l’ARTM Un porte-parole justifie l’installation en disant que « le budget du projet respectait les normes usuelles » et que « le contrat porte sur différents éléments ». Toute une augmentation... L’an dernier, le directeur général en poste, Paul Côté, a reçu un salaire de 281 981 $. L’ARTM compte un peu plus d’une centaine d’employés. Pourtant, M. Côté touchait 180 000 $, en 2015, pour diriger l’AMT, ancêtre de l’ARTM. À cette époque, l’organisation comptait environ 450 employés. ... et un contrat à l’ex-DG Immédiatement après avoir quitté son poste de directeur général de l’ARTM en décembre 2019, Paul Côté a été réengagé à titre de conseiller en janvier 2020. L’ARTM était prête à lui verser 104 627,25 $ pour des services professionnels. M. Côté touche déjà une rente de retraite de VIA Rail, une société d’État fédérale dont il a été le PDG. Explication de l’ARTM « Le mandat donné à Paul Côté était d’assurer la transition des différents bureaux de coordination et d’intégration (BCI). Il a finalement reçu 2464,78 $ et le contrat est fermé depuis le 1er mars 2020 ». 37 500 $ pour « stimuler l’innovation » L’ARTM a retenu les services de la firme Accenture pour deux ateliers afin de « stimuler l’innovation », en 2018. Explication de l’ARTM Les services étaient requis « dans le cadre de l’élaboration du plan stratégique de développement du transport collectif, de même que pour le projet de refonte tarifaire. [...] Il s’agit de deux projets majeurs de grande envergure, pour lesquels il n’y a pas de précédent. » 180 002 $ pour une œuvre d’art L’ARTM a choisi l’artiste Jean-Sébastien Denis pour la création et l’installation d’une création dans le cadre du projet du service rapide par bus (SRB) du boulevard Pie-IX. On n’a encore aucune idée de ce à quoi ressemblera la réalisation. « Un des problèmes, c’est qu’on met le prix avant de voir l’œuvre, et non le contraire. Parfois, ça donne des œuvres un peu farfelues et qui n’ont pas de lien avec le quartier », déplore Renaud Brossard, de la Fédération canadienne des contribuables. Explication de l’ARTM « C’est une œuvre bidimensionnelle de 70 morceaux. Les pièces seront installées sur des abris du futur SRB du boulevard Pie-IX. » La création est réalisée dans le cadre d’une politique gouvernementale d’intégration des arts à l’architecture. UN MONSTRE EN MATIÈRE DE BUREAUCRATIE L’ARTM coûte cher et a été conçue pour être l’autorité en matière de transport en commun dans la métropole, mais son véritable pouvoir reste très limité, selon l’urbaniste Gérard Beaudet. Codirecteur de l’Observatoire de la mobilité durable à l’Université de Montréal, M. Beaudet fait remarquer que des élus locaux plaident toujours leurs propres projets publiquement auprès du gouvernement plutôt qu’à l’ARTM. « La gouvernance devient donc un monstre à plusieurs têtes. Les élus continuent de pousser leurs agendas. Parfois, des villes court-circuitent l’ARTM », dit-il. Le gouvernement du Québec n’a d’ailleurs pas donné l’exemple en donnant carte blanche à la Caisse de dépôt et placement du Québec pour le projet du REM. En procédant ainsi, dit M. Beaudet, la Caisse peut imposer ses vues à l’ARTM. Encore jeune Pour Marie-Soleil Tremblay, experte en gouvernance et professeure à l’École nationale d’administration publique, le nombre élevé de comités au sein de l’ARTM peut être expliqué par le contexte et par la quantité de travail. « C’est certain que c’est beaucoup [de comités], mais ça peut être justifié, dit-elle. L’organisation est relativement récente. [...] Au départ, il faut développer un plan stratégique, définir les projets, mettre en place des structures et des comités. » Selon la spécialiste, « il est possible qu’il y ait des interventions accrues compte tenu des enjeux politiques ; il y a cinq maires qui siègent au Conseil et des projets qui touchent plus de 82 municipalités. La bonne nouvelle c’est qu’on voit que les projets avancent ». Il faut faire preuve de prudence même dans une phase de démarrage, croit Michel Nadeau. « Il ne faut pas ajouter une charge bureaucratique. L’important, c’est les opérations sur le terrain qui desservent les citoyens », pense-t-il. https://www.journaldemontreal.com/2020/10/13/contrats-douteux-pour-gerer-le-transport-en-commun
  2. Curieux qu'ils aient besoin de tant d'espace seulement à peine 6 ans après la construction de leur édifice de l'autre côté de Décarie
  3. Pour ce qui est du SRB, il était prévu que certains bus en provenance de Laval (6 bus par heure) terminent à la ligne bleue. À part ça, il y aura la 139 (non-SRB) et la 141 qui vont utiliser chacun une paire de quais. (1 quai par direction) Ajoutons la 41 et la 99, et on arrive pas loin du compte.
  4. Un aperçu de la Station Pie-IX/Jean-Talon https://www.youtube.com/watch?v=o9TYwhebn_c
  5. Je ne pense pas que cette vidéo du 18 septembre avait été partagée ici:
  6. Ça dépend sur quel horizon. D'ici 2028: quasi impossible D'ici 2033: peu probable D'ici 2053: probable D'ici 2073: je suis prêt à parier
  7. Manque juste l'officialisation, mais on sait que c'est ce que l'ARTM veut faire.
  8. Châteauguay approuve le projet de terminus d’exo Le conseil municipal de Châteauguay a donné son accord de principe à exo pour convertir son stationnement incitatif dans cette ville en terminus. « Une fois réalisé, le nouveau terminus Châteauguay comprendra : un centre de services incluant : une billetterie, une aire d’attente intérieure et des toilettes publiques, une boucle de 10 quais, plus 2 quais sur rue comprenant des marquises pour protéger la clientèle des intempéries, un stationnement d’environ 600 places, et une surface paysagée augmentée de 14 % par rapport au projet initial », a détaillé Gina Guillemette, porte-parole d’exo, dans un courriel, le 28 septembre. « Dans la mesure où l’on obtient toutes les autorisations requises dans les délais et qu’il n’y a pas d’imprévu important, nous visons une mise en service pour 2023 », a-t-elle indiqué. Prochaines étapes Exo a acquis l’ancien centre de mécanique Automobiles Liberté situé boulevard Saint-Jean-Baptiste pour bonifier son plan. « L’intégration du terrain situé au 44 Saint-Jean-Baptiste, récemment acquis par exo, a permis de repositionner l’ensemble des éléments pour mieux les intégrer au milieu, bonifier l’expérience de notre clientèle et améliorer la sécurité sur le site », a expliqué Mme Guillemette. Les prochaines étapes consisteront à démolir l’édifice sur le site et à décontaminer le terrain. Exo devra ensuite finaliser les études et obtenir les autorisations nécessaires pour lancer l’appel d’offres en vue de la construction. « Si rien ne vient affecter l’échéancier, la démolition et la décontamination pourraient débuter au printemps 2021 », a fait part la porte-parole. https://www.cybersoleil.com/chateauguay-approuve-le-projet-de-terminus-dexo/
  9. Plan de la station Pl_Station_Sainte-Dorothée_FR.pdf
  10. La suite de l'article: Le ministre a reconnu que la COVID-19 avait perturbé les habitudes de transport de milliers de Québécois, avant d’ajouter qu’il était « beaucoup trop tôt » pour en connaître l’effet à long terme sur les besoins routiers et que la pandémie ne remettait donc pas en question cet élargissement. M. Bonnardel a affirmé que ses équipes cherchaient « les meilleures solutions pour répondre à notre politique de mobilité durable et réduire le temps d’attente dans la voiture le matin et le soir ». Le chantier devrait débuter en 2022. L’appel d’offres lancé jeudi vise seulement les études initiales qui chercheront à déterminer quels types de véhicules pourront circuler dans ces nouvelles voies réservées. Évaluations environnementales Dans son projet de loi 66, actuellement à l’étude à l’Assemblée nationale, Québec exclut l’autoroute 30 du regard du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) afin d’en accélérer l’achèvement. « C’est important de dire qu’il y a déjà eu beaucoup d’évaluations environnementales pour l’A30, on connaît les impacts. On parle d’élargissement dans l’emprise de la route sur un tronçon bien défini », a dit Mme LeBel, ajoutant avoir bon espoir de pouvoir faire adopter rapidement le projet de loi. Elle a assuré que le ministère de l’Environnement suivrait les travaux pas à pas. « Il est possible au Québec d’accélérer des processus sans remettre en question ni l’intégrité ni l’environnement, et je pense qu’on va en faire la démonstration dans les prochaines années », a affirmé la ministre. Les mairesses de Brossard et de Sainte-Julie, Doreen Assaad et Suzanne Roy, se sont réjouies du lancement du projet d’élargissement. « Le lancement de l’appel d’offres représente le point de départ d’une plus grande fluidité sur l’un des axes routiers les plus importants de la Rive-Sud », a dit la première. « N’oublions pas que cette artère permet l’accès aux marchés ontarien et américain. » « C’était une nouvelle attendue depuis plusieurs années », s’est réjouie la seconde. Le gouvernement « a compris l’urgence de la situation, l’urgence d’agir. »
  11. Il n'y aura pas de points de recharge sur Pie-IX. Ce seront des bus à recharge lente (recharge au garage pendant la nuit) https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/2019-11-20/boulevard-pie-ix-66-millions-pour-20-bus-articules-electriques
  12. L'entièreté de la flotte de bus articulés de la STM va arriver en fin de vie utile entre 2025 et 2029. La STM s'est engagée à n'acheter que des bus électriques à partir de 2025. À l'aube de ce renouvellement, c'est cohérent que la STM veuille passer à l'électrique pour l'expansion de sa flotte de bus articulés. Tu veux dire Vancouver? Toronto n'a plus de Trolleybus depuis plusieurs décennies.
  13. C'est l'emplacement de la passerelle. (Melbourne <-> Morrison). Il y a avait en masse d'espace pour mettre un caisson de tunnel préfabriqué sans interrompre le chantier pendant la couple de jours que l'opération prendrait. Pendant ce temps en Ontario ils le font sous des voies ferrées actives. Ça illustre à quel point ç'aurait été simple de le faire lorsque la circulation ferroviaire est interrompue ici. http://www.westernmechanical.net/projects/various-go-station-pedestrian-tunnel-installations/
  14. Non! Les rails sont pile au même niveau que les rues parallèles.
  15. À Copenhague ils l'ont la solution. Et je parie que ça n'a pas coûté cher pantoute. 5 traverses(!) pour 800m de tracé dans un quartier pas vraiment plus dense que TMR. https://www.google.ca/maps/@55.6530477,12.6334046,960m/data=!3m1!1e3 C'est consternant qu'au Québec on ne sache pas faire mieux pour le transport actif que ce genre de passerelle mal foutue.
  16. Ils y mettent les véhicules d'entretien. C'est la aussi qu'il y a des monte-charges pour amener les matériaux de construction dans le métro. Par exemple les portes palières, quand ils vont les installer. Les autres centres d'attachement sont à la station Viau et entre Lionel-Groulx et Charlevoix. L'atelier Youville joue aussi ce rôle pour le nord-est du réseau.
  17. La station du REM à l’aéroport de Montréal menacée La crise mondiale que traverse le transport aérien en raison de la pandémie de COVID-19 met à mal l’une des stations phares du Réseau express métropolitain, celle de l’aéroport Montréal-Trudeau. Notre Bureau d’enquête a appris que la construction de la station prévue sous l’aérogare, qui devait permettre de relier l’aéroport et le centre-ville de Montréal en 20 minutes, est compromise par de sérieuses difficultés financières Elle risque de ne pas être terminée à temps pour 2023, faute d’argent, et pourrait même ne pas être construite s’il n’en tient qu’à Aéroports de Montréal (ADM), qui gère les installations. Financement privé Cette station est la seule du futur Réseau express métropolitain (REM) qui est entièrement financée par le privé. Mais la pandémie mondiale qui sévit depuis le début de l’année a fait chuter les revenus d’activité de l’aéroport de 97 % et a stoppé sa croissance financière. Pire : le tunnelier qui doit creuser le passage qui se rendra sous les pistes doit commencer son travail dans moins d’un mois, et ADM ne sait toujours pas comment elle va régler la facture de la station sous l’aérogare. L’organisme a donc demandé un prêt et des conditions souples de remboursement aux gouvernements à Ottawa et à Québec. Après avoir dénoncé cet état de fait dans une lettre ouverte en juin, ADM semble avoir fait son nid. Pas de prêt, pas de station du REM à Montréal-Trudeau, ferait valoir l’organisation. Une véritable hérésie, selon nos sources gouvernementales. Des sources bien au fait des discussions entre ADM et Québec rapportent que les conditions de financement exigées par l’organisme seraient irréalistes. Les pourparlers n’ont abouti à rien pour le moment. « Essentielle pour le projet » Livia Belcea, attachée de presse au bureau du ministre fédéral des Transports, Marc Garneau, nous a indiqué hier que « la connexion avec l’aéroport est essentielle pour le projet ». « C’est pour cela que nous allons continuer de travailler avec Aéroports de Montréal et nos autres partenaires, incluant la Ville de Montréal et le gouvernement du Québec, afin de trouver une solution », a-t-elle poursuivi. Ces difficultés surviennent au moment où la Ville de Dorval veut aussi sa part du gâteau. Elle aimerait que le REM soit prolongé pour se rendre à la gare Dorval, à environ 700 mètres plus au sud. Selon une étude de la firme Steer sur les hypothèses d’achalandage d’un tel prolongement, une station du REM à la gare Dorval amènerait 10 100 personnes à l’aéroport quotidiennement en 2024. En 2034, elle aurait le potentiel d’y amener 107 000 voyageurs chaque jour. https://www.journaldemontreal.com/2020/09/08/la-station-du-rem-a-laeroport-de-montreal-menacee
  18. Sur la grille officielle, on peut voir que les titres soirée et weekend illimités de la STM (et du RTL) disparaissent pour être remplacés par ces nouveaux titres métropolitains, donc c'est une certitude qu'ils seront en vente dans le métro.
  19. Le "dézonage" des titres soir et weekend illimité à partir du 1er octobre va déjà dans ce sens. https://www.artm.quebec/nouvelle-tarification-en-vigueur-le-1er-octobre-2020/
  20. En coupant à travers la voie downhill du Réseau Express Vélo... quelle bonne idée!
  21. Même chose ici. Je m'enligne pour m'acheter une 3070. Ma bonne vieille Radeon HD 6850 achetée en 2011 en arrache un ti-peu avec le nouveau Microsoft Flight Simulator lol 🤭
  22. Significativement plus que ça. Une quinzaine de lignes d'exo Sud-Ouest, Haut-St-Laurent et Roussillon passent par le pont Mercier, pour joindre Angrignon, le Cégep André-Laurendeau et le terminus Mansfield. (dans le dernier cas vont sûrement être rapatriées au Terminus Centre-Ville.) Les lignes du RTL vers Radisson et celle qui utilise le pont Victoria vont probablement aussi rester. Et il y a les lignes de la région de Vaudreuil-Soulanges et de l'Île Perrot. Et ça c'est sans compter toute la couronne nord.
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