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REM (ligne A) - Discussion générale


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20 hours ago, p_xavier said:

OMG, ils ont abbattus 67 arbres, vivement un article sponsorisé par Trainaparence! Ridicule que nos taxes paient pour ce genre d'article.

https://www.cbc.ca/news/canada/montreal/rem-construction-site-residents-shocked-1.5319110

Not even.

"At the Sainte-Anne site, they have cut down 67 trees in total — 17 of which were dead."

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Il y a 5 heures, Kotar a dit :

Not even.

"At the Sainte-Anne site, they have cut down 67 trees in total — 17 of which were dead."

But dead trees have the right to live too...

Won't somebody think of the dead trees?

 

I don't like cutting down trees but sometime it is necessary, especially for a major new public transit system.

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56 minutes ago, danny12345 said:

Est-ce que le tablier dur les sections aériennes sera assez large pour laisser circuler les passagers en cas de panne d'un train?  Ou bien est-il assumé que jamais un train de s'arrêtera entre 2 stations?

Ça doit être comme le SkyTrain, espace dédié entre les voies.

 

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https://journalmetro.com/actualites/montreal/2391108/robustesse-rem-rive-sud-epreuve-octobre-2020/

La «robustesse» du REM sera mise à l’épreuve sur la Rive-Sud dès octobre 2020

Journal Métro
by Henri Ouellette Vézina / 7min

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  En plein chantier, le Réseau express métropolitain (REM) entrera en phase de rodage d’ici un an à peine sur la Rive-Sud. Une phase intensive de tests sur les wagons et les portes-palières, entre autres, doit avoir lieu en octobre 2020 au Terminus de Brossard, et ce pendant au moins 13 mois.

«On veut vraiment tester le matériel roulant dans différentes conditions, a expliqué à Métro le porte-parole du REM, Jean-Vincent Lacroix, en marge d’une visite de chantier jeudi matin. Pour s’assurer de la robustesse du système, l’objectif sera aussi de le faire vivre dans toutes sortes de conditions, quand il y a beaucoup d’affluence par exemple.»

Cette batterie de tests «dynamiques», qui seront effectués sur une distance de 3,5 km été comme hiver, s’ajoute à une autre série d’examens du REM déjà en cours en circuits fermés. Une chambre climatique mise sur pied il y a quelques mois permet actuellement d’exposer les wagons à des conditions «extrêmes, donc du -40, de la glace, du givre», illustre M. Lacroix.

«Il n’y a rien de mieux pour nous que de voir concrètement comment le réseau répond à l’environnement montréalais.»
-Jean-Vincent Lacroix, porte-parole du REM

Pour permettre aux automobilistes de la Rive-Sud d’emprunter le REM jusqu’à la Gare centrale dès la fin 2021, un stationnement incitatif de 3000 places sera aussi construit près du Terminus de Brossard. Celui-ci sera d’ailleurs au cœur du REM, le futur centre de contrôle – le «cerveau» de tout le projet.

«Comme c’est un système sans conducteur, tous les mouvements des trains seront étudiés et opérés à partir d’ici, souligne le porte-parole au consortium NouvLR, Xavier De Nettancourt. Tout doit être livré d’ici un an.»

REM: peu ou pas de fermetures sur le pont Champlain

Si elle reconnaît que l’exercice implique de «possibles complications», l’équipe du REM promet par ailleurs de ne causer d’entraves à la circulation automobile sur le nouveau pont Samuel-de-Champlain que lorsqu’il y entamera la pose de rails, en novembre.

«Nos travaux vont se faire uniquement sur la tablée centrale, avec très peu ou sinon aucune fermeture de voies. Ça se fera de nuit, donc on prévoit très peu d’impacts.»
-Robert Nadeau, DG adjoint du REM

L’exercice demeure «un défi de coordination» constant, nuance M. Nadeau, surtout pour accéder à l’Île des Sœurs. Plusieurs projets urbanistiques de la Ville de Montréal y sont déjà en cours.

Pour M. De Nettancourt, l’horizon fin 2021 pour la branche sud du REM demeure réaliste, même s’il y a «beaucoup d’embûches et d’enjeux». «On se concentre sur ce qu’on va pouvoir faire cet hiver, explique-t-il. Tout ce qui est fondations, chevêtres, colonnes, ça va être possible même si c’est plus difficile.»

«Les travaux qu’on ne pourra pas faire seront remplacés ailleurs. Si on ne nous laisse pas entrer par la fenêtre, on va rentrer par la cheminée», témoigne-t-il.

Même si les travaux de sécurisation à effectuer dans le tunnel du mont Royal laissent croire à un échéancier plus serré que prévu, Québec refuse de parler de retards ou de débordements de coûts. Le chantier sera terminé «en temps et dans les budgets», a soutenu mi-octobre la ministre Chantal Rouleau.

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https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201910/24/01-5246843-une-tortue-ralentit-le-rem.php

Une tortue ralentit le REM

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PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE
Les experts de NouvLR ont constaté la présence de tortues géographiques et de leurs nids dans le parc des Arbres, à Pierrefonds, où a été installée une barrière faite de toile géotextile.

Le gigantesque projet du REM doit faire face à toutes sortes de contraintes, qui compliquent le travail du constructeur et allongent les délais. L’un des derniers obstacles en lice : la petite tortue géographique, qui a été repérée en bordure de la rivière des Prairies, à Pierrefonds.

Publié le 25 octobre 2019 à 5h00
FRANCIS VAILLES
LA PRESSE

Des contorsions pour protéger une espèce vulnérable

Au début de l’été, le constructeur du REM a découvert des sites de ponte de la tortue géographique, une espèce vulnérable, sur l’un des chantiers du projet. Les tortues et leurs œufs ont été repérés dans le parc des Arbres, en bordure de la rivière des Prairies, à Pierrefonds.

Le constructeur NouvLR y érigera un nouveau pont qui enjambera la rivière jusqu’à l’île Bigras, à Laval, pour les besoins du train électrique. La structure sera adjacente au pont actuel.

Pour NouvLR, impossible de poursuivre les travaux sans se soucier du reptile. Le consortium chapeauté par SNC-Lavalin est légalement tenu de faire un suivi serré des enjeux environnementaux qui se présentent, notamment la gestion des sols contaminés et des milieux humides. Parmi ces enjeux figure la protection de certaines espèces végétales et animales le long des 67 km de chantier du REM.

Un résumé de ce suivi est incorporé au rapport de NouvLR du mois d’août que La Presse a obtenu. Sur la base de ce rapport, notamment, La Presse a révélé le 1er octobre que le constructeur prévoyait jusqu’à 20 mois de retard dans la livraison du segment qui va du centre-ville de Montréal à l’arrondissement de Saint-Laurent.

Le retard, qui soulève l’ire des résidants de Deux-Montagnes, est expliqué, entre autres, par le respect de normes de sécurité du tunnel du mont Royal*.

Une tortue vulnérable

Au début de l’été, donc, les experts de NouvLR ont constaté la présence de tortues géographiques et de leurs nids dans le parc des Arbres, à Pierrefonds. Or, depuis 15 ans, cette tortue est désignée comme vulnérable au Québec. On distingue cette tortue de 12 à 25 cm des sept autres espèces en eau douce par la partie supérieure de sa carapace, qui rappelle les courbes de niveau d’une carte topographique, d’où son nom de tortue géographique.

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PHOTO DAVID BOILY, LA PRESSE
La carapace de la tortue géographique rappelle les courbes de niveau d’une carte topographique, d’où son nom.

Cette découverte a provoqué une série de discussions entre NouvLR, la Caisse de dépôt et deux ministères du gouvernement du Québec, soit le ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, d’une part, et le ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs, d’autre part.

Les quatre parties se sont penchées sur les meilleures façons de protéger les nids potentiels et « prévenir toute mortalité de tortues durant les travaux », nous indique-t-on au ministère de l’Environnement, comme à celui de la Faune.

On a finalement convenu de modifier le chemin permettant aux machineries d’accéder au chantier et de déplacer les aires d’entreposage des matériaux nécessaires à la construction du pont ferroviaire. 

Des clôtures ont été mises en place au pourtour de toutes les aires de chantier afin de prévenir l’entrée ou l’utilisation des aires de chantier par les tortues et également éviter tout débordement du chantier vers les aires de ponte des tortues.

Le ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs

Selon la fiche technique du ministère de la Faune, les principales menaces qui affectent cette espèce sont « la régularisation du niveau de l’eau lors de la période de nidification, la modification intensive des rives, de même que le dérangement, la prédation et la pollution de son habitat ».

La tortue géographique, faut-il savoir, ne se reproduit pas avant l’âge de 7 ans et 95 % de ses œufs sont victimes des prédateurs (ratons laveurs, poissons, etc.). De plus, certains poissons et oiseaux raffolent des bébés tortues en bas âge, lorsque leur carapace est encore molle.

Selon les scientifiques, la protection des espèces est cruciale pour la biodiversité. Lorsqu’une espèce disparaît, les autres qui en dépendent peuvent disparaître également, bouleversant ainsi la chaîne alimentaire, dont l’Homme dépend ultimement.

En fin de compte, les mesures d’atténuation de NouvLR ayant été jugées suffisantes par les deux ministères, un certificat d’autorisation a été délivré à NouvLR le 1er août.

Au parc des Arbres de Pierrefonds, nous avons effectivement pu constater la présence d’une barrière faite de toile géotextile, mais plusieurs des petits poteaux qui la maintiennent en place étaient brisés. Au ministère de la Faune, on nous indique qu’une vérification des installations sera faite en mai, soit après l’hiver et avant la période de ponte des tortues, en juin.

Couleuvres brunes

La tortue géographique n’est pas la seule espèce qui a causé des soucis au constructeur NouvLR. Pour respecter ses contraintes environnementales, NouvLR a aussi dû enquêter sur les couleuvres sur certains terrains des antennes Rive-Sud, Deux-Montagnes et Sainte-Anne-de-Bellevue du projet, entre autres. L’une des espèces, la couleuvre brune, est en péril dans la province.

L’enquête passe par des activités de capture des couleuvres durant la saison estivale, puis de déplacement, le cas échéant. La capture est réalisée grâce au déploiement de certains bardeaux d’asphalte sur le sol, dont l’accumulation de chaleur attire ces reptiles. La plupart des sites visés ont mis fin à leurs activités de capture-relocalisation durant l’été, étant donné le faible taux de capture, est-il indiqué dans le rapport de NouvLR.

Le bureau du projet du REM, chapeauté par la Caisse de dépôt, a assuré que les activités sont contrôlées par des experts en environnement, en respect des normes applicables.

«  Nous avons effectivement installé des barrières de géotextile pour nous assurer que le chantier soit exempt de la présence de tortues géographiques. Une vigilance accrue est en place puisque ces barrières sont souvent déplacées par les citoyens qui approchent les berges pour aller pêcher  », a expliqué le porte-parole Jean-Vincent Lacroix.

*En plus du tunnel, le constructeur doit composer avec une série de contraintes, selon le rapport, dont fait partie la gestion environnementale. La Caisse de dépôt et placement du Québec, promoteur du projet, conteste ces retards.

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Un premier tronçon fonctionnel dans un an

TEXTE : BRUNO BISSON
LA PRESSE

PHOTOS : MARTIN CHAMBERLAND
LA PRESSE

Une visite du vaste chantier du Réseau express métropolitain (REM) était organisée pour la toute première fois, hier, par le bureau de projet. 

Les premiers rails

Au détour d’un chantier, dans le prolongement du boulevard de Rome, à Brossard, des ouvriers travaillent à l’installation des rails dans la courbe ferroviaire longeant les vastes terrains où sera implanté le « centre de commandement » du futur Réseau express métropolitain (REM) à l’intersection des autoroutes 10 et 30.

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PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE

Station Rive-Sud

Les premières rames du train léger de 67 km de long, avec passagers, partiront d’ici vers la gare Centrale de Montréal dès la fin de 2021, selon la Caisse de dépôt et placement du Québec, qui finance le projet de 6,3 milliards. Le squelette d’acier de la station terminale du réseau, appelée Rive-Sud, se dresse déjà à l’ouest du site. Dans un an à peine, elle deviendra le point de départ d’un premier « segment représentatif » du réseau, entièrement fonctionnel, qui servira de banc d’essai, sans passagers, mais en situation réelle, durant plus d’un an.

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PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE

Segment représentatif

Selon le responsable de la construction de ce tronçon du REM au consortium NouvLR, Xavier de Nettancourt, ce segment représentatif s’étendra sur environ cinq kilomètres, en direction de Montréal, à partir de la station Rive-Sud jusqu’aux abords de la station Panama, près du pont Samuel-De Champlain (dont on aperçoit le grand mât en arrière-plan). En vertu du contrat signé avec la Caisse de dépôt, NouvLR doit livrer ce premier tronçon de deux stations, fonctionnel, électrifié et équipé de tous les systèmes de guidage et de télécommunications nécessaires à l’opération sécuritaire d’un train sans conducteur, dès le mois d’octobre 2020.

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PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE

Treize mois de tests

Selon M. de Nettancourt (au centre de la photo), la livraison du segment représentatif permettra au constructeur des voitures du REM, le Groupe des partenaires pour la mobilité et des Montréalais (GPMM), de mettre ses voitures à l’essai en situation réelle pendant une période d’au moins 13 mois « avant l’ouverture commerciale » du réseau, prévue à la fin de 2021. Le fonctionnement des voitures et de l’ensemble des systèmes sera donc testé durant un hiver complet.

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PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE

Centre nerveux

Pendant ces 13 mois, les automobilistes qui empruntent l’autoroute 10, les simples curieux et la population locale pourront donc voir les voitures du REM rouler à vide au centre de l’autoroute 10, entre son « centre nerveux », situé juste au sud de l’A30, et la future station Panama. Ces tests ne serviront pas qu’à tester le matériel roulant, mais aussi à faire l’essai de tous les éléments du réseau sur lequel il devra rouler, et dont NouvLR a la responsabilité.

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PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE

Entretien et contrôle

L’architecture du réseau du REM « a la particularité de se conclure en une boucle où se trouve le centre de commandement de tout le projet », explique M. de Nettancourt. Sur la photo, il s’agit du grand bâtiment en construction, en arrière-plan, où seront aménagés le centre d’entretien principal et le centre de contrôle du réseau. « C’est un système sans conducteur, tout se dirige donc de là. Un bouton appuyé ici ouvre une porte à [la station de] Deux-Montagnes. C’est le centre nerveux. »

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PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE

Un vaste complexe

Au moment de la mise en service du tronçon du REM entre la Rive-Sud et la gare Centrale, à Montréal, à la fin de 2021, le complexe à l’intersection des autoroutes 10 et 30 comprendra une station, un grand stationnement incitatif de 3000 places, le centre d’entretien principal et le centre de contrôle de tout le réseau, regroupés sur un seul vaste site, qui était encore vierge de toute construction, il y a à peine 18 mois.

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PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE

Impressionnante plongée

Le Bureau de projet du REM a rendu publiques, hier, trois vidéos filmées à l’aide de drones qui offrent des vues en plongée spectaculaires des chantiers du REM. Celle-ci montre l’excavation de la future station Édouard-Montpetit, près de l’Université de Montréal, qui sera aménagée à 60 m de profondeur, sous le mont Royal. La vidéo se termine sur les images de la première galerie horizontale creusée à 58 m de profondeur juste au-dessus du tunnel ferroviaire qui passe sous le mont Royal. Il s’agit de la première des galeries à partir desquelles on accédera aux quais de la station, qui seront creusées dans les prochains mois autour du tunnel.

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