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L'hydro-électricité c'est bien mais ses désavantages sont considérés de plus en plus, c'est une tendance, un fait, que l'on soit d'accord ou non. Ce que le futur veut c'est du renouvelable, environmental-freindly, à bon prix, est-ce possible? Je suis convaincu que le Québec est une niche de grands talents. Pourquoi ne pas démarrer la machine et leader au lieu de suivre? La reprise économique ne tient pas-t-elle sur les nouvelles technologies?

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  • 6 mois plus tard...
Focus Metals Inc. and Hydro-Québec’s research institute, IREQ, have a licensing agreement enabling the junior mining company to develop graphite purification and production facilities, the companies said Monday.

 

A new, Focus-owned facility will transform first-production graphite sourced from the company’s Lac Knife, Quebec deposit to battery-grade material, they said in a statement.

 

The first part of the licensing agreement is related to Focus Metals’ development of a graphite purification process that brings Lac Knife’s processed graphite to 99.95% carbon for use in lithium battery applications.

 

The second part provides for the production of anodes for Li-ion batteries.

 

IREQ will provide technical support and cooperate in future material and processing technology improvements.

 

The new purification facility will be designed — subject to positive economic analysis — to produce 15,000 tons of spherical battery-grade flake graphite at peak, by 2015 while the anode production facility will be designed to produce up to 5,000 tons of anodes.

 

The cost of the facilities and the financing required have yet to be determined.

 

IREQ is to receive a licensing fee that will be paid in cash over a three-year period., representing less than 10% of the current working capital, as well as a royalty fee based on a percentage of future sales.

 

“This agreement reinforces our goal of becoming the lowest-cost technology graphite producer in the world,” Focus Metals’ President and CEO, Gary Economo said in a statement.

 

Read more: http://www.montrealgazette.com/Focus+Metals+Hydro+Qu%c3%a9bec+sign+licensing+deal/6579843/story.html#ixzz1uZqMfDzO

 

This should be interesting.

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  • 6 mois plus tard...

This is something that will affect Hydro Quebec

 

Protesters, Quebec government voice opposition

 

A group of protesters outside the gates of the base said earlier this afternoon that they were disgusted with what they called a lack of consultation over the entire Muskrat Falls project.

They have accused the federal and provincial governments of stealing from Labrador and not listening to various aboriginal groups.

"I think it's a slap in the face for the equality and justice that we as Labradorians have been seeking for many years," said protester Petrina Beals. "They're continuing to do the same things that they have done over the years and they're totally disregarding what's happening in our region, and not listening or talking to the people."

The Quebec government has also made it clear that it is furious about the loan guarantee.

Alexandre Cloutier, Quebec's intergovernmental affairs minister, said Quebec never received that type of help from Ottawa for its hydroelectric development.

"The federal government is acting against a Quebec interest using Quebecers' money to deploy a federal grant to Labrador and that will have a bad impact on the Quebec economy," fumed Cloutier.

He added that Quebec has been looking at its legal options to fight the deal.

Interprovincial politics have played a key role in Muskrat Falls, as Newfoundland and Labrador and Nova Scotia have partnered to find a way to deliver power to other markets while

 

bypassing Quebec.

 

Article

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  • 5 mois plus tard...

À mon avis cette centrale est un énorme scandale qui n'est pas suffisament médiatisée. Tout le monde est choqué à cause des depassements de couts du stade olympique, mais le stade a servi pour une foule d'evenements: JO, Expos, Alouettes, Impact, concerts, etc. La centrale de Becancour nous a couté 1 milliard en échange de rien du tout. Je répete rien du tout. Y'a des coups de pieds au cul qui se perdent.

Malgré une solution de 120 millions $

Hydro-Québec dépense un milliard $

La centrale de Trans-Canada Énergie a été ouverte en 2006. Elle était fermée un an plus tard. Depuis cette fermeture, Hydro-Québec Distribution a payé un milliard de dollars en pénalités et en coût de capital à Trans-Canada. Cette dépense astronomique a été refilée directement à tous les clients d'Hydro-Québec.

 

«On a lancé ce projet-là dans la précipitation en annonçant qu'on aurait une pénurie d'électricité aux abords des années 2006, explique Jean-Marc Pelletier, un consultant et retraité d'Hydro-Québec. Je rappelle par ailleurs que pendant ce temps-là, Hydro-Québec Production avait tellement d'électricité qu'elle vendait ses surplus sur le marché américain.»

 

L'histoire aurait pu être différente. La société d'État avait commandé une étude afin de transformer la centrale de Bécancour pour seulement 120 millions de dollars. Cette alternative n'a visiblement pas été retenue. En fait, selon nos informations, des cadres auraient même demandé la destruction de l'étude faite par SNC-Lavalin.

Chose certaine, Hydro-Québec Distribution n'a jamais présenté cette option devant la Régie de l'énergie. C'est elle qui a autorisé le contrat avec Trans-Canada. Maintenant, il pourrait en coûter un deuxième milliard d'ici 2026, simplement en pénalités et en coûts de capital.

 

La centrale TAG d'Hydro-Québec aurait pu être transformée. Du haut des airs, elle apparait comme un véritable bijou. Alimentée au gaz naturel comme celle de Trans-Canada, elle aurait été fonctionnelle à longueur d'année, sans les pénalités d'une seule année, comme c'est le cas actuellement avec Trans-Canada.

 

D'après un reportage de Michel Morin

 

http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/national/archives/2013/05/20130514-184735.html

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  • 1 mois plus tard...

Ils auraient du vendre à Hydro Quebec finalement....

 

 

Publié le 11 juillet 2013 à 05h37 | Mis à jour à 05h37

Nucléaire: 3,3 milliards pour la remise à neuf de la centrale Point Lepreau

 

 

Un memorandum que le Conseil privé a adressé au bureau du premier ministre du Canada laisse entendre que les coûts de remise à neuf de la centrale nucléaire de Point Lepreau, au Nouveau-Brunswick, pourraient atteindre 3,3 milliards de dollars, soit près de 1 milliard de plus que les prévisions.

 

 

Le memorandum daté de décembre 2012 a été obtenu par La Presse Canadienne en vertu de la Loi d'accès à l'information.

 

La remise à neuf de la centrale, entreprise en 2008, devait coûter 1,4 milliard, une facture qui a gonflé en raison de nombreux facteurs qui ont prolongé les opérations de trois ans.

 

Énergie Nouveau-Brunswick a révélé plus tard que la remise à neuf avait nécessité de sa part une injection de 2,4 milliards, une somme inférieure de quelque 300 millions à ce que laisse croire la note du Conseil privé.

 

 

Le memorandum fédéral ajoute que les coûts pour Énergie atomique du Canada (EACL) ont augmenté de 638 millions, étant passés de 540 millions à 1,17 milliard.

 

Le total de la facture, incluant les dépassements de coûts pour EACL et pour Énergie Nouveau-Brunswick, atteindrait donc 3,3 milliards.

 

Le président d'Énergie Nouveau-Brunswick, Gaétan Thomas, dit ignorer comment les autorités fédérales aient pu en arriver à une telle somme. Le dépassement de coûts pour sa société d'État, qu'il chiffre à 1 milliard plutôt qu'à 1,3 milliard, est démontrable, affirme-t-il.

 

Le chef du Parti vert du Nouveau-Brunswick, David Coon, croit que les dépassements de coûts d'Énergie atomique du Canada expliquent le refus du gouvernement fédéral de participer davantage au financement de la remise à neuf que Fredericton réclame depuis plusieurs années.

 

Des adjoints du premier ministre du Nouveau-Brunswick, David Alward, et de son ministre de l'Énergie, Craig Leonard, ont indiqué à La Presse Canadienne qu'ils ne souhaitaient pas commenter le dossier.

 

Les requêtes du genre transmises au bureau du premier ministre Harper et à Énergie atomique du Canada sont restées sans réponse.

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"Ils auraient du vendre à Hydro Quebec finalement...."

 

En fait, l'offre d'achat d'HQ excluait explicitement Point Lepreau... (Ouf, il existe encore des cadres compétents à Hydro-Québec!)

 

Mais tu as raison de toute façon, ils auraient dû vendre à HQ... Le NB est dans la m.... à cause de l'état du reste du réseau (et des contraintes d'exploitations pointe/hors pointe, qu'HQ aurait pu résoudre).

 

Les contribuables du NB vont devoir éponger les déficits d’hydro NB, en plus de subir des hausses supérieures de tarifs.

Modifié par YUL
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  • 7 mois plus tard...

via The Gazette :

 

Shelve Romaine hydro project, panel recommends

 

BY MONIQUE BEAUDIN,

GAZETTE ENVIRONMENT REPORTER

MARCH 2, 2014

 

There are increasing calls for Quebec to suspend or cancel part of a major hydroelectric project in Northern Quebec because of waning demand for the energy it would produce.

Environmental groups have long believed the $6.5- billion Romaine River project was a money loser for Quebec, especially in the wake of the 2008 economic downtown and the boom in U.S. shale oil and gas production that has dramatically reduced demand for Quebec electricity.

 

Now a commission that has spent the past six months studying Quebec’s energy future is recommending the government shelve the project. Quebec already has a surplus of energy that it is forced to sell at prices far below production costs, commissioners Roger Lanoue and Normand Mousseau said.

 

“Given that the development of the Romaine complex depended mainly on export markets, this investment can’t be made profitable, especially with the surpluses that Hydro-Québec has today,” the commissioners said in a report made public last week.

 

Hydro-Québec began work on the 1,550-megawatt, four-dam Romaine hydroelectric complex in 2009. The first phase of the project is nearly finished, and electricity is expected to begin to be produced there by the end of the year, according to Hydro spokesperson Marie-Élaine Deveault.

 

According to the utility, the project would generate “substantial economic spinoffs” — approximately $3.5 billion for Québec as a whole and $1.3 billion for the Côte-Nord region. Most of the electricity produced there is to be exported.

 

Environmental groups said the commissioner’s recommendations echoed arguments they have been making for years.

 

“The economic reasons that were used to justify the project — which weren’t valid or worth the trouble in our eyes back in 2009 — those conditions are no longer standing,” sai

 

Christopher Scott, a spokesperson for the environmental group Alliance Romaine.

 

Members of the group, which has been fighting the northern hydro project since 2008, have been demonstrating outside the utility’s René-Lévesque headquarters for weeks, dressed as white elephants.

 

Money slated for the project should instead be used for economic development on the North Shore, Scott said.

 

The recommendation to suspend part of the Romaine project comes amid testimony at the Charbonneau Commission into corruption in the construction industry about work stoppages and inflated labour costs at Romaine work sites, located near the town of Havre St-Pierre, about 1,100 kilometres from Montreal.

 

Among the project’s critics is Quebec actor Roy Dupuis, co-founder of the environmental group Fondations Rivières. Along with filmmakers Alexis De Gheldere and Nicolas Boisclair, who made a documentary on the Romaine River, Dupuis wrote an open letter this week saying the Charbonneau Commission should investigate why the Romaine project went ahead. Even in 2009, they said, it was clear the economic downtown would render the project unnecessary.

 

“The most relevant place to investigate the links between the construction industry and political-party financing is probably the Romaine, given the lack of justification for the project,” they said.

 

Since the provincial government has already shut down the Gentilly-2 nuclear plant in Bécancour, and cancelled several small hydropower plants because they were not profitable, the same must happen with the Romaine project, the three wrote.

 

“It is time they open their eyes and finally see this is a white elephant,” they said. “The alarm has been sounding for Quebec for years, saying “Debt, destruction of rivers and a lack of basic economic logic.”

 

Deveault said the utility had no comment on the energy commission report, and referred a reporter to the provincial government. After the energy report was made public, Premier Pauline Marois said projects that have already been approved will go ahead.

 

© Copyright © The Montreal Gazette

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À tout le moins, je ferais une pause afin de voir si on peut assainir le climat de travail sur le chantier, et de refaire les calculs de rentabilité (en incluant le facteur $$$ « RAMBO » --» soit pas de mobilité de main-d’œuvre / chantage du « fond du baril » / enveloppes brune pour RAMBO)

 

Si non rentabilité : fermeture du chantier et reporter les autres phases à une date plus propice.

 

Pour réflexion : si les gens de la côte nord se donnent le droit de refuser les travailleurs extérieurs (même pour certains postes spécialisés), alors on aurait le droit de refuser les travailleurs de la cote-nord sur tous les autres chantiers du Québec?

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  • 4 mois plus tard...

Opération-charme du PM pour vendre les surplus d'Hydro

 

(BRETTON WOODS) Il a préparé ses arguments de vente et est virtuellement prêt à prendre les commandes dans son carnet. Philippe Couillard est arrivé au New Hampshire, en début d'après-midi, avec la ferme intention de trouver des acheteurs pour les surplus d'électricité d'Hydro-Québec.

 

Le premier ministre du Québec voit dans la 38ème Conférence des gouverneurs de la Nouvelle-Angleterre et des premiers ministres de l'Est du Canada, organisée à Bretton Woods, une «occasion excessivement importante» de développer le marché de la Nouvelle-Angleterre, qui reçoit déjà 50% des exportations d'Hydro-Québec.

 

Il y a un «attrait renouvelé» de la part des États américains du nord-est pour l'énergie renouvelable produite au Québec, notamment grâce à la hausse du prix du gaz naturel et aux interventions de Barack Obama en faveur de l'électricité propre, a dit croire M. Couillard. Le gaz de schiste à bon marché avait plombé les exportations d'électricité québécoises dans les dernières années, mais cette période serait terminée, selon le premier ministre

 

«Redresser les finances publiques, c'est bien sûr s'occuper des dépenses. Mais c'est aussi générer de nouveaux revenus, a dit M. Couillard, précisant que l'hydroélectricité donnait une «immense occasion» de renflouer les coffres.

 

L'opposition de la gouverneure du New Hampshire au tracé actuel d'une nouvelle ligne d'exportation de l'électricité du Québec s'inscrit dans un «débat interne» qu'il faut laisser aux Américains, selon le premier ministre. Des manifestants étaient présents devant l'hôtel qui héberge la conférence pour manifester leur opposition au «Northern Pass».

 

http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201407/13/01-4783534-operation-charme-du-pm-pour-vendre-les-surplus-dhydro.php

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  • 3 mois plus tard...

Couillard inaugure une usine d'une filiale d'Hydro-Québec en Chine

 

Philippe Couillard a visité sa première usine en Chine vendredi, en prenant part à l'inauguration des installations de Prestolite, en banlieue de Pékin, un bébé d'Hydro-Québec dont les ventes pourraient dépasser les 100 millions de dollars d'ici à 2017.

 

Ce partenariat avec une entreprise chinoise produit des moteurs pour des autobus électriques et des camions, un dérivé du légendaire moteur-roue d'Hydro-Québec.

Les administrateurs avaient déroulé un immense tapis rouge, surplombé d'un grand panneau de bienvenue en français, et organisé une cérémonie très officielle pour accueillir le premier ministre.

 

Il s'agissait de la dernière journée de sa mission d'une semaine en Chine, puisqu'il s'envolait en après-midi pour l'Islande pour participer à une activité sur le cercle polaire.

 

Dans son discours, Philippe Couillard a affirmé que le « contact initial » qui a donné naissance à ce projet est né d'une visite de son prédécesseur, Jean Charest, en 2011.

 

Il s'agit selon lui d'une entrée de plain-pied dans l'économie du XXIe Siècle, « une économie plus faible en carbone ». C'est en effet désormais une des plus grandes préoccupations des autorités chinoises: la Chine est aux prises avec de sérieux problèmes de pollution atmosphérique, comme en témoignait encore vendredi l'air vicié et nauséabond de Pékin, enveloppée dans un brouillard de particules.

 

La technologie de motorisation électrique de Prestolite a été conçue par l'Institut de recherche de la société d'État à Boucherville, qui a investi, par sa filiale TM4, 5 millions à parts égales avec la chinoise PEBS pour cette usine d'assemblage à la fine pointe de la technologie, qui emploiera près d'une centaine de travailleurs à la fin de l'année.

 

Ce moteur électrique, alimenté par des batteries lithium-ion, coûte plus cher que celui d'autres concurrents chinois, a-t-on expliqué, mais il est toutefois plus fiable et offre un meilleur rendement, en plus d'être plus léger.

 

Cette usine doit approvisionner avant tout le marché chinois. Le potentiel de ce marché est gigantesque, avec des commandes prévues de 385 000 unités d'ici à 2016.

Prestolite souhaiterait décrocher 15 pour cent de ces commandes, a-t-on indiqué. Déjà, 11 sociétés de transport chinoises mettent à l'essai les moteurs électriques de Prestolite. Les premières commandes viennent d'être passées, plusieurs centaines d'unités, et la production peut commencer.

 

Prestolite exporte aussi déjà en Allemagne et à Taïwan.

 

« On s'attend à des ventes de 100 millions de dollars d'ici à 2017, ce qui est absolument remarquable », a fait savoir M. Couillard.

 

À ses yeux, le démarrage de cette usine n'est qu'un début puisque le Québec peut devenir un leader mondial dans l'électrification des transports, grâce à ses ressources abondantes.

 

Incidemment, le gouvernement précédent du Parti québécois avait fait de l'électrification des transports sa priorité en lançant une stratégie à cet effet, une stratégie que les libéraux ont reconsidérée après leur arrivée au pouvoir.

 

M. Couillard a fait savoir que son gouvernement travaillait sur « un nouveau plan de développement de l'électrification des transports qui donnera lieu à d'autres occasions d'affaires partout sur la planète ».

 

http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/politique/2014/10/31/002-fin-missio-couillard-chine.shtml

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