Hydro-Québec : actualités

[jesseps]

Rogers Communications announced today that the Rogers team in Quebec will enable the provision of machine to machine (M2M) wireless connectivity across the province of Quebec to Hydro-Quebec. Rogers will connect Hydro Quebec's central system with up to 600 Smart Meter collectors, which aggregate data relayed from the province's 3.8-million Smart Meters. Following a rigorous call for proposals, Rogers was awarded a six year contract because of its expertise in being able to provide M2M turnkey business solutions via a reliable network at competitive prices.

 

"We are proud to work with Hydro-Quebec to deliver this innovative, seamless turnkey business solution which will allow for real time connections across Quebec," said Philippe Sicotte, Vice President of business solutions at Rogers. "Rogers deploys innovative business solutions that allow its customers to have full control of their network and their operations. Rogers M2M customers have peace of mind knowing that their devices are running on Rogers' proven reliable network."

 

Rogers combines a world-class wireless network and the Rogers M2M Control Center, an industry leading M2M deployment platform exclusive to Rogers in Canada. In addition, Rogers integrates hardware from best-of-breed partners to wirelessly enable M2M solutions. To service Hydro Quebec in the context of this, Rogers will team up with Xplornet Communications Inc. to ensure satellite connectivity in remote parts of Quebec. Rogers begins deployment on a trial basis of the M2M wireless connection of Hydro Quebec's Smart Meter collectors this month.

 

Over the past 15 years, Rogers has enabled hundreds of thousands M2M connections in Canada. As one of the only providers in Canada that provides access to global standards for M2M through the strength of our GPRS/EDGE/HSPA network technologies, Rogers is committed to providing the tools and platforms to enable fast delivery of next-generation connected devices across various industries and market segments. M2M solutions can serve to improve productivity, reduce costs through increased efficiency and allow for more precise quality control. Common M2M solutions include data collection, remote control, remote monitoring, status tracking, road traffic control, security systems, fleet management, telemedicine and connected consumer devices.

 

For more information on Rogers M2M solutions, visit http://www.rogers.com/M2M

 

(Courtesy of CNW)

[jesseps]

Another step towards Hydro Quebec's plan to set up the country’s first public charging stations for electric vehicles.

 

It's launched the first open request for proposals to supply 120 stations for plug-in electric vehicles.

 

If all goes well, the stations could be online by early next year at sites belonging to Hydro's partners in the plan and at several commuter train park-and-ride facilities.

 

The deadline to submit a bid is August 30. Hydro will announce its choice before the end of the year.

 

Hydro announced its project this past June.

 

About one hundred 240-volt charging stations will be rolled out in the first phase of the project at Hydro-Québec, RONA, les Rôtisseries St-Hubert, Metro and Agence métropolitaine de transport (AMT) offices and some AMT park-and-ride lots.

 

The charging infrastructure is part of the government’s plan to encourage electric ground transportation in Quebec and to develop local expertise in this area.

 

(Courtesy of CJAD)

[jesseps]

[monctezuma]

Intéressant ce vidéo. Avec toutes ces discussions sur l'efficacité énergétique, je me demande à quel point le SS de HQ est efficace. Pour un immeuble construit dans les années '70, je doute qu'il soit à la fine pointe de l'économie d'énergie.

 

HQ devrait donner l'exemple et rénover leur SS en un édifice ultra efficace

[identifiant]

Intéressant ce vidéo. Avec toutes ces discussions sur l'efficacité énergétique, je me demande à quel point le SS de HQ est efficace. Pour un immeuble construit dans les années '70, je doute qu'il soit à la fine pointe de l'économie d'énergie.

 

HQ devrait donner l'exemple et rénover leur SS en un édifice ultra efficace

 

Imagine la "frontpage" du Journal de Montreal, lol:

"Hydro-Quebec ce paye un siege social de luxe au frais des contribuables"

[monctezuma]

"Où vont vos impôts ?"

"Hydro-Québec gaspille des centaines de milliers de dollars en raison de la vétusté de son immeuble"

 

[Invité]

"Au moment où un sondage CrAp-JdM révèle qu'une majorité de Montréalais s’oppose à la construction d'un nouvel amphithéâtre dans la Capitale, la société d'État Hydro-Québec annonce le gaspillage de 35M dans la rénovation de son siège social de Montréal au frais des contribuable de la province."

 

Suivi d'un (autre) texte merdique de Richard Martineau.

[monctezuma]

Hydro veut profiter des bas taux d’intérêt

26 août 2011 | 11h01

Mise à jour: 26 août 2011 | 14h33

 

Carl Renaud Argent

 

Hydro-Québec veut profiter de la baisse des taux d’intérêt pour financer ses projets. Les taux obligataires évoluent à des creux historiques présentement alors que les coûts d’emprunt historiques de la société d’État, dont la dette à long terme atteint près de 38 G$, se chiffrent aux environs de 7% en moyenne.

 

 

La direction d'Hydro a été questionnée sur le financement de sa dette lors du dévoilement de ses résultats du premier semestre, vendredi. L’entreprise a réalisé des emprunts de 3,5 G$ pendant les 6 premiers mois de l’année. Le producteur d’électricité a lancé en juin une émission d’obligations d’une valeur d’un milliard de dollars en devise américaine.

 

L’intérêt de ce placement a été établi à 2% et les obligations viendront à échéance en 2016. Il s’agit de la première émission réalisée par Hydro sur les marchés mondiaux depuis 2001. Un montant de 2,5 G$ a également été financé sur le marché canadien.

 

«La pression à la baisse sur les taux d’intérêt ont veut en profiter pour le coût de nos projets à long terme. Présentement, quand on regarde notre stratégie de financement à long terme, on essaie de profiter des bas taux», a exprimé Lise Croteau, vice-présidente comptabilité et contrôle chez Hydro-Québec.

 

Selon l’économiste Sébastien Lavoie, plusieurs organisations, dont certaines provinces canadiennes, se penchent actuellement sur l’évaluation de leurs coûts d’emprunts. «Les taux long terme sont légèrement supérieurs à 4% en ce moment. C’est tout un avantage!», a indiqué l’économiste adjoint de la Banque Laurentienne.

 

Les profits en hausse

 

Les profits d’Hydro-Québec ont bondi de 2,1% au premier semestre pour se chiffrer à près de 1,9 G$. La société d’État a indiqué que cette progression provient principalement de la baisse de ses coûts d’exploitation.

 

La filiale Hydo-Québec Production a toutefois enregistré une baisse de profitabilité en raison de l’appréciation de la valeur du dollar canadien et des conditions de marché. Le bénéfice a glissé de près de 2% à 1,1 G$.

 

Le bénéfice d’Hydro-Québec TransÉnergie est pour sa part demeuré stable à 267 M$ alors que celui de la filiale Distribution a grimpé de 15% à 431 M$.

 

La société d’État a vendu plus d’électricité pendant les six premiers mois de l’année en raison des températures plus froides. Dans ce contexte, Hydro-Québec Distribution a profité d’une hausse de demande de la part de ses clients résidentiels et agricoles

 

Les volumes d’exportation d'électricité d’Hydro-Québec ont toutefois reculé en raison de la hausse de la consommation sur le territoire québécois.

 

Les revenus de l’institution ont également connu une croissance pendant les six premiers de l’année. Ils se sont chiffrés à près de 6,7 G$, soit un bond de près de 6% par rapport à la même période en 2010.

 

carl.renaud@tva.ca

[monctezuma]

WikiLeaks

Hydro-Québec voulait mettre la main sur les actifs de l’Î.-P.-É.

Agence QMI

Andrew McIntosh

08/09/2011 20h11 - Mise à jour 08/09/2011 22h31

 

Le premier ministre Jean Charest a déclaré, en 2009, à l’ambassadeur américain à Ottawa, qu’Hydro-Québec planifiait d’acheter Maritime Electric, la compagnie (privée) d’électricité desservant l’Île-du-Prince-Édouard, révèle une nouvelle note diplomatique américaine dévoilée par WikiLeaks.

 

Hydro voulait ainsi obtenir «d’importants actifs éoliens».

 

Selon le document rendu public par WikiLeaks, le premier ministre Charest a déclaré à l’ambassadeur américain David Jacobson, lors d’une conversation téléphonique privée, que les Américains ne devaient pas s’inquiéter au sujet d’une prise de contrôle et que Québec avait ses raisons de vouloir mettre la main sur la petite entreprise d’électricité. Maritime Electric est une division de l’entreprise Fortis Inc. qui est établie à Terre-Neuve-et-Labrador.

 

«Les actifs électriques visés sont assez petits, mais M. Charest dit qu’Hydro-Québec voudrait également faire l’acquisition d’importants actifs éoliens et de crédits environnementaux», indique la note diplomatique de l’ambassade américaine à Ottawa, qui est datée du 29 octobre 2009.

 

La note décrit un appel «inhabituel» du premier ministre Charest à l’ambassadeur Jacobson, tout juste avant que Québec annonce son intention de faire l’acquisition d’Énergie Nouveau-Brunswick pour un montant d’environ 4,75 milliards $. Ce projet est tombé à l’eau devant la farouche opposition des citoyens du Nouveau-Brunswick, qui ont rejeté le projet lors d’un référendum.

 

M. Charest informe aussi l’ambassadeur que le premier ministre de Terre-Neuve-et-Labrador, Danny Williams, «en fait une maladie» concernant l’entente avec Énergie Nouveau-Brunswick.

 

L'ambassade américaine a aussi transmis sa note diplomatique au Conseil de sécurité nationale à Washington et à la Commission fédérale de réglementation de l’énergie, le régulateur de l'énergie des États-Unis connue sous le nom FERC.

 

Le premier ministre de l’Î.-P.-É, Robert Ghiz, a déclaré à des journalistes locaux à la fin de mars 2010 que la mort de l’entente entre Hydro-Québec et le Nouveau-Brunswick, ne signifiait pas que l’entente entre Maritime Electric et Hydro-Québec venait de tomber, mais personne n’a parlé publiquement des discussions entre les deux entreprises depuis ce jour.

 

La porte-parole chez Hydro-Québec, Flavie Côté, a refusé de commenter. De son côté, le bureau du premier ministre Charest a refusé de commenté l’information, en ajoutant que les négociations ont été arrêtées sans qu’une transaction ne soit conclue.

 

La note diplomatique peut être lue ici: http://wikileaks.org/cable/2009/10/09OTTAWA828.html

[Habsfan]

Des chiffres erronés

 

http://www.cyberpresse.ca/place-publique/opinions/201109/27/01-4451963-des-chiffres-errones.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_place-publique_1242600_accueil_POS2

 

Françoise Bertrand

LaPresse

le 28 septembre 2011

 

Le moratoire demandé par Amir Khadir et Yann Perreau à La Romaine repose sur des faussetés.

Nous avons suivi avec intérêt les récentes sorties publiques du député de Mercier, Amir Khadir, et du chanteur Yann Perreau qui ont demandé un moratoire sur la construction des centrales hydroélectriques 1, 3 et 4 de La Romaine, sur la Côte-Nord.

 

Lors de leur conférence de presse et dans des entrevues subséquentes, MM. Khadir et Perreau ont donné des chiffres et des statistiques très loin de la réalité. Nous sommes inquiets de voir des données erronées être diffusées.

 

Au Québec, l'hydroélectricité est la fondation de la production d'électricité. Ailleurs dans le monde, on utilise d'autres formes d'énergie de base, comme le charbon ou le gaz. Nous avons le grand avantage d'avoir une énergie de base qui est propre, renouvelable et fiable. Hydro-Québec produit 98 % de son électricité grâce à ses centrales hydroélectriques.

 

 

Nous comprenons qu'Hydro-Québec se doit de respecter de très hauts critères environnementaux lors de la construction d'une nouvelle centrale et nous ne remettons pas ça en doute. Hydro-Québec est d'ailleurs très consciente de cet enjeu et développe ses projets dans cette perspective. Preuve de cela, l'Observatoire des énergies renouvelables, une organisation internationale spécialisée en énergies renouvelables, a affirmé que le projet Eastmain 1A-Sarcelle-Rupert est un modèle d'intégration des préoccupations environnementales.

 

La filière hydroélectrique québécoise est une fierté ici. Grâce à Hydro-Québec et ses clients, nous pouvons nous offrir des nombreux services publics. L'an dernier, ce sont 1,9 milliard de dollars qu'Hydro-Québec a versés en dividendes au gouvernement du Québec. La construction de nouvelles centrales permettrait d'augmenter ce montant.

 

M. Perreau a affirmé que les kilowattheures produits à La Romaine seraient vendus à perte, car il en coûterait de 9 à 12 cents par kilowattheure et qu'il serait vendu 5,5 cents. Or il a été maintes fois soulevé que le coût du kilowattheure est de 6,5 cents, avant les redevances hydrauliques versées au gouvernement du Québec. À cela s'ajoute le fait que les centrales du projet, qui seront mises en exploitation entre 2014 et 2020, produiront pendant plus de 50 ans, voire 100 ans.

 

Quant au prix à l'exportation, il évolue en fonction du marché. Par exemple, le prix de départ du contrat récemment signé avec le Vermont est de 5,8 cents US le kWh en 2012. Ce prix évoluera par la suite en fonction du marché, et il y a tout lieu de croire que ce prix dépassera rapidement le coût de 6,4 cents le kWh du projet de la Romaine.

 

De plus, cet argument fait abstraction du fait que l'hydroélectricité permet aux consommateurs québécois d'avoir les tarifs d'électricité parmi les plus bas en Amérique du Nord.

 

Les exportations d'électricité ont représenté 17 % du bénéfice net d'Hydro-Québec l'an passé. Devrions-nous empêcher de développer cette filière d'énergie renouvelable ? Actuellement, 50 % de l'énergie produite aux États-Unis provient du charbon. Si nous étions en mesure de produire davantage d'électricité ici grâce à nos rivières, ce pourcentage pourrait diminuer et, dans l'ensemble, ce sont moins de gaz à effet de serre qui seraient créés en Amérique.

 

Nous comprenons mal pourquoi certaines personnes qui sont opposées à l'hydroélectricité se permettent d'utiliser des données erronées pour faire valoir leur opinion. Nous nous demandons aussi quand les médias questionneront les porte-parole qui donnent ces chiffres. Les médias connaissent la réalité, pourquoi ne pas poser une question en direct lorsque des gens propagent de faux résultats ?