Aller au contenu

mtlurb

Messages recommendés

j'espère qu'ils ont raison

ça serait une source de revenu super intéressante

je m'emballe habituellement assez rapidement alors je vais attendre en me croissant les doigts..

 

si ça marche ça serait un pas majeur dans la bonne direction,

 

Entièrement en accord avec Iamthewalrus. À chaque année, il y a quelqu'un qui se pointe le nez pour nous dire que nous avons des milliards de $ en Gaz naturel ou en pétrole ou autre chose...mais ça n'aboutit jamais à rien.

 

JE serais heureux quand de verrais les retombées au Québec!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Réponses 231
  • Créé il y a
  • Dernière réponse

Membres prolifiques

André Caillé possède plein d'options de Junex.

 

Tout ce qu'il fait , malheureusement, n'est que du pump&dump pour espérer tirer un profit de ces options.

 

Junex, je doute fort de leur potentiel, à moyen terme. Leur source de gaz est très dispendieuse à mettre en production, et le prix actuel du gaz ne justifierait pas ce type de production.

 

De plus, des tonnes de nouveaux gisements au BC et au Yukon viennent récemment d'innonder le marché nord-américain pour les prochaines années. jusque là, je ne crois pas qu'il y aura de la place pour le gaz québécois.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 8 mois plus tard...

Publié le 27 juillet 2009 à 18h16 | Mis à jour à 18h20

Québec veut connaître l'impact de l'exploitation du pétrole dans le fleuve

 

Alexandre Robillard

La Presse Canadienne

Québec

 

La ministre des Ressources naturelles, Nathalie Normandeau, a déclaré lundi que l'exploitation des importants gisements de pétrole et de gaz naturel, dans les fonds marins du fleuve Saint-Laurent, devra se faire sans nuire au tourisme et à la pêche.

 

Mme Normandeau a affirmé qu'un premier mandat a été récemment donné à des consultants afin d'évaluer les impacts environnementaux de tels projets, qui sont actuellement sous le coup d'un moratoire.

 

La zone de 140 000 km carrés qui sera étudiée est divisée en quatre bassins, soit l'estuaire et le nord-ouest du golfe du fleuve, la baie des Chaleurs, l'île d'Anticosti et les Iles-de-la-Madeleine.

 

Le programme d'évaluations environnementales stratégiques (EES), annoncé lundi à Rimouski par la ministre, ne vise pas à mesurer les réserves des fonds marins du fleuve.

 

Mais dans l'estuaire, le potentiel en hydrocarbures a déjà été estimé à 40 milliards de pieds cubes de gaz naturel, tandis que pour le pétrole, le seul gisement d'Old Harry, au large des Iles-de-Madeleine, est évalué à deux milliards de barils.

 

Avec cette démarche, qui s'étalera sur deux ans, Mme Normandeau souhaite rassurer la population des régions touchées, qui a déjà exprimé des craintes.

 

Selon la ministre, le rapport des consultants recensera toutes les activités qui se déroulent sur le Saint-Laurent et à partir de ces informations, le gouvernement pourra interdire d'explorer ou d'exploiter les hydrocarbures québécois dans certains secteurs, ou encore formuler des exigences aux entreprises qui veulent obtenir un permis.

 

«L'objectif ce n'est pas de faire mourir le secteur de la mariculture ou des pêches pour faire naître celui de l'exploitation ou de l'exploration des hydrocarbures, au contraire, a-t-elle dit, lors d'une entrevue téléphonique. Ce qu'on veut, dans le fond, c'est permettre que l'ensemble des activités puisse continuer de se déployer.»

 

La ministre ne prévoit pas d'émission de permis avant 2012.

 

Parallèlement aux évaluations, Mme Normandeau souhaite aussi entreprendre des travaux pour élaborer une législation spécifique à ce type d'activité, en plus de s'entendre avec Ottawa, qui conteste la souveraineté de Québec sur les fonds marins du golfe du Saint-Laurent, tout en lui concédant ceux de l'estuaire.

 

«Ce qu'on souhaiterait, c'est la signature d'une entente administrative, a-t-elle dit. Mais on est encore loin de ça, c'est ma lecture, puisque nos prétentions sont à l'opposé de celles du fédéral.»

 

Les évaluations environnementales, dont les objectifs ont été présentés lundi par Mme Normandeau, font suite à un rapport du Bureau d'audiences publiques en environnement, publié en 2004, après des consultations sur les impacts des activités d'exploration, plus spécifiquement le recours aux levés sismiques.

 

Le BAPE avait noté qu'il existait plusieurs inquiétudes «sociales et scientifiques» quant aux effets à long terme sur les populations fragiles de mammifères marins et sur les stocks de poissons et d'invertébrés exploités par les pêcheurs, des déflagrations sous-marines de forte intensité que provoque cette méthode.

 

Mme Normandeau a soutenu que les EES répondaient à la préoccupation de l'organisme gouvernemental, qui avait recommandé au gouvernement d'examiner les effets de l'exploration et de disposer d'un cadre légal et réglementaire adéquat pour cette activité.

 

«On a, entre autres, retenu cette dimension-là, il y en a d'autres qu'on va retenir éventuellement, pour confirmer la démarche que j'ai annoncée», a-t-elle dit.

 

Malgré tout, l'annonce de Mme Normandeau, sur le bord du fleuve, à Rimouski, a suscité certaines inquiétudes sur la rive opposée, à Tadoussac.

 

Une biologiste du Groupe de recherche et d'éducation sur les mammifères marins (GREMM), Véronik de la Chenelière, a exprimé des doutes quant à la possibilité que l'exploitation des hydrocarbures n'ait aucun impact sur les bélugas, rorquals et autres grands poissons, très prisés par les touristes qui vont les observer en bateau.

 

«Dans le Saint-Laurent, probablement que c'est un milieu trop unique et trop fagile pour pouvoir être soumis à ce type d'activité-là, a-t-elle dit. C'est ce qu'on en conclut à la lumière de ce qui est connu dans le monde sur les impacts de ces activités là.»

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 mois plus tard...

L'AQLPA veut un moratoire sur la prospection du gaz

 

LA PRESSE CANADIENNE

 

L'Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA) demande l'imposition d'un moratoire sur la prospection de gaz de schiste dans la vallée du Saint-Laurent.

 

 

L'Association estime que les émissions de permis et d'autorisations de prospection de ce type de gaz naturel doivent être suspendues jusqu'à ce qu'on en connaisse clairement les impacts et qu'on puisse en encadrer l'exploitation.

 

Le président de l'Association, André Bélisle, explique « que le Québec n'a pas d'expérience dans la production de gaz ». Selon lui, il n'existe « aucun encadrement réglementaire pour s'assurer » que l'exploitation sera « soucieuse de la santé des gens et des troupeaux ».

Selon l'Association, le gouvernement québécois aurait émis de nombreux permis de prospection dans les deux dernières années dans des zones habitées de la vallée du Saint-Laurent, le gaz de schiste se retrouvant principalement sur la rive sud du fleuve, entre Montréal et Lévis.

 

À la suite de ces autorisations de prospection, l'Association s'attend à ce que des demandes de permis d'exploitation permanente soient déposées.

 

Selon l'AQLPA, l'extraction du gaz de schiste pourrait produire des « émanations atmosphériques toxiques et serait susceptible d'entraîner une contamination de la nappe phréatique et des sols », en plus de nécessiter de grandes quantités d'eau.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Donc, si je comprends bien, il faut diminuer de beaucoup la consommation de pétrole et éliminer le charbon en remplaçant les centrales thermiques par des centrales à gaz. (Jusqu'ici, je ne suis pas contre). Cependant, il ne faut pas chercher de gaz. On doit avoir de l'énergie propre comme l'hydroélectricité, mais pas construire de grandes centrales. Les petites centrales sont aussi à proscrire, car elles détruisent les rivières où les environnementalistes vont faire du rafting. Et ne parlons même pas du nucléaire! Il faut construire des éoliennes, pourvu qu'elles ne soient proches de personne, ni ne nuisent au paysage. En gros, il faut qu'elles soient invisibles, mais pas trop pour ne pas que des animaux se blessent dessus. On pourrait les placer en mer (elles ne seraient près de personne et trop loin pour bloquer les paysages) mais elles nuiraient aux poissons. Même chose si on veut exploiter les marées et courants marins. Il reste la géothermie et le solaire. Cependant, la géothermie pourrait mettre en périls l'habitat des vers de terre et les centrales solaires devront être construites là où elles ne voleront pas le soleil aux végétaux. Dans les déserts? Que faites-vous de l'habitat des scorpions? Le monde a besoin de plus de scorpions. On pourrait peut-être installer des panneaux solaires dans des grottes, les chauves-souris s'en accommoderaient peut-être... On ne peut pas non plus revenir à l'énergie animale, c'est du mauvais traitement (dans plusieurs cas, ça l'est effectivement). Sans compter les gaz produits par les flatulences... On pourrait installer des employés sur des bicyclettes stationnaires pour récolter de l'énergie (dans certains cas, les flatulences seraient encore un problème...). Mais il ne faudrait pas que ça soit des pauvres que l'on paierait pour ce travail, ça serait de l'exploitation. Ces pauvres sont bien mieux sur le BS. Il faudrait donc forcer les riches à produire de l'électricité (ils devront faire ça de nuit, car de jour, ils sont occupés à travailler).....

 

 

Tout ça pour dire qu'il y a bien des gens qui considèrent le gaz naturel comme une énergie relativement propre (plus propre que l'hydroélectricité). Le gaz naturel n'est pas parfait, mais je crois qu'il est meilleur que le pétrole et surtout le charbon. Je suis d’accord qu’il faut être prudent, mais si on a des réserves de gaz naturel au Québec, nous nous devons de les exploiter.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 1 mois plus tard...

Le potentiel en hydrocarbures du bassin Madeleine confirmé

9 novembre 2009 | 11h13

 

LA PRESSE CANADIENNE

 

Une nouvelle étude de la Commission géologique du Canada confirme le potentiel en hydrocarbures du bassin Madeleine, dans le golfe du Saint-Laurent.

 

Le géologue Denis Lavoie, qui a dirigé une étude rendue publique au début octobre, note que le potentiel gazier du secteur des Îles-de-la Madeleine est nettement supérieur au potentiel pétrolier.

 

Pour Gastem (GMR), qui détient un permis d'exploration gazière aux Iles, valide jusqu'en 2018, il s'agit d'une excellente nouvelle.

 

Le directeur des relations avec les investisseurs, David Vincent, note que ces données de la Commission géologique sont plus positives que celles détenues par la société.

 

Gastem, une société de prospection gazière de Montréal, concentre actuellement ses recherches dans les basses terres du Saint-Laurent et dans l'État de New York.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le potentiel en hydrocarbures du bassin Madeleine confirmé

 

9 novembre 2009 | 11h13

LA PRESSE CANADIENNE

 

Une nouvelle étude de la Commission géologique du Canada confirme le potentiel en hydrocarbures du bassin Madeleine, dans le golfe du Saint-Laurent.

 

Le géologue Denis Lavoie, qui a dirigé une étude rendue publique au début octobre, note que le potentiel gazier du secteur des Îles-de-la Madeleine est nettement supérieur au potentiel pétrolier.

 

Pour Gastem (GMR), qui détient un permis d'exploration gazière aux Iles, valide jusqu'en 2018, il s'agit d'une excellente nouvelle.

 

Le directeur des relations avec les investisseurs, David Vincent, note que ces données de la Commission géologique sont plus positives que celles détenues par la société.

 

Gastem, une société de prospection gazière de Montréal, concentre actuellement ses recherches dans les basses terres du Saint-Laurent et dans l'État de New York.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.




×
×
  • Créer...