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Ca fait je sais pas combien d'années qu'on en parle et c'est un peu comme le CHUM ou le CUSM, toujours des études, des tests, des promesses mais jamais rien de concret.

 

J'y croirai quand on aura des vrais puits en opération!

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Ca fait je sais pas combien d'années qu'on en parle et c'est un peu comme le CHUM ou le CUSM, toujours des études, des tests, des promesses mais jamais rien de concret.

 

J'y croirai quand on aura des vrais puits en opération!

 

En plein ce que je me disais! Quand le Québec commencera à faire des profits intéressants(5 milliards$ et + par années) avec ces puits, et bien là, je serai agréablement surpris!

Modifié par Habsfan
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Ca fait je sais pas combien d'années qu'on en parle et c'est un peu comme le CHUM ou le CUSM, toujours des études, des tests, des promesses mais jamais rien de concret.

 

J'y croirai quand on aura des vrais puits en opération!

 

:goodvibes: Mais on a déjà des puits en opération en Gaspésie notamment, cependant pour le moment il reste beaucoup à faire pour forer et trouver la ressource. C'est un peu le même scénario à l'époque pour le réservoir Leduc en Alberta où on avait trouvé du pétrole exploitable qui est devenu par la suite une des grandes réserves de l'Ouest canadien.

 

Pareil pour le gaz qui fait actuellement le bonheur des américains dans une formation géologique qui va du Texas au Québec. La ressource est vraiment présente et il faut établir clairement où forer et à quelle profondeur pour rentabiliser l'exploitation. N'oublions pas que les forages coûtent une fortune et qu'il y a toute une bureaucratie autour de cette activité.

 

Le principal problème est de trouver l'investissement car il y a bien sûr un risque associé à la prospection et le forage. Il faut avoir les reins solides et plein de liquidité ou de crédit pour mener à bien le travail. Pas de doute nous sommes à l'aube d'une nouvelle ère de prospérité économique basée sur les ressources fossiles et les démarches actuelles ressemblent à ce qui se faisait à Terre-Neuve, il y a une dizaine d'années, avant le boum pétrolier de cette province.

 

Je suis très optimiste quant à l'avenir de ces études, parce que premièrement la ressource semble abondante, répartie sur un immense territoire dans plusieurs régions et sur la terre ferme. Donc plus facile à exploiter et certainement moins contraignante qu'en pleine mer. De plus plusieurs gros joueurs sont déjà dans le dossier et d'autres se laissent convaincre à mesure que les travaux se précisent.

 

On a alors, à mon sens, franchi l'étape préliminaire, la plus longue et la plus incertaine. Nous entrons dans la deuxième phase qui établira avec plus de précision les quantités et la qualité de la ressource, la profondeur et la technologie appropriée. Nous faisons face à un projet prometteurs à plusieurs volets et le gouvernement du Québec encourage actuellement fortement par la fiscalité la poursuite des travaux de recherches.

 

Il y a dans ce dossier beaucoup trop d'intervenants impliqués sérieusement pour que ce ne soit que de la pure spéculation. Nous avons gagné la loto, reste à savoir maintenant si c'est le gros lot?

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Les investissements ne sera pas le problème, une fois que la présence de la ressource soit bel et bien prouvée et que le Gouvernemaman ne sera pas trop gourman et / ou jouer la prude côté environnement.

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Les investissements ne sera pas le problème, une fois que la présence de la ressource soit bel et bien prouvée et que le Gouvernemaman ne sera pas trop gourman et / ou jouer la prude côté environnement.

 

D'accord avec toi, mais je nous vois mal tuer la poule aux oeufs d'or. Je pense que le Québec est suffisamment conscient pour profiter au maximum des retombées en encourageant l'exploitation de la ressource dans le respect de l'environnement, tout en choisissant les meilleures technologies de pointe.

 

Le discours écologique n'est pas en contradiction avec l'économie. Le développement durable suppose qu'on retirera le maximum de revenus avec le minimum d'inconvénients tout en assurant la pérennité de la ressource.

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Même si le gaz est vraiment développé un jour, ne vous attendez à d'énormes retombées comme c'est le cas en Alberta.

 

Les compagnies pétrolières et gazières seront toujours controllées à partir de Calgary et Houston, et ça ne sera pas long que Junex et autres joueurs soient rachetés.

 

Déjà, Junex appartient en bonne partie à Forest Oil, un major américain.

 

De plus, les lois québécoises sont plus contraignantes en matière environnementale, et les techniques de perforation utilisées pour les Shales sont polluantes.

 

La technique consiste à injecter des liquides très toxiques à très forte pression de manière à briser les roches en profondeur, ce qui crée de grosses poches de gaz, mais ce qui pollue aussi grandement la nappe phréatique.

 

Plusieurs villes aux États-Unis ne peuvent plus utiliser leur nappe phréatique à cause des puits de gaz 'naturel'.

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  • 5 mois plus tard...

Pétrolia bondit de 31% en Bourse

22 juillet 2010 | 15h09

Argent

 

 

 

Le titre de Pétrolia (PEA) a gagné 31% jeudi à la Bourse de croissance TSX sur de bonnes nouvelles en Gaspésie.

 

Le titre a terminé la séance à 68 cents sur un volume dépassant les 550 000 actions échangées.

 

L'entreprise d'exploiration pétrolière et gaznière a indiqué plus tôt dans la journée qu'elle faisait un pas de plus vers la mise en production du champ pétrolier Haldimand, situé près de Gaspé.

 

Une entente de principe d'une valeur de 15 M$ a été conclue avec la filiale canadienne de l'entreprise française SCDM Énergie, Investcan Energy. Environ 6,5 M$ seront versés à Pétrolia pour rembourser les dépenses passées.

 

Investcan devient propriétaire de la moitié des intérêts de Pétrolia dans la découverte de Haldimand. Pétrolia l'a sélectionnée au terme de plusieurs mois de négociations avec différentes entreprises.

 

On évalue que les ressources récupérables du champ sont d'environ 7,7 millions de barils de pétrole.

 

«Après avoir fait une découverte, en avoir évalué le potentiel, acquis les territoires qui l'entourent, nous franchissions aujourd'hui une étape déterminante vers la mise en production du gisement», affirme André Proulx, président de Pétrolia.

 

«Au-delà des aspects techniques et financiers, ajoute-t-il, le choix d'Investcan Energy repose principalement sur les valeurs et la culture d'entreprise que véhicule ce groupe. Le respect des principes du développement durable, du milieu où il œuvre et de ses partenaires constituent la caractéristique de la stratégie de ses dirigeants.»

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  • 1 mois plus tard...

Québec n'exclut pas la nationalisation

Mise à jour le mardi 31 août 2010 à 18 h 05

 

 

Le gouvernement de Jean Charest est ouvert à l'idée de tenir un débat sur la nationalisation de l'industrie des gaz de schiste au Québec.

 

C'est ce qu'a indiqué mardi matin le nouveau ministre du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs, Pierre Arcand, et ce même s'il possède, comme son gouvernement, un préjugé favorable à l'industrie privée pour l'exploitation de cette ressource convoitée.

 

En entrevue à Radio-Canada, M. Arcand a admis que la question pourrait faire l'objet de débats après les consultations du Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE). Selon lui, la nationalisation pourrait se faire même si l'industrie possède déjà une longueur d'avance et a obtenu 147 permis d'exploitation.

 

Mais avant de tenir un tel débat, prévient le ministre, le gouvernement du Québec doit s'assurer de la viabilité économique et environnementale de cette industrie, encore à l'état embryonnaire.

 

« Si on y voit notre intérêt, certainement que le gouvernement peu l'envisager [la nationalisation]. Mais je pense que pour l'instant, comme c'est une industrie naissante, je pense qu'il faut être prudent sur ces questions-là », a expliqué Pierre Arcand.

 

En dépit de sa prudence dans le dossier, Québec nourrit de grandes ambitions pour l'exploitation des gaz de schiste dans la province. Plusieurs représentants de l'industrie gazière et du gouvernement ont abondamment vanté ces dernières semaines le potentiel extraordinaire des gaz de schiste.

 

Un potentiel tel qu'il pourrait même, selon eux, permettre au Québec de s'autosuffire en gaz naturel pendant plusieurs décennies.

 

Des groupes de citoyens et d'environnementalistes ont toutefois exprimé des inquiétudes quant aux conséquences environnementales du développement de cette filière. Le gouvernement Charest a annoncé dimanche qu'il confiait au BAPE le mandat d'écouter ces préoccupations et de faire des recommandations, en vue du dépôt d'un projet de loi sur les hydrocarbures, au printemps 2011.

 

L'annonce gouvernementale a été généralement bien reçue, même si certains ont exprimé des réserves sur le pouvoir du BAPE.

 

Les gaz de schiste sont des gaz naturels emprisonnés dans des formations rocheuses situées entre 1 et 3 kilomètres sous terre.

 

 

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Politique/2010/08/31/003-nationalisation-gaz-schiste.shtml

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Quebec's policies -or lack thereof -when it comes to regulating its nascent shale gas industry will be the subject of public hearings beginning this autumn, provincial Environment Minister Pierre Arcand and Natural Resources Minister Nathalie Normandeau announced yesterday.

 

But the decision to hand over the debate on the increasingly thorny issue of using water, sand and chemicals -some of them toxic -to force natural gas from shale deposits, to the Bureau d'audiences publiques sur l'environnement is drawing mixed reviews from groups that have been tracking the industry.

 

Equiterre, an environmental watchdog group, described the announcement that BAPE hearings would be held as a good first step, "But we still believe a moratorium on (drilling) exploration is necessary," said group spokesperson Steven Guilbeault.

 

The group points to "unanswered questions" about the mining process -questions about possible contamination of the water table, as well as the amount of greenhouse gas created by hydraulic fracturing -which sees a mixture of water, sand and chemicals being forced into deep shale formations at high pressure, fracturing the rock and releasing the gas.

 

Those questions were sufficiently worrisome for the state of New York that this month it declared a moratorium on shale gas mining.

 

Groups representing Quebec's municipalities and its farming industry stopped short of calling for a full halt to exploration, but the Union des municipalites du Quebec and Union des producteurs agricoles did express relief that the province had decided to examine the possible consequences of shale gas mining despite the industry's potential as a money-maker for Quebec.

 

"This decision addresses the worries of Quebec municipalities, which, at the moment, have little information to allow them to be certain these activities will not harm the public interest," said UMQ chairperson Marc Gascon. "Municipalities are particularly worried by the consequences (shale gas mining) has on sources of drinking water and on how water used to extract the gas will be treated."

 

UPA chairperson Christian Lacasse noted that, "like everyone else affected by this," his group was caught short by the number of unanswered questions surrounding the process.

 

"Should we worry about crops harvested near a mining project? Will environmental rules be respected? ... What are the risks for the water table? ... Those are the questions (the UPA is) asking."

 

Arcand and Normandeau also announced the government would work to fill in the legislative blind spots that now exist when it comes to regulating the province's oil and gas industries by creating three study groups comprised of representatives of municipalities, environmental groups and business.

 

At the moment, no legislation exists to specifically regulate the shale gas industry, which at the moment is bound by parts of laws created to oversee mining, the protection of the environment and the protection of agricultural lands.

 

The study groups would examine what Quebec needs when it comes to balancing environmental concerns against a growing corporate interest in exploiting the province's natural resources. Part of that process will also see the government sign a "social pact" with industry leaders calling for the latter to engage in "exemplary" practices while seeking gas deposits.

 

The provincial government also intends to launch a website next month explaining the process of shale gas mining to ordinary Quebecers.

 

While a date for the start of the BAPE hearings has yet to be announced, they will take place in the regions now under exploration -Chaudiere-Appalaches, Centre-du-Quebec and the Monteregie.

 

Its report is expected by the government by Feb. 4.

 

(Courtesy of the Montreal Gazette)

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:thumbsup: L'idée de nationaliser l'industrie du gaz de schiste au Québec m'apparait comme la meilleure solution à plusieurs égards, surtout que l'industrie est embryonnaire donc moins couteuse à réaliser maintenant, que plus tard.

 

En fait je verrais bien Hydro-Québec devenir le propriétaire et gestionnaire principal en créant une filiale en parallèle avec l'hydro-électricité. Même que les deux industries pourraient être complémentaires. Nous pourrions ainsi développer nos propres expertises, suivre un rythme de développement qui nous convient parfaitement et mieux contrôler la ressource de même que ses effets secondaires indésirables.

 

Aucun doute, je fais davantage confiance à Hydro-Québec, qu'à toutes ces multinationales qui s'apparentent plus à des vautours et dont la recherche du profit à tout prix créé des répercussions négatives autant sur le plan environnemental que social.

 

Au rythme où vont les choses, on a l'impression que c'est une course éperdue vers l'avant, comme si il y avait urgence d'agir au cas où la ressource disparaitrait dans un immense trou noir. Nous avons relativement bien vécu avant la découverte de cette richesse naturelle dans nos terres et nous devons prendre le temps nécessaire pour l'exploiter correctement et au profit du Québec et de sa population avant tout.

 

Hydro-Québec a l'ascendant nécessaire pour prendre en main ce dossier énergétique et le poids suffisant pour imposer le respect à tout partenaire éventuel dans le développement et l'exploitation de cette importante ressource. Le slogan maître chez nous prend ici tout son sens et il serait intolérable que des étrangers aient la main-mise sur une partie de notre avenir économique qui de surcroit m'apparait fort encourageant.

 

Je le dis et le répète, l'indépendance politique passe par une forme d'indépendance économique. Si nous contrôlons notre développement et gérons notre enrichissement collectif comme il se doit, nous deviendrons plus fort politiquement et le rapport de force dans la confédération pourrait enfin évoluer à notre faveur.

 

Comme je l'ai aussi dit, la politique est l'art de l'opportunisme, il faut savoir être patient, bien se positionner et jouer ses meilleures cartes au bon moment. L'industrie naissante des hydro-carbures au Québec, m'apparait comme une filière très importante qui pourrait justement faire pencher la balance. Elle pourrait changer la mentalité de pauvre de certains et surtout transformer les perceptions négatives du reste du pays qui nous voit (à tort) comme un mendiant qui vit au dépend de la péréquation.

 

Cette idée de nationalisation en suivant l'exemple de la création d'Hydro-Québec dans les années 60, est à mon avis la solution idéale qui nous offre les meilleurs garantis dans tous les domaines. Hydro-Québec est une compagnie exemplaire, une authentique entreprise moderne qui gère selon les règles établies du commerce mondial et qui applique une gestion saine et profitable à tous ses actionnaires, les québécois.

 

Il ne faut pas rater cette occasion unique de conserver le contrôle du développement de l'industrie des hydro-carbures québécois, non en fermant la porte aux multinationales mais en partenariat où l'État demeure le plus gros actionnaire. La Norvège est effectivement notre meilleur exemple et il faut suivre cette voie qui est celle des gagnants-gagnants.

 

Un profit pour tous les partenaires, un développement durable et en respect avec l'environnement, l'enrichissement collectif et un fond de développement pour les générations futures qui mettrait à l'abri l'économie du Québec pour plusieurs décennies à venir.

 

Cette idée doit donc faire consensus au parlement et ce sont tous les partis politiques qui doivent être dans le coup. Cette industrie n'appartient pas au parti libéral et dépasse largement son mandat. C'est toute la classe politique qui doit s'impliquer car les enjeux d'une nationalisation dépassent la ligne de partis et auront une influence considérable sur l'avenir économique et politique du Québec tout entier.

 

Nous avons notre manière de faire des affaires, cela fait déjà parti de notre culture nationale. En plus nous avons prouvé que nous pouvons être concurrentiel et compétitif. Hydro-Québec est notre plus beau fleuron et notre meilleur actif dont la réputation n'est plus à faire. Nous avons alors tous les outils nécessaires pour aller de l'avant et offrir aux québécois et aux générations futures un pays riche, stable économiquement et politiquement dans lequel il fera toujours bon vivre.

 

Maitres chez nous n'aura alors jamais été aussi vrai...

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