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:goodvibes: Vaut mieux être assis sur un baril de gaz ou de pétrole qu'un baril de poudre parce ce que ce qui risque d'exploser dans ce premier cas c'est notre économie à long terme.

 

Si on est pour consommer du gaz et du pétrole pour quelques décennies encore, mieux vaut consommer nos réserves que celles provenant de l'extérieur. On serait immensément gagnant de procéder ainsi puisque la richesse générée de l'exploitation de ces combustibles fossiles québécois irait à nos investisseurs et nos gouvernements.

 

On cesserait d'importer de l'extérieur de grandes quantités d'énergie en renversant la dynamique par l'exportation et la consommation locale. Nos exportations exploseraient à leur tour et la balance commerciale augmenterait considérablement en notre faveur enrichissant la société au passage.

 

Nous avons le meilleur de tous les mondes et ce dossier énergétique qui s'ouvre tranquillement par la confirmation de réserves non négligeables ajoute une dimension de plus dans le potentiel formidable que notre territoire cache dans son sous-sol.

 

Tout le monde est pour la vertu et l'exploitation éventuelle de ces ressources peut se faire de manière très acceptable écologiquement parlant. Nous avons déjà l'expertise par nos grandes sociétés d'ingénierie et avons de gros fonds financiers québécois notamment FTQ, Caisse de Dépot, SGF et autres, donc les moyens de financer et exploiter correctement une première tranche de ces découvertes prometteuses.

 

S'il n'y a pas de honte à consommer le pétrole venu d'ailleurs, pourquoi serait-il discutable d'exploiter à notre profit des ressources sur notre territoire national? Les inconvénients écologiques sont-ils plus acceptables parce qu'ils se manifestent ailleurs que chez nous?

 

Nous pouvons et devons exploiter ces réserves avec tout le respect que la nature exige et je ne doute aucunement que nous serons responsables d'une exploitation propre en accord avec les ententes internationales en vigueur et à venir.

 

Tous les milieux naturels sont sensibles à prime abord, mais certaines ressources sont plus "sales" que d'autres et ne font pas partie heureusement de la nature de nos éventuels sites d'exploitation. Je suis donc pour qu'on aille de l'avant avec prudence mais aussi avec détermination.

 

Nous avons l'incroyable opportunité de gagner plus d'indépendance économique, énergétique et fort probablement politique. Parce que si le Québec devient un producteur net de pétrole et de gaz il sera perçu différemment par le reste du Canada et vu comme un partenaire désirable qui générera plus de richesse qu'il en consommera au sein de la fédération.

 

Tout homme à son prix et même les pays. En devenant plus riche le Québec obtiendra davantage de reconnaissance et certainement plus d'accomodements dans une réforme constitutionnelle qui lui fait encore défaut.

 

L'occasion se présente et nous n'avons pas les moyens de passer à côté. La richesse et la prospérité sont un plus dans une société et ne sont certainement pas en opposition avec la morale ou toutes autres visions puristes dans lesquelles ont voudrait nous enfermer.

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Membres prolifiques

Bien d'accord avec toi acpnc, mais tu réalises qu'il y a pleins de granolas au Québec qui seraient contre tout exploitation de notre richesse pétrolière. Il y aurait des manifestations à n'en plus finir, et aucun gouv. serait prêt a risquer son futur sur quelque chose d'aussi incertain.

 

Je crois qu'on devrais commencer par savoir si il y a du pétrole au Québec? Deuxièmement, combien y en a t il? Parlons nous de quantités qui pourraient vraiment avoir un effet sur l'économie du Québec? Si la réponse est OUI à toutes ses questions, et bien je dis GO FOR IT!

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C'est pas des granolas, c'est des socialistes déguisés en alter-mondialistes et écologistes (tous les écologistes ne sont pas comme ça, sauf que...), ils sont contre le capitalisme et tout ce qu'il entretien, y incluant la richesse que générerait le pétrole.

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  • 2 semaines plus tard...

Junex a récupéré 42 barils de pétrole léger

25 novembre 2009 | 10h50

 

 

 

Argent

La société québécoise Junex (JNX) est parvenue à récupérer 42 barils de pétrole léger à St-Augustin-de-Desmaures dans la région de Québec. L’or noir a été découvert alors que Junex réalisait une fracturation pour récolter du gaz naturel au puits Junex St-Augustin-de-Desmaures Un dans les shales d’Utica.

 

Selon l’entreprise, il s’agit de la plus importante découverte de pétrole réalisée dans la Vallée-du-St-Laurent. «Il y a déjà eu des recherches mais jamais autant de pétrole n’a été trouvé», a expliqué Dave Pépin, vice-président des affaires corporatives chez Junex, précisant que la société pétrolière a été surprise de dénicher une quarantaine de barils.

 

Les barils ont été livrés à la raffinerie d’Ultramar de Lévis où les 5 570 kg de pétrole seront raffinés. «C’est pas un pétrole lourd comme les sables bitumineux de l’Alberta mais ça ressemble au pétrole algérien», a précisé M. Pépin.

 

Junex pourrait éventuellement choisir d’exploiter le gaz naturel et le pétrole pour tirer davantage de revenus de son puits des shales de l’Utica. «Il y a un défi technique à relever», a exprimé Dave Pépin, soulignant que Junex devra séparer le propane, le butane et le pétrole.

 

Junex est l’une des seules compagnies énergétiques qui détient d’importants blocs de permis dans toutes les régions des Bases-terres du St-Laurent, incluant la rive nord. «Nous constatons pour la première fois que la rive nord, contrairement au cœur du bassin des Bases-terres, peut receler du pétrole léger», a exprimé par communiqué, Jean-Yves Lavoie, président de Junex.

 

La société énergétique est par ailleurs heureuse du succès qu’elle a obtenu en réalisant la première fracturation au propane d’un Shale dans l’Est du pays. Au terme des procédures destinées à récupérer du gaz naturel, la composition du gaz amassé contenait encore 50% de propane.

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  • 2 mois plus tard...

Junex suspendu en Bourse

8 février 2010 | 16h14

Argent

 

 

Le titre de la société énergétique Junex (JNX)est suspendu depuis lundi matin en Bourse.

 

 

Aucune transaction n’a été enregistrée lundi sur la Bourse de croissance TSX à la demande de l’entreprise québécoise.

 

Un représentant de Junex a expliqué que la compagnie s’apprête à procéder à une annonce en fin de journée ou demain.

 

La maison d’investissement Jennings Capital a récemment indiqué que Junex pourrait bientôt publier deux rapports indépendants quantifiant la ressource présente sur ses propriétés situées dans les bases terres du St-Laurent.

 

Il s’agirait des premières évaluations indépendantes publiées sur les propriétés de la compagnie québécoise.

 

L'action de Junex a grimpé de 6% au cours du dernier mois. Elle a clôturé à 1,73$ vendredi dernier

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Junex bondit de 14% avec un rapport indépendant9 février 2010 | 06h57

 

Argent

 

 

Le titre de la société pétrolière et gazière Junex (JNX) gagnait près de 14% mardi matin, après la publication d'un rapport indépendant sur les ressources prospectives de gaz pour les Shales d'Utica du permis Nicolet.

 

La firme indépendante Netherland, Sewell & Associates (NSAI) du Texas a établi à 8,67 trillions de pieds cubes (Tcf) sa meilleure estimation des Ressources prospectives de gaz original en place (OGIP) pour les Shales d'Utica, pour le permis Nicolet. Junex détient un intérêt de 50% dans ce permis, ou 4,33 Tcf dans ce volume d'OGIP prospectif.

 

Les ressources prospectives sont les ressources non découvertes, hautement spéculatives, estimées au-delà des réserves et ressources contingentes où les données géologiques et géophysiques suggèrent un potentiel de découverte de pétrole mais où le niveau de preuve est insuffisant pour une classification en tant que réserves ou ressources contingentes.

 

NSAI a été mandatée par Junex et Canadian Quantum Energy Corporation (CQM) afin de compléter une évaluation des ressources des Shales d'Utica sur le permis Nicolet après le forage par Junex des puits St-Grégoire #2 et St-Grégoire #3, tous deux terminés en 2009.

 

Junex indique que l'évaluation de NSAI est fondée sur leur vaste expertise en matière de Shales gas, notamment leur connaissance des Shales d'Utica. Elle inclut notamment des analyses pétrophysiques et géologiques détaillées, incluant une revue des données de laboratoire disponibles suite à l'analyse de carottes. Le rapport n'inclut aucune évaluation de la Formation inférieure du Lorraine dans le permis de Nicolet.

 

NSAI a évalué 97% des 59 090 acres que couvre le permis Nicolet et a divisé celui-ci en trois segments, soit nord-ouest, central, et sud-est.

 

L'OGIP prospectif brut pour les trois segments combinés varie d'une estimation basse de 6,95 Tcf jusqu'à une estimation haute de 10,52 Tcf avec une meilleure estimation de 8,67 Tcf pour 100% du permis.

 

Pour l'ensemble du permis, sur la base du gaz en place par section, la meilleure estimation des ressources prospectives de OGIP est de 126 milliards de pieds cubes par mille carré (Bcf/section) dans la section profonde du permis, avec une estimation basse de 102 Bcf/section et une estimation haute de 153 Bcf/section. La meilleure estimation moyenne pour l'ensemble du permis est de 97 Bcf/section.

 

Pour l'ensemble des trois segments du permis, les ressources récupérables prospectives brutes, avant risque (Unrisked), à Junex varie d'une estimation basse de 143 Bcf à une estimation haute de 1 307 Bcf. La meilleure estimation nette, en utilisant un taux de récupération de 10%, a été établie à 436 Bcf.

 

«La meilleure estimation de NSAI, qui établit à 4,33 Tcf notre part des ressources prospectives de gaz original en place sur le permis Nicolet, est très significative pour Junex», a commenté Jean-Yves Lavoie, président de Junex.

 

« Même avec un taux de récupération relativement conservateur de 10%, la meilleure estimation de NSAI évalue à 436 Bcf le potentiel de ressources récupérables prospectives pour Junex sur ce permis qui représente environ 6,6% de la superficie nette détenue par Junex dans les parties moyennes, profondes et structurées du Bassin des Basses-Terres du St-Laurent et environ 4,1% du portfolio de permis détenus par Junex dans toutes les parties du Bassin, incluant les sections peu profondes, moyennes, profondes et structurées».

 

Junex détient plus de 1,5 million d'acres de permis situés dans les Basses-Terres du St-Laurent. De l'avis de la compagnie, plus de 720 000 acres sont prospectifs pour les Shales d'Utica. Ces permis sont répartis dans toutes les régions du Bassin.

 

À 9h48, soit près d'une vingtaine de minutes après l'ouverture des marchés, le titre de Junex gagnait 12,7% ou 0,22$ à 1,96$ à la Bourse de croissance TSX.

 

Lundi, le titre n'avait pas été transigé à la demande de la compagnie.

 

Quan au titre de Canadian Quantum Energy, il grimpait de 7% ou 0,09$ à 1,37$.

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Québec puissance gazière et pétrolière

 

09/02/10 17:02, Pierre Duhamel

 

 

 

Le Québec sera-t-il l’Alberta de demain ? On ne trouvera jamais au Québec autant de pétrole et de gaz que dans l’Ouest du pays, mais il se pourrait que les redevances perçues des ressources naturelles du Québec soient décuplées si on exploite intelligemment tout le potentiel de son sous-sol québécois. Ce sont les redevances qui maintiennent les finances publiques de l’Alberta en bon état et je me plais à croire qu’elles pourraient jouer le même rôle au Québec.

 

Cela fait très «1950», mais je pense que notre avenir dépend de la bonne utilisation de nos ressources naturelles. Je ne suis pas convaincu que le Québec pourra pendant longtemps maintenir son avance sur les Chinois pour la construction d’un avion comme la C-Series, mais je sais que la Chine aura toujours besoin de cuivre et d’autres minerais disponibles ici pour le fabriquer.

 

Voilà pourquoi je me réjouis quand le rapport indépendant réalisé pour la société québécoise Junex confirme le potentiel gazier du Québec. Il y a deux ans, le géant canadien des hydrocarbures Encana établissait sa valeur à au moins 280 milliards de dollars et possiblement à 1000 milliards de dollars. C’est qu’on retrouve dans les Basses-Terres du Saint-Laurent la même formation géologique qui est en train de créer un véritable Eldorado énergétique sur un territoire allant du Texas à l’État de New York. 35 000 puits y sont en activité et on estime que les réserves qui s’y trouvent représentent l’équivalent de 100 années de consommation, ou encore la moitié des réserves mondiales connues.

 

Le Québec importe du gaz naturel provenant surtout de l’Ouest canadien. Il y a 135 000 personnes et plusieurs entreprises qui se chauffent au gaz naturel au Québec ainsi que presque tous les hôpitaux et écoles. Des flottes d’autobus et de camion utilisent aussi le gaz naturel. Si on trouve du gaz naturel au Québec, on pourrait devenir autosuffisant, économiser des milliards et le gouvernement pourrait encaisser des millions de dollars en redevances.

 

Nous ne sommes pas encore à l’étape d’une exploitation commerciale du gaz naturel et les recherches pour trouver du pétrole ne sont pas encore concluantes. Mais dans les deux cas, on sait qu’il y en a dans le sous-sol québécois. Reste à savoir où il se trouve précisément et si on peut l’exploiter à bon prix. Cinq société ont dressé jusqu’à maintenant 24 puits d’exploration, de Farnham à Saint-Augustin, pour trouver un gisement de gaz exploitable commercialement.

 

L’étude de cette semaine nous dit qu’à Nicolet, les indices sont forts et les ressources considérables. C’est une histoire à suivre, mais qui me fait rêver.

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