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Nameless_1

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Tout ce qui a été posté par Nameless_1

  1. C'est tellement futile les discussions basé sur des ressentiments et les allégeances politiques de tous et chacun... et si on s'en tenait à débattre des idées et des faits?
  2. Logement abordable: la nouvelle politique du Plateau échaude un promoteur http://journalmetro.com/local/le-plateau-mont-royal/actualites/796387/logement-abordable-la-nouvelle-politique-du-plateau-echaude-un-promoteur/ Estimant que l’arrondissement négocie «avec un fusil sur la tempe» avec lui sur la question de l’inclusion de logements abordables, un promoteur montréalais n’est plus intéressé à investir dans le Plateau-Mont-Royal. Estimant que l’arrondissement négocie «avec un fusil sur la tempe» avec lui sur la question de l’inclusion de logements abordables, un promoteur montréalais n’est plus intéressé à investir dans le Plateau-Mont-Royal. Lors de la dernière séance du conseil d’arrondissement, les élus ont fait retirer de l’ordre du jour la seconde lecture du projet du Groupe Canvar qui souhaite reconvertir le bâtiment situé au 30, boulevard Saint-Joseph Est en un immeuble mixte de 89 logements, afin de «laisser le temps au promoteur de faire une proposition d’inclusion de logements sociaux». L’arrondissement s’est doté d’une nouvelle politique en matière de logement social. Depuis le 1er juin, le Plateau-Mont-Royal demande aux promoteurs d’inclure 20% d’unités de logement abordables dans les projets résidentiels dérogatoires de cinq unités et plus. Pour être conforme avec la nouvelle politique du Plateau, le promoteur devrait consacrer 18 unités à prix modiques dans son projet, ou encore verser dans un fonds spécial 15 000$ pour chaque unité de logement abordable non-construite. Joint par téléphone, Richard Varadi, le principal actionnaire du Groupe Canvar, n’a pas caché son mécontentement. «Je n’ai rien contre le logement abordable, mais je suis en colère avec l’arrondissement. Qu’est-ce que tu veux négocier? On nous met un fusil sur la tempe. On va aller se battre en cour s’il le faut.» Présentement, le projet est sur la glace. Le Groupe Canvar étudie toutes ses options pour faire valoir ses droits. «On ne va plus travailler dans le Plateau, a laissé tomber l’homme d’affaires. On a une hypothèque sur ce bâtiment et on est maintenant pris avec. Si l’arrondissement ne modifie pas le zonage, on ne peut pas aller de l’avant avec le projet et l’immeuble ne sera pas intéressant pour un éventuel acheteur.» «On ne sait pas encore ce qu’on va faire avec notre projet, a précisé M. Varadi à TC Media plus tard dans un courriel. La meilleure chose pour nous sera de tout simplement trouver un locataire. L’option de convertir l’immeuble n’est plus possible avec les politiques et les exigences de l’arrondissement.» L’homme d’affaires croit que la nouvelle politique du Plateau est contreproductive. «Si un promoteur doit céder au logement abordable une unité sur cinq, j’imagine qu’il va monter le prix des cinq autres pour balancer.» Rappelons que la Ville de Montréal a adopté en 2005 une stratégie d’inclusion facultative de 15% logements sociaux et de 15% de logements abordables dans les projets immobiliers de 200 unités et plus. L’arrondissement se montre confiant Le conseiller Richard Ryan, responsable du dossier de l’habitation demeure confiant que le Plateau-Mont-Royal trouvera un terrain d’entente avec le Groupe Canvar. «Il n’y a encore d’entente, mais j’ai discuté avec le promoteur et il a montré certains signes d’ouverture. Peut-être qu’il se dirigera vers une compensation.» L’élu ne croit pas que la nouvelle politique fera fuir les investisseurs immobiliers dans le Plateau. «Les 20% d’unités abordables que nous demandons aux projets dérogatoires sont vendues, pas données, a rappelé M. Ryan. Les promoteurs feront moins de profits, mais ils ne perdront pas d’argent. Les arrondissements centraux comme le Plateau possèdent une plus-value que recherchent les promoteurs, malgré le prix des terrains et les contraintes de construction reliées à la densité.» «Maintenant, les choses sont claires. Rosemont fait la même chose, le Sud-Ouest y songe, et je ne serais pas surpris que d’autres arrondissements nous suivent.» Le conseiller a souligné par ailleurs que certains projets dérogatoires dans l’arrondissement ont prévu l’inclusion de logements à prix modique avant même l’adoption de la politique.
  3. Il y a une pépine et des casques blancs sur le chantier aujourd'hui. Je vous confirmerai ça plus tard cette semaine, mais je crois que nous allons bientôt pouvoir mettre çà dans «en construction».
  4. Oh purée, je vais en avoir une matinale!
  5. Et Jersey shore fut un hit immense....
  6. Vraiment, et ça dépend de la perspective je crois. Je trouve que les vues prisent du sud au niveau de la rue sont habituellement meilleures que celles prisent d'un peu plus haut au nord.
  7. Excellente intervention uqam+, spécialement la partie en citation, qui représente très bien mes sentiments à l’égard de cette «oeuvre».
  8. Je suis contant qu'il ai pu recevoir de la reconnaissance avant sa mort. Un grand maire malgré tout. RIP.
  9. bon bon bon, on ne se chicanera pas pour çà, il y a des choses bien plus sérieuses, comme le grun du Roccabella
  10. Une vue qui disparaîtra aussitôt que le l'Avenue et le Roccabella 2 seront complété.
  11. Merci de ce partage inspirant. Tu m'as persuadé d'en faire un semblable avec ma copine!
  12. Montréal va démolir l'agora du square Viger Refuge pour des dizaines d'itinérants, l'agora du square Viger sera démolie dans le cadre d'un projet de 28,3 millions de la Ville de Montréal pour réaménager les abords du futur CHUM. La disparition de cette oeuvre d'art est décriée tant par la famille de l'artiste que par Héritage Montréal. L'agora du square Viger sera démolie en novembre.... (PHOTO PATRICK SANFAÇON, ARCHIVES LA PRESSE) [ATTACH=CONFIG]21688[/ATTACH] Pierre-André NormandinPIERRE-ANDRÉ NORMANDIN La Presse Principal élément de ce projet majeur, la Ville a décidé de détruire la structure de béton sous laquelle des itinérants campent depuis plusieurs années. Voilà, la structure en question est une oeuvre d'art de l'artiste Charles Daudelin, mort en 2001. L'élu Richard Bergeron ne cache pas que la démolition de l'oeuvre ne plait pas à la famille de l'artiste. Montréal dit ne pas avoir le choix de la faire disparaître, invoquant un «enjeu majeur de sécurité publique», cet endroit étant utilisé notamment par des consommateurs de drogue. Le maire Denis Coderre a d'ailleurs insisté sur le besoin d'améliorer la sécurité dans ce secteur. «C'est un îlot qui fait peur», dit Richard Bergeron, qui blâme son aménagement. Pour honorer le travail de Charles Daudelin, Montréal entend garder une autre oeuvre que l'artiste a aménagée sur ce site, Mastodo. Celle-ci n'a jamais été pleinement mise en valeur en raison de problèmes de conception que Montréal souhaite régler. Seul hic, la famille de Charles Daudelin n'a toutefois pas encore donné son autorisation. Si la famille refuse, c'est une autre fontaine qui sera aménagée. La disparition de l'agora indigne grandement Héritage Montréal qui avait classé cette oeuvre parmi les éléments patrimoniaux à risque depuis plusieurs années. «On est une métropole culturelle et on passe le bulldozer. Pour faire quoi? Pour faire un aménagement digne d'une banlieue», a déploré Dinu Bumbaru. Fermeture en novembre Le square Viger sera complètement fermé et clôturé en novembre prochain. La trentaine d'itinérants qui y campent perdra ainsi son toit. Montréal dit vouloir les aider à se déplacer. Cet espace public est un endroit central pour les itinérants en raison de sa proximité de plusieurs ressources, comme l'Accueil Bonneau ou la Mission Old Brewery. Paradoxalement, l'endroit est surtout fréquenté par ce que Montréal qualifie d'une trentaine d'«irréductibles», qui refusent les services. En témoigne souvent leur refus de quitter l'endroit l'hiver malgré les grands froids. Les itinérants reviendront-ils au square Viger une fois les travaux terminés? Celui-ci sera fermé pendant un an et demi et le nouvel aménagement ne sera plus autant accueillant pour eux. Le nouveau square n'aura en effet plus de structure sous laquelle les itinérants pourront camper. Des bancs de parcs seront installés dans le parc, mais ceux-ci seront conçus pour s'assoir. Des dispositifs rendront difficiles de s'y coucher. Plusieurs projets sont en cours dans le secteur entourant le CHUM. Une place publique sera aménagée autour de la station de métro Champ-de-Mars dans le cadre du projet de recouvrement de l'autoroute Ville-Marie. Montréal entreprendra sous peu aussi la réfection de l'hôtel de ville, ainsi que de la place Vauquelin, voisine.
  13. Denis Coderre est-il en train de ralentir le prolongement de la ligne bleue? http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/politique/2015/06/03/003-metro-coderre-montreal-dissension-prolongement-administration-train-tramway.shtml Exclusif - Des sources sûres confirment qu'il y a dissension au sein de l'administration Coderre au sujet du prolongement de la ligne bleue du métro de Montréal. Tant à Québec qu'à Montréal, certains craignent que le maire ne croie plus que le prolongement de la ligne bleue soit une priorité. Un texte de François CormierTwitterCourriel et Julie DufresneTwitterCourriel Petit retour dans le temps... Lundi dernier, le ministre des Transports Robert Poëti annonçait qu'il était en faveur du prolongement souterrain de la ligne bleue du métro de Montréal. Il répétait même à l'Agence métropolitaine de Transport qu'il attendait un dossier d'opportunités d'ici décembre 2015. Pendant ce temps, à Montréal, Denis Coderre remettait en question l'idée d'un prolongement souterrain et persistait à dire qu'il était en faveur d'un métro de surface (un tramway). Selon les informations de Radio-Canada, certains membres de l'administration Coderre sont en désaccord avec le maire et très mal à l'aise avec la position qu'il a adoptée publiquement. La vice-présidente du comité exécutif, Anie Samson, serait l'une des plus grandes défenderesses du prolongement souterrain du métro. Le projet favoriserait sa communauté, puisqu'elle est mairesse de l'arrondissement Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension. Le conseiller municipal Richard Bergeron, lui, utiliserait toute l'influence dont il dispose pour pousser l'idée d'un tramway plutôt que d'un prolongement souterrain. En campagne électorale, en 2013, M. Bergeron proposait un vaste réseau de tramways à Montréal. L'idée avait été rejetée par son adversaire, Denis Coderre. Près de deux ans plus tard, les deux travaillent ensemble et privilégient l'option du tramway. Radio-Canada n'a pas été en mesure de parler à Anie Samson ni à Richard Bergeron. Par ailleurs, nos sources confirment que l'administration Coderre avait été mise au courant du rapport de l'Agence métropolitaine de Transport sur le prolongement du métro. Certains membres du comité exécutif, notamment le responsable des transports, Aref Salem, avaient même assisté à une présentation des experts de l'AMT pas plus tard que la semaine dernière. Pourtant, lundi, le maire Coderre a reproché au président-directeur général de l'AMT, Nicolas Girard, de ne pas l'avoir appelé concernant cette étude. Voudrait-on favoriser le train dans l'ouest de l'île? Le maire Coderre est-il en train d'appliquer les freins sur le prolongement souterrain de la ligne bleue pour permettre au train de l'ouest d'être mis en place? « Je pense qu'un train de surface pourrait nous permettre d'en faire davantage tant pour les gens de l'est que pour ceux de l'ouest, a-t-il déclaré ce matin au cours de la séance du comité exécutif. Nous voulons en faire davantage avec le milliard de dollars. Nous ne voulons pas revivre ce qui s'est passé avec le train de l'est et le métro de Laval. Notre rôle est d'être responsables sur le plan des finances publiques », précise-t-il. Mésentente Coderre-Poëti? À ceux qui pourraient croire que cette déclaration du maire illustre une mésentente Coderre-Poëti, le ministre assure qu'il n'en est rien. « Il n'y a absolument aucune mésentente entre moi et M. Coderre », a déclaré Robert Poëti à l'Assemblée nationale. Le ministre attend d'ailleurs le dossier d'opportunités de l'Agence métropolitaine de Transport avant d'engager son gouvernement dans le prolongement de la ligne bleue. « Est-ce que c'est le meilleur moyen? Est-ce qu'on peut trouver d'autres moyens? Est-ce qu'il y a des façons de voir pour donner un service plus rapide que celui qu'on a actuellement? » poursuit-il. Le ministre confirme que la volonté du maire Coderre sera prise en considération. « Ce qu'on va voir avec M. Coderre, c'est les attentes de M. Coderre, et comment on peut réaliser les projets de la meilleure façon », mentionne-t-il. Transport en commun ou stade de baseball? Le chef de l'opposition officielle à l'Hôtel de Ville, Luc Ferrandez, espère que Denis Coderre ne veut pas faire des économies en transport en commun pour investir l'argent du gouvernement provincial dans d'autres projets. « S'il veut faire des économies en transport en commun pour construire un stade de baseball à 600 millions, c'est autre chose, déclare-t-il. On veut un engagement précis garantissant que l'argent sera investi dans le transport en commun. » Luc Ferrandez estime que le prolongement de la ligne bleue doit se faire en mode souterrain.
  14. Jacques Parizeau : un politicien comme il n'y en a que deux ou trois par génération. Respect! :3etoiles:
  15. C'est l'évidence même, mais pourquoi faire simple quant on peut faire compliqué Peut-être le ministre cherchait-il à se couvrir advenant des protestations suite à l'annonce d'un projet aussi coûteux que le métro? Austérité oblige...
  16. Nameless_1

    Expos de Montréal

    Content de ne pas être le seul à avoir eu cette impression...
  17. Wow, excellente nouvelle, j'adore les musées d'histoire naturelle. J’espère que ça va se réaliser!
  18. Merci de ton intervention. Moi, je ne suis pas né pour un petit pain. Il y a certainement beaucoup d'interrogations à propos de ce projet, mais je j'en discute avec beaucoup de plaisir s'ils sont sérieux. Et cependant, ne soyons pas crédules, leur offre peut facilement être vu comme un deal de spéculateur pour tripler la valeur de leur terrains... Faut voir, je ne suis pas convaincu, surtout que même si «Royalmount» dit «yes», c'est Montréal qui va devoir payer les travaux d'infrastructures, tels que la plomberie, les entrées-sorties, etc. Le débat que nous avons à propos de ce projet est très sain et démocratique.
  19. Oui, j'admets que celui ci pourrait être un peu plus lent.
  20. Belle intervention louisleonardo, merci!
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