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Nameless_1

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Tout ce qui a été posté par Nameless_1

  1. 40%... je vais être l'avocat du diable (et dommage car c'est un beau projet), mais les ventes ont staller, non?
  2. J'aime le logo sur la pancarte. La tour aurait due avoir ce profil
  3. J'en suis un. De tout les projets, c'est le dernier que je m’attendais à voir monter!
  4. Et la différence entre tram-train et SLR ? Au point de vue technologique ils sont semblable, les deux utilisent des véhicules légers sur rail. La grande différence est que le SLR est situé exclusivement sur une voie exclusive séparée de la circulation, soit sur un corridor ferroviaire, sur des remblais, des viaducs ou enterré dans le sol. Le tram-train lui, comme son nom l'indique, circule en partie sur un corridor ferroviaire comme un SLR, et également sur rue, sur des rails encastrés dans la chaussée et sur des voies réservées comme un tram. Sa grande limite, outre la longueur, est qu’il est soumit aux feux de circulation et il doit se limiter à la vitesse de la circulation sur ces rues. C'est pour ça que le tram-train est si peu dispendieux comparé au SLR: il n'a pas de tronçon souterrain qui coûte aussi cher qu'un métro à construire (200 à 300 millions le kilomètre). Il circule en surface sur tout son trajet. Il y a toutefois des inconvénients: sur son tronçon sur rue du côté de Montréal, il est limité à une vitesse moyenne d'environ 20 km/h contre 30-40 km/h pour le SLR. Le trajet prendrait probablement 5 minutes de plus. Comme il circule sur rue, sa longueur serait limitée pour éviter de bloquer trop d'intersections à la fois. Le tronçon sur rue n'étant pas aussi prévisible que le tronçon ferroviaire (risque d'accident, feux de circulation, etc.), il ne serait pas possible de faire circuler des trains à une fréquence aussi grande. Donc moins de capacité pour la ligne et impossible d'avoir un fonctionnement automatique sans conducteur, celui-ci étant nécessaire pour opérer le tram-train sur rue.
  5. Il y a un rendu en page 5 qui devrait être en tête de fil car il illustre bien l'occupation du terrain des phases 1, 2 et 3. Il y a effectivement un espace libre coté nord-est.
  6. On a pensé la même chose du Peterson quand on a vue la pépine, mais même avec eux c'était pour vrai! Donc début des travaux!
  7. wow Je vais aller monter les marche de l'oratoire à genou ce soir...
  8. À coup sure, un peu comme Cote-St-Luc... j'ai toujours eu l'impression que le métro n'ira pas plus loin dans l'est que Pie-IX.
  9. Remue-méninges citoyen autour du secteur Champ-de-Mars et du square Viger 11 septembre 2014 |Frédérique Doyon Le premier tronçon concerné par l’exercice de réflexion borde le nouveau Centre de recherche du CHUM, autour du métro Champ-de-Mars, face à l’hôtel de ville. La place publique souhaitée fera 18 000 m2, un « défi d’aménagement » imposant selon Richard Bergeron. La Ville de Montréal invitait les citoyens à participer à la réflexion collective autour de l’aménagement des abords de l’autoroute Ville-Marie mercredi. Deux secteurs sont visés : les environs du métro Champ-de-Mars et le square Viger. Le remue-méninges ludique qui s’est tenu mercredi (et qui se poursuit sur le Web) fait suite à la décision de recouvrir un premier tronçon de l’autoroute Ville-Marie pour 2017. Le maire Denis Coderre et le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, veulent y créer une nouvelle place publique reliant le centre-ville au Vieux-Montréal qui serait inaugurée pour le 375e anniversaire de Montréal. D’où l’appel aux échanges et discussions citoyennes. « On invite la population à venir nous dire quelle sorte de place ils veulent, quel type d’aménagement, quelle personnalité ils veulent donner à cette place. Cette cicatrice qui fait mal à Montréal doit être recouverte, mais on veut le faire de façon intelligente », a expliqué le maire en conférence de presse, à propos de ce « symbole » de la relance de Montréal et « un des legs importants » de son 375e anniversaire. Le premier tronçon concerné par l’exercice de réflexion borde le nouveau Centre de recherche du CHUM, autour du métro Champ-de-Mars, face à l’hôtel de ville. La place publique souhaitée fera 18 000 m2, un « défi d’aménagement » imposant selon Richard Bergeron, considérant qu’elle est six fois plus grande que la place Jean-Paul-Riopelle dans le Quartier international. Quelque 20 000 personnes y transiteront quotidiennement. Deux activités citoyennes s’y articulaient mercredi, l’une visant à élire deux des 20 propositions d’aménagements retenues lors d’un concours d’idées en 2009. L’autre abordait les enjeux de mobilité, de sécurité et d’accessibilité dans le secteur. Vers une Agora revitalisée ? Le dernier rendez-vous s’ancrait au square Viger conçu par l’artiste Charles Daudelin (l’Agora et sa fontaine Mastodo le constituent), longtemps boudé par les citoyens depuis que les itinérants en ont fait leurs quartiers et que les autorités l’ont plus ou moins abandonné. Depuis un an, on entendait que la Ville comptait le raser. La Corporation de développement urbain Faubourg Saint-Laurent planche depuis deux ans sur un projet de réappropriation culturelle et populaire du square, en suspens jusqu’à nouvel ordre. Voilà qu’on tend l’oreille aux citoyens, après avoir laissé un historien raconter l’histoire du lieu, pour entendre leurs souhaits quant à la vocation future du site. Et les oeuvres ? « Elles seront sauvées, répondent en choeur le maire et le chef de l’opposition, mais pas cet aménagement-là », qui ne se prête pas à la fonction de détente à laquelle est vouée la place, en complémentarité avec celle du métro Champ-de-Mars. Le fait que le square soit actuellement surélevé et enclavé pose notamment problème. « C’est rassurant de voir qu’on est capable d’avoir des plans d’ensemble à la Ville et pas juste des actions isolées », ajoute Dinu Bumbaru d’Héritage Montréal, qui compte encore le square Viger parmi ses sites menacés 2014, mais dit avoir relativement bon espoir que l’Agora trouvera la voie vers une revitalisation. À suivre, puisque les échanges avec les citoyens se poursuivront sur le portail de la Ville (http://www.ville.montreal.qc.ca/secteurcdm). La facture finale des places publiques sera dévoilée au printemps. http://www.ledevoir.com/culture/actualites-culturelles/418144/monttreal-remue-meninges-citoyen-autour-du-secteur-champ-de-mars-et-du-square-viger
  10. Prolongement de la ligne bleue: «sans métro, le développement de l’Est est freiné» Christopher Nardi / Agence QMI Le développement de l’Est de Montréal serait «freiné» par l’absence du prolongement de la ligne bleue du métro. «Le manque de métro amène un grand frein au développement, particulièrement économique, à l’est de Montréal. Les gens cherchent des endroits accessibles en transport en commun, et le secteur est déficient à ce niveau», a indiqué mercredi la présidente de la Corporation de développement économique communautaire (CDEC) de Saint-Léonard, Véronique Fenocchi. En 2008, les jeunes de 15 à 29 ans représentaient 17,1 % de la population de Saint-Léonard (la moyenne à Montréal est 21 %). Cela représente une chute de 5, 3 % en 10 ans, comparativement à une hausse de 0,5 % à Montréal. «Ce sont les gens de 18 à 29 ans qui sont l’essor de toute la vitalité économique et créatrice. C’est dommage qu’ils nous quittent», a ajouté Mme Fenocchi, observant que le secteur peine également à retenir les familles et donc les travailleurs. La Société de développement économique (SODEC) de Rivière-des-Prairies, Pointe-aux-Trembles et Montréal-Est souligne également un problème de recrutement dans la région. Dans son rapport de recensement 2011-2012, l’organisme soulignait que 33 % des entreprises sondées présentaient le «recrutement et le maintien du personnel» comme le défi principal. «Les entreprises existantes nous disent souvent qu’il est difficile pour les gens de venir travailler ici. On pourrait facilement redéployer et développer l’Est de Montréal avec l’arrivée du métro», estime Mme Fenocchi. Développer Montréal Plusieurs élus montréalais croient également que le prolongement de la ligne bleue devrait être le projet prioritaire de la Ville et de Québec. «Depuis plus de 30 ans, nos résidents se font promettre le prolongement imminent de la ligne bleue», avait déclaré le 3 juillet dernier le maire d’Anjou, Luis Miranda. «La priorité numéro du transport en commun devrait être de prolonger la ligne bleue», a également indiqué l’élu municipal et vice-président de la STM, Marvin Rotrand. Présentement, seulement 27,4 % des résidents des arrondissements du Nord-Est disent utiliser le transport en commun, contre 40 % dans les secteurs ayant accès au métro. «Est-ce que la Ville devrait essayer de mousser l’économie de la région en construisant des trains vers les centres commerciaux de la Rive-Sud? Ou est-ce qu’elle devrait plutôt servir des Montréalais établis dans des secteurs ayant un potentiel de développement incroyable?» s’est questionné M. Rotrand. http://www.journaldemontreal.com/2014/09/11/prolongement-de-la-ligne-bleue-sans-metro-le-developpement-de-lest-est-freine
  11. Deuxième édicule à la station Vendôme: la STM en attente de financement Un deuxième édicule sera construit à la station de métro Vendôme afin de la rendre universellement accessible. Il ne reste plus qu’à déterminer le financement de ce projet évalué à 70M$. «Le consensus est clair: il faut le faire et on va le faire», a affirmé jeudi le président de la Société de transport de Montréal (STM), Philippe Schnobb, en entrevue à Métro. Il faisait référence à toutes les organisations qui ont leur mot à dire dans ce projet – le ministère des Transports du Québec (MTQ), l’Agence métropolitaine de transport (AMT), la Centre universitaire de santé McGill et la STM – et qui s’entendent sur la nécessité de rendre cette station de métro facilement accessible pour les personnes à mobilité réduite. «On n’a jamais aussi avancé dans le processus. On attend simplement la confirmation du financement, ce qui va nous permettre de commencer le processus officiel d’appel d’offres et de rédaction des plans et devis», a ajouté M. Schnobb. Il ignore quand le gouvernement du Québec prendra la décision quant au financement du projet, mais il est confiant qu’il ne sera pas mis de côté à la suite de compressions budgétaires. Dès que le feu vert sera donné au projet, il faudra attendre de quatre à cinq ans avant de pouvoir accéder directement au mégahôpital. Un deuxième édicule doté d’ascenseurs doit être construit, de même qu’un tunnel sous les voies ferrées sur lesquelles roulent notamment les trains de banlieue. Le cabinet du ministre Robert Poëti a confirmé que le projet doit se concrétiser puisqu’il a été inscrit au Plan québécois des infrastructures (PQI). Il figure dans la même section que les projets du Train de l’Ouest et du prolongement du métro de Montréal. Aucun échéancier n’a pour le moment été établi. Le MTQ a expliqué que le projet «est toujours à l’étude». «À ce stade-ci, je ne pourrais pas vous dire exactement quel type de construction ou quel type d’accessibilité, a dit la porte-parole du ministère, Sarah Bensadoun. Il faut qu’il y ait une entente avec les trois partenaires sur le partage des coûts et les modalités de construction et d’exploitation de l’édicule et du lien piétonnier.» Le projet de construction d’un deuxième édicule à la station Vendôme devra être soumis à la Directive sur la gestion des projets majeurs d’infrastructure publiques, ce qui veut dire que les autorités gouvernementales devront l’approuver, a précisé Mme Bensadoun. D’autres travaux En attendant qu’un deuxième édicule soit construit à la station Vendôme, la STM lancera dès le mois d’octobre des travaux afin de reconstruire les escaliers fixes et à réaménager les tourniquets. Un contrat de 1,296M$ a pour ce faire été attribué cette semaine à la firme Rainmaker Construction par le conseil d’administration de la STM. Le but de ces travaux est d’améliorer les déplacements dans la station de métro puisqu’à l’ouverture du CUSM, en 2015, l’achalandage dans la station devrait bondir de 38%, selon les prévisions de la STM.
  12. Objectifs fixés dans le réaménagement de la place Gérald-Godin Par Laurence Houde-Roy Métro L’arrondissement du Plateau-Mont-Royal compte aller en appel d’offres au début de l’année 2015 pour la réalisation de plans et devis visant le réaménagement de la place Gérald-Godin. «Il y a une très forte volonté des élus de revamper cette place» qui borde le métro Mont-Royal, confirme le conseiller en aménagement Michaël Tremblay, du Plateau-Mont-Royal. Bien que les conditions financières ne soient pas encore assurées pour promettre ce réaménagement, l’arrondissement présentait mercredi le fruit d’un travail de consultation auprès de la population et d’experts qui formule près d’une dizaine d’objectifs à atteindre si cette place est rénovée. À ce sujet: Le seul élément confirmé dans ce projet est la volonté de la Société de transport de Montréal (STM) de revoir l’édicule du métro pour l’adapter aux personnes à mobilité réduite. «Et il y a une ouverture de leur part pour considérer nos propositions, tout en tenant compte des contraintes financières», indique Michel Tanguay, chargé de communication à l’arrondissement du Plateau. Le document de recommandations de l’arrondissement fait justement part de l’idée de «concevoir l’édicule du métro comme une œuvre d’art», en maximisant sa transparence. «Lors de nos consultations auprès du public, on ne voulait pas que les gens aient peur de sortir des sentiers battus, explique M. Tremblay. On connait la recette pour faire des places publiques. Il y a des normes, mais elles viennent contraindre toutes les interventions.» Mais toute l’étendue de cet espace public pourrait également favoriser la culture, selon les recommandations des experts. «On aimerait utiliser le mobilier urbain pour accueillir des événements culturels sur cet espace. Est-ce qu’une partie de l’édicule de métro pourrait servir de gradins?», lance M. Tremblay. Après cette réflexion qui s’est échelonnée pendant tout le printemps et l’été, les cocréateurs prônent également une redéfinition de la sécurité des piétons et des cyclistes à cet endroit. «Il faut remettre le piéton au centre de cette place et revoir la place de l’automobile», affirme M. Tremblay qui suggère de réduire le nombre de voies automobiles et de mettre les trottoirs et la rue au même niveau. «On veut que la place Gérald-Godin soit un lieu de rencontre, et non un lieu de transit comme c’est le cas actuellement.» -Michaël Tremblay, conseiller en aménagement à l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal. L’emblématique mur au poème de Gérald-Godin, au sud du métro, pourrait également être revu, selon ces propositions. «Ce mur ne participe pas au dynamisme de la place», indique Michaël Tremblay. Les experts proposent plutôt d’aménager un mini-bâtiment sur l’espace gazonné devant le mur pouvant y accueillir un commerce, et ainsi dynamiser les pourtours de la place. Le poème étant ainsi caché, il faudrait également revoir comment rappeler la mémoire de Gérald-Godin, ajoute le conseiller. Une étude de circulation reste également à faire pour s’assurer que le réaménagement soit fait en fonction des véhicules et des piétons qui y circulent. L’arrondissement est actuellement en recherche de financement. http://journalmetro.com/actualites/montreal/551219/objectifs-fixes-pour-reamenager-la-place-gerald-godin/
  13. Prolongement de la ligne bleue: Coalition Montréal veut un échéancier Par Rédaction Métro La Coalition Montréal réclame un échéancier au gouvernement du Québec pour le projet de prolongement de la ligne bleue du métro. Le conseiller de Saint-Léonard Est, Dominico Moschella, déposera mardi soir une motion en ce sens au conseil d’arrondissement de Saint-Léonard. «Bien que le gouvernement précédent et le gouvernement actuel aient reconnu l’importance de prolonger la ligne bleue de cinq stations, à l’est de St-Michel, à Anjou, aucun fonds n’a encore été réservé et aucun échéancier n’a été annoncé pour le développement de la ligne bleue», a déploré M. Moschella, par communiqué. Il a souligné que le prolongement du métro vers l’Est aurait des impacts positifs sur l’économie. L’ancien ministre des Transports, Sylvain Gaudreault, avait annoncé à l’automne 2013 la mise en place d’un bureau de projet. Celui-ci, qui est piloté par l’Agence métropolitaine de transport, doit déposer en 2015 un plan d’affaires. http://journalmetro.com/actualites/montreal/550228/prolongement-de-la-ligne-bleue-coalition-montreal-veut-un-echeancier/
  14. As an investor, Caisse de dépôt et placement du Québec made a good deal. Montreal will certainly gain from this, though we have to keep our ambitions realistic.
  15. Le Centre d’histoire de Montréal ouvert à un déménagement au Carré Saint-Laurent Le Centre d’histoire de Montréal est ouvert à l’idée de déménager dans le futur Carré Saint-Laurent, comme la Ville le propose. Le maire de Montréal, Denis Coderre, avait évoqué cette possibilité lors du dernier conseil municipal et a réitéré son intérêt mercredi, au cours de la réunion hebdomadaire du comité exécutif. ... http://journalmetro.com/actualites/montreal/551050/le-centre-dhistoire-de-montreal-ouvert-a-un-demenagement-au-carre-saint-laurent/
  16. La STM annule le changement de nom de 19 stations Christopher Nardi / Agence QMI Publié le: mercredi 03 septembre 2014, 18H13 | Mise à jour: mercredi 03 septembre 2014, 19H19 QMI_QMI_1408071941002 Photo Christopher Nardi / Agence QMI «Il n’y aura aucune modification de nom de station.», Philippe Schnobb Bookmark and Share Modifier la taille du texte Quelques semaines après avoir annoncé le changement de nom de 19 stations de métro, la Société de transport de Montréal (STM) fait marche arrière parce que son président Philippe Schnobb juge qu'il s'agit d'une mesure inutile. Lors de la séance, le président Philippe Schnobb a indiqué que le conseil d’administration «n’a approuvé qu’un changement de nom en avril dernier, celui de la station Square-Victoria». M. Schnobb a déclaré qu’il annulait tout changement qui serait porté aux noms de stations qui n’avaient pas été approuvés par le conseil. «Il n’y aura aucune modification de nom de station, aucune modification sur les quais, sur les cartes, sur les annonces sonores ou dans les trains […] on estimait que ce n’était pas nécessaire», a-t-il dit. Le 28 juillet dernier, le journal 24 Heures révélait que la STM comptait faire de légères modifications au nom de 19 stations de métro. Par exemple, la station Champ-de-Mars deviendrait celle du Champ-de-Mars. La STM a indiqué que ces changements se feraient à coût nul et graduellement à travers le réseau. La société a également rajouté l’abréviation de l’Organisation de l'Aviation civile internationale (OACI) au nom de la station Square-Victoria, cette fois au coût de 125 000 $. M. Schnobb a d’ailleurs indiqué qu’il avait demandé un compte-rendu de toutes les dépenses relatives à ce changement de nom, afin de s’assurer que les montants étaient justifiables. http://www.journaldemontreal.com/2014/09/03/la-stm-annule-le-changement-de-nom-de-20-stations http://journalmetro.com/actualites/montreal/551148/changement-de-noms-de-19-stations-de-metro-annule/
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