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Nameless_1

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Tout ce qui a été posté par Nameless_1

  1. Salut, MAJ des travaux du nouveau pont Champlain vu de l'IDS, 8 août 2015:
  2. MAJ des travaux, 7 août 2015:
  3. Nameless_1

    Autoroute 19

    Un boulevard plutôt qu’une autoroute pour prolonger l’A19 Québec songe maintenant à prolonger l’autoroute 19 jusqu’à Bois-des-Filion avec un simple boulevard limité à 70 km/h, doté de feux de circulation, plutôt que de construire une véritable autoroute comme c’était prévu. Le ministère des Transports (MTQ) a publié discrètement sur son site web, mercredi, un document qui détaille cette nouvelle option, qui plaira sans doute aux opposants du prolongement autoroutier, mais qui risque de faire enrager plusieurs automobilistes pris matin et soir dans les bouchons. Depuis le lancement du projet, en 2010, tout indiquait que c’est une autoroute qui serait construite. Le MTQ a d’ailleurs présenté au Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) un schéma d’autoroute conventionnelle à deux voies dans chaque direction, avec une vitesse limitée à 100 km/h et un large terre-plein central. (voir schéma). À 70 plutôt que 100 Or, en plus de ce scénario, un nouveau plan à l’étude prévoit maintenant des voies moins larges. Un simple muret de béton séparerait les deux directions, et les intersections pourraient comporter des feux de circulation, qui provoquent l’arrêt complet des véhicules, plutôt que des ponts d’étagement. Et bien sûr, automobilistes et camionneurs ne pourraient circuler à plus de 70 km/h dans ce type d’aménagement qui ressemble beaucoup plus à un boulevard qu’à une autoroute. Dans un tel scénario, le tronçon conserverait d’ailleurs sa dénomination de route nationale (335) plutôt que d’adopter celle d’une autoroute (A19). Au MTQ, on indique que cette nouvelle proposition répond à une demande exprimée par le BAPE. L’organisme de consultation soulignait dans son rapport remis en mars dernier «qu’une analyse comparative plus approfondie était requise entre les scénarios d’autoroute à deux voies et ceux de boulevards urbains». Moins cher ? Néanmoins, le MTQ assure toujours que sa priorité est «d’apporter une solution efficace au problème de congestion de ce tronçon». Si Québec devait choisir l’option d’un boulevard urbain, elle pourrait s’avérer moins coûteuse que celle d’une véritable autoroute, parce que les nouvelles structures à construire seraient moins imposantes. En mai dernier, avant que l’option du boulevard urbain ne soit connue, Le Journal révélait que les coûts du projet avaient explosé pour atteindre 707 M$, soit bien davantage que les 500 à 600 M$ évoqués jusqu’ici. http://www.journaldemontreal.com/2015/08/06/un-boulevard-plutot-quune-autoroute-pour-prolonger-la19
  4. Le problème n'est pas avec le peuple, j'ai des voisins Iraniens charmants, c'est avec leur gouvernement religieux.
  5. La meilleur explication que j'ai lu à date sur la question. Bonne lecture! http://www.taylornoakes.com/2015/07/27/sabotaging-viger-square/
  6. J'ai été surpris moi aussi par la superficie de l'excavation.
  7. Excusez mon chinois: mais putain, ya quelqu'un qui a refusé çà???
  8. RE: tours de verre de Toronto, l'opinion de ma soeur Torontoise, ex-proprio d'un condo dans une de ces tours:
  9. Vous avez tous d'excellents arguments qui sont tous très justes; cependant une ville n'est pas un musée figé dans le temps. Elle est un organisme dynamique qui croit ou décroît selon ses besoin. C'est ce même dynamisme qui à fait de Londres la ville que nous apprécions tous. Est-il juste alors de la mettre dans un carcan simplement pour le plaisir des touristes de notre siècle, surtout que la majorité des édifices sont de très belle facture?
  10. Oh boy! Je serais vraiment content qu'on ait un problème avec des buildings comme çà à Montréal! Remarquez que je suis totalement d'accord avec l'idée de densifier avec des buildings de 5 à 6 étages, inspirés de Haussmann. Commerces au rez-de-chaussée et appartements aux étages (pas plus de six étages à pieds) sont gages de succès, peut importe l'époque.
  11. Très juste. L'avenir de Montréal comme ville du monde est en train de se jouer! De toute façon, les TEC se concentrent toutes vers le centre.
  12. Voici l'occasion de faire mieux tout en restaurant un édifice historique!
  13. Excellents exemples. Ça me parait très bien intégré. On chiale pour chialer...
  14. Je suis plutôt d'accord de le préserver. Revenu Québec n'a qu'a aménager dans la future tour du QDS.
  15. L'image festive de Montréal remonte à la prohibition Lundi, 20 Juillet 2015 11:57 Journal FORUM Carte postale canadienne imprimée pendant la prohibition. L'époque de la prohibition a joué un rôle clé dans le développement du tourisme à Montréal et de l'image festive qui la caractérise encore aujourd'hui. C'est ce que met en lumière Michael Hawrysh dans son mémoire de maîtrise effectué au Département d'histoire de l'Université de Montréal. Intitulé «Une ville bien arrosée : Montréal durant l'ère de la prohibition (1920-1933)», le mémoire a été rédigé sous la direction de la professeure Michèle Dagenais. Au début des années 1920, l'Amérique du Nord vit sous le joug de la prohibition de l'alcool, à l'exception du Québec. Et Montréal en profite : plusieurs américains et canadiens assoiffés voient la Métropole comme une véritable oasis! «À cette époque, Montréal est la plus grande ville – et une des seules sur le continent – non régie par une loi sur la prohibition : elle jouit des lois les plus libérales vis-à-vis de l'alcool des deux côtés du 49e parallèle, grâce à la création de la Commission des liqueurs de Québec», explique-t-il. La prohibition découle des pressions politiques exercées par des réformistes canadiens et américains – surtout des femmes – désireux d'éliminer les effets dévastateurs de l'alcool sur les familles et la société. Car l'alcoolisme prend des proportions jusque-là inégalées avec l'industrialisation et les migrations massives des populations rurales venues travailler dans les centres urbains... Couverture de la partition de la chanson Hello Montreal, publiée en 1928 par Irving Berlin. Alcool prohibé, sauf au Québec En janvier 1919, les États-Unis adoptent un amendement constitutionnel interdisant la production, la distribution et la vente d'alcool dans l'ensemble du pays. Au Canada, toutes les provinces, à l'exception du Québec, votent aussi une loi instaurant la prohibition. «Les retombées de cette conjoncture se font sentir presque immédiatement : dès le début des années 1920, des centaines de milliers de touristes américains et canadiens affluent vers Montréal à la recherche d'amusements alcoolisés», rappelle l'historien. Le nombre de lieux de consommation d'alcool monte en flèche, et de nombreux artistes américains de jazz et de cabaret migrent vers Montréal pour animer la vie nocturne en plein essor. Cette vie nocturne prend surtout son essor dans le centre-est de la ville, dans les quartiers plus populaires où vit une majorité de Francophones et d'immigrants, soit le territoire délimité aujourd'hui par les quartiers Ville-Marie-Est, le Plateau Mont-Royal, Rosemont, Griffintown et Petite Bourgogne. «D'autres villes de l'île, adjacentes ou encerclées par Montréal, ne comptent aucun lieu de consommation d'alcool, la plupart étant à majorité anglo-protestantes et bien nanties, ce qui n'empêche pas leurs citoyens de fréquenter les bars du centre-ville et le Red Light (quartier associé à la prostitution)», souligne M. Hawrysh d'un ton amusé. Un contrôle libéral En avril 1921, le gouvernement d'Alexandre Taschereau abolit la prohibition dans la belle province et institue la Commission des liqueurs de Québec (CLQ) – l'ancêtre de l'actuelle Société des alcools du Québec. Basé sur le modèle suédois de contrôle de la consommation d'alcool, la CLQ permet à Montréal de devenir une véritable oasis. Elle devient, par le fait même, le premier cobaye du modèle de contrôle gouvernemental de la vente d'alcool. Les forces anti et pro prohibitionnistes scrutent à la loupe ce développement, tant du côté canadien qu'américain. «L'idée que l'État exerce le contrôle de la vente et de la consommation est très novateur à l'époque, rappelle Michael Hawrysh. La CLQ est la toute première institution publique créée au Québec et l'expérience a si bien fonctionné qu'elle a servi de tremplin à la création de nombreuses autres institutions par la suite incluant des initiatives liées à la laïcisation du Québec et la consolidation du rôle social et moral de l'État.» Alcool, mafia, prostitution et réputation La Commission des liqueurs ne contrôle pas tout, loin s'en faut. Les spiritueux qu'elle vend sont de bonne qualité, mais ils sont chers. Le monde interlope en profite et établit un réseau de vente d'alcool de contrebande à bas prix, qu'il écoule par l'entremise de débits clandestins où il exploite aussi les maisons de jeu et la prostitution. Selon Michael Hawrysh, la prohibition contribue ainsi au processus de construction de la réputation de Montréal à travers les récits et les discours des tenants de la prohibition et de ceux qui sont contre, de même qu'à travers des chansons ou des guides touristiques et récits de voyage. «Les pro-prohibition propagent l'image d'une ville ouverte, immorale et hors de contrôle, ultra-tolérante vis-à-vis de l'ébriété et des autres vices, relate-t-il. Ils vont même jusqu'à profiter des conclusions de «l'enquête Coderre», menée en 1926 sur la corruption de la police municipale à l'endroit des tenanciers de bars clandestins, même si ses conclusions parlent très peu d'alcool et ne remettent pas en question le système de régulation gouvernemental.» De leur côté, les anti-prohibition parlent de Montréal comme une ville «ordonnée où la population est très tempérante et morale». La CLQ use également de stratégie de communication orientée : dans ses rapports annuels, elle évalue l'efficacité de son système dans une rubrique intitulée «L'aspect moral», qui met en valeur le faible taux de criminalité et le nombre d'arrestations pour ébriété à Montréal. Le tout en illustrant les données sous forme de thermomètre, cherchant à donner l'impression que la situation est «moins chaude» que certains le laissent croire! «Globalement, avec le temps, il ressort que la réputation de Montréal est celle d'une ville qui incarne la synthèse entre «paix, ordre et bon gouvernement» et «vie, liberté et poursuite du bonheur», conclut Michael Hawrysh. «Et si Montréal est toujours réputée pour son esprit festif et son attitude libérale envers la vie nocturne, cette réputation remonte en grande partie à l'ère de la prohibition.» Martin LaSalle La prohibition : payante pour les finances de l’État Le gouvernement canadien a aussi profité de la prohibition : en 1930, les revenus de la seule taxe d'exportation sur l'alcool représentent 20 % de tous les revenus générés par les gouvernements fédéral et provinciaux combinés! «C'est probablement sa principale motivation à permettre la fabrication de l'alcool au pays et cela a notamment permis à la famille Bronfman d'ériger son empire», avance Michael Hawrysh. Le Québec n'est pas en reste : les profits de la vente d'alcool au cours de la décennie 1920-1930 représentent près du quart du budget total de la province! Ces nouveaux revenus ont notamment été utilisés pour améliorer le réseau routier du Québec, le rendant encore plus accessible aux touristes...
  16. Ce n'est pas l'annulation de la destruction d'Agora qui a été annoncée, c'est l'annulation de l'appel d'offre pour réaliser le projet de la ville. L'article paru dans la Presse dit très bien que l'administration Coderre persiste en disant que la démolition est inévitable. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201507/15/01-4885782-square-viger-montreal-retourne-a-la-planche-a-dessin.php En fait, Montréal qualifie l'annulation de l'appel d'offres de simple «décision technique» afin d'éviter de négocier des changements au contrat de la firme qui décrochera le mandat pour faire les plans et devis du futur square. Au cabinet du maire, on assure que la décision ne retardera pas le projet devant être livré au printemps 2017.
  17. J'aimerais tant que ce projet soit construit. Cependant, si ce projet se réalise dans son ensemble, je promet publiquement de monter les marches de l'Oratoire à genoux...
  18. Il y a tellement de chantiers à Montréal que je perds de vue certain des plus importants: Chantier Turcot: découverte possible de vestiges du Village des Tanneries Lors des travaux d’excavation du chantier Turcot, les travailleurs ont découvert à l’ouest de l’angle des rues Saint-Jacques et Saint-Rémi ce qui pourrait être les vestiges de l’ancien Village des Tanneries situé à cet endroit vers la fin des années 1700. Les fouilles auxquelles des archéologues procèdent depuis trois semaines nous en apprendront davantage. La première tannerie a été ouverte en 1685 à proximité de la falaise Saint-Jacques, en bordure du ruisseau Glen qui se jetait dans le lac à la Loutre aujourd’hui complètement disparu sous la cour Turcot. Les vestiges découverts à l'ouest de l'angle des rues Saint-Jacques et Saint-Rémi pourraient être ceux de l'ancien Village des Tanneries situé à cet endroit vers la fin des années 1700. Au milieu des années 1700, on comptait à cet endroit huit tanneries, qui s’installaient loin de la ville pour limiter la diffusion des fortes odeurs causées par le traitement des peaux et du cuir. Un petit village a commencé à prendre forme. En 1781, on dénombrait 11 maisons, là où l’échangeur Turcot surplombe aujourd’hui la rue Saint-Jacques. http://journalmetro.com/local/sud-ouest/actualites/809202/chantier-turcot-decouverte-possible-de-vestiges-du-village-des-tanneries/
  19. Bon, j’espère ne pas me faire jeter par les «experts» de mtlurb ici aussi (après tout ce ne sont que des pelles et des marteaux!) : ils ont commencé à pieuter hier. Apres tout, je ne connais rien en urbanisme, c'est peut-être seulement un gros marteau......
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