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bxlmontreal

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Tout ce qui a été posté par bxlmontreal

  1. Ils ont choisi, récemment, de s'établir à Montréal. Pour toutes sortes de raisons. Des artistes de tous les horizons. Danseurs, humoristes, musiciens, comédiens, artistes visuels ou du cirque, venus d'ailleurs, pour qui Montréal est non seulement une ville d'adoption, mais un stimulant laboratoire de création. http://www.cyberpresse.ca/arts/201110/14/01-4457318-montreal-ville-dadoption.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_aujourdhui-sur-cyberpresse_267_accueil_ECRAN1POS2 + 7 liens (articles,en bas de page),des témoignages intéressants.
  2. Dans les avions aux US y a pas de rangée 13.
  3. Et le chialeur de Nimby de Unity viendra pas nous faire ch...cette fois ci comme pour l'Altoria.
  4. On attend plus que les détails du projet 'Overdale', de Rio Tinto et de SNC 2....et je crois qu'on sera au complet pour quelques années.
  5. Faudra un projet de 70 étages pour nous impressionner maintenant...mais est ce possible vu les règlements de hauteur en vigueur? lol
  6. bxlmontreal

    Le William (2013)

    Joli,ca fait très 'Boston' ou 'Dublin'.
  7. Il nous faudrait aussi tant qu'à parler d'Hydro,d'une énorme tour pour un nouveau siège social(le verdatre qui vieillit mal)...ca doit pas manquer de cash chez Hydro non? Idem pour Bombardier,enfin je ne connais pas leurs besoins en staff,c'est surement plus du staff de production en usine qu'en bureau non?
  8. Profession : chef d'escale à Montreal vendredi 7 octobre 2011 Montréal est la deuxième escale la plus importantes du réseau international Air France KLM après New-York. Marc Lachapelle y est chef d'escale pour le groupe. Ce métier revêt de multiples facettes : accueil des passagers, traitement des bagages, gestion du fret... Le chef d'escale est garant du respect des règles de sécurité et de sûreté des vols en liaison avec les équipage. Il supervise également l'administration ainsi que la gestion de ses équipes. http://corporate.airfrance.com/fr/presse/actualites/article/item/profession-chef-descale-a-montreal/ http://corporate.airfrance.com/fr/presse/mediatheque/videos/les-metiers/profession-chef-descale-a-montreal/
  9. C'était d'abord prévu pour 2012,puis 2013...puis la crise de 2008...reporté sur le site du waldorf à 2015 et voila que c'est donc à nouveau 2014...je pense que c'est sérieux,sinon y aurait pas une telle annonce officielle sur le site avec pour la première fois un rendu de l'entrée etc...les travaux vont démarrer début 2012 enfin s'ils veulent être dans le timing pour une livraison en 2014.Une bonne nouvelle.
  10. C'est un drôle de quartier, le Mile End. Pas vraiment la fin d'un monde, plutôt le début d'un nouveau. Rien à voir avec le district de l'est de Londres auquel il a emprunté son nom. Ce quartier est situé à l'extrémité du Plateau, qui surplombe Montréal. Son nom fait référence à l'époque où le maigre village de Saint-Louis se trouvait encore à un mile des limites de la ville. Terre de chasse, le lieu va rapidement se développer à la fin du XIXe siècle avec l'arrivée du chemin de fer du Canadien Pacifique, se transformant en une zone industrielle dont témoignent encore aujourd'hui les façades des fabriques de brique rouge. C'est dans l'une d'elles que s'est établie, à l'orée des années 2000, la société de jeux vidéo UbiSoft, et avec elle une armada de nerds et de geeks venus de toute la technosphère. Depuis lors, ils n'ont cessé de “s'interactiver” face à la traditionnelle église polonaise, l'un des nombreux lieux de culte du Mile End, qui fut longtemps une terre d'accueil des émigrés fraîchement débarqués. Cette cohabitation est emblématique des mutations que connaît le quartier, où se côtoient toutes les communautés, venues d'Europe de l'Est et du pourtour méditerranéen, et aujourd'hui du monde entier. Avec ses petites rues bien alignées où se dressent des maisons de deux étages, ses ruelles parsemées de jardinets, son atmosphère bohème, le Mile End a de faux airs du Village new-yorkais des glorieuses sixties, poussant la ressemblance jusqu'à avoir lui aussi une Little Italy comme voisine. Lesbiennes extraverties et juifs orthodoxes, vieux immigrés et primo-arrivants, antiquaires et hipsters, tous font désormais la vie de ce qui est considéré depuis peu comme le quartier le plus branché de Montréal. Des poètes comme Leonard Cohen ou des cinéastes comme Xavier Dolan y sont installés, suivant un mouvement initié il y a quinze ans par la scène indépendante musicale, à commencer par les tutélaires Godspeed You ! Black Emperor et Constellations… De nombreux labels y ont ainsi établi leurs studios, à l'instar de Dare to Care Records, de Bonsound et même d'une maison qui s'est baptisée Mile End Records. Pas de doute : avec ses nombreux cafés musicaux, comme le Cagibi, où les musiciens jouent en vitrine, et L'Assommoir, tenu par l'un des deux fils de Robert Charlebois, le Mile End concentre sur quelques kilomètres carrés une énorme créativité, qui résonne dans tout le Canada, et même au-delà. Il en va de même pour ses galeries et ses vastes ateliers d'artistes, qui ont investi des friches industrielles à l'époque où les loyers le permettaient. Car derrière cette explosion artistique, synonyme de ravalement de façades, un danger guette, à chaque coin de rue, la drôle de vie du Mile End : la gentrification. Déjà, certaines opérations immobilières attestent qu'elle a bel et bien commencé. Jacques Denis A lire les commentaires des lecteurs...sur la droite de la page. http://www.lemonde.fr/voyage/article/2011/10/05/a-montreal-le-quartier-de-mile-end-pionnier-et-alternatif_1540693_3546.html
  11. J'ai failli tomber de ma chaise...venant du Globe I’m in love. Montreal has always reminded me of an unapproachable crush – it’s arty and sophisticated, and, to me, seems to possess an impenetrable coolness. In recent years, the rise of its indie music scene, trendsetting street fashion and unapologetically rustic comfort cuisine has only added to its mystique. On previous visits, I had felt every bit the awkward outsider. I’d wander the streets of Old Montreal or take in the view from atop Mount Royal, keenly aware that those who lived here were going to the better bars, eating fabulous food and participating in all sorts of amazing activities that I couldn’t even begin to imagine. This time, I wanted to crack that barrier. So I joined a tour. Guided tours are typically the antithesis of cool. But Shea Mayer’s Fitz & Follwell Co. is a different kind of tour company. As the Montreal resident explains, his cycling tours aren’t just meant to take visitors to the most popular tourist attractions. Rather, they’re based on his idea of a perfect day in the city. “That’s how I designed the routes: What’s my favourite bagel place? Where do I think the best coffee is? What do I do when I go down to the market?” he says. His Bike & Yoga tour, for example, takes visitors through the bohemian neighbourhood of Le Plateau, with a break along the way for smoothies at his favourite juice bar and stops for yoga sessions in three of the area’s tranquil parks. His all-day Mountainside to Riverbank package offers a more challenging ride for seasoned cyclists up to the top of Mount Royal, then down along the St. Lawrence River to Saint-Helen’s and Notre Dame Islands. I chose to tag along on his ’Hoods and Hidden Gems tour, lured by the promise I would be immersed “in the local hangouts of the city’s hippest habitants.” Upon my arrival at his Mount-Royal West Avenue shop, Mr. Mayer sets me up with a sleek black city cruiser, which he has christened “Jeanne,” after the pioneering Montreal nurse Jeanne Mance. (All of the bikes at his shop are similarly named after the city’s historic figures, like “Molson” after the beer tycoon, and “Lili” after the legendary burlesque dancer Lili St Cyr.) Montreal is renowned for being a bike-friendly city, with designated cycling lanes throughout the side streets and thoroughfares. It’s also the launching pad for the now-famous Bixi, a bike-sharing system that allows users to rent a vehicle from one of the many stations scattered around town and deposit it at another station when they’re finished riding. The system has proved so popular that cities around the world, from Toronto to Melbourne, have adopted it. But because Bixi bikes are meant for only short commutes, they’re not ideal for longer, leisurely trips. My Jeanne offers a smoother ride. Mr. Mayer leads our small group through the tony francophone enclave of Outremont and Le Plateau. Along our route, he stops to point out quirky details, not always found in guide books, such as where larpers (live action role players) gather to enact their fantastical battles or where resident bohemians hold their “tam tams,” or drum sessions. We stop to pick up freshly baked bagels at the Montreal institution St. Viateur Bagel, and tote them across the street to Mr. Mayer’s neighbourhood hangout, Café Olympico, where he orders us the café’s specialty espresso coffees. La suite ici: http://www.theglobeandmail.com/life/travel/destinations/travel-canada/how-i-fell-in-love-with-montreal/article2192143/
  12. Les travaux de construction de la première phase du projet District Griffin, du promoteur immobilier Devimco, ont débuté ces dernières semaines au sud de la rue Wellington, à l'angle de la rue Peel. La phase 1 prévoit la construction de quatre tours bordées par la rue Shannon, le canal de Lachine et la rue Smith, le long du viaduc ferroviaire du Canadien National. Ces travaux doivent être achevés en juillet 2013. Le premier îlot comprendra 75 000 pieds carrés de bureaux et 188 copropriétés, en plus de commerces de proximité. Restaurants, café, garderie et banques font partie de la première phase du projet. Il a été impossible d'obtenir le nom d'entreprises déjà engagées chez Devimco. L'adjointe du vice-présent location, Eric Foster, a renvoyé la représentante de La Presse au porte-parole de l'entreprise, qui n'a pas pu répondre à nos demandes. Un immeuble de 19 étages abritera 154 chambres d'hôtel. Il s'agira d'un établissement ALT du Groupe Germain, déjà présent au Dix30, le complexe construit par Devimco en 2006. La première phase de ce projet représente un investissement de 475 millions de dollars de Devimco, du Fonds immobilier de solidarité FTQ, de la Ville de Montréal et du Groupe Cholette qui s'occupe du volet résidentiel. Phases II et III La phase II, appelée l'îlot St. Ann, prévoit la construction de cinq bâtiments à l'ouest de la rue de la Montagne, entre les rues Ottawa au nord, Basin au sud, du Séminaire à l'ouest et Rioux à l'est. Cette phase «essentiellement résidentielle» d'après Michel Cholette, président de Groupe Cholette, inclura 768 logis. Le Groupe Cholette a commencé la prévente sur plan. La construction de la première tour (121 unités) doit commencer en novembre 2011 ou au printemps 2012, selon différentes sources. Aux dernières nouvelles, Devimco attendait des permis de démolition de l'arrondissement concerné, soit l'arrondissement du Sud-Ouest. La Phase III ne commencera pas avant le printemps 2012. Elle inclut une tour de 277 unités résidentielles et 117 000 pieds carrés d'espaces à bureau, avec des espaces commerciaux aux deux premiers étages. Cette tour serait située rue Peel, au nord de la rue Wellington. Les deuxième et troisième phases du projet représentent un investissement combiné de 261 millions de dollars des mêmes partenaires. La Ville contribue à hauteur de 29,9 millions en tout et pour tout, y compris pour la réhabilitation des infrastructures de ce secteur partiellement désaffecté. Au total, c'est environ 299 000 pieds carrés d'espaces de bureau et plus de 328 000 pieds carrés de surfaces commerciales qui seront créées à Griffintown avec ce projet d'envergure. Volet commercial réduit De 1,3 milliard en 2007, ce projet est passé à 736 millions en 2011. Le président de Devimco, Serge Goulet, avait déclaré en 2008 qu'il souhaitait créer à Griffintown un «îlot icône» à vocation culturelle, avec une salle de spectacle et un musée sur le passé industriel du canal de Lachine. Ces projets culturels ont été abandonnés «avec les récessions» des dernières années, d'après André Marcotte, l'un des architectes associés à la dernière mouture du projet. «Le volet commercial ne sera pas aussi fort que prévu (il y a six ou sept ans)», dit M. Marcotte de la firme Martin, Marcotte et Beïnhaker, en entrevue téléphonique. En revanche, les gens qui habiteront ou fréquenteront ce quartier disposeront de nouvelles places publiques que la Ville de Montréal s'est engagée à y aménager. Aucun stationnement de surface ne sera construit, précise M. Marcotte: «Tous les stationnements du projet seront souterrains.» Ceux-ci seront recouverts d'une toiture verte, apprend-on. Volet résidentiel À terme, les trois phases ajouteront entre 2000 et 2500 unités de logement dans cet ancien secteur industriel et irlandais de Montréal, localisé au sud-ouest des autoroutes Ville-Marie et Bonaventure. Devimco, qui est à l'origine d'un des plus grands centres commerciaux au Canada, a promis d'inclure 331 logements abordables et 275 logements sociaux dans son projet. Cependant ces derniers seraient construits «en marge» des tours plutôt qu'à l'intérieur de celles-ci, avait dénoncé Benoit Dorais, le maire de l'arrondissement du Sud-Ouest, en août dernier. «Nous sommes très préoccupés par la mixité sociale et le logement abordable», indique-t-on du côté de la mairie d'arrondissement, qui ajoute que les négociations se poursuivent avec la ville centre... S'agit-il de négociations entre la ville centre et Devimco, ou entre la ville centre et l'arrondissement? «C'est sûr que tout ça est enchevêtré», répond la porte-parole du maire Benoit Dorais. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/portfolio/immobilier-commercial/201110/04/01-4454208-736-millions-dans-district-griffin.php
  13. J'avais double posté sorry....sinon excellente nouvelle 30 étages c'est nettement mieux pour ce site.
  14. La mixité, l'avenir de l'immobilier commercial. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/portfolio/immobilier-commercial/201110/04/01-4454129-hotel-ritz-carlton-louer-une-chambre-ou-acheter-un-condo.php http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/portfolio/immobilier-commercial/201110/04/01-4454132-la-mixite-lavenir-de-limmobilier-commercial.php
  15. D'ici la fin de l'année 2013, une tour de 35 étages se dressera dans le Quartier international de Montréal. Un projet porteur pour son promoteur, la Corporation immobilière Kevric. Le nom d'Altoria évoque la hauteur (alto) et l'emplacement auquel il est associé, le square Victoria. «Il se présentera sur un front de trois rues, comprenant 30 000 pieds carrés, ce qui permettait un projet important et en surhauteur explique Richard Hylands, président de Kevric. Les règlements de zonage de la Ville de Montréal nous permettent d'avoir des permis pour construire des édifices pouvant atteindre 35 étages, nous avons donc travaillé dans ces limites.» À la base, on retrouvera un basilaire de 10 étages, sur lequel s'élèvera une tour de 25 étages. «Ce projet aurait été beaucoup trop grand pour y installer uniquement des bureaux ou uniquement des condos, poursuit le promoteur. Cela nous donne la possibilité d'offrir des panoramas à perte de vue pour les condos et de grands espaces pour les bureaux.» Projet semblable Kevric a déjà travaillé sur un projet semblable à Toronto. En 2008, la société avait acquis les composantes bureaux d'une tour mixte, agissant à titre de gestionnaire de biens pour ce portefeuille de 900 000 pieds carrés. «Les immeubles hybrides sont une tendance qui existe déjà à Toronto et à Vancouver, note Richard Hylands. Mais le projet le plus représentatif est sans aucun doute le Columbus Circle, à New York, qui comprend cinq composantes différentes, un hôtel, des salles de spectacle, des restaurants et des bureaux.» Il se montre aussi très emballé par le projet du Shard, à Londres, une «cité verticale» qui comprendra des bureaux, des restaurants, des résidences, un hôtel Shangri-La et un observatoire! Mais, rappelle le président de Kevric, Montréal compte depuis des années des projets immobiliers hybrides. On pense notamment au Westmount Square dont les trois tours abritent des édifices de bureaux, deux tours résidentielles et une galerie commerciale. L'ensemble, conçu par le célèbre architecte allemand Ludwig Mies van der Rohe, date de 1966. «À Montréal, la Place Bonaventure est le projet mixte original, avec ses espaces de bureaux, son hall d'exposition, son hôtel, ses magasins et ses trois millions de pieds carrés», affirme Richard Hylands. À son heure de gloire, la Place Bonaventure était une ville dans la ville. Kevric est d'ailleurs le promoteur de son redéveloppement. Espaces indépendants Développer des projets mixtes demande toutefois de s'assurer que les espaces bureaux et résidentiels soient indépendants les uns des autres, tout en demeurant complémentaires. Ainsi, Altoria sera conçu selon des principes de développement durable inspirés de la certification LEED afin de minimiser son impact sur l'environnement. «Les bureaux produisent plus d'énergie, à cause des lumières et des équipements, alors que les résidences demandent plus de chaleur pour le chauffage et la piscine, précise M. Hylands. Nous allons donc redistribuer la chaleur grâce à des puits géothermiques». Un autre avantage d'Altoria se trouverait dans le fait que les déménagements des résidants pourront se faire par l'arrière et non par l'entrée principale, comme c'est généralement le cas. Le développement des immeubles hybrides s'accentue à cause de l'évolution de l'urbanisme montréalais. «On parle beaucoup des ponts et de la congestion depuis quelques années, dit-il. De plus en plus de gens prennent un pied-à-terre à Montréal, retrouvant une valeur temps.» À ce jour, 100 des 147 unités, penthouses exclus, ont déjà été vendues. La démolition du site est achevée, tous les permis ont été acceptés et l'excavation devrait débuter sous peu. Si tout va bien, l'immeuble devrait être livré fin 2013. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/portfolio/immobilier-commercial/201110/05/01-4454596-altoria-la-prochaine-tour-du-quartier-international.php
  16. Dans le Quartier international Le Fonds immobilier de solidarité FTQ optera également pour une mixité de vocations pour le terrain de stationnement qu'il a acquis récemment à l'angle des rues Viger et Bleury, tout près du Quartier international. Cette fois, le Fonds misera probablement sur la construction d'une tour à condos en hauteur avec des commerces au rez-de-chaussée. «La transaction vient d'être conclue et les gens nous approchent avec des projets. Pour presque la totalité de nos projets, nous nous associons avec des partenaires pour diminuer le risque», explique Normand Bélanger. Dans le même secteur, le Fonds immobilier de solidarité FTQ a également investi 2,3 M$ dans la construction du projet Wilson Lofts. Même si toute stratégie comporte des risques, Komian Sedzro croit que ces investissements dans le Quartier des spectacles et dans le Quartier international sont stratégiques. «Ces quartiers sont redynamisés. Il y a eu plusieurs autres investissements, notamment publics, donc le Fonds se trouve à en profiter en investissant à son tour», affirme-t-il. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/portfolio/immobilier-commercial/201110/04/01-4454146-fonds-immobilier-de-solidarite-ftq-plusieurs-investissements-strategiques-a-montreal.php
  17. le géant du génie-conseil SNC-Lavalin investirait dans son siège social en allant finalement de l'avant avec la construction d'une seconde tour Place Félix-Martin, sur le boulevard René-Lévesque Ouest. «SNC est propriétaire d'un terrain à côté de son siège social. Ils ont indiqué qu'il y avait des possibilités qu'ils veuillent démarrer une nouvelle tour. C'est quelque chose qui se regarde actuellement», a indiqué une personne bien au fait de l'actualité immobilière à Montréal, qui ne veut pas être identifiée. Le principal intéressé dit qu'«il en est toujours à l'étape de l'étude de détermination des besoins». http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/portfolio/immobilier-commercial/201110/05/01-4454591-immobilier-commercial-des-projets-en-cours-et-a-venir.php
  18. Fonds immobilier de solidarité FTQ: plusieurs investissements stratégiques à Montréal Publié le 06 octobre 2011 à 05h00 | Mis à jour le 06 octobre 2011 à 05h00 Martine Letarte, collaboration spéciale La Presse (...) D'autres projets Le Fonds immobilier de solidarité FTQ travaille également avec Devimco pour développer le stationnement qu'il a acquis sur la rue de la Montagne, près du magasin Ogilvy. «Nous sommes en train de déterminer en détail ce qu'on construira. Nous voulons un mail urbain. SAQ a déjà annoncé qu'elle y sera», indique Normand Bélanger. (...) Mail de la Montagne > Le terrain de stationnement tout près de de la boutique Ogilvy sera probablement transformé en projet mixte résidentiel et commercial de 120 000 pi2. SAQ a déjà annoncé avoir réservé un espace. Le projet devrait avoir une quinzaine d'étages. > 5 millions > Partenaire: Devimco http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/portfolio/immobilier-commercial/201110/04/01-4454146-fonds-immobilier-de-solidarite-ftq-plusieurs-investissements-strategiques-a-montreal.php
  19. Cela permet de justifier et de rentabiliser plus les futurs prolongements de lignes de métro et ou de tramways.Si on veut vraiment densifier sur l'ile de MTL on peut facilement se retrouver avec 4 millions d'habitants, 1 autre million serait sur Laval/rive sud/rive nord. 5 millions à terme c'est un bon objectif raisonnable d'équilibre pour le grand Montréal.
  20. Si la Tour Rio Tinto va de l'avant comme cela semble plus que probable, je crois que ce projet est mort?
  21. Montréal, la Mecque du jeu vidéo. Montréal, la Mecque du jeu vidéo Publié le 24-08-11 à 15:54 Modifié le 26-08-11 à 10:42 par Boris Manenti Réagir Véritable bassin de talents, la ville québécoise est devenue la plaque tournante de toute une industrie. Par Boris Manenti, envoyé spécial à Montréal Article publié dans l'hebdomadaire du 25 août "Viser l'excellence" : le jeune studio Eidos de Montréal affiche d'entrée son ambition, incarnée par son premier jeu "Deus Ex : Human Revolution". Pendant quatre ans, 130 personnes ont travaillé d'arrache-pied dans les 500 m² d'immenses open spaces sur un jeu mêlant action cyberpunk et ambiance baroque autour du mythe d'Icare. Quatre ans de travail millimétré pour une superproduction, symbole de la réussite de la ville de Montréal, nouvelle place forte de l'industrie du jeu vidéo. Une activité florissante qui dégage désormais au niveau mondial plus de revenus que le cinéma : 50 milliards d'euros en 2011 et 80 milliards annoncés pour 2015, selon le cabinet d'étude Idate. "En 1997, le Québec qui voyait le jeu vidéo comme l'un des secteurs à fort potentiel de développement mondial, est venu nous chercher", raconte Yves Guillemot, le PDG d'Ubisoft. Le patron du troisième géant mondial du jeu vidéo a accepté l’invitation avec enthousiasme, s’implantant au Canada dès 1997. Le Premier ministre canadien Bernard Landry venait alors de proclamer le multimédia pierre angulaire des industries montréalaises. Guillemot, en fin stratège, y a surtout vu l'opportunité de faire du Canada sa tête de pont pour attaquer le continent nord-américain, stratégique pour son industrie. Aujourd'hui, Ubisoft compte plus de 2.400 employés au Québec dont 2.200 à Montréal dans une sorte de studio-usine. Ubisoft a servi de déclencheur. Aujourd'hui, la ville aux cent clochers compte 85 acteurs du secteur dont les plus grands noms (Activision, Electronics Arts, Eidos, THQ). Encore fin mai, le ministre canadien des Finances, Raymond Bachand, (loll ) vantait Montréal comme "une plaque tournante pour les entreprises dans le domaine des logiciels de divertissement". Le Québec a en effet choisi de privilégier les industries d'avenirs telles que l'aérospatiale, les sciences de la vie et les technologies de l'information. Une vision qui se traduit, dès 1998, par l'instauration d'importants avantages fiscaux. Les créateurs de jeux bénéficient ainsi d'un crédit d'impôts de 30% sur la main d'œuvre, auquel s'ajoute 7,5% si les titres sont en langue française. De quoi lancer la machine et créer un vaste bassin d'emplois. Mais cet avantage fiscal a un prix non négligeable : 350 millions d'euros entre 1998 et 2010, dont 57 millions l'an dernier. Aux critiques sur un succès acheté, le ministre canadien du Développement économique, Clément Gignac, rétorque : "C'est un investissement qui rapporte beaucoup". En activité économique et en emplois. En 2007, la France, avait elle aussi - sous Villepin - concédé au secteur quelques avantages. Le crédit d’impôts s'élève jusqu'à 20% des coûts de production (pour un maximum de 3 millions d'euros par an), si de nombreux critères restrictifs sont respectés notamment éviter toute violence et être considéré comme "culturel". Fin juillet 2011, le ministre de l'Economie numérique Eric Besson se félicitait d'un "crédit d'impôts efficace, qui va faire de la France une place forte du jeu vidéo". Pourtant, Yves Guillemot en tire un bilan mitigé : "au final, le bénéfice des subventions françaises est extrêmement faible. Sur les quatre dernières années, avec toutes les contraintes, le crédit d'impôts français ne représentait pour nous que 3% de nos investissements en France. On est loin des 37,5% du Québec..." Mais le PDG d'Ubisoft ne désespère pas : "Nous poursuivons nos discussions avec le gouvernement français pour développer les crédits d'impôts, pour arriver à quelque chose de plus simple et plus souple. Il faut trouver un moyen d'améliorer la compétitivité du secteur en France, où les écoles sont très performantes, avec énormément de talents. Les succès des 'Lapins crétins', de 'Just Dance' ou de 'From Dust' en sont la preuve". Outre-Atlantique, d'autres villes canadiennes (Toronto) ou américaines (en Caroline du Nord, en Floride et en Géorgie) essaient à présent de rattraper le succès de la ville aux cent clochers. Mais le Québec a bâti un véritable écosystème : "C'est un bassin de talents exceptionnel pour le jeu vidéo avec ses grands studios et ses nombreuses entreprises connexes spécialisées dans les tests, l'animation, les effets spéciaux, la programmation, la musique, la traduction..." explique Stéphane D'Astous, PDG du jeune studio Eidos Montréal. "La ville est comme un oignon artistique avec plusieurs couches de talents", poursuit-il. Et Montréal joue l'atout d'une culture mi-européenne mi-américaine, qui comble investisseurs et créateurs. "Montréal est la ville la plus européenne d'Amérique du Nord", estime Sébastien Bisch, Français expatrié il y a quatre ans pour travailler chez Electronics Arts. Expatrié depuis douze ans, le Français Alexandre Dessaint, coordinateur des tests de jeux chez Eidos Montréal, plaide pour la qualité de vie de la grande île et surtout son "approche professionnelle beaucoup plus ouverte vers les jeunes qu'en France". Les jeunes, en particulier français, sont très attirés par les opportunités québécoises. "Quand ils viennent à Montréal, les Français sentent que tout est possible, avec moins de barrières", note Stéphane D'Astous. De quoi attirer en masse. En quatre ans d'existence et "sans aucune publicité", son studio a reçu pas moins de 17.000 CV pour des candidatures spontanées. Problème : les jeunes ne sont pas forcément les profils les plus recherchés. Avec les récentes implantations des studios THQ et Warner Bros Games, Montréal fait face à une pénurie de salariés expérimentés. Si bien que certains des grands studios, dont Ubisoft, demandent désormais au gouvernement de ralentir l'arrivée de nouveaux éditeurs de jeux. "Le gouvernement continue de courir après les entreprises alors qu'on n'a plus de main d'œuvre", critique le président du studio Behaviour Interactive, Rémi Racine, au site canadien Cyberpresse. "On a assez de jeunes qui sortent de l'université, mais pas assez de talents seniors. Nous grossissons trop vite. Il y aura un étranglement sur le marché", ajoute-t-il. La rançon du succès ! Boris Manenti - Le Nouvel Observateur Article publié dans l'hebdomadaire du 25 août 2011 http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/jeux-video/20110824.OBS9056/montreal-la-mecque-du-jeu-video.html
  22. On dirait que ça va bouger possiblement pas mal dans l'axe Windsor/Centre Bell/Overdale/RL.Il est temps...le nouveau axe résidentiel de MTL pour la période 2012/2025 à mon avis.Ca va densifier enfin pas mal de ce coté la.
  23. bxlmontreal

    Expos de Montréal

    22 markets meet the NBA’s financial threshold. Montréal no 2 ! http://www.bizjournals.com/bizjournals/on-numbers/scott-thomas/2011/08/22-markets-have-nba-potential.html La NBA à MTL je n'y crois pas.
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