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  1. jeudi 8 fév, 17 h 32 Hydro-Québec prend la pleine mesure du réchauffement climatique: la société d'État a vu ses besoins diminuer d'un térawattheure et demi, de quoi alimenter une ville comme Laval pendant un an. PUBLICITÉ Sa division Distribution a acheté trop d'électricité sur le marché et se retrouve cette année avec près de 5 milliards de kilowattheures de surplus. Hydro-Québec Distribution, qui aurait pu revendre à profit ces kilowattheures sur le marché, tente plutôt de s'entendre avec ses fournisseurs, TransCanada Energy et Hydro-Québec Production. Elle veut reporter d'un an les livraisons prévues à leurs contrats, sans payer de pénalités. TransCanada Energy a refusé de rouvrir son contrat, qui prévoit la livraison à Hydro de 4,1 milliards de kilowattheures par année à 10,5 ¢ le kilowattheure. Hydro-Québec Production a pour sa part accepté de régler le problème et de ne pas livrer à Hydro-Québec Distribution l'électricité prévue cette année, soit 5 milliards de kilowattheures à près de 5 ¢ le kilowattheure. Cette décision lui occasionnera un manque à gagner de 220 millions. De plus, elle a renoncé à encaisser les pénalités prévues au contrat en cas de désistement de l'acheteur, et se prive ainsi de 82 millions supplémentaires, pour un total de 302 millions. « Ce n'est pas de l'argent qui disparaît, l'eau reste dans les réservoirs, a justifié le grand patron d'Hydro-Québec, Thierry Vandal. C'est de l'électricité qui pourra être revendue cette année ou plus tard », a-t-il affirmé mercredi, au moment où les dirigeants d'Hydro-Québec Distribution comparaissaient devant la Régie de l'énergie, à qui ils demandent d'approuver d'urgence l'entente conclue avec la division Production. Le temps presse, les livraisons d'électricité devant commencer dans deux semaines. L'opposition critique la façon de faire L'an dernier déjà, Hydro-Québec prévoyait avoir trop d'électricité pour les besoins de 2007. Selon Hydro, la température anormalement douce du mois de janvier, la fermeture de Norsk Hydro et de plusieurs usines du secteur des pâtes et papiers, de même que la réduction des besoins d'Alcan, ont aggravé la situation et porté les surplus à 5 milliards de kilowattheures. Hydro-Québec Distribution aurait pu vendre ces surplus sur les marchés à profit et faire bénéficier ses clients d'une réduction de tarifs. Elle a refusé de prendre cette voie puisque son mandat n'est pas de revendre de l'énergie et qu'elle n'aurait pas pu en tirer un prix assez intéressant, ont affirmé ses représentants devant la Régie. Ces derniers estiment que les quantités à remettre sur le marché étaient telles que la vente de celles-ci aurait fait baisser le prix de vente. La porte-parole de l'opposition officielle en matière d'énergie, Rita Dionne-Marsolais, estime que ce genre d'entente mine la crédibilité d'Hydro-Québec sur les marchés financiers. « Le message que ça envoie, c'est qu'Hydro joue selon les règles du marché seulement quand ça fait son affaire », a-t-elle déploré.
  2. Quebec funds effort to build $130M river turbine farm on St. Lawrence River BECANCOUR -- The Quebec government is helping to bankroll a $130-million project by RER Hydro, Hydro-Quebec and Boeing to generate clean energy on the St. Lawrence River in what officials say would be the world's largest river-generated turbine farm. The three-phase project could eventually culminate in nine megawatts of renewable power being generated in Montreal from 46 riverbed turbines, with installation beginning in 2016. The province could contribute up to a maximum of $85 million in equity and loans. That's on top of the $3 million it has already provided RER Hydro Inc. for its initial $230-million prototype testing phase that lasted three years. Quebec, which is a leader in production of hydroelectricity, hopes that the technology will take off and support the manufacture of about 500 turbines annually and some 600 direct and indirect jobs at RER Hydro's plant in Becancour, near Trois-Rivieres. Premier Pauline Marois said at the plant's official opening on Monday that the government is actively helping new industries that hold promise for the Quebec economy, such as its strategy to support the electrification of transportation. "Our participation in this partnership agreement will promote the development of the industrial sector of turbines, which has great economic potential for Quebec, particularly because of the significant export opportunities," Marois said, while also stressing the job creation potential of the project. The technology has global market potential and could supply electricity to isolated communities in Northern Quebec not currently connected to the provincial power grid. The second phase of the project, estimated to cost $51.5 million, would install and test six turbines generating three-quarters of a megawatt of power near the Pont de la Concorde bridge near the Montreal Casino on Ste Helen's Island. About 25 jobs would be created in Becancour and Montreal. It would mark the first commercial sale of RER Hydro's technology. If results are successful, about $81 million would be spent to install a demonstration fleet of 40 turbines beginning in 2016. That would create 90 direct jobs and 80 indirect jobs from various suppliers. Unlike dams, the "hydrokinetic" turbines generate clean power without disrupting the river flow or the natural habitat of fish or other marine life, said RER Hydro CEO Imad Hamad. "This new industry will help to further transform Quebec's natural resources for the benefit of Quebecers," Hamad said. RER and Boeing (NYSE:BA), the U.S. aerospace and defence giant, signed an agreement last year giving Boeing exclusive rights to market and sell the turbines around the world. Boeing is providing program management, engineering, manufacturing and supplier-management expertise, in addition to servicing the turbines. "This agreement between industry and government will deliver renewable power while protecting the environment," said Dennis Muilenburg, CEO of Boeing Defense, Space & Security. "It also builds on Boeing's long-term, strategic partnership with Canada, supporting customers from aerospace and defence to clean energy, generating high-quality jobs and making a difference in the community." Boeing says it works with 40 suppliers in Quebec, contributing to the $1 billion in economic activity the company generates annually across Canada. Read more: http://www.ctvnews.ca/business/quebec-funds-effort-to-build-130m-river-turbine-farm-on-st-lawrence-river-1.1539132#ixzz2kRX062Vp
  3. Vendre Hydro, la SAQ et Loto-Québec? 08/03/2010 L’Ontario étudie sérieusement la possibilité de créer une super entité, d’y transporter ses principales sociétés commerciales, et d’émettre une partie des actions au public. Idée dont devrait s’inspirer le Québec? Le Toronto Star rapportait cette fin de semaine que le gouvernement ontarien pourrait bientôt créer une super société dans laquelle il transporterait Hydro One, l’Ontario Lottery & Gaming Corp, et la LCBO. Cette super entité pourrait valoir entre 50 et 60 G$. Elle serait ensuite en partie vendue à des investisseurs privés ce qui permettrait de faire rentrer entre 18 et 25 G$ dans les coffres de la province. On s’est demandé ce que l’exercice pourrait donner au Québec. La valeur d’Hydro La société d’État a dégagé l’an dernier (2008) un bénéfice avant intérêts, impôt et amortissement (BAIIA) de 8,8 G$. Gaz Métro se négocie à environ 8 fois le BAIIA, mais on va être un peu plus généreux et appliquer un multiple de 10, qui correspond au multiple moyen du secteur des utilités et des producteurs d’énergie des firmes d’investissement Cormark et Desjardins. Cela veut dire 88,8 G$. Il faut retrancher la dette de 36,4 G$. On en arrive à une valeur de 52,4 G$ pour Hydro. La valeur de Loto-Québec On a évalué le BAIIA de la dernière année à environ 1,7 G$. Bien que sa rentabilité soit actuellement sous pression, Loto-Québec a la chance d’évoluer dans un secteur où les investisseurs sont actuellement prêts à payer plus cher pour des actifs que dans d’autres secteurs. L’univers de la maison Oppenheimer se négocie autour de 14-15 fois le BAIIA. On va prendre 14 fois. Moins la dette de un peu plus de 1 G$. C’est une valeur de 22,8 G$ pour Loto-Québec. La valeur de la SAQ Un BAIIA autour de 842 M$. Une dette de 545 M$. Optons pour un multiple de 10, ce qui est à prime sur l’univers des sociétés d’épicerie de Banque Nationale Groupe financier, mais en ligne avec la fiducie Liquor Stores. Valeur : 7,8 G$. Bon pour le Québec? En additionnant la valeur de chacune des société, on en arrive à une super entité qui devrait valoir autour de 83 G$. S’il faut en croire les chiffres du Star, le gouvernement ontarien songerait à céder 35-40% de la super société. Allons-y avec 40%. C’est dire que l’on pourrait retrancher 33,2 G$ à la dette de la province (134 G$). Toute chose étant relativement égale, le service de la dette (actuellement à 6,5 G$) baisserait d’environ 1,6 G$. Il faut cependant aussi retrancher 40% du bénéfice que le gouvernement a actuellement dans ses livres, puisque l’on n’y aurait plus droit. Si l’on retranche 40% de ce que le gouvernement attend de ses sociétés d’état dans le dernier budget, on se retrouve avec un manque à gagner de 1,9 G$. Quoiqu’il rentrerait probablement autour de 600 M$ en impôt (11,9%) que les sociétés se mettraient à payer. Ca fait donc un manque à gagner de 1,3 G$. Au final On se retrouve donc avec un gain de 1,6 G $ et une perte de 1,3 G $, pour un avantage réel de 300 M$. Évidemment, il y a un peu de pommes et d’oranges dans notre calcul, avec des années fiscales qui ne courent pas toujours sur la même période, des écritures qui pourraient parfois être adaptées, des taux d’intérêt qui peuvent grimper et des multiples qui prêtent à discussion. Mais, très sommaire soit-il, l’exercice permet quand même ce constat : il n’y a pas un très fort signal pour une opération du genre. En tenant compte des coûts de transaction, on ne semble pas loin de changer quatre trente sous pour une piastre.
  4. La société d'État et deux fournisseurs d'électricité de la Nouvelle-Angleterre projettent d'ériger une ligne de transport de plus de 700 M$ US entre le Québec et le New Hampshire. Pour en lire plus...
  5. Le président d'Hydro-Québec Distribution, André Boulanger, soutient que la province ne se dirige pas vers une «récession profonde». Pour en lire plus...
  6. Quand Hydro-Québec dépense un milliard de dollars, combien cela crée-t-il d'emplois? Réponse: ça dépend si vous demandez à Hydro ou aux libéraux de Jean Charest. Pour en lire plus...
  7. Au rythme où vont les choses, les profits annuels d'Hydro-Québec seront à ce point importants qu'ils pourraient permettre à Monique Jérôme-Forget de garnir à nouveau le fond de sa «sacoche». Pour en lire plus...
  8. Hydro-Québec avait songé à abaisser les tarifs 5 septembre 2008 - 06h30 La Presse Hélène Baril Peut-être pour faire mieux passer son augmentation de tarifs en 2006, Hydro-Québec avait laissé miroiter que le coût de l'électricité baisserait à court terme, soit en 2008 et en 2009, des baisses qui ne sont jamais matérialisées. En 2008, les tarifs d'électricité ont augmenté de 2,9% plutôt que de baisser de 1,6% comme le prévoyait Hydro dans les documents déposés à la Régie de l'énergie. En 2009, plutôt qu'une baisse de 1,3%, c'est une augmentation de 2,2% que les consommateurs devront supporter si la Régie accepte la requête d'Hydro. Ce changement de cap n'est pas passé inaperçu chez ceux qui suivent de près les présentations d'Hydro-Québec devant la Régie de l'énergie et qui avaient hâte de voir les justifications de cette nouvelle hausse des tarifs, la septième depuis cinq ans. Depuis le dégel des tarifs, en 2004, Hydro-Québec a justifié toutes ses hausses de tarifs principalement par l'obligation d'acheter de l'énergie sur le marché à des prix plus élevés afin de répondre à une demande croissante. Hydro se retrouve depuis deux ans avec des surplus considérables parce qu'elle a surestimé la demande d'électricité au Québec. Elle n'a plus besoin d'acheter de l'électricité à prix élevés. Quant à sa rentabilité, elle n'a jamais été aussi bonne. Cette fois, Hydro explique donc que, pour se conformer à des normes comptables qui seront en vigueur en 2011, elle doit radier des éléments d'actifs dont la durée de vie est expirée. C'est la principale justification de la hausse de 2,2% qui pourrait s'appliquer le 1er avril prochain. Ça ressemble beaucoup à un prétexte, selon Luc Boulanger, porte-parole de l'Association des consommateurs industriels d'électricité, qui regroupe les entreprises qui consomment le plus d'électricité au Québec. «Ce qu'on comprend, c'est qu'Hydro a jugé qu'il y avait de la place pour une augmentation de tarifs et qu'ils ont trouvé cette raison comptable pour la justifier», a-t-il commenté. Les autres sources d'énergie, comme le gaz naturel et le pétrole, ont en effet beaucoup augmenté depuis l'an dernier. «Est-ce que c'est dans le meilleur intérêt des consommateurs de se conformer avant le temps à des changements comptables qui seront en vigueur en 2011? C'est ce que nous avons demandé à nos experts d'examiner», a ajouté M. Boulanger. La façon de procéder d'Hydro est jugée habile par le porte-parole de l'Union des consommateurs, Charles Tanguay. «On ne peut pas déchirer notre chemise avec une hausse de 2,2%, a-t-il dit. En plus, les subtilités comptables ne sont pas à la portée de tout de monde.» Les spécialistes en énergie de l'Union des consommateurs dissèquent actuellement la requête tarifaire d'Hydro, en prévision des audiences publiques de la Régie de l'énergie qui se tiendront plus tard l'automne prochain. Normal Du côté d'Hydro, un porte-parole explique qu'il est normal que des baisses prévues se transforment en hausse ou l'inverse. «Les documents déposés à la Régie sont des prévisions, faites au meilleur de notre connaissance au moment où ils sont déposés. Ce ne sont pas des engagements», a expliqué Marc-Brian Chamberland. Dans la requête qu'elle vient de déposer, Hydro prévoit qu'au cours des prochaines années, les tarifs d'électricité augmenteront chaque année au rythme de 2% par année. Aucune baisse à l'horizon.
  9. Le projet est évalué à 1,9 G$. Depuis plusieurs jours, les médias avaient annoncé que la Société d’État irait de l’avant avec cette centrale située à Bécancour. Pour en lire plus...
  10. Les années se suivent et se ressemblent pour les clients d'Hydro-Québec. La société d'État souhaite augmenter ses tarifs de 2,2% en avril prochain. Pour en lire plus...
  11. L'usine qui emploie 450 personnes dans l'arrondissement Lachine vient d'être vendue à un groupe austro-finlandais qui se dit prêt à maintenir les activités. Pour en lire plus...
  12. Analyse: Cogeco se renforce sur le marché torontois * Daniel Renaud, Journal Les Affaires * 25 juin 2008 L'acquisition de Toronto Hydro Telecom renforce Cogeco Câble dans le marché torontois des télécommunications à l'intention des entreprises. Toutefois, les analystes estiment qu'à 200 millions de dollars, la société québécoise paie cher son acquisition annoncée le 13 juin. Cogeco Câble débourse un multiple de 9,6 fois le bénéfice avant impôts, intérêts et amortissement prévu pour 2008. Or, le titre de Cogeco Câble s'échange à seulement 6,5 fois son bénéfice. Cela signifie une dilution de 65 millions de dollars pour ses actionnaires, ou 1,33 $ par action, précise Dvai Ghose, de Genuity Capital. " Toronto Hydro Telecom affiche une croissance annuelle composée de 20 % de ses revenus et de 35 % de son bénéfice avant impôts, intérêts et amortissement depuis 2004 ", dit toutefois Vince Valentini, de TD Newcrest. Le chiffre d'affaires de la torontoise n'a pas été divulgué. " Toronto Hydro Telecom exploite un réseau de communication de données et de services de télécommunications qui dessert 500 immeubles situés dans la région métropolitaine, alors qu'elle ne compte que 300 clients. Ce faible taux de pénétration offre un bon potentiel de croissance ", dit M. Ghose. À titre d'exemple, Toronto Hydro Telecom ne compte que quatre clients parmi les locataires de First Canadian Place, l'un des plus importants immeubles de la Ville Reine. Par ailleurs, la société torontoise a récemment décroché des contrats, dont un auprès de la Commission scolaire de Toronto, qui devraient accroître son bénéfice l'an prochain. Elle offre des services de communication de données, de ligne privée, de voix sur IP, etc. L'acquisition de la société torontoise pourrait signifier la fin de l'expansion européenne de Cogeco Câble. " Nous préférons une utilisation de l'encaisse pour l'achat d'une entreprise située à proximité du marché québécois que l'acquisition d'une autre société européenne qui pourrait accroître le risque ", soutient M. Ghose. Les analystes financiers n'ont modifié leur recommandation ni leurs prévisions à la suite de cette acquisition. http://www.lesaffaires.com/article/1/analyse-de-titre/2008-06-25/479456/analyse-cogeco-se-renforce-sur-le-marcheteacute-torontois.fr.html
  13. Montreal's Cogeco aquires Toronto Hydro Mike King, Montreal Gazette Published: Friday, June 13 MONTREAL - Cogeco Cable Inc. is spreading its network into Canada's biggest business telecommunications market with the purchase of Toronto Hydro Telecom Inc. "This acquisition is another step in the enrichment of the Cogeco Business Solutions Data offering," Louis Audet, president and CEO of the Montreal company, said yesterday in announcing the deal. He said THTI's state-of-the-art network, dedicated workforce and Toronto business market potential "should complement our existing business telecommunications activities in Ontario and allow future growth for Cogeco Cable in this line of business." Cogeco is the second-largest cable telecommunications operator in Ontario, Quebec and Portugal respectively based on the number of basic cable subscribers. Audet said the takeover "demontrates our willingness to seize upon external growth opportunities in our Canadian footprint when they arise and fit well with our business strategy." The deal provides Cogeco with a unique chance to add owned and operated points of presence throughout the greater Toronto area, linked to its other existing broadband facilities extending over the dense Ontario telecommunications corridor from Windsor to Cornwall. At the same time, THTI customers will be able to benefit from Cogeco's extensive fiber network spanning Ontario and Quebec. Shares closed at $39.89 on the Toronto Stock Exchange yesterday, up $1.08. mking@thegazette.canwest.com http://www.canada.com/montrealgazette/news/business/story.html?id=8bb1d48f-5b0f-44ce-a31a-3ee91ef6ef00
  14. Cogeco Câble a effectué une sérieuse percée en téléphonie dans la plus grande ville du pays. L'entreprise québécoise a annoncé hier l'acquisition de Toronto Hydro Telecom pour la somme de 200 millions de dollars. Pour en lire plus...
  15. Alstom Hydro, une filiale du groupe d'ingénierie français Alstom, a annoncé avoir racheté le fournisseur de services pour les centrales hydroélectrique de Granby. Pour en lire plus...
  16. GE Hydro to close Montreal plant in 2008, affecting 450 workers 1 hour ago MONTREAL - The GE Hydro plant in the Montreal suburb of Lachine will close next June, eliminating 450 jobs. The subsidiary of American giant General Electric has made more than half of the Hydro-Quebec turbines installed at the James Bay dams. The plant's activities will end with the completion of these contracts, employees were told. The company said it is restructuring its activities, adding that its hydroelectric division has been losing money. The laid-off workers are mostly welders, machinists and warehouse workers. The closure of the 89-year-old facility is another blow to Montreal's manufacturing sector, which has been struck hard by the appreciation of the Canadian dollar and growing competition from emerging countries, particularly China. At its peak production in the 1970s, GE Hydro employed more than 3,500 workers
  17. MONTREAL, May 7 /CNW Telbec/ - The media are invited to attend the inauguration of the new Canadian head office of Voith Siemens Hydro Power Generation. The inauguration will be held under the patronage of the Consul General of the Federal Republic of Germany in Montreal Mr. Jvrg Metger, and in the presence of the President and Chief Operating Officer of Voith Siemens Hydro Power Generation Canada Mr. Denys Turcotte and the members of the Management Board of the Voith Siemens Hydro Power Group, Dr. Hubert Lienhard, Dr. Siegbert Etter, Mr. Egon Krdtschmer, and Mr. Jurgen Sehnbruch. << Date: Wednesday, May 9, 2007 Time: 6 to 8 pm Speeches begin at 6:30 pm Location: Voith Siemens Hydro Power Generation 9955 avenue de Catania, suite 160 Brossard, Québec Media who wish to attend must confirm by telephone at 514 844-7338 or 514 943-6557. >>
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