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  1. Je mets cet article fort intéressant dans ''Actualité'', étant donné que ce genre de nouvelle risque de plus en plus de voir le jour. http://www.lapresse.ca/actualites/national/201403/16/01-4748307-transports-en-commun-88-des-quebecois-veulent-plus-dinvestissements.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS1 Les Québécois sont quasi unanimes à penser qu'il faut investir davantage dans les transports en commun, y compris ceux qui ne les utilisent pas. Selon un sondage CROP réalisé pour le compte de l'Association du transport urbain du Québec (ATUQ) en janvier dernier, 88% des répondants, usagers ou non, ont estimé qu'il était «assez» ou «très» important de mettre plus d'argent dans ces services. L'appui au financement accru des transports collectifs croît directement avec l'usage. Ainsi, 98% des répondants qui disent les utiliser souvent, et 94% des usagers occasionnels pensent qu'on devrait les financer davantage. Dans la région métropolitaine de Montréal, où les transports collectifs sont les plus visibles, les plus utilisés et les plus accessibles, ce pourcentage atteint 90% des répondants, et ce, qu'ils soient usagers ou non du métro, des trains de banlieue ou des services de bus. L'appui aux transports collectifs est moins élevé chez ceux qui ne les utilisent jamais, mais tout de même surprenant; 80% des répondants qui ont affirmé n'être pas des usagers de ces services estiment quand même qu'il serait important d'y investir davantage, selon le sondage de l'ATUQ, qui regroupe les neuf plus grandes sociétés de transports en commun du Québec. La population de la région de Québec semble plus tiède qu'ailleurs en province, selon CROP. Son appui à des investissements supplémentaires dans les transports en commun ne dépasse pas 80% des répondants, qu'ils soient usagers ou non. Hors des régions de Montréal et de Québec, l'appui à un financement additionnel des transports collectifs atteint 87% de la population, usagers ou non confondus. Des autobus avant des routes Les opinions largement favorables à une augmentation du financement des transports en commun sont plus nuancées lorsqu'on propose aux répondants un choix de moyens pour «assurer une meilleure circulation sur les routes du Québec». Les investissements dans les transports collectifs sont alors favorisés par 48% des répondants de l'ensemble du Québec, alors que 42% privilégient plutôt la construction de nouvelles routes. Ces résultats sont intéressants dans la mesure où ils ont été exprimés en janvier, soit bien avant la publication de la Stratégie de mobilité durable du gouvernement Marois, en vertu de laquelle des budgets de plus de 900 millions prévus pour la construction routière, de 2015 à 2020, ont été transférés vers des projets de maintien des actifs dans les réseaux de transports en commun de la province. Par ailleurs, 53% des répondants affirment qu'un investissement dans les transports en commun serait de nature à améliorer leur perception à l'égard du gouvernement du Québec, «parce qu'il veut améliorer la qualité de vie de ses citoyens». À la même question, 43% des gens ont affirmé que cela ne changerait pas leur opinion du gouvernement. Un maigre 4% ont exprimé qu'ils auraient une moins bonne opinion du gouvernement du Québec s'il augmentait les sommes consacrées aux transports collectifs. Selon le sondage de l'ATUQ, réalisé par questionnaire sur l'internet à partir d'un groupe web, entre les 16 et 19 janvier derniers, un peu plus de la moitié des 1000 répondants, soit 52%, affirment qu'ils n'utilisent «jamais» les transports collectifs. Ce pourcentage augmente à 71% hors des régions de Montréal et de Québec. Dans la région de la capitale nationale, 62% des personnes sondées affirment ne pas utiliser ces services, alors que dans la région de Montréal, c'est seulement une personne sur trois (34%) qui affirme ne «jamais» utiliser les transports en commun.
  2. Vers une nouvelle culture de la mobilité urbaine Accroître de 16 % les déplacements collectifs d'ici à 2012 Florence Junca Adenot, Responsable du Forum Urba 2015 et professeure au département d'études urbaines et touristiques de l'UQAM Le Devoir édition du lundi 09 juin 2008 La Commission européenne adoptait en 2007 son livre vert sur les transports urbains. La loi cadre québécoise sur le développement durable remonte à 2006. Le concept de mobilité urbaine durable émerge dans un contexte urbain en changement. Les déplacements des personnes et des biens se multiplient et se diversifient dans l'agglomération montréalaise comme ailleurs, alors que la croissance démographique stagne. La pollution atmosphérique, avec ses effets sur la santé, s'accroît. Les coûts économiques et sociaux de la congestion routière grimpent. La raréfaction prévue de l'offre de pétrole entraîne déjà une escalade des prix de l'essence. La recherche d'une meilleure qualité de vie urbaine guide les choix citoyens. Ces phénomènes remettent en question la planification des transports et les modes de développement des villes au cours des 30 dernières années. Les fonds publics québécois récemment injectés fixent à 8 % l'augmentation de l'achalandage des transports collectifs d'ici 2012. C'est insuffisant; 8 % furent atteints de 1998 à 2003, par l'AMT et les organismes de transport de la région de Montréal. Durant cette période, la part des déplacements en transports collectifs s'est maintenue autour de 20 %, en raison de la forte hausse du nombre d'automobiles. Une hausse de 8 % est donc loin d'être suffisante. Une hausse de 16 à 20 % correspond à la cible à atteindre. Mais comment y parvenir? La mobilité urbaine durable Améliorer la fluidité routière par l'élargissement des voies et la construction de nouvelles est un choix du passé. La mobilité et les modes de transport retenus doivent maintenant intégrer des critères d'efficacité économique, de qualité de vie urbaine et de préservation de l'environnement. L'accessibilité sécuritaire et équitable, à un coût raisonnable, aux emplois, aux services, à l'éducation aux loisirs, ainsi que la mobilité durable deviennent deux exigences. Les nouveaux défis du transport des personnes conjuguent dynamisme économique, diminution des émissions polluantes, consommation réduite des ressources non renouvelables et des espaces, et recyclage de ses composants. La localisation des activités des villes est remise en question, afin de parvenir à générer moins de déplacements et à modifier leurs routes, facilitant ainsi les moyens collectifs et actifs. De l'auto aux transports collectifs et actifs Réconcilier la flexibilité offerte par la voiture et les principes de mobilité urbaine durable passe par un changement de culture, tant chez les usagers, les transporteurs et les entreprises que chez les décideurs. Multiplier les transports par bus, train, métro, tramway, les voies réservées sur tous les axes, favoriser la multimodalité et l'intermodalité entre les modes et les services, faciliter l'usage du vélo et de la marche, tout cela offre des alternatives intéressantes et contribue à diminuer les solutions motorisés responsables de 40 % des GES et de la majorité des accidents. L'espace routier libéré aide ceux qui en ont besoin et limite les pertes en heures travaillées, qui atteignent un million annuellement à Montréal. Une offre de transport, meilleure qualitativement et quantitativement, plus souple, intégrée, mieux adaptée aux différents espaces du Montréal métropolitain, passe par une approche imaginative et moins segmentée entre les organismes de transport. Utiliser l'auto autrement Soixante-dix pour cent des citoyens urbains des pays industrialisés voient l'auto comme le meilleur moyen de transport. L'utiliser autrement permet de l'intégrer à la chaîne de transport. Les stationnements incitatifs combinent l'auto et un transport collectif. Le covoiturage, organisé par les programmes employeurs, accroît le taux d'occupation des véhicules (1,2 personne aux heures de pointe), diminue d'autant ceux en circulation, et génère des économies. L'usage des flottes d'autos concilie flexibilité et transports collectifs. Les taxis offrent un transport individuel optimisant l'usage de la voiture. Ces choix requièrent des politiques cohérentes sur tous les plans. Par exemple, ne pas élargir une route pour favoriser la fluidité mais plutôt y insérer des voies réservées aux transports collectifs; ou encore encourager les entreprises, dont 56 % des places de stationnement sont gratuites à Montréal, à les rendre payantes et à assumer les frais de transports collectifs de leurs employés. La mobilité urbaine durable signifie aussi des véhicules moins polluants, utilisant moins de ressources non renouvelables, plus petits en ville. Et à quand l'électrification des trains de banlieue et l'usage de bus et de véhicules électriques ou bimodes dans les parcs d'entreprises et des organismes publics? À quand des stimulants à produire et à acheter des véhicules moins polluants et moins gourmands? Le Québec est un bassin naturel pour ces expériences. Concevoir la ville autrement Trente ans d'aménagement distribuant les fonctions urbaines sur un territoire de plus en plus vaste desservi en auto, a des effets pervers et coûteux sur la métropole, et ce, d'autant plus que les déplacements domicile-travail font plus de place aux déplacements variés, toute la journée. Or, la mobilité urbaine durable appelle à limiter la longueur des déplacements auto et à les éliminer si possible. Un moyen efficace consiste à intégrer les choix d'aménagement, de transports et l'environnement en localisant les activités résidentielles plus denses, les commerces, bureaux, services, parcs autour des pôles de transports collectifs, selon les principes du TOD (Transit Oriented Development) ou du nouvel urbanisme. Cette approche conduit à repenser les quartiers urbains et le modèle de développement des banlieues pour créer des milieux de vie priorisant l'usage des transports collectifs et actifs. Ces nouveaux lieux urbains rendent accessibles, à pied, la plupart des services de proximité. Un chantier collectif stimulant La mobilité urbaine durable est un fantastique chantier collectif et il y a urgence d'agir. Beaucoup de mesures sont peu coûteuses. Les citoyens s'impatientent devant la flambée des prix de l'essence et réclament des interventions. Les médias ont un rôle fondamental de sensibilisation et de vigie à jouer. Les entreprises ont la responsabilité économique et sociale d'aider leurs employés à se déplacer autrement et de changer leurs propres pratiques. Les constructeurs cherchent à rendre moins énergivores et polluants leurs véhicules. Les organismes de transport et leurs consultants sont au coeur du défi de modifier et d'augmenter leurs offres et leurs pratiques. Les planificateurs urbains et ministériels cherchent la voie pour aménager la ville autrement. Le système éducatif forme en ces matières et fait évoluer les connaissances. Enfin, les élus, à tous les niveaux, et au premier rang les élus municipaux, ont la lourde responsabilité de piloter les changements, de décider, et de financer adéquatement ce chantier qui représente un investissement pour l'avenir. La complexité des interventions, la difficulté des choix et la multitude des lieux de décision ne doivent pas servir de prétextes pour retarder ces choix de société incontournables. Lien
  3. Transport en commun: plaidoyer pour une importante hausse des tarifs Bruno Bisson La Presse Les usagers paient-ils assez cher pour utiliser les réseaux de transports en commun dans la région de Montréal? > En graphique: Financement du transport en commun Dans un mémoire présenté la semaine dernière lors des consultations publiques sur le financement des transports collectifs de la Communauté métropolitaine de Montréal, un groupe d'universitaires a proposé de hausser considérablement les tarifs aux usagers pour améliorer la qualité et l'efficacité des services. L'Observatoire sur la mobilité durable, groupe de recherche affilié à l'Institut d'urbanisme de l'Université de Montréal, recommande ainsi que les revenus en provenance des usagers soient augmentés, jusqu'à ce qu'ils représentent 50% des coûts des services de transports en commun. À l'heure actuelle, les revenus des usagers représentent de 27% à 47% des coûts annuels des services offerts à Montréal et en banlieue (voir graphique). Selon Jean-Philippe Meloche, professeur associé à l'Institut, cette augmentation de la contribution des usagers assurerait des revenus additionnels de 300 millions par année, à l'horizon 2020, aux sociétés de transports en commun de la région. Concrètement, elle se traduirait aujourd'hui par des augmentations de tarifs de plus de 60%, dans la banlieue nord, où les recettes des usagers couvrent seulement 31% du coût actuel des services d'autobus. Les usagers de la Société de transport de Laval, qui assument actuellement 27% des coûts des services, verraient leurs tarifs multipliés par deux. Mais pour la grande majorité des usagers des transports collectifs de la région, qui utilisent les services de la Société de transport de Montréal (STM), «l'augmentation serait d'environ 20%, estime-t-il. En l'étalant sur cinq ans, et en tenant compte de l'inflation, on obtiendrait des hausses annuelles de 6 ou 7%, sur cinq années consécutives». «Une approche doctrinaire» Dans une entrevue à La Presse hier, le directeur général de Transports 2000 Québec, Normand Parisien, n'a pas hésité à qualifier de «doctrinaire» l'approche préconisée dans ce mémoire, parce qu'elle «réduit l'usage des transports en commun à un service commercial», dont la disponibilité et le coût seraient soumis aux aléas de l'offre et de la demande. Cette «approche microéconomique», déplore-t-il, occulte totalement la dimension «sociale» des réseaux de transports en commun qui est très présente à Montréal. «On dirait que c'est tabou et qu'il ne faut jamais en parler, mais il reste que Montréal est une des grandes villes les plus pauvres de l'Amérique du Nord.» Le directeur de la plus importante association d'usagers des transports en commun du Québec estime aussi que des tendances fortes dans l'évolution récente de la clientèle des transports collectifs laissent supposer une chute de la fréquentation s'il y avait une augmentation marquée des tarifs. M. Parisien cite les résultats d'une étude d'Impact Recherche menée à la demande du ministère des Transports du Québec (MTQ) et présentée à Transports 2000 Québec lors de consultations statutaires récentes du MTQ sur son prochain plan stratégique de cinq ans. «La plus importante augmentation de la clientèle provient des étudiants, qui paient un demi-tarif, dit M. Parisien. La part des étudiants qui préfèrent les transports collectifs a grimpé de 50% à 61%, dans les dernières années.» Par contre, dit-il, «les gens qui se déplacent pour se rendre au travail le matin le font encore, dans 80% des cas, en automobile. Une hausse des tarifs ne les incitera sûrement pas à se tourner vers le métro et les autobus». Péages pour automobilistes Tout en rejetant le qualificatif de «doctrinaire», le professeur Jean-Philippe Meloche reconnaît qu'une hausse des tarifs n'est pas une mesure qui incite les gens à préférer le métro ou les autobus à l'automobile. Un péage routier, en revanche, pourrait bien l'être. «Une hausse de tarifs de cette dimension, se défend le chercheur, est impensable si on n'impose pas, en même temps, des péages routiers, pour que les automobilistes paient, eux aussi, leur juste part des vrais coûts de transport.» «On ne peut pas isoler les différents éléments qui composent la circulation, affirme-t-il. Et notre approche, ce n'est pas de faire payer en particulier les usagers des transports en commun. C'est de tarifer équitablement tous les modes de déplacement.» Le modèle proposé par l'Observatoire prévoit ainsi que les automobilistes seraient triplement sollicités, par le péage, par une tarification serrée du stationnement, à l'échelle de la région, et par le maintien d'un taux de taxation «relativement élevé» sur l'essence. http://www.lapresse.ca/actualites/regional/montreal/201205/09/01-4523474-transport-en-commun-plaidoyer-pour-une-importante-hausse-des-tarifs.php Enfin du monde sensée qui sortent du moule des théories toutes faites des 'écoles' urbanistiques. Tout le monde doit payer sa juste part, même si celle-ci n'est a hauteur de 50% du vrai coût.
  4. Montréal tire à la hausse les mises en chantier 11 octobre 2011 | 09h18 Argent La popularité des condominiums à Montréal a fait bondir le nombre de mises en chantier dans la province en septembre, a annoncé mardi la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL). Le nombre désaisonnalisé annualisé de mises en chantier d'habitations en septembre s'est élevé à 50 700 au Québec, ce qui représente un bond de 32% sur les 38 400 mises en chantier en août. Dans les centres de 10 000 habitants et plus, un total de 4 616 habitations ont été commencées en septembre, comparativement à 3 623 un an auparavant. Les données de septembre portent le cumul annuel des mises en chantier dans les centres urbains à 30 420. Le chiffre est inférieur de 6% à celui des neuf premiers mois de 2010. La SCHL attribue le recul au segment des maisons individuelles, dont le nombre a chuté de 17%. Les mises en chantier de logements collectifs ont légèrement diminué de 1%. « La hausse notable de l'activité en septembre est exceptionnelle et résulte de la mise en chantier simultanée de nouveaux ensembles de copropriétés à Montréal. Ailleurs au Québec, les mises en chantier sont essentiellement en baisse», a fait remarquer Kevin Hughes, économiste principal à la SCHL pour le Québec. M. Hughes s'attend toutefois que la tendance baissière reprenne à court terme, compte tenu du rythme soutenu observé au cours des dernières années et du potentiel de demande. Au Canada, le nombre désaisonnalisé annualisé de mises en chantier d'habitations s'est élevé à 205 900 en septembre. Il s'agit d'une hausse de 7% par rapport à août, à 191 900. Le chiffre surpasse les attentes des économistes de l'agence Bloomberg, dont la prévision moyenne était de 190 000. En plus du Québec, une hausse du nombre de logements locatifs a été constatée en Colombie-Britannique et dans les provinces de l'Atlantique, a indiqué Mathieu Laberge, économiste en chef adjoint au Centre d'analyse de marché de la SCHL. M. Laberge estime toutefois que les mises en chantier de logements collectifs vont redescendre à court terme «vers des niveaux qui cadrent avec les facteurs démographiques fondamentaux.» Dans les centres urbains du pays, le nombre désaisonnalisé annualisé de mises en chantier s'est accru de 8% pour se situer à 185 900. Il a progressé de 14,2% dans la catégorie des logements collectifs, mais diminué de 1,5% dans celle des maisons individuelles, pour s'établir respectivement à 118 000 et à 67 900. L'organisme fédéral estime à 20 000 le nombre désaisonnalisé annualisé de mises en chantier en milieu rural pour le mois de septembre.
  5. Mises en chantier En hausse partout, sauf au Québec Mise à jour le lundi 9 novembre 2009 à 12 h 10 Commentez »PartagerCourrielFacebookImprimer Le nombre de mises en chantier a augmenté au mois d'octobre, pour se situer à 157 300, comparativement à 149 300 en septembre, selon les données de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL). La hausse des mises en chantier d'habitations en octobre est attribuable à l'intensification de la construction de logements collectifs. — Bob Dugan, économiste en chef au Centre d'analyse de marché de la SCHL « Le nombre mensuel de mises en chantier de ce type de logement a atteint son deuxième sommet en importance depuis octobre 2008 », a ajouté M. Dugan. Dans les centres urbains, les mises en chantier ont augmenté de 5,2 % en octobre dernier par rapport à septembre, pour se situer à 139 900. Plus spécifiquement, les logements collectifs ont connu une hausse de 13,8 %, à 72 600. Du côté des maisons individuelles, le mois d'octobre connaît une régression de 2,7 %, à 67 300. Évolution des mises en chantier par provinces Colombie-Britannique: 15 % Ontario: 14,8 % Prairies: 6,5 % Atlantique: 1,2 % Seul le Québec connaît une baisse, de 11,63 %.
  6. La construction de logements collectifs bondit au Québec les mises en chantier plus élevées que prévu Louis-Pierre Côté Argent La construction résidentielle s’est accrue au Québec en août, grâce à la vigueur du segment des logements collectifs. Selon les chiffres publiés mercredi par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL), 3409 habitations ont été mises en chantier en août, dans les centres urbains, comparativement à 3082 un an auparavant. En juillet, il s’était mis en chantier 3080 habitations, toujours dans les centres de plus de 10 000 habitants. La vigueur de la construction résidentielle est entièrement attribuable à une hausse dans le segment des logements collectifs, soit des maisons jumelées ou en rangée ou appartements. Alors que les mises en chantier pour ce type de logements progressaient de 36% à 2536 par rapport à août 2008, celles de maisons individuelles se repliaient de 28%, à 873. «Jusqu'à présent en 2009, la construction résidentielle dans les centres urbains (au Québec) est en baisse de 16%. Le recul moins important du côté des logements collectif, soit -10% contre -25% pour les maisons individuelles, traduit (…) un virage vers les formes d'habitation plus abordables», note Kevin Hughes, économiste régional à la SCHL. Dans les grandes agglomérations de recensement, qui comptent de 50 000 à 99 999 habitants, les mises en chantier ont augmenté de 68% au mois d'août (223 en 2009, 133 en 2008). Les mises en chantier d'habitations collectives y ont d'ailleurs été très nombreuses, souligne la SCHL, avec un essor de plus de 100%. Cependant, aucune variation significative de l'activité résidentielle n'a été constatée dans le segment des maisons individuelles
  7. Les mises en chantier d'habitations ont augmenté en mai au Canada Publié le 08 juin 2009 à 08h57 | Mis à jour à 09h46 La Presse Canadienne Ottawa La Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) s'attend à ce que le rythme des mises en chantier d'habitations continue de s'améliorer cette année. L'organisme a publié mardi des statistiques qui font état d'une accélération de l'activité, tant dans le segment des maisons individuelles que dans celui des logements collectifs. La SCHL a indiqué que le nombre désaisonnalisé annualisé de mises en chantier d'habitations au Canada a grimpé à 128 400 en mai, comparativement à 117 600 en avril. Elle a observé une hausse de 22% dans les grands centres urbains de l'Ontario, de 16,8% dans les Prairies, de 7,3% dans l'Atlantique et de 3,3% au Québec. Un recul de 5% a toutefois été noté en Colombie-Britannique. On évalue à 20 600 le nombre désaisonnalisé annualisé de mises en chantier dans les régions rurales du Canada pour le mois de mai. Au Québec, 3594 fondations ont été coulées en mai, comparativement à 4659 un an auparavant. Le nombre désaisonnalisé annualisé de mises en chantier s'est toutefois établi à 35 400 et dépasse donc son niveau d'avril, qui se situait à 33 100. Dans les régions métropolitaines de recensement du Québec, les résultats ont été disparates au cours du dernier mois. Alors que l'activité était en hausse à Gatineau et Sherbrooke, des baisses étaient enregistrées à Trois-Rivières, Montréal et Saguenay. Dans la région de Québec, les mises en chantier d'habitations ont été pratiquement au même niveau qu'à pareil mois l'an passé. Tout comme en avril, les mises en chantier de maisons individuelles étaient en baisse dans la majorité des régions métropolitaines du Québec le mois dernier, alors que les résultats étaient beaucoup plus variés du côté des habitations collectives. Au Nouveau-Brunswick, 334 habitations ont été mises en chantier le mois dernier dans les centres urbains, comparativement à 481 en mai 2008. Les mises en chantier de maisons individuelles ont fléchi de 38% dans les villes de la province: elles ont été au nombre de 138. Au 31 mai 2009, leur cumul annuel se chiffre à 292 et accuse donc un retard de 39% par rapport à l'an passé. Dans le segment des logements collectifs, les constructeurs ont coulé les fondations de 196 logements dans les villes du Nouveau-Brunswick en mai 2009, contre 258 un an plus tôt. Pour sa part, le cumul annuel des mises en chantier de logements collectifs n'accuse qu'un léger retard, de 6,7%, en regard du résultat enregistré pour la période allant de janvier à mai 2008.
  8. La Banque Nationale, par le biais de sa filiale Cabinet d'assurance Banque Nationale, s'est portée acquéreur de Services collectifs Assuraction, pour un montant non précisé. Pour en lire plus...
  9. Recul de la construction résidentielle au Québec 11 août 2008 - 09h39 Presse Canadienne Les mises en chantier de maisons individuelles ont reculé par rapport à juillet 2007; elles ont régressé de 12%. La construction résidentielle a reculé au Québec en juillet, selon les dernières données de la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL). Au total, 3122 mises en chantier ont été dénombrées dans les centres urbains de 10 000 habitants et plus, soit 3% de moins qu'en juillet 2007 alors que 3232 unités avaient été commencées. Les résultats de juillet dernier sont à l'image des statistiques observées depuis le début de l'année, c'est-à-dire qu'ils dénotent une croissance des mises en chantier de logements collectifs et une baisse de celles de maisons individuelles, a mentionné la SCHL, en publiant ces données. Ainsi, 1756 logements collectifs ont été entamés dans les centres de 10 000 habitants et plus, une augmentation de 5% par rapport à juillet 2007. De leur côté, les mises en chantier de maisons individuelles ont reculé par rapport à juillet 2007; elles ont régressé de 12%. C'est le cinquième mois consécutif qu'un repli est observé dans ce segment de marché. Au total, 1366 maisons individuelles ont été commencées en juillet 2008, comparativement à 1556 un an plus tôt.
  10. «Le Québec est le paradis du recours collectif», entend-on, pour signifier qu'ils sont trop facilement autorisés et trop nombreux. Pour en lire plus...
  11. Les consommateurs n'entendent pas à rire. Déjà deux recours collectifs concernant les cartels des prix de l'essence ont été déposés hier en Cour supérieure. Pour en lire plus...
  12. Le prix de la maison individuelle et le vieillissement de la population feront des logements collectifs des choix plus prisés, selon la SCHL. Pour en lire plus...
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