Aller au contenu

Messages recommendés

Ça ne serait pas la première fois qu'on fait un pas en arrière pour en faire deux en avant. Si on s'est engagé dans un projet qui n'est pas adapté aux circonstances, il ne faut pas vouloir le compléter seulement parce qu'il a été entamé, mais on devrait plutôt, tout de suite, opté pour la meilleure option à la place de se buter à un mur et devoir tout refaire dans 20 ans.

 

dorval-circle.jpg

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Changer pour le tramway veut dire nouvelles etudes , processus d'appelle d'offre pour l'achat de tramway , construction d'un centre d'entretien ,etc attendre un autre 10-15ans . Le srb c'est pas parfait mais c'est ça ou probablement rien malheuresement

  • Like 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Changer pour le tramway veut dire nouvelles etudes , processus d'appelle d'offre pour l'achat de tramway , construction d'un centre d'entretien ,etc attendre un autre 10-15ans . Le srb c'est pas parfait mais c'est ça ou probablement rien malheuresement

 

 

 

C'est simplement un mauvais projet à la base donc je ne vois pas l'intérêt de poursuivre vers l'implantation du SRB. 70 000 usagers pour des autobus poche de la STM au biodiésel. Ça fait pas sérieux pour une métropole qui s'apprête à construire un métro léger automatisé.

 

Je réitère que je préfère voir un délai supplémentaire au projet mais qu'on y implante une technologie propre et plus efficace. Des SRB, y'a pleins d'autres corridors à Mtl pour en faire!*

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le problème c'est pas que ça prenne un 3-4 ans de plus pour faire un tramway, le problème c'est que ça prenne 15 ans pour faire un SRB.

 

Si c'était uniquement à Montréal (que ça prenne...), je serais tenté de dire que c'est un «problème montréalais». Mais en réalité c'est loin d'être le cas. Si on considère notre point de référence «favori» --Toronto, on découvre une série de rebondissements, de changements de plans et de priorités, qui font que les Torontois, quand ils parlent franchement de leur réalité au lieu de s'amuser à se comparer à New York (présomptueusement) ou à Montréal (généralement avec dérision), sont très portés à déplorer l'état «chaotique» du transport dans leur ville.

 

Oui, il y a un «problème», à Montréal, à Toronto et ailleurs. Mais quand on veut faire plus que de se plaindre, il faut en découvrir les causes. Certes, chaque ville a ses particularités propres qui peuvent expliquer une partie du «problème», mais le fait que celui-ci apparaît quasiment généralisé (pas juste au Canada, certainement aussi aux USA) nous interpelle et nous fait rechercher des dénominateurs communs: UN de ceux-ci est que les grandes villes disposent de ressources financières AUTONOMES limitées, et sont donc à la merci des «gouvernements supérieurs». Dans le régime constitutionnel canadien, ce sont les gouvernements provinciaux qui ont le «gros bout du bâton» dans les décisions concernant les investissements en transport urbain; le gouvernement fédéral peut aussi «participer», mais seulement en vertu de son «pouvoir (fédéral) de dépenser» dans les champs de compétence provinciale. Sur ce fil à la très longue histoire, on a pu observer les interventions variées du gouvernement (provincial) à différentes époques; si vous regardez du côté de Toronto et de ses relations avec Queen's Park, vous trouverez des histoires semblables. Et si vous êtes particulièrement préoccupés par la problématique plus vaste des sources autonomes de financement municipal, vous pourriez être intéressés par l'histoire (vraie) de la tentative de l'ancien maire de Montréal, Jean Drapeau, avec sa «taxe volontaire» en 1968-69.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ce n'est pas seulement les sources de financement le probleme c'est aussi les dépenses. Pas de sens de payer des vendeurs de billets au salaire de chauffeur.

Si c'était uniquement à Montréal (que ça prenne...), je serais tenté de dire que c'est un «problème montréalais». Mais en réalité c'est loin d'être le cas. Si on considère notre point de référence «favori» --Toronto, on découvre une série de rebondissements, de changements de plans et de priorités, qui font que les Torontois, quand ils parlent franchement de leur réalité au lieu de s'amuser à se comparer à New York (présomptueusement) ou à Montréal (généralement avec dérision), sont très portés à déplorer l'état «chaotique» du transport dans leur ville.

 

Oui, il y a un «problème», à Montréal, à Toronto et ailleurs. Mais quand on veut faire plus que de se plaindre, il faut en découvrir les causes. Certes, chaque ville a ses particularités propres qui peuvent expliquer une partie du «problème», mais le fait que celui-ci apparaît quasiment généralisé (pas juste au Canada, certainement aussi aux USA) nous interpelle et nous fait rechercher des dénominateurs communs: UN de ceux-ci est que les grandes villes disposent de ressources financières AUTONOMES limitées, et sont donc à la merci des «gouvernements supérieurs». Dans le régime constitutionnel canadien, ce sont les gouvernements provinciaux qui ont le «gros bout du bâton» dans les décisions concernant les investissements en transport urbain; le gouvernement fédéral peut aussi «participer», mais seulement en vertu de son «pouvoir (fédéral) de dépenser» dans les champs de compétence provinciale. Sur ce fil à la très longue histoire, on a pu observer les interventions variées du gouvernement (provincial) à différentes époques; si vous regardez du côté de Toronto et de ses relations avec Queen's Park, vous trouverez des histoires semblables. Et si vous êtes particulièrement préoccupés par la problématique plus vaste des sources autonomes de financement municipal, vous pourriez être intéressés par l'histoire (vraie) de la tentative de l'ancien maire de Montréal, Jean Drapeau, avec sa «taxe volontaire» en 1968-69.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.




×
×
  • Créer...