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Hausse des grandes entreprises au Quebec | TVA Nouvelles

 

Its time to update the myth. The attached study shows that in the past 11 years the number of major head offices in Quebec grew from 58 to 69. Major head offices are defined as those enterprises in which sales are over 1 billion annually.

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Pages Jaunes revient au centre-ville

 

Pages Jaunes revient au centre-ville | Andre Dubuc | Immobilier

 

Malgré l'ajout d'offre, la location a été soutenue au cours des six premiers mois de 2016, soutient le courtier Newmark Knight Frank Devencore, dans sa plus récente étude de marché.

 

L'activité s'est poursuivie au troisième trimestre. Pages Jaunes quittera L'Île-des-Soeurs. La direction prendra le chemin du 1250, boulevard René-Lévesque où l'entreprise occupera 50 000 pieds carrés sur deux étages, tandis que le personnel technique s'installera dans 150 000 pieds carrés au Nordelec, dans Pointe-Saint-Charles.

 

Résultat de cette activité de location: le taux d'inoccupation recule dans le secteur du boulevard René-Lévesque. Il était de 10,8% à la fin du deuxième trimestre comparativement à 11,2% à la fin de 2015. «La plupart des locaux actuellement disponibles comportent moins de 50 000 pieds carrés», lit-on dans l'étude de marché. Un signal positif pour les propriétaires.

 

Les taux d'inoccupation et de disponibilité restent toutefois élevés dans l'axe de l'avenue McGill College et de la rue Sherbrooke, tandis que le Vieux-Montréal affiche pratiquement complet.

 

Parlant de la rue Sherbrooke, les cliniques de soins médicaux Medicys qui s'adressent aux gens d'affaires délaissent le 500, Sherbrooke et prennent 50 000 pi2 à la Tour KPMG, au 600, boulevard De Maisonneuve Ouest.

 

Si la Banque Laurentienne a mis le cap vers l'ouest, la Banque Nationale reste là où elle est en renouvelant un bail de 200 000 pi2 au 700, De La Gauchetière. La Banque de développement du Canada (BDC) a fait pareil en signant à nouveau au 5, Place Ville Marie.

 

 

Par ailleurs, M. Laurin refuse de parler de déclin pour l'avenue McGill College. La prestigieuse avenue est capable de se renouveler et de s'adapter aux exigences de la clientèle de la nouvelle économie, croit-il. Il donne en exemple l'aménagement des bureaux de We Work à Place Ville Marie et de Shopify à la tour Aimia. Ce sont des exemples éloquents, selon lui, de la capacité d'adaptation du quartier des affaires.

 

«C'est un marché dynamique, dit M. Laurin. Je vous prédis d'avance que ce sont les secteurs où l'inoccupation est la plus forte qui connaîtront le plus d'activités au cours des prochains mois. C'est cyclique.»

 

Par exemple, Cité Multimédia, qui a un taux d'inoccupation de 5,9%, connaissait un pic de 15% il y a deux ans à peine.

 

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Bureaux au centre-ville de Montréal

Taux de disponibilité*: 12%

 

Loyer brut par pied carré: 33,04 $

 

En construction: 1 102 200 pieds carrés

 

* Bureaux vacants ou sur le point d'être libérés

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Je dépose ça ici pour montrer le progrès en 15 ans...

 

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Cette photo est effectivement la preuve éloquente du développement spectaculaire des dernières années, qui a pris place en plein coeur du centre-ville. D'immenses terrains extrêmement bien situés et pratiquement en friche, ont attiré de nombreux promoteurs, après des décennies de dormance. En fait cette photo ne dit pas tout, car que ce soit plus à l'est ou plus à l'ouest, au nord ou au sud, le changement est presqu'aussi marqué.

 

Or, pour qu'une transformation aussi soudaine s'opère, elle doit être précédée par un changement profond de mentalité ou de perception de la ville. En effet on constate un retour de population un peu partout sur l'ile et bien davantage dans les quartiers centraux. La banlieue est devenue plus out et le coeur urbain plus in. Cependant la cause n'est pas unique, puisque c'est plutôt une conjugaisons de facteurs favorables qui ont redonné confiance aux investisseurs et remis la ville au goût du jour pour un certain nombre de citadins.

 

Finalement une fois le mouvement bien enclenché, il s'est nourrit de lui-même. Les affaires attirant les affaires et la démographie, encourageant le développement de services, a conduit à une activité économique encore plus vigoureuse. On aurait ici plusieurs thèses de doctorat à développer pour expliquer le phénomène dans le détail, que ce soit en économie, en sociologie ou en urbanisme pour ne nommer que ces principales disciplines. Un fait demeure, l'éternelle dichotomie ville-banlieue n'est plus aussi claire. Car dans les deux formules longtemps opposées, on a introduit la notion commune de densité qui manquait jadis à l'équation.

 

J'ajouterais que Montréal n'est pas unique dans son cas, partout on assiste à ce genre d'évolution, l'urbanité gagnant de l'importance sur l'ensemble du globe. Seulement ici, comme dans la majorité des autres métropoles du pays, ce sont les centre-villes qui témoignent davantage d'une activité accrue. D'où une transformation bien physique des lieux qui change durablement le paysage urbain. Ici Montréal avait un certain retard à combler, qui explique en grande partie les très nombreux chantiers, autant en infrastructures diverses qu'en construction en générale.

 

En terminant, on pourrait disserter longtemps sur le sujet pour en expliquer les véritables causes. Un chose est sûre: le phénomène n'est pas passager. Il représente un mouvement de fond, où la majorité des actions convergent vers le coeur des villes, encouragé par tous les niveaux de gouvernement. C'est ainsi que les villes-centres reprennent peu à peu la place qui leur revient naturellement, en tant que moteur économique des grandes agglomérations urbaines.

 

J'en conclue que la métropole québécoise a de très beaux jours devant elle. Puisque les grands chantiers sont véritablement complémentaires: routes, ponts, transport en commun, infrastructures publiques, culturelles, commerciales, institutionnelles et résidentielles. Tous conduisent à une meilleure efficacité des déplacements, à un aménagement plus harmonieux et mieux planifié du territoire urbain et finalement à l'amélioration notable de la qualité de vie de l'ensemble de ses résidents.

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Quelqu'un sur Skyscraperpage a fait une liste de toutes les villes avec le plus de tours de 50m ou plus en construction. Et Montréal arrive 3e en Amérique du Nord, après New York et Toronto. Les 2 premiers sont à plus de 120, mais Montréal est 3e avec 46. On pourrait atteindre 60 d'ici l'année prochaine si tout va bien.

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Quelqu'un sur Skyscraperpage a fait une liste de toutes les villes avec le plus de tours de 50m ou plus en construction. Et Montréal arrive 3e en Amérique du Nord, après New York et Toronto. Les 2 premiers sont à plus de 120, mais Montréal est 3e avec 46. On pourrait atteindre 60 d'ici l'année prochaine si tout va bien.

 

I wonder if someone has a list of simply how many buildings are being built. It would be interesting to see total sq ft being built in each of the cities to see if they have that many more projects or just more tall stuff.

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