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Expos de Montréal


mtlurb

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  • Administrateur
il y a 39 minutes, Exposteve a dit :

Combien de fois est-ce que le Groupe de Montréal doit dire qu'il ne cherche pas de financement des contribuables?  Ils ont indiqué qu'ils cherchait simplement de l'aide pour le zonage, infrastructure et transport en commun (i.e. REM) et bien-sur le zonage va nécessiter qu'on laisse batir des condos pour pouvoir rentabiliser le projet global.  On dirait que M. Boisvert ne suit pas les nouvelles dans ce dossier du tout... C'est clair que le Groupe chercherait a avoir un prix potentiellement réduit pour le terrain en échange d'un investissement privé de quelques milliards de dollars.  

 

Parce qu'il y a des caves dans les médias qui répètent la même connerie ad nauseam. 

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Il y a plus d'un jouer de poker à la table, par seulement Stephen Bronfman.  Ce serait bien si quelqu'un (un journaliste?) pouvait aussi se mettre dans la peau  (ou dans la tête) des autres joueurs, notamment celle de Valérie Plante.

En attendant, pour les assister dans leurs cogitations, je pose la question suivante: qui seraient les gagnants et les perdants si Stephen Bronfman abandonnait la partie?

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  • 5 semaines plus tard...

Pendant ce temps, dans le monde de Stephen Bronfman

https://www.journaldemontreal.com/2020/04/10/covid-19-chanter-ensemble-pour-le-retour-du-baseball-a-montreal

COVID-19: Chanter ensemble pour le retour du baseball à Montréal

Benoît Rioux
Vendredi, 10 avril 2020 09:29
MISE À JOUR Vendredi, 10 avril 2020 09:29

Comme plusieurs anciens joueurs des Expos, dont Tim Raines, Andre Dawson et Larry Walker, l’homme d’affaires Stephen Bronfman s’est prêté au jeu, se servant du confinement pour pousser la chansonnette. 

«Je pense que je suis plutôt un bon chanteur», a blagué M. Bronfman, lors d’un long entretien téléphonique, jeudi matin. 

Celui qui vise toujours un retour du baseball professionnel à Montréal, malgré cette pandémie de coronavirus, a ainsi participé avec joie au projet Take Me Out To The Ball Game en interprétant une partie du refrain. Le mardi 14 avril, l’organisme Expos Fest, avec le Lavallois Perry Giannias en tête, mettra en ligne une vidéo qui saura certainement plaire aux amateurs de baseball de la région de Montréal, mais aussi d’ailleurs. 

«On veut simplement contribuer à un mouvement positif en cette période plus difficile, provoquer l’arrivée du printemps et donner un peu le goût du baseball aux gens», a résumé Giannias, qui a bon espoir de voir la vidéo devenir virale jusqu’aux États-Unis. 

Unifier les gens

S’il préfère demeurer discret quant aux derniers développements entourant le possible retour du baseball dans la métropole québécoise, M. Bronfman croit justement que cette chanson, dans laquelle il réclamera «peanuts and crackerjacks», pourra contribuer à unifier la population. 

«J’étais à la Série mondiale en 2018 avec Mitch Garber, William Jegher et Richard Epstein, a-t-il raconté, en mentionnant le nom de ses partenaires d’affaires. C’était vraiment bien au Fenway Park parce qu’ils font aussi Sweet Caroline en huitième manche. C’est spécial et nous avons évidemment tous chanté. Ça met tellement d’ambiance et chanter comme ça ramène toute la population en un seul bloc.» 

Bercé par ses propres souvenirs qui remontent jusqu’à l’époque du parc Jarry, avec le gigueur ou encore le lanceur de pinottes, M. Bronfman s’est fait un devoir de chanter avec tous ces anciens joueurs des Expos. Et petit «scoop»: il a même convaincu son père Charles d’y participer. 

Du temps en famille

La famille: c’est justement ce qui préoccupe surtout Stephen Bronfman ces jours-ci, lui qui se retrouve dans la région de Tremblant, avec notamment ses quatre enfants Alexandra (15 ans), Samuel (13 ans), Olivia (12 ans) et la petite dernière Isabella (8 ans) 

«Nous sommes chanceux, ça se passe bien. Il y a le chien et on prend des longues marches, on mange bien, on fait des feux, nous ne sommes pas stressés», a-t-il confié. 

Comme le reste de la population, M. Bronfman multiplie les activités en attendant le retour de son passe-temps préféré: la pêche. 

«Ici, dans le Nord, ça prend du temps. Comme l’an dernier, si je me souviens bien, le lac Tremblant avait calé seulement lors de la première semaine du mois de mai», a-t-il noté, ne cachant pas son désir d’aller taquiner le poisson dès que possible. 

Coronavirus: voir le verre à moitié plein 

Se gardant bien de faire des vagues en offrant des détails dans le dossier du retour du baseball majeur à Montréal, l’homme d’affaires Stephen Bronfman était en verve, jeudi, à propos du sujet de l’heure: le coronavirus. 

«Je suis quelqu’un qui voit toujours le verre à moitié plein, a-t-il indiqué, avec le sourire dans la voix. Il y a une inquiétude personnelle pour tout le monde économiquement. On s’inquiète aussi pour savoir ce qui va se passer si on attrape le virus. Il y a de l’incertitude et ce qui vient avec l’incertitude, c’est la peur. C’est une émotion difficile, mais il faut voir l’éclaircie au bout du tunnel. Ça permet de donner de l’espoir à tout le monde et de diminuer le niveau d’inquiétude.» 

M. Bronfman croit que le temps est venu pour la population de faire preuve de solidarité en cette période de pandémie. 

«Il faut traverser ça en santé, en famille et espérons qu’on s’en sortira bien, physiquement, mentalement et économiquement, a-t-il souhaité. Il faut que les gens en sortent unifiés. Lors d’une telle crise, il faut travailler ensemble pour combattre ce qui fait mal.» 

Toujours confiant

Condition “sine qua non” pour cette entrevue: pas question de parler des récents développements entourant le projet du Groupe de Montréal. Le mois dernier, l’Office de consultation publique de Montréal (OPCM) avait rendu son rapport public. Des plans précis doivent maintenant être fournis si on espère la construction d’un stade au Bassin Peel. 

«Je suis toujours confiant, il y a simplement les échéanciers qui pourraient être repoussés un petit peu, a simplement commenté M. Bronfman. Quand le temps sera venu, je serai heureux de parler de baseball!»

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  • 3 semaines plus tard...
2 hours ago, jesseps said:

With people talking about how sports might change after Covid, will they need to spend a fortune on a stadium; if everyone will be forced to watch the games with VR?

lol. Dans la même veine, il y aura peut-être des clubs à vendre à rabais :)

Ce n'est pas comme s'ils avaient pris beaucoup de valeur les 4 derniers mois

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TVA sports présentait le match du 28 juin 1994 Braves Vs Expos. Ouffff nostalgie....48 000 spectateurs, du jeu exitant...je l'ai enregistré et regardé de A à Z comme si c'était un match en live. J'ai hâte de retrouver notre équipe!!!

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  • 2 mois plus tard...

Hey boboy !  Verra-t-on un stade avec des bannières de "faux spectateurs" ou des mannequins/robots au Bassin Peel ? :S

Un stade sans estrades à Montréal : l’idée est lancée

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PHOTO D'ARCHIVES

JOURNAL DE MONTRÉAL  |  BENOÎT RIOUX  |   Lundi, 6 juillet 2020 08:53  MISE À JOUR Lundi, 6 juillet 2020 08:53
https://www.journaldemontreal.com/2020/07/06/un-stade-sans-estrades-a-montreal--lidee-est-lancee

La possibilité d’une garde partagée avec Tampa Bay pour un club de baseball professionnel a déjà fait beaucoup jaser à Montréal. Si le concept est audacieux, il n’en est rien comparativement à une nouvelle proposition envoyée dans l’univers par un petit groupe de Québécois: bâtir un stade sans estrades. 

Sylvain Raymond, âgé de 40 ans, est consultant dans le monde des communications et du marketing. Il y a deux ans, durant la Coupe du monde de soccer, il avait notamment fait jaser en travaillant sur le slogan «Tout le monde sauf la Suède» qui était affiché en plein coeur de la Petite-Italie. L’idée était d’y créer un rassemblement malgré l’absence du club italien, précédemment éliminé par les Suédois lors des qualifications.

Cette fois, celui qui se décrit comme un grand partisan de baseball espère, sans attente véritable, faire réfléchir en co-signant une longue lettre publiée sur le web. Son titre: «pour un stade de baseball des ligues majeures à Montréal, couvert et sans estrades».

«Sans grande prétention, nous souhaitons simplement susciter un débat autour de cette idée-là, mentionne Raymond, lors d’un entretien au téléphone. Le contexte pandémique porte à la réflexion. L’idée peut sembler farfelue au départ pour bon nombre d’analystes et de fans de baseball, mais elle ne l’est pas.»

Mise en marché innovatrice

Et pourquoi bâtirait-on un stade ne pouvant accueillir de spectateurs? Les arguments méritent d’être lus et entendus: on parle évidemment d’une économie de coûts de construction substantielle, mais plus encore, le concept se traduit par une mise en marché innovatrice.

«Il n’est pas ici question d’oblitérer l’expérience des supporteurs d’une équipe de baseball, mais plutôt de les concentrer devant les multiples écrans plutôt que dans les estrades d’un stade», mentionne-t-on dans la lettre ouverte disponible depuis dimanche soir.

Raymond fait remarquer que, de toute façon, de nombreux partisans n’assistent que très rarement ou même jamais à un événement sportif en personne.

«Notre concept propose de mettre le focus sur les éléments visibles lors des télédiffusions afin de maximiser la valeur des marques commanditaires visibles par les téléspectateurs, qui n’auraient dorénavant d’autres choix que de consommer le produit baseball devant leurs écrans», poursuit-on.

Une meilleure équipe?

Forcément, la pandémie de COVID-19 n’est pas étrangère au concept imaginé. C’est d’ailleurs en visionnant des matchs de la ligue coréenne de baseball, disputés devant des gradins vides, que l’illumination, bonne ou mauvaise, est survenue.

Raymond et ses co-signataires suggèrent un autre argument de masse pour convaincre les partisans purs et durs qui s’imaginent déjà en train de manger un hot-dog dans un stade au centre-ville de Montréal. Selon eux, le partage des revenus serait alors recentré davantage vers l’essentiel, soit la composition de l’équipe qui occupe le terrain. Un terrain qui, à domicile, serait en quelque sort un énorme studio de diffusion.

Pour lire tous les détails de la lettre ouverte: https://medium.com/@sylvainraymond/un-stade-de-baseball-des-ligues-majeures-sans-estrades-pour-montreal-au-bassin-peel-397cfb1f6052.

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