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Très bonne nouvelle. Le premier ministre chinois a même mentionné à Trudeau que si la taxe.

Des capitaux chinois à la découverte de Montréal

Des capitaux chinois a la decouverte de Montreal | Jean-Francois Codere | Quebec

 

Extrait

 

 

En ce qui concerne cet article :

Chinese property mogul wants to speak to Trudeau about B.C. foreign buyers’ tax | Toronto Star

Il semblerait par contre que les chinois ne sont pas intéressés à Montréal pour les logements, dû à la langue.

ils savent très bien que Montréal est bilingue. Ils investissent aussi à Paris alors je ne vois pas où est le problème.

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Membres prolifiques

ils savent très bien que Montréal est bilingue. Ils investissent aussi à Paris alors je ne vois pas où est le problème.

 

Bien dit, triplement même! Car

1) Ces Chinois investissent même dans des régions viticoles françaises où ils ont encore moins de chance d'entendre parler anglais (et encore moins le mandarin ou le cantonais).

2) Idem pour les investissements chinois en Afrique «francophone».

3) Dans les cas où les investissements concernent des logements (généralement des condos) destinés à être occupés par des ressortissants chinois, souvent des étudiants, qui ont présumément une certaine connaissance de l'anglais comme langue seconde, il est vrai que le milieu doit offrir la possibilité de communiquer dans cette langue (l'anglais)--ce qui est certainement le cas dans de nombreux quartiers de Montréal.

 

De la même façon, les investisseurs américains, japonais ou européens en Chine ne s'attendent pas et ne recherchent pas un milieu d'implantation «bilingue» (étant entendu que la seconde langue serait l'anglais...); tout ce qui compte, c'est la possibilité d'interface efficace (en anglais) avec quelques intermédiaires.

 

In fine: «nos» jeunes Chinois se sentiront à l'aise presque partout à Vancouver et à Toronto (certes à cause de la langue, mais aussi parce que les communautés chinoises existantes sont beaucoup plus considérables dans ces villes); à Montréal, ce sera plus restreint, mais quand même beaucoup moins confiné qu'à Paris ou à Rome etc. Et qui sait, quelques-uns aspireront-ils à ajouter la langue française à leur arc? Déjà, en Chine, des écoles françaises s'emploient à faciliter la réalisation de ce rêve d'une minorité.

 

Mais d'un point de vue québécois francophone j'ajouterais quelque chose comme «on n'est toujours bien pas pour s'angliciser juste pour faire plaisir aux Chinois» ;)

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J'ai fréquenté la Chine quelque peu, la présence des magazines français (Mademoiselle, Elle, Géo), des commerces français est évidente sur le terrain (Carrefour, le WalMart français) Auchan (français aussi), ne vous méprenez pas, la langue n'est pas un obstacle pour les Chinois, ils sont bien au-delà de ça. Le Mandarin et le Cantonnais ne sont parlés qu'en Chine mais les Chinois ont la sagesse d'apprendre plusieurs langues, d'abord l'Anglais oui, mais d'autres langues aussi. Et le Français est plutôt prédominant ensuite.

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Increasingly the language issue, if there is any, will be the lack of capacity of others to speak Mandarin. In a growing part of the world, the demand to learn Chinese (mandarin) is catching up to the demand to learn English. Since Quebecers are more open to learning additional languages than are most English speaking North Americans, this may give Quebec an advantage as more of them learn to communicate in Mandarin. q

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La spécificité québécoise est certainement un atout, il faut apprendre à bien s'en servir et à mieux la promouvoir. Au niveau du spectacle et de la culture, nous avons une expertise indéniable, mais nous brillons aussi dans plusieurs autres domaines. D'ailleurs nos institutions, de même que certaines entreprises incontournables, sont là pour le prouver. Le Québec a aussi une excellente réputation au niveau mondial et fait partie de plusieurs organismes internationaux qui ouvrent les portes à plusieurs possibilités, à qui sait profiter de ces précieux contacts.

 

Nous sommes aussi une société ouverte et moderne, avec une économie diversifiée, des ressources naturelles importantes et une foule d'expertises dans les industries de pointe, notamment l'aérospatial et les transports. Vu sous cet angle, pas de doute que le Québec est un endroit avantageux pour faire des affaires. Les chinois sont réputés pour leur rigueur et leur analyses pointues des marchés dans lesquels ils s'investissent. En connaissant mieux le Québec, ils sauront y trouver des intérêts et créer les liens qu'il faut pour que des ententes gagnants-gagnants soient à l'avantage des deux partenaires.

 

De toute façon qu'on le veuille ou pas, la Chine est une puissance mondiale sur le plan économique et est devenue un "must" pour toute économie qui cherche de la croissance et des débouchés. A cet effet nos nouveaux vols directs vers les deux villes chinoises les plus significatives, permettront de multiplier des ententes et accéléreront nos échanges pour un bénéfice mutuel. Maintenant que cet obstacle est levé, on peut espérer un développement important de nos relations, en profitant au passage de cette autonomie qui nous a trop longtemps fait défaut.

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Bof the anglos of vancouver and toronto don't have to learn mandarin there is already large chinese communities *speaking mandarin in vancouver and toronto.

 

We have a satellite office in Vancouver and I would say the vast majority of the "white" folks there can understand or speak a bit of Mandarin or Cantonese. I won't generalize and say the majority of Vancouverites know Mandarin but there's certainly a large portion of the non-Asian population that can at least speak / understand SOME of the language.

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J'ai fréquenté la Chine quelque peu, la présence des magazines français (Mademoiselle, Elle, Géo), des commerces français est évidente sur le terrain (Carrefour, le WalMart français) Auchan (français aussi), ne vous méprenez pas, la langue n'est pas un obstacle pour les Chinois, ils sont bien au-delà de ça. Le Mandarin et le Cantonnais ne sont parlés qu'en Chine mais les Chinois ont la sagesse d'apprendre plusieurs langues, d'abord l'Anglais oui, mais d'autres langues aussi. Et le Français est plutôt prédominant ensuite.

 

Le Français est perçu positivement en Chine. Une langue raffinée, sophistiquée, véhicule d'une culture de haut niveau. Il y a généralement parlant un respect pour la langue de Molière. Ce qui ne veut pas dire que ça les pousse à tous vouloir l'apprendre. C'est pratiquement bcp moins payant que l'anglais. Mais tout de même....

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Le Français est perçu positivement en Chine. Une langue raffinée, sophistiquée, véhicule d'une culture de haut niveau. Il y a généralement parlant un respect pour la langue de Molière. Ce qui ne veut pas dire que ça les pousse à tous vouloir l'apprendre. C'est pratiquement bcp moins payant que l'anglais. Mais tout de même....

Ça c'est surtout vrai au Japon et même à l'école où le français est enseigné.

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La présence de plusieurs délégations d'investisseurs chinois à Montréal cette semaine, la visite du Premier ministre de Chine à Montréal il y a un mois, l'ajout de deux liaisons aériennes direct entre Montréal et la Chine et

l'achat d'un immeuble prestigieux du centre-ville par un des hommes les plus riches de la planète, sans oublier la confirmation du retour d'un Four Seasons.

Alors il faut bien l'avouer, il y a quelque chose de sérieux qui se passe à Montréal.

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