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  1. Le Québec lave-t-il plus blanc que blanc ? Pierre Duhamel La guéguerre entre Québec et Ottawa sur l’environnement devient polluante. Selon le National Post, le gouvernement fédéral, qui a semoncé celui du Québec parce qu’il veut imposer aux constructeurs automobiles des normes plus sévères d’émissions de gaz à effets de serre, serait en train d’imposer les mêmes règles. Le ministre fédéral Jim Prentice trouvait le Québec ridicule d’agir sur cette question, mais on dirait qu’il était plutôt déçu de s’être fait devancer dans l’annonce de cette politique. Ceci dit, je comprends l’exaspération d’Ottawa car le gouvernement québécois est devenu un insupportable donneur de leçons sur les enjeux environnementaux. Le Québec est-il devenu à ce point vert et irréprochable en matière d’environnement ? On apprenait cette semaine que les émissions de CO2 en 2007 ont bondi de 3,7 % au Québec après avoir subi une baisse les années précédentes. Jean Charest s’était pourtant fait le preux chevalier de la lutte aux changements climatiques et s’est commis pour une baisse de 20 % des émissions d’ici 2020. Prenons note qu’il faudra dorénavant diminuer les émissions de 23,7 % pour atteindre la cible. À Copenhague, Jean Charest s’était également permis une charge audacieuse contre les répercussions de l’exploitation des sables bitumineux en Alberta. Ce point de vue est peu entendu au Québec, mais je crois sincèrement que nous profitons largement des retombées de cette exploitation. À preuve, les citoyens de l’Alberta versent par habitant plus du double en taxes et impôts au gouvernement fédéral que ceux du Québec et ils reçoivent- toujours per capita - 25 % de moins que nous en dépenses de programmes et en achats de biens d’Ottawa. Manifestement, il y en a qui paient pour les autres… et ce ne sont pas les Québécois. Présumons que les intentions de Jean Charest sont nobles et qu’il est vraiment catastrophé par l’exploitation des sables bitumineux. Pourquoi alors ce même Premier ministre ne s’offusque pas quand on exploite une mine d’uranium aux portes de Sept-Îles ? Pire, Jean Charest a même défendu en Inde l’exploitation et l’exportation de l’amiante, un produit dont le caractère extrêmement nocif est universellement reconnu. Le gouvernement du Québec défend l’existence d’une vieille mine qui emploie 150 personnes à Asbestos, mais joue les vierges offensées devant une industrie qui emploie 372 000 personnes et où on prévoit des investissements de 100 milliards de dollars d’ici 2020. Le Québec n’a pas de sables bitumineux, mais on cherche activement du pétrole en Gaspésie et du gaz naturel dans la vallée du Saint-Laurent. Je pense que certains de mes concitoyens seront beaucoup moins «verts» quand ils verront les retombées des découvertes potentielles.
  2. Publié le 07 décembre 2009 à 20h39 | Mis à jour à 20h42 Sables bitumineux: une étude contredit les chiffres de l'industrie La Presse Canadienne Edmonton Une étude indépendante publiée lundi aux États-Unis laisse sous-entendre que la pollution provenant des sables bitumineux de l'Alberta est cinq fois plus élevée et deux fois plus étendue que ne l'affirment les statistiques produites par les dirigeants de l'industrie. L'étude affirme que les émissions toxiques issues des sables bitumineux se comparent à un déversement majeur de pétrole... chaque année. Les responsables du gouvernement et de l'industrie disent que la contamination notée dans les sols et rivières de la région est naturelle, mais l'étude la lie étroitement à l'extraction des sables bitumineux. Selon David Schindler, co-auteur de l'étude, les chercheurs ont découvert d'importants apports de composés organiques toxiques issus de l'industrie des sables bitumineux dans la rivière Athabasca et ses affluents. M. Schindler a ajouté que l'industrie était la principale source de pollution de la rivière. L'étude critique également le programme de contrôle du gouvernement de l'Alberta. Celui-ci a réagi en mettant en doute les conclusions de l'étude. Selon Preston McEachern, scientifique environnemental de l'Alberta, les sources de contamination sont plus importantes près des installations de sables bitumineux parce que c'est là que les dépôts de bitume sont les plus concentrés. Quant au programme de contrôle, M. McEachern soutient qu'il a d'abord pour objectif de fournir une information à l'échelle régionale. La province de l'Alberta se fie à des informations spécifiques issues de l'industrie, revue par des inspecteurs provinciaux, pour obtenir des données plus détaillées. Ce n'est pas le premier rapport à mettre en doute les données produites par l'industrie et cibler les répercussions environnementales. À l'été de 2008, l'équipe de chercheurs de M. Schindler avait mis en place des stations de contrôle le long de l'Athabasca et de quelques-uns de ses affluents, et découvert des concentrations pétrochimiques une fois que les courants passaient au-delà des installations de sables bitumineux.
  3. L'Alberta dévoile une stratégie de 20 ans qui mise sur l'exploitation des sables bitumineux et la réduction des impacts néfastes sur l'environnement, tout en restant très vague sur les moyens pour y parvenir. Pour en lire plus...
  4. Des écologistes saluent l'abandon d'un projet d'oléoduc qui aurait fait transiter entre l'Ontario, le Québec et le Maine le polluant pétrole issu des sables bitumineux albertains. Pour en lire plus...
  5. Le pétrole tiré des sables bitumineux de l'Alberta ne trouvera pas son chemin jusqu'au Québec, du moins pas pour le moment. Pour en lire plus...
  6. Le premier ministre discutera de l'impact environnemental des sables bitumineux avec le nouveau président américain. Pour en lire plus...
  7. Le géant pétrolier français envisage une offre d'achat non hostile sur la compagnie canadienne qui compte d'importants gisements dans les sables bitumineux. Pour en lire plus...
  8. L'entreprise envisage de reporter à plus tard l'expansion de son projet d'exploitation des sables bitumineux de McKay River et l'amélioration de sa raffinerie de Montréal afin de réduire ses coûts. Pour en lire plus...
  9. Petro-Canada a annoncé hier qu'elle reportait à l'année prochaine sa décision d'investir 25 milliards de dollars dans son projet d'exploitation des sables bitumineux de Fort Hills, en Alberta. Pour en lire plus...
  10. Les entreprises énergétiques mettent la pédale douce à leurs projets dans les sables bitumineux canadiens, plus importante réserve énergétique mondiale hors de l'Arabie saoudite. Pour en lire plus...
  11. Le nouveau contrat vise la fourniture de 3600 tonnes d'acier de structure usiné comprenant des râteliers à tubes, un immeuble de traitement et des modules d'équipement. Pour en lire plus...
  12. Trois groupes environnementaux lancent ce mercredi une pétition en ligne pour s'opposer à un projet de pipeline destiné à importer du pétrole issu des sables bitumineux à Montréal. Pour en lire plus...
  13. Pipeline : opposition à Enbridge * Presse Canadienne, * 08:18 Des groupes environnementaux veulent empêcher du pétrole issu des sables bitumineux de l'Alberta de faire son entrée au Québec. Les organisations Equiterre, ForestEthics et Environmental Defense lancent ce mercredi une pétition en ligne afin que les Québécois puissent exiger le rejet de ce projet. Chaque message signé sera acheminé directement à tous les chefs de partis fédéraux. Enbridge sollicite l'autorisation de l'Office national de l'Energie afin de pouvoir acheminer par pipeline du pétrole issu des sables bitumineux de l'Alberta vers Montréal, en passant par l'Ontario. Une partie de ce pétrole serait raffinée à Montréal pour usage au Québec et le reste serait envoyé par pipeline vers le Maine, pour ensuite être chargé sur des pétroliers en route vers le Golfe du Mexique, là où se trouve la plus importante capacité de raffinage des Etats-Unis. Les environnementalistes soutiennent que l'approbation de ce projet par le gouvernement du Canada générerait des émissions de gaz à effet de serre de 6,5 millions de tonnes par année.
  14. Les sables bitumineux rapportent moins * Anne Robert, LesAffaires.com * 10:30 Les coûts d'exploitation sont trop élevés. Les coûts d’exploitation des projets de sables bitumineux ont grimpé à tel point que certains projets seraient compromis, selon l’analyste Andrew Potter de UBS. Les coûts salariaux sont en hausse, la productivité en baisse. Si bien que les coûts initiaux pour lancer le projet de Petro-Canada à Fort Hills à 90 km au Nord de Fort Mc Murray ont grimpé de 50% par rapport aux estimations soumises en juin 2007. L’acquisition des droits d’exploitation sur ce territoire en 2005 était perçue comme prometteuse. La région recèlerait un potentiel de production de 40 ans atteignant 280 000 barils par jour en 2015. Mais à ce prix, Petro-Canada se tâte le pouls. Vaut-il la peine de lancer le projet dans son intégralité ? La compagnie se donne jusqu’à la fin de 2008 pour une décision finale. Aux nouveaux coûts de production, l’analyste Andrew Potter estime que le projet de Petro-Canada ne génèrerait une rentabilité de 10% après impôts que si le baril du pétrole se transige à 100 dollars américains le baril. Or, selon les estimations d’UBS, le prix d’équilibre à long terme pour le pétrole serait de 96 dollars américains le baril. La question ne se pose pas uniquement pour Petro-Canada, mais pour l’ensemble du secteur, souligne Andrew Potter. «Les coûts d’exploitation de tous les projets devraient être revus à la hausse, les compagnies pourraient remettre à plus tard certains projets ou en réduire l’ampleur». Au final, «c’est la valeur d’ensemble de l’activité d’exploitation des sables bitumineux qui est érodée», affirme-t-il.
  15. Petro-Canada annonce avoir augmenté d'au moins 50% l'évaluation initiale des coûts de son mégaprojet d'extraction de sables bitumineux dans le nord de l'Alberta. Pour en lire plus...
  16. Combien valent les ressources naturelles du Canada ? * Olivier Schmouker, Lesaffaires.com * 11:14 Les sables bitumineux canadiens sont évalués à 342 milliards de dollars. L’ensemble des ressources naturelles du Canada sont estimées à 1,3 billion de dollars, selon Statistique Canada. Pour donner un ordre d’idée de ce que vaut cette somme astronomique, c’est à peu près équivalent à ce que les ménages américains ont perdu en valeur durant les trois premiers mois de 2008, d’après un rapport de la Réserve fédérale américaine. 18% du patrimoine canadien La valeur des actifs en bois, en ressources énergétiques et en ressources minérales du Canada a augmenté de 5% en 2007. Cela représente plus de 18% du patrimoine total du Canada. L'évolution de la valeur de ces actifs a varié d'une catégorie de ressources à l'autre. La valeur des ressources en bois a reculé de 4%, celle des ressources énergétiques est demeurée constante, tandis que celle des ressources minières a bondi du tiers. > Bois La valeur des réserves de ressources en bois a diminué de 4% en un an, après avoir connu un recul comparable en 2006. Elle se chiffre maintenant à 263 milliards de dollars. La diminution des exportations de bois d'oeuvre vers les États-Unis, la vigueur du dollar canadien pourraient expliquer une bonne part de cette baisse, selon Statsitique Canada. > Énergie La valeur des actifs énergétiques a connu une hausse infime en 2007 pour atteindre 735 milliards de dollars. La hausse de la valeur des sables bitumineux et du pétrole brut a été contrebalancée par le fléchissement de celle du gaz naturel et du charbon. La valeur des sables bitumineux a crû de 7%, à 342 milliards de dollars, ce qui reflète l'importance économique croissante que revêt cet actif, qui, à lui seul, représente la moitié de la valeur totale des actifs énergétiques et le quart de la valeur de tous les actifs en ressources naturelles. Les cours élevés du pétrole et l'accroissement des réserves développées activement ont plus que compensé la hausse sensible des coûts d'exploitation et du coût du capital se rattachant à l'extraction de ces sables. La valeur des réserves de pétrole brut conventionnel a augmenté de 4%, principalement en raison de la hausse des prix, qui a plus que compensé l'augmentation des coûts de production. À titre de comparaison, la valeur des réserves de gaz naturel a diminué de 10% en raison de la baisse des prix et de la hausse des coûts de production. > Mines et métaux La valeur des actifs en ressources minières a bondi de 33% en un an pour atteindre 273 milliards de dollars. Ce bond est attribuable à l'augmentation des prix, notamment ceux de l'uranium et du plomb, qui ont plus que doublé. La valeur de la plupart des autres minéraux a enregistré des hausses d'au moins 10%.
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