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17 résultats trouvés

  1. Inquiets dans l'avenir du secteur bancaire et des effets réels qu'aura le plan de relance de l'économie américaine, les investisseurs se réfugient dans le secteur de l'or. Pour en lire plus...
  2. Les grands acteurs du marché pétrolier, qu'il s'agisse de spéculateurs, de pétrolières ou encore de gouvernements, profitent à l'heure actuelle des prix très bas de l'or noir pour engranger d'importantes réserves. Pour en lire plus...
  3. Les représentants de 27 pays producteurs et consommateurs de pétrole réunis à Londres tentent de trouver des solutions pour endiguer l'effondrement des prix de l'or. Pour en lire plus...
  4. Dans la tempête économique actuelle, l'or tient le coup mieux que les autres commodités même s'il reste en situation corrective. Pour en lire plus...
  5. À Deschambault-Grondines, comté de Portneuf, l'usine est considérée comme une bénédiction. Pour en lire plus...
  6. Avec un baril tantôt à 85$US, tantôt à 147$US, le pétrole a connu une autre année mouvementée en 2008. Le marché de l'or noir devrait toutefois se calmer au cours des prochains mois. Pour en lire plus...
  7. Le dollar américain baisse suite à l'intervention concertée de six banques centrales de 180 milliards de dollars, faisant monter le cours du pétrole et de l'or. Pour en lire plus...
  8. Oyu Tolgoi, la Colline turquoise, devrait avoir la capacité de produire un million de tonnes de cuivre par an, ainsi que de l'or, représentant une manne pour ce pays pauvre du nord de l'Asie Pour en lire plus...
  9. Le numéro un mondial de l'or achète un petit producteur d'énergie pour se protéger contre les fluctuations des prix sur le marché. Pour en lire plus...
  10. L'or noir pâtit en raison du redressement continu du dollar américain, qui dissuade les investisseurs étrangers à acheter des matières premières. Pour en lire plus...
  11. Le numéro un parmi les aurifères enregistre des profits en hausse de 22% au deuxième trimestre, mais ne répond pas aux attentes. Pour en lire plus...
  12. Le Québec agité par une nouvelle ruée vers l'or Ludovic Hirtzmann 21/07/2008 | Mise à jour : 07:49 | . Alors que l'once d'or vaut près de 1 000 dollars, l'Abitibi-Témiscamingue est en pleine effervescence. Les habitants de la ville de Malartic, située sur un gisement, déménagent. Montréal Le 9 juillet dernier, à cinq heures du matin, des camions de la compagnie minière canadienne Osisko ont déménagé les deux premières maisons d'un quartier résidentiel de Malartic, une bourgade de 4 000 habitants, située à 600 kilomètres au nord de Montréal. Osisko a découvert l'été dernier un gigantesque gisement de 8,4 millions d'onces d'or, précisément sous un quartier de Malartic. Les Québécois ont décidé de déplacer leurs habitations pour permettre à Osisko d'exploiter une mine à ciel ouvert dont la durée de vie est estimée à vingt ans. Près de 200 maisons seront déplacées au cours des dix-huit prochains mois. L'entreprise minière montréalaise devra de plus reconstruire une école, une maison de retraite et une garderie. Au Québec, les maisons sont en bois et une opération de déplacement d'un quartier entier est relativement facile. « C'est l'aboutissement d'une longue période de consultation avec les résidents et les élus », a déclaré le président et chef de la direction d'Osisko, Sean Rosen. Hausse de la valeur des maisons Le déménagement du quartier de Malartic coûtera 82 millions de dollars à Osisko. La société versera une petite prime de 5 000 dollars aux habitants qui ont accepté de déménager. Certains propriétaires ont préféré vendre leur demeure à Osisko. Si, selon la direction de la société minière, près de 95 % des expropriés ont approuvé l'entreprise, le projet ne fait pas l'unanimité. Une habitante, Rachel Rivard, a déploré que le processus d'expropriation ait déjà commencé alors que, s'est-elle plainte au quotidien montréalais La Presse, « les études d'impact ne sont pas encore terminées ». Ce n'est qu'à l'automne, après une série d'audiences publiques et un avis du ministère de l'Environnement, qu'Osisko saura si elle a le feu vert pour l'exploitation minière. Le maire de Malartic, Fernand Carpentier, confie au Figaro que « seuls huit citoyens n'ont pas accepté pour l'instant de déménager. Pourtant, les conditions sont avantageuses. Osisko paie 25 % de plus que le prix du marché à ceux qui veulent vendre. Pour les autres, les maisons sont placées sur des terrains plus grands ». Malartic est une ville minière, née d'un gisement découvert en 1935 et exploité jusqu'en 1985. *En Abitibi-Témiscamingue, une ré*gion* grande comme deux fois la Belgique, peuplée d'environ 150 000 personnes, la hausse des cours du métal jaune a mené de nombreuses compagnies minières à multiplier les prospections depuis deux ans. Fernand Carpentier ajoute que « 400 emplois seront créés, avec une priorité donnée aux gens de Malartic. C'est une bonne affaire pour notre ville. Depuis l'annonce du projet il y a deux ans, la valeur des maisons a augmenté de 35 % ». Dans les années trente, l'Abitibi-Témiscamingue avait déjà connu une fièvre de l'or. L'une des principales villes de la région s'appelle d'ailleurs Val d'Or. Le vice-président des finances d'Osisko, Bryan Coates, optimiste, conclut : « On espère faire couler l'or vers la fin de 2010. » http://www.lefigaro.fr/matieres-premieres/2008/07/21/04012-20080721ARTFIG00235-le-quebec-agite-par-une-nouvelle-ruee-vers-l-or-.php
  13. Le numéro un mondial de l'or a haussé de 12,5% son offre d'achat sur ce groupe pétrolier canadien pour la porter à 410 M$ canadiens. Pour en lire plus...
  14. Les prix de l'or noir ont poursuivi leur reflux, mardi, chutant de plus de 5 $ le baril, sur fond de craintes de recul de la consommation mondiale. Pour en lire plus...
  15. Pendant que les consommateurs passent à la caisse, d’autres encaissent les larges profits engendrés par un baril de pétrole qui explose à chaque jour. Pour en lire plus...
  16. La stagflation fait déjà des siennes 17 juin 2008 - 07h11 La Presse Rudy Le Cours Le soudain repli du billet vert américain a dopé à nouveau hier le prix de plusieurs produits de base, de même que la Bourse de Toronto dont la moitié de l'indice carbure aux ressources naturelles. Un très mauvais chiffre sur la production manufacturière dans l'État de New York a été très mal accueilli par les cambistes en début de séance. «En l'espace de 15 minutes, notre monnaie a gagné plus de soixante centièmes contre le billet vert», note Frédéric Mayrand, vice-président principal et chef cambiste chez BNP Paribas. Il a terminé en hausse de 64 centièmes, à 97,80 cents US. La recrue de faiblesse du dollar américain a amené investisseurs et spéculateurs à se réfugier sur le marché des produits de base. Le pétrole a enregistré un nouveau record à 139,89$US le baril dans les minutes qui ont suivi. L'engouement pour l'or noir était aussi motivé par l'annonce d'un incendie sur une plate-forme de forage norvégienne qui pompe 150 000 barils par jour. L'or noir a par la suite tout perdu ses gains, sur la foi de la déclaration d'un haut fonctionnaire des Nations unies. On lui aurait confié que l'Arabie saoudite s'apprêtait à porter sa production quotidienne à 9,7 millions de barils, soit 200 000 de plus que maintenant. D'autres produits de base ne se sont pas repliés cependant. La demande pour le coton, dont les États-Unis sont le premier exportateur mondial, s'est soudain raffermie. Le cours du maïs s'est aussi envolé vers un nouveau sommet, par suite des fortes inondations en Iowa qui mettent en péril une partie de la récolte. Le Midwest américain a reçu un déluge de 30 centimètres la semaine dernière. Enfin, la nouvelle que la production industrielle chinoise turbinait au rythme annuel de 16% le mois dernier a poussé le prix du cuivre à un pic de six semaines. Le sommet des ministres des Finances du G-8 au Japon durant le week-end a d'ailleurs fait ressortir que la cherté des produits de base supplante désormais l'assèchement du crédit comme leur préoccupation principale. L'inquiétude est d'autant plus grande qu'elle survient au moment où l'économie occidentale s'essouffle. Banni pendant des années, le mot stagflation revient désormais fréquemment dans les analyses des économistes. Presque tous les grands marchés boursiers pâtissent de cette situation, hormis quelques-uns dont le canadien. Hier à Toronto, le maître-indice S&P/TSX a connu une bonne performance en engrangeant un gain de 165,82 points à 14 944,28 points. En milieu de séance, il s'est même aventuré quelques minutes au-dessus de la barre des 15 000. Il a fléchi sans arrêt par la suite, à mesure que l'or noir rendait ses gains. Les grands indices américains ont connu une séance quasi étale. «Le monde boursier n'en est pas à une bizarrerie près cette année, constate Vincent Delisle, stratège chez Scotia Capitaux. La Bourse recule de 8% aux États-Unis et de 15% environ en Europe. Au Canada, 75% des titres de l'indice perdent 10% depuis un an. Heureusement qu'on a des RIM, Potash, EnCana et autres Suncor.» Les sociétés qui composent l'indice new-yorkais S&P 500 devraient enregistrer une troisième baisse d'affilée de leurs profits, ce printemps. Cela est dû à la fois au ralentissement de l'économie qui limite la progression des ventes et à la montée des prix des composantes qui comprime la rentabilité. Ce matin, la publication de l'Indice des prix des produits industriels en mai devrait montrer un bond d'un point de pourcentage, selon la prévision des experts sondés par Bloomberg. Tout ne peut être refilé au consommateur dont les revenus ont peu augmenté depuis un an. «Les dépenses en énergie représentent plus de 6% des salaires. C'est davantage que durant le choc pétrolier de 1973-1974, fait remarquer Sherry Cooper, vice-présidente et économiste en chef chez BMO marchés des capitaux. L'inflation semble un problème potentiel plus important que la récession. La perspective d'une version modérée de la stagflation pour le restant de l'année se dessine.» http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080617/LAINFORMER/806170779/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
  17. Une découverte qui vaut de l'or Plus d'info Nouvelles Osisko roule sur l'or Nouvelle du 5 juillet 2007 Audio et Vidéo Les explications de Francis Labbé Dernières nouvelles [ Politique ] – Parti conservateur du CanadaUn diplomate dans Outremont [ Science et santé ] – VIH/sidaUne nouvelle voie de recherche s'ouvre [ International ] – Inondations au Royaume-UniVaste opération d'urgence (archives) La petite ville de Malartic en Abitibi-Témiscamingue est assise sur un véritable gisement d'or. Une découverte tellement importante que la compagnie minière Osisko souhaite y exploiter la plus importante mine à ciel ouvert au Canada. Pour réaliser cet ambitieux projet, il faudra toutefois déménager tout un quartier, soit près de 180 maisons et cinq institutions. Même si le projet n'est pas officiel, plus de 40 millions de dollars ont déjà été investis par Osisko. La compagnie minière a dernièrement annoncé que les réserves d'or estimées sont plus importantes que prévu. Plusieurs étapes restent toutefois à franchir, dont la réalisation d'une étude de faisabilité, d'une étude des impacts d'environnementaux et un échantillonnage intensif. D'ici le début de l'exploitation, les citoyens touchés par le projet auront le choix de déménager leur résidence dans un tout nouveau quartier situé plus au nord ou encore d'accepter un dédommagement financier pour la destruction de leur propriété. Certains résidents de l'endroit croient cependant que le projet se fait au détriment des citoyens. Le maire de Malartic, Fernand Carpentier, se réjouit de cette importante découverte. « Ça va être le plus gros payeur de taxes de la municipalité. Ça pourrait jouer entre 250 000 $ et 400 0000 $ par année », affirme-t-il. Cette mine, qui serait un projet d'envergure mondiale aux dires d'Osisko, pourrait être exploitée durant 13 années. Si les procédures en vue de l'exploitation avancent comme prévu, la production débuterait en 2010.
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