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Autoroute - Pont de la 25 (2011)


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Tout est toujours trop haut ou trop gros ou on doit TOUT protéger en ville, mêmes des édifices en tole qui sont abandonnés depuis plus de 30 ans et qui sont en ruine!

 

Légère exagération ici...

 

Moi, je trouve plutôt qu'une ville où on autorise encore de nos jours des choses telles que la démolition d'une église de 143 ans et d'une maison typiquement victorienne de 137 ans (tous deux bâtiments en état parfaitement sauvable) ne protège justement PAS assez son patrimoine bâti... et donc, que PLUS de chiâlage est donc justifié.

 

En ce qui me concerne personnellement, je n'ai plus de temps à perdre à "chiâler" mais je suis bien content que d'autres le fassent.

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137 et 143 ans c'est des poussières :P

 

On rirait de nous en europe (mais on est pas en europe).

 

Justement, comme tu l'as toi-même fait remarquer, on n'est pas en Europe. :P Sur notre continent, c'est vieux.

 

Phoenix (4 millions d'habitants) n'a même pas ça, 143 ans... Seattle en a à peine 150... etc.

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Les gens surestiment largement les dates de construction des immeubles dans la plupart des grandes villes en Europe, en fait, il y a très peu de chose hormis les églises qui datent d'avant le milieu du 19ème siècle. À Paris par exemple, seul le quartier du Marais a plus de 200ans, 95% du reste datant de la fin du 19ème siècle et a "à peine" 100ans. Même chose pour le centre de Vienne où les batisses d'avant 1800 sont en fait très rares et couvriraient un espace à peine plus grand que le vieux Montréal. Alors oui, 150 ans pour un batiment en Amérique du Nord, c'est rare, exceptionnel et ça mérite d'être protégé.

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Encore une bonne nouvelle aujourd'hui:

 

Radio-Canada

 

Revers pour les écologistes

 

Le juge Robert Mongeon a rejeté, mardi après-midi, la requête en injonction que trois groupes écologistes avaient présentée la semaine dernière.

 

Avec leur démarche en Cour supérieure, Greenpeace, Équiterre et le Conseil régional de l'environnement de Montréal cherchaient à faire cesser les travaux de parachèvement de l'autoroute 25, entre Laval et Montréal.

 

Selon le juge, les travaux qui ont commencé il y a quelques semaines ne sont que préparatoires.

 

Le dossier n'est pas terminé pour autant.

 

Les trois groupes écologistes comptent maintenant sur le procès qu'ils ont intenté contre Québec et son partenaire privé Concession A25, procès qui doit commencer le 2 juin prochain.

 

"Je pense que rien n'est joué encore, au contraire, le procès va être extrêmement utile." — André Porlier, directeur général du Conseil régional de l'environnement de Montréal

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Je peux vous dire que les travaux du côté de Laval aux coins de la Monté Masson et la 440 les travaux n'ont pas arreté depuis la fin fevrier. C'est certain que c'est mineure comparé aux passages à niveau qui ont été construits en 2007 mais tant que ça bouge!

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La Cour ne stoppe pas les travaux de la 25

par Nathalie Villeneuve - Courrier Laval, 20 mars 2008

 

Les environnementalistes qui ont sollicité l'arrêt provisoire des travaux de la 25 ont été déboutés par un juge de la Cour supérieure hier. L'issue du procès de juin n'est pas mise en doute par cette décision, précise-t-il.

 

La requête déposée le 11 mars par le Conseil régional de l'environnement (CRE) de Montréal, Équiterre et Greenpeace visait à suspendre les travaux préparatoires amorcés le 20 février, dans la bande riveraine et le littoral de la rivière des Prairies.

 

Ces travaux constituent la première étape de la construction du pont de l'autoroute 25. Le juge Robert Mongeon, de la Cour supérieure, estime qu'ils sont déjà passablement avancés et qu'ils ne constituent pas une menace pour l'environnement. Dans l'état actuel des choses, il est même préférable de continuer, explique-t-il.

 

Déjà, le décret gouvernemental de 2005, donnant le feu vert au projet autoroutier, prévoit la suspension des travaux entre le 1er avril et le 1er août.

 

Cette condition vise à protéger les poissons de la rivière pendant la période de frai. L'esturgeon jaune, une espèce menacée, est notamment visé.

 

Or, les travaux en cours incluent l'érection d'une cloison pour protéger la fosse à esturgeon des éboulements de pierres de la jetée nouvellement construite.

 

Le juge Mongeon est d'avis que ces travaux «ne sont pas de nature à [...] rendre inutile le procès du 2 juin, et, encore moins, le jugement qui interviendra».

 

Cette déclaration fait dire au directeur du CRE Montréal, André Porlier, que «les jeux ne sont pas encore faits». (N.V.)

 

Source

http://www.courrierlaval.com/article-194697-La-Cour-ne-stoppe-pas-les-travaux-de-la-25.html

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