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:goodvibes: La disparition du Medley est un signe avant-coureur d'une transformation majeure du quartier de la Santé qui prendra un essor important avec la construction du CHUM. Beaucoup de services reliés à la vocation de ce super hôpital viendront s'ajouter dans ce secteur, qui en plus attirera beaucoup de nouveaux résidents qui voudront se rapprocher de leur travail.

 

Il y a déjà beaucoup de terrains vacants ou sous-utilisés dans ce coin de la ville. Ces nombreux espaces pourront garantir l'arrivée de nombreux projets sans toutefois devoir démolir les ilots d'habitations présents qui assurent déjà une population résidente stable à cette partie du centre-ville.

 

On peut par surcroit imaginer l'effet d'entrainement qu'aura le super hôpital en attirant des activités de toutes sortes et complémentaires à sa destination première: la recherche et des services plus pointus de soins hospitaliers. Pas de doute cet immense projet qui tarde à sortir de terre deviendra une force structurante pour ce coin de la ville qui aura un effet immédiat, une fois en marche, sur l'ensemble du secteur.

 

J'accueille donc la disparition de ce lieu mythique comme un bonne nouvelle pour l'avenir de la ville. Quant à l'institution elle-même elle trouvera bien un endroit propice à son développement si elle souhaite survivre. Et bien sûr il faudra trouver un lieu permanent à l'autre institution qu'est la LNI qui a gagné le respect et la reconnaissance des instances culturelles après toutes ses années d'existence et de succès international.

 

On arrête pas le progrès mais on peut bien le diriger pour qu'il prenne tout son sens.

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Garou et ses associés rêvent d'une salle de 5000 sièges

9 novembre 2009 | 14h23

 

Argent a appris que le chanteur Garou et ses partenaires d’affaires sont prêts à lancer une nouvelle salle de spectacles dans la métropole lorsqu’ils auront complété la vente du Medley. Le trio d’investisseurs aimerait construire une salle de 4 000 à 5 000 sièges pour concurrencer le Théâtre du Centre Bell et attirer des productions internationales.

 

«Montréal a besoin d’une salle multifonctionnelle de 5 000 places», a expliqué Paul Matte, copropriétaire du Medley, soulignant qu’il plongera dans l’aventure si le gouvernement investit dans le projet. «Je vois pas pourquoi Québec investirait pas», a ajouté l’homme d’affaires, précisant que le gouvernement a avancé une centaine de millions pour la construction de l’Adresse symphonique, future salle de l’Orchestre symphonique de Montréal. Selon Paul Matte, la construction d’une salle de 5 000 sièges pourrait nécessiter un investissement d’environ 20 M$.

 

La direction du Medley a annoncé vendredi dernier qu’elle va fermer la salle de la rue St-Denis le 31 décembre prochain. «Il n’y a pas assez d’événements pour occuper les salles de 500 à 1 200 sièges», a exprimé Paul Matte, soulignant que les rénovations réalisées à l’Olympia et au Théâtre Telus ont plombé la performance du Medley.

 

L’ancien Vieux Munich accueille 150 à 180 événements par année, ce qui est insuffisant pour assurer sa rentabilité. La désuétude de l’immeuble centenaire a aussi poussé Garou et ses partenaires à renoncer au Medley car la modernisation des installations auraient coûté près d’une dizaine de millions de dollars.

 

La disparition de l’amphithéâtre de la LNI attriste Jacques K. Primeau, vice-président du Partenariat du Quartier des spectacles. «C’est jamais une bonne nouvelle de voir une salle fermer», a-t-il commenté, déplorant que les salles privées ne soient pas à l’abri de la spéculation foncière.

 

Les propriétaires du Medley poursuivent d’ailleurs des discussions avec un promoteur immobilier qui veut construire des condos sur le site de la salle de spectacle. La propriété situé au coin de la rue St-Denis et du Boulevard René-Lévesque est évaluée à un peu plus de 2 M$. La valeur marchande de l’immeuble est peu élevée, seulement 325 000$ mais le terrain de 20 000 pieds carrés est évalué à 1,69 M$.

 

«Je suis pas convaincu que le Medley était de trop», a conclu M. Primeau, en se demandant si tous les locataires de la salle, dont la LNI, vont parvenir à se trouver une nouvelle scène

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20 Millions pour une salle de 5000 sièges, voyons donc, ils rêvent en couleur, ça coute beaucoup plus cher que ça de construire une salle de cette grandeur. Avec 20 millions, tu creuses un trou, tu fait des fondations et c'est tout! Qu'ils s'engagent un estimateur, et pourquoi téter le gouvernement, avec notre super déficit c'est pas trop le temps. qu'ils trouvent leur financement, pour le reste, l'idée d'une salle de 5000 places comblerait un marché peu exploité à Montréal.

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:silly: Bien quoi? Ils font comme tout le monde des affaires aujourd'hui, se chercher une subvention pour diminuer le risque et cela a toujours marché jusqu'ici... Même quand ils ont les poches pleines ils agissent comme des mendiants en demandant l'aumône auprès du public et des gouvernements. Ça ne les gêne même pas, les pauvres, aveuglés par leur cupidité!!!!!!

 

Toutefois ils sont moins prêts à partager les revenus et les profits, ces choses là ne se partagent pas, c'est la récompense des investisseurs. Prenez les acheteurs du Canadien, au début ils n'avaient pas besoin de subvention, mais en y repensant ils sont revenus la main tendue comme des sans-abris et le gouvernement a honteusement fourni dans ce marché de dupe.

 

Peut-être est-il temps de changer les règles du jeu: chaque subvention donnerait droit à l'équivalent en valeur foncière ou en part de marché au gouvernement à titre de partenaire ou deviendrait une dette à rembourser une fois la rentabilité acquise.

 

Autrement la population passe deux fois à la caisse, par ses impôts en subventionnant grassement le promoteur et une deuxième fois en utilisant le service qui, lui, est calculé à pleine valeur même s'il a déjà été subventionné à l'origine.

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Prenez les acheteurs du Canadien, au début ils n'avaient pas besoin de subvention, mais en y repensant ils sont revenus la main tendue comme des sans-abris et le gouvernement a honteusement fourni dans ce marché de dupe.

 

Je suis prèsque sûr que c'était un prêt...que les propriétaires devront repayer AVEC Intérêts!!

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Le meneur du Syndicat Bancaire des Molson est la Banque Nationale, avec entre autre Desjardins également présent.

 

Un des prêteur devait être CIT qui s'est placée en Chapter 11 il y a quelques semaines de cela. C'est la portion de CIT qui provient d'investissement quebec

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