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Nom: Le Métropol

Hauteur: 16 étages

 

Promoteur: Samcon

Architectes: Groupe IBI-DAA Architectes | Marco Manini Architecte

Emplacement: René-Lévesque / Saint-Denis

 

Début de construction: début 2012

Fin de construction: 2013

 

Autres informations: construction de 193 appartements en copropriété

 

Site Internet: http://www.lemetropol.ca/

 

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  • 1 mois plus tard...
  • Administrateur

Clinique privée de 100 millions en face du CHUM

 

Le Devoir

Kathleen Lévesque

Édition du jeudi 04 septembre 2008

 

Mots clés : Garou, Medley, CHUM, Hôpital, Québec (province), Montréal

 

Garou transformera le Medley en complexe de santé avec services de proximité et condotel

 

La construction du futur CHUM suscite beaucoup d'impatience mais également un certain engouement chez des investisseurs privés. Le chanteur populaire Garou projette de développer, juste en face de l'actuel hôpital Saint-Luc, un complexe de santé privée avec cliniques, services de proximité et peut-être condotel, a appris Le Devoir.

 

Le projet, qui pourrait représenter des investissements allant jusqu'à 100 millions de dollars, prendrait place à l'angle des rues Saint-Denis et René-Lévesque. L'immeuble abrite actuellement le Medley, une salle de spectacles et d'événements dont Garou est l'un des propriétaires.

 

Joint hier après-midi, l'homme d'affaires s'est montré enthousiaste. «Là où je me suis impliqué, c'est sur l'idée d'offrir un complexe vivant. Souvent, ce qui se passe dans un hôpital et autour, c'est triste. Alors moi je veux un côté entertaining là-dedans, avec un restaurant, par exemple. Je veux que ce soit le building de l'espoir», a-t-il affirmé.

 

Pour l'instant, Garou est entouré d'une petite équipe pour faire avancer le projet, composée notamment de ceux avec qui il brasse déjà des affaires au Medley ou dans ses restaurants. Des partenaires financiers se joindront éventuellement au groupe.

 

À cette étape-ci, on s'attelle surtout à la définition du complexe. Et les possibilités sont vastes, a fait valoir Garou. On y retrouverait bien sûr des services médicaux. Des discussions sont en cours avec la direction du CHUM à ce sujet, ce que confirme le centre hospitalier. On rappelle toutefois que le CHUM sera érigé sur un seul site.

 

Garou explique que le CHUM est très intéressé à son projet, où le complexe de santé est vu comme un complément aux services qui seront assurés par le futur hôpital. «On nous intègre presque dans le projet, a lancé Garou. Ils sont allés jusqu'à nous dire que l'on faisait partie de la solution.» Cela pourrait signifier que le complexe de santé privée offre des services écartés par le projet du CHUM, qui se concentrera sur les soins tertiaires et quaternaires.

 

Outre les services médicaux, des appartements, des chambres d'hôtel ou des condotels pourraient occuper les étages supérieurs de l'immeuble. Rien n'a encore été confirmé. Cette même idée est développée dans le projet de la gare-hôtel Viger, à un jet de pierres de là. Les promoteurs de Viger souhaitent offrir des logements haut de gamme, notamment aux familles dont un membre reçoit des soins au CHUM.

 

Garou veut également que la clientèle de l'hôpital puisse retrouver dans son complexe des services de proximité comme un restaurant à l'ambiance chaleureuse. En souterrain, 750 places de stationnement sont prévues. «Le parking est une denrée rare dans le secteur, et le CHUM nous a dit que nous pourrions aider à solutionner leur problème de stationnement.[...] Les gens du CHUM aimeraient bien que l'on fasse notre projet en amont du leur. Pour le parking, ce serait une bonne chose», a-t-il précisé.

 

De fait, le CHUM est aux prises avec un manque de stationnement pour la période que dureront les travaux de construction, et ce sera également le cas une fois la construction terminée. C'est l'un des très nombreux problèmes qui se posent pour le CHUM, dont les coûts, les délais et le concept architectural n'ont toujours pas été déterminés. Les détails du projet ne se préciseront qu'avec le choix du partenariat privé qui construira l'hôpital et l'entretiendra durant plus de 30 ans.

 

L'équipe de Garou a également établi des contacts avec la Ville de Montréal, question de connaître les étapes du processus réglementaire nécessaire à la construction du complexe de santé. Dans l'immédiat, aucun projet formel n'a été déposé.

 

Garou est conscient que l'ouverture de plus en plus grande au privé en santé suscite beaucoup de débats et de critiques dans la population. «C'est un sujet délicat. Mais il y a moyen de bien faire les choses», croit-il.

 

«Ma préoccupation, c'est d'offrir le bon service. J'aurai forcément des partenaires avec un esprit plus mercantile, mais pour l'instant je veux m'assurer que ça se passe bien. Je sais que ce n'est pas moi qui va avoir la solution sur ce débat-là. [...] Il y a une harmonie à créer entre le public et le privé, mais il ne faut pas que ça brime le public», a-t-il indiqué avec prudence.

 

L'ouverture, l'an dernier, de la clinique de santé privée avec bloc opératoire Rockland MD avait suscité beaucoup de débats passionnés. Depuis, cette clinique qui prend l'allure d'un mail commercial, avec différents services de santé de part et d'autre du corridor central, s'est affiliée à l'hôpital Sacré-Coeur et son existence ne semble plus susciter de résistance.

 

D'autres projets privés pointent à la faveur des modifications apportées à la Loi sur la santé, qui fait une plus grande place au privé. L'un des partenaires du quartier commercial Dix30, au sud de Montréal, le Fonds d'investissement de placement immobilier des familles Bombardier et Beaudoin, a sur sa table à dessin un centre médical planté parmi des rangées de boutiques.

 

Tous ces mouvements ont été enclenchés après que le gouvernement libéral a légiféré pour se conformer au jugement de la Cour suprême sur l'affaire Chaouli. Du coup, le gouvernement devait permettre un accès à des assurances santé privées.

 

Ces changements ont été orchestrés par l'ancien ministre de la Santé, Philippe Couillard. Grand défenseur du système public de santé lorsqu'il était en politique, M. Couillard a démissionné en juin dernier et s'est joint récemment à l'entreprise Persistance Capital Partners (PCP), un fonds d'investissement privé en santé.

 

http://www.ledevoir.com/2008/09/04/203915.html (4/09/2008 9H34)

Modifié par mtlurb
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Merci Gilbert, comme le projet me semblait plutôt incertain, je n'avais pas osé lui créer un fil dédié. Par contre, comme le fil du CHUM s'en vient un peu lourd, peux-être serait-il intéressant de créer un fil qui se divise en plusieurs fils(comme pour le quartier des spectacles) pour tous ce qui entoure le CHUM (il pourrait avoir un sous-fil pour ce projet, un pour le centre de recherche, un pour le projet comme tel (sans toutes les discussions accessoires), un autre fil pour toute la saga politique, ...).

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"On vend le nouveau CHUM par morceaux à des projets privés"

MONTREAL, le 4 sept. /CNW Telbec/ - Le nouveau CHUM n'a pas encore vu le

jour qu'il faut déjà trouver des solutions aux problèmes anticipés.

L'administration du CHUM en est tellement consciente qu'elle ouvre la porte à

des projets complémentaires privés. La nouvelle du développement d'un complexe

de santé privé à voir le jour en face du CHUM fait écho aux propos tenus par

la Fédération des médecins spécialistes du Québec (FMSQ) quant aux nombreuses

lacunes entourant la construction du nouveau CHUM prévu au

1000, rue Saint-Denis.

"L'annonce de ce projet privé confirme ce que nous avons rendu public

récemment et nous sommes convaincus qu'il y a d'autres projets privés qui

profiteront des lacunes du projet du CHUM" a réagi le président de la FMSQ,

Dr Gaétan Barrette. "Ce qui est pire encore, c'est que ces projets privés se

feront avec la bénédiction de l'administration du CHUM".

Le Dr Barrette a reçu de nombreuses réactions de la part de ses membres

qui sont outrés de voir que leur administration troque les besoins essentiels

d'un hôpital universitaire pour un hôpital qui, le jour de son ouverture, ne

sera pas de taille et fera en sorte que l'accessibilité aux soins de médecine

spécialisée ne sera pas optimale. "Nous savons aujourd'hui que

l'administration du CHUM vend le nouveau CHUM par morceaux à des projets

privés et cela est inacceptable" de dire le président de la Fédération.

Pour la FMSQ, le futur CHUM doit impérativement répondre à cinq critères,

cinq ingrédients incontournables d'un hôpital universitaire qui se respecte et

qui rencontre les standards reconnus et appliqués dans les hôpitaux de même

calibre partout dans le monde.

 

<<

- Il doit avoir la taille appropriée, notamment comporter une masse

critique de lits et des plateaux techniques appropriés pour répondre

aux besoins futurs de la population;

- Il doit permettre l'attraction et surtout la rétention du personnel

hospitalier;

- Il doit être accessible pour tous les patients qui viendront de

Montréal et de partout au Québec;

- Il doit allier dans un lieu de proximité l'enseignement universitaire

et la formation, non seulement des futurs médecins, mais de l'ensemble

des professionnels de la santé;

- Il doit permettre d'assurer la pérennité de son développement futur.

>>

 

La société québécoise mérite un centre hospitalier universitaire dont les

capacités et les paramètres pourront se comparer avec ce qui se fait ailleurs

dans le monde. La FMSQ en appelle au bon sens de toute la classe politique,

tant sur la scène québécoise que municipale pour réaliser un hôpital

universitaire, dont le Québec sera encore fier dans 10, 20 ou 30 ans."

 

La Fédération des médecins spécialistes du Québec regroupe plus de

8 000 membres au Québec, répartis dans 35 spécialités médicales. Seul

organisme reconnu par le gouvernement pour la négociation d'ententes

collectives, la FMSQ est également consultée pour tout ce qui touche

l'organisation des soins médicaux au Québec.

 

 

 

Renseignements: Nicole Pelletier, ARP, Directrice des Affaires publiques

et des Communications, Ligne média: (514) 350-5160

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Kathleen Lévesque

Édition du jeudi 04 septembre 2008

 

Garou transformera le Medley en complexe de santé avec services de proximité et condotel

 

La construction du futur CHUM suscite beaucoup d'impatience mais également un certain engouement chez des investisseurs privés. Le chanteur populaire Garou projette de développer, juste en face de l'actuel hôpital Saint-Luc, un complexe de santé privée avec cliniques, services de proximité et peut-être condotel, a appris Le Devoir.

 

Le projet, qui pourrait représenter des investissements allant jusqu'à 100 millions de dollars, prendrait place à l'angle des rues Saint-Denis et René-Lévesque. L'immeuble abrite actuellement le Medley, une salle de spectacles et d'événements dont Garou est l'un des propriétaires.

 

Joint hier après-midi, l'homme d'affaires s'est montré enthousiaste. «Là où je me suis impliqué, c'est sur l'idée d'offrir un complexe vivant. Souvent, ce qui se passe dans un hôpital et autour, c'est triste. Alors moi je veux un côté entertaining là-dedans, avec un restaurant, par exemple. Je veux que ce soit le building de l'espoir», a-t-il affirmé.

 

Pour l'instant, Garou est entouré d'une petite équipe pour faire avancer le projet, composée notamment de ceux avec qui il brasse déjà des affaires au Medley ou dans ses restaurants. Des partenaires financiers se joindront éventuellement au groupe.

 

À cette étape-ci, on s'attelle surtout à la définition du complexe. Et les possibilités sont vastes, a fait valoir Garou. On y retrouverait bien sûr des services médicaux. Des discussions sont en cours avec la direction du CHUM à ce sujet, ce que confirme le centre hospitalier. On rappelle toutefois que le CHUM sera érigé sur un seul site.

 

Garou explique que le CHUM est très intéressé à son projet, où le complexe de santé est vu comme un complément aux services qui seront assurés par le futur hôpital. «On nous intègre presque dans le projet, a lancé Garou. Ils sont allés jusqu'à nous dire que l'on faisait partie de la solution.» Cela pourrait signifier que le complexe de santé privée offre des services écartés par le projet du CHUM, qui se concentrera sur les soins tertiaires et quaternaires.

 

Outre les services médicaux, des appartements, des chambres d'hôtel ou des condotels pourraient occuper les étages supérieurs de l'immeuble. Rien n'a encore été confirmé. Cette même idée est développée dans le projet de la gare-hôtel Viger, à un jet de pierres de là. Les promoteurs de Viger souhaitent offrir des logements haut de gamme, notamment aux familles dont un membre reçoit des soins au CHUM.

 

Garou veut également que la clientèle de l'hôpital puisse retrouver dans son complexe des services de proximité comme un restaurant à l'ambiance chaleureuse. En souterrain, 750 places de stationnement sont prévues. «Le parking est une denrée rare dans le secteur, et le CHUM nous a dit que nous pourrions aider à solutionner leur problème de stationnement.[...] Les gens du CHUM aimeraient bien que l'on fasse notre projet en amont du leur. Pour le parking, ce serait une bonne chose», a-t-il précisé.

 

De fait, le CHUM est aux prises avec un manque de stationnement pour la période que dureront les travaux de construction, et ce sera également le cas une fois la construction terminée. C'est l'un des très nombreux problèmes qui se posent pour le CHUM, dont les coûts, les délais et le concept architectural n'ont toujours pas été déterminés. Les détails du projet ne se préciseront qu'avec le choix du partenariat privé qui construira l'hôpital et l'entretiendra durant plus de 30 ans.

 

L'équipe de Garou a également établi des contacts avec la Ville de Montréal, question de connaître les étapes du processus réglementaire nécessaire à la construction du complexe de santé. Dans l'immédiat, aucun projet formel n'a été déposé.

 

Garou est conscient que l'ouverture de plus en plus grande au privé en santé suscite beaucoup de débats et de critiques dans la population. «C'est un sujet délicat. Mais il y a moyen de bien faire les choses», croit-il.

 

«Ma préoccupation, c'est d'offrir le bon service. J'aurai forcément des partenaires avec un esprit plus mercantile, mais pour l'instant je veux m'assurer que ça se passe bien. Je sais que ce n'est pas moi qui va avoir la solution sur ce débat-là. [...] Il y a une harmonie à créer entre le public et le privé, mais il ne faut pas que ça brime le public», a-t-il indiqué avec prudence.

 

L'ouverture, l'an dernier, de la clinique de santé privée avec bloc opératoire Rockland MD avait suscité beaucoup de débats passionnés. Depuis, cette clinique qui prend l'allure d'un mail commercial, avec différents services de santé de part et d'autre du corridor central, s'est affiliée à l'hôpital Sacré-Coeur et son existence ne semble plus susciter de résistance.

 

D'autres projets privés pointent à la faveur des modifications apportées à la Loi sur la santé, qui fait une plus grande place au privé. L'un des partenaires du quartier commercial Dix30, au sud de Montréal, le Fonds d'investissement de placement immobilier des familles Bombardier et Beaudoin, a sur sa table à dessin un centre médical planté parmi des rangées de boutiques.

 

Tous ces mouvements ont été enclenchés après que le gouvernement libéral a légiféré pour se conformer au jugement de la Cour suprême sur l'affaire Chaouli. Du coup, le gouvernement devait permettre un accès à des assurances santé privées.

 

Ces changements ont été orchestrés par l'ancien ministre de la Santé, Philippe Couillard. Grand défenseur du système public de santé lorsqu'il était en politique, M. Couillard a démissionné en juin dernier et s'est joint récemment à l'entreprise Persistance Capital Partners (PCP), un fonds d'investissement privé en santé.

 

lien : http://www.ledevoir.com/2008/09/04/203915.html

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Pourquoi ce n'est plus dans le fil "proposé" ??

 

---------------------------------

 

Peut-être à cause de ça:

 

Clinique de Garou complémentaire au CHUM

De la fabulation, selon Bolduc

La Presse Canadienne Rémi Nadeau

04/09/2008 18h49 - Mise à jour 04/09/2008 20h04

 

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Yves Bolduc, ministre de la Santé

© Jacques Boissinot/LA PRESSE CANADIENNE

 

 

 

Le projet du CHUM ne sera pas dilué au profit de cliniques privées comme celle que projette d'ouvrir à proximité du centre hospitalier le chanteur Garou, assure le ministre de la Santé, Yves Bolduc.

 

Le ministre a martelé ce jeudi que le futur Centre hospitalier de l'Université de Montréal assurera les services de santé à la population, qualifiant de «pure fabulation» les propos tenus par la vedette.

 

Garou a confié au journal Le Devoir que le CHUM percevait son projet de complexe de santé privé comme un complément aux services qui seront assurés par le futur hôpital, affirmant même qu'«on nous intègre presque dans le projet», ce qui a fait bondir le ministre.

 

«Il n'est aucunement question de diluer le projet du CHUM. Le CHUM sera un seul établissement dans lequel on va offrir tous les services», a-t-il martelé avec fermeté, en marge d'une rencontre avec les ministres de la Santé des autres provinces, à Québec.

 

«Un chanteur comme Garou dit "moi je vais faire un projet de 100 millions $ à côté", en pensant qu'on va lui transférer des opérations. C'est de la fabulation», a ajouté le ministre, selon qui «il n'est pas question de négocier à l'avance des choses comme ça».

 

M. Bolduc a minimisé le fait que la direction du CHUM ait reconnu avoir eu des contacts avec le groupe de Garou, ajoutant encore que le CHUM «n'a pas de rapport» avec une initiative commerciale comme celle de Garou, qui prévoit notamment un restaurant, des condotels et 750 places de stationnement, sur le site de l'actuelle salle de spectacle Le Medley.

 

Dans sa sortie, le ministre a écorché la presse au passage, reprochant aux journalistes d'accorder autant d'importance aux propos de quelqu'un comme Garou qui ne connaît pas le dossier du CHUM.

 

«C'est rendu que quelqu'un va faire le plein d'essence, et ce que la personne va lui dire quand il va payer, il va répéter ça à un journaliste et ça part à la première page du journal», a laissé tomber sèchement le ministre, qui ne connaissait pas l'existence du projet du chanteur.

 

Malgré la controverse qui entoure le futur méga-hôpital, Yves Bolduc a de nouveau défendu le projet, soutenant «qu'il n'est pas mal parti».

 

Plus tôt dans la journée, le président de la Fédération des médecins spécialistes du Québec, Gaétan Barrette, a reproché au CHUM de se fier à des promoteurs privés pour combler ses lacunes, après avoir pris connaissance des propos du chanteur dont le véritable nom est Pierre Garand.

 

«Un CHUM, quand on construit ça, ça doit être autonome et ne pas avoir des services connexes en face», a dit le docteur Barrette en entrevue.

 

http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2008/09/20080904-184901.html

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