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il y a 4 minutes, p_xavier a dit :

Il n'y a vraiment aucun mais aucun défi majeur à Montréal pour une ligne de ce type.

Ben tu creuseras... aussi profond que tu peux. 😄

Non mais sérieusement, tout est possible pour construire une ligne de métro souterraine au centre-ville. Ça peut bien être à une centaine de mètres sous le sol puis les gens croiraient encore à cette vision de la ligne rose. Un peu de logique tout de même...

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Le 2020-03-04 à 08:25, samuelmath a dit :

emmener plus de monde à travailler au centre-ville fait congestionner davantage le centre-ville. On le voit à Paris où les métros sont remplis à craquer deux fois pire qu'ici

 

Faudrait pas venir comparer Paris à Montréal. Paris se trouve à avoir au-dessus de 2mil d'habitants sur un territoire d'un peu plus qu'une centaine de km carré (plus les banlieues ça va au-dessus de 12mil). Le grand Montréal en a 4mil si tu comptes toutes les municipalités en périphéries répendues sur plus de 4000km carré...

Disons qu'y'a encore pas mal de place pour du transport, centre-ville ou non. Pour le moment on pourra rien y changer, les gens se déplacent vers le centre-ville. C'est vrai que ce serait intéressant de voir par exemple des efforts conjugués à Laval ou l'est et nord de Montréal, ou Longueuil pour développer des nouveaux centres financiers, technologiques et commerciaux et rediriger les transits dans différentes directions. Je sais pas à quel point c'est faisable, si c'est possible de forcer quelque chose comme ça, surtout que j'vois à l'avance les résidents rejeter l'idée de voir des tours de 100m et + dans leur quartier...

Bref, le seul moyen de changer les flux de déplacements et de balancer tout ça, ce serait probablement en créant des nouveaux ''centre-villes'', logiquement. Reste que présentement y'existe quand même un besoin pour des déplacements au centre-ville, pis les emplois en cubicule ne vont pas disparaître, si y'en a c'est parce qu'y'a un besoin et les gens qui ont ce genre d'emploi-là on fait un choix.

Reste que, concernant la situation du métro, c'qui va probablement se passer sur le plus court terme, bien avant de construire une nouvelle ligne de métro, c'est qu'après avoir vu si notre REM est fiable et efficace on va rapidement commencer à étendre le réseau vers l'est et le nord, c'qui devrait alléger le réseau de métro. C'est c'qui ferait le plus de sens, d'après moi.

Modifié par Charlemagne
précisions à propos des populations Mtl/Paris
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Le 2020-03-05 à 19:34, Charlemagne a dit :

 Pour le moment on pourra rien y changer, les gens se déplacent vers le centre-ville. C'est vrai que ce serait intéressant de voir par exemple des efforts conjugués à Laval ou l'est et nord de Montréal, ou Longueuil pour développer des nouveaux centres financiers, technologiques et commerciaux et rediriger les transits dans différentes directions. Je sais pas à quel point c'est faisable, si c'est possible de forcer quelque chose comme ça, surtout que j'vois à l'avance les résidents rejeter l'idée de voir des tours de 100m et + dans leur quartier...

Disons que c'est un peu ça l'idée, comme tu dis, d'améliorer ces secteurs d'emploi là où le métro ne passe pas vraiment. Pas nécessairement en les remplissant de gratte-ciels, mais en développant des secteurs donnant une certaine proximité entre les secteurs résidentiels et les secteurs commerciaux/industriels via le transport en commun ou à pied. Je ne sais pas si c'était le plan d'un forumeur Mtlurb ou bien un projet concret, mais de rendre accessible aux piétons la future station du REM "Côte-de-Liesse" par les rues Stinson et Deslauriers est un exemple. Cela a un potentiel pour un meilleur développement commercial et industriel dans ce secteur, peut-être en plus grande densité, un peu comme pour la station du REM "Marie-Curie".

Dans le cas de la ligne rose,  je souhaiterais plutôt que cette ligne longe le boulevard Henri-Bourassa Est, la rue Sauvé et le boulevard de la Côte-Vertu sans passer par le centre-ville. Le problème est que ces développements autour d'un nouveau métro n'arrivent pas du jour au lendamain. Pourtant une bonne partie de la population montréalaise vit entre les secteurs Montréal-Nord et Saint-Laurent et il me semble que les études origine-destination démontrent que plusieurs déplacements se font entre ces deux secteurs.

 

Modifié par samuelmath
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  • 1 mois plus tard...
On 2020-03-05 at 6:28 PM, samuelmath said:

 

Le problème est que cette ligne rose ne peut pas passer sous le sol du centre de la ville puisqu'il y a le RÉSO, le REM, les lignes de métro, le tunnel Ville-Marie, la Gare Centrale ainsi que les fondations des tours et bâtiments. Dans ce cas, les usagers de la ligne rose devront faire une correspondance avec une autre ligne de métro, ce qui mettra une charge supplémentaire. Pour ce qui est en surface, je vois mal comment une ligne de métro peut faire circuler des trains d'environ 150 mètres de longueur sur le boulevard René-Lévesque.

Je ne dis pas que gagner un faible revenu vaut mieux que vivre avec un salaire moyen, au contraire. Ma comparaison était plutôt orientée sur ces emplois ennuyants de bureau. Si trouver une job à salaire décent se résume seulement à aller travailler dans une tour au centre-ville, c'est qu'on passe à côté de la plaque. Plutôt que d'emmener plus de monde à travailler "du style sédentaire", essayons de construire du transport en commun facilitant le déplacement de passagers vers les secteurs industriels de la région montréalaise ainsi que de développer ces pôles d'emploi.

Le sous-sol de Montréal est beaucoup moins problématique que celui d'une ville comme Londres. On a de la belle roche proche de la surface. La majorité des gratte-ciels sont assis directement sur cette couche rocheuse. En autant qu'une distance de sécurité suffisante est prévu, il est possible de passer en dessous d'un gratte-ciel sans aucun problème. À Londres, c'est de la glaise marine presque partout. Les grattes-ciels sont donc assis sur une forêt de piles qui s'enfoncent plusieurs dizaines de mètres dans le sol en dessous de la semelle de fondation, et pourtant, ils ont trouvé moyen de construire un réseau de métro dans ces conditions difficiles.

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  • 5 mois plus tard...

Bureau de la ligne rose: sept études en cours à la Ville de Montréal

Journal Métro  |  Montréal  |  05:00 25 septembre 2020  |  mise à jour le: 24 septembre 2020 à 22:20 - temps de lecture: 4 minutes  |  Par:  Zacharie Goudreault, Métro

iStock-1087916094-e1576000760471.jpg?w=8
Photo: Archives | Métro  |  Le réseau du métro de Montréal.

La Ville de Montréal a mandaté plusieurs experts externes pour faire avancer divers projets de mobilité, dont la ligne rose, qui fait actuellement l’objet de sept études différentes, a appris Métro.

L’administration de Valérie Plante a recruté au cours des 12 derniers mois plusieurs experts afin d’assister la Direction des projets de mobilité durable de la Ville (DPMD). Celle-ci chapeaute notamment le bureau de projet de la ligne rose et celui portant sur la «revitalisation» de la rue Notre-Dame, en prévision du prolongement du Réseau express métropolitain (REM) dans l’est de l’île. Elle analyse aussi la possibilité de prolonger la ligne orange vers l’ouest.

Parmi les postes comblés dans les derniers mois, on compte notamment celui d’ingénieur, de chargé de projet et de consultant en planification de transport. La DPMD a aussi fait appel en mars à l’ancien directeur général de la Société de transport de Montréal, Carl Desrosiers, afin d’analyser «les différents modes de transport guidés disponibles», a constaté Métro en épluchant les contrats de la Ville.

«Nos partenaires ont des mandats complexes en cours avec la Ville, donc l’ajout de ressources [de l’externe] était nécessaire», justifie à Métro l’attachée de presse du comité exécutif, Laurence Houde-Roy.

La ligne rose en premier plan

Dans les différentes offres d’emplois qui ont mené à l’octroi de ces contrats, le projet de ligne rose revient en premier plan. Plusieurs d’entre elles décrivent d’ailleurs cette promesse électorale dans sa forme initiale, soit comme «une nouvelle ligne de métro» qui permettrait de relier Montréal-Nord à Lachine en passant par plusieurs quartiers centraux. Mme Plante a pourtant qualifié en juin 2019 le projet de création d’un tramway entre Lachine et le centre-ville de «tronçon ouest» de la ligne rose.

Par écrit, Mme Houde-Roy assure que les démarches du bureau de projet de la ligne rose «avancent bien». Celui-ci a amorcé sept études socioéconomiques qui portent notamment sur «la contribution de la ligne rose à l’équité sociale, à l’amélioration des conditions de vie et de mobilité des résidents des quartiers traversés». D’autres analyses portent aussi sur «les coûts et bénéfices des prolongements des réseaux existants», indique-t-elle.

Les études principales du projet sont toutefois assumées par l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM). Contactée par Métro, celle-ci a confirmé qu’«aucune fiche d’avant-projet n’a été déposée» à ce jour. 

«Il est trop tôt pour se prononcer sur un mode [de transport], un tracé ou une priorisation à ce stade», ajoute un porte-parole, Simon Charbonneau.

«Inexcusable»

En avril 2019, le directeur des projets de mobilité durable à la Ville, David Therrien, alors nouvellement en poste, s’était montré confiant de voir le projet de la ligne rose «franchir des étapes» d’ici aux prochaines élections municipales, en 2021.

Six mois plus tard, en novembre 2019, Métro révélait toutefois que le bureau de projet de la ligne rose n’avait toujours rédigé aucun mémoire ni complété aucune étude, un an après sa création. Il avait pourtant reçu en 2018 un premier financement de 1 M$ de la Ville.

«La mairesse se plaint depuis des mois comme quoi elle n’a pas d’argent, comme quoi elle veut avoir un budget déficitaire, qu’il y a beaucoup de pertes de revenus. Et là, elle a l’occasion de sauver de l’argent [en cessant de financer l’étude de la ligne rose] et elle refuse de le faire. C’est inexcusable», fustige le chef d’Ensemble Montréal, Lionel Perez, en entrevue à Métro.

«C’est vraiment un gaspillage scandaleux de l’argent public», déplore également le conseiller indépendant de Snowdon, Marvin Rotrand.

La ligne rose, un «symbole»?

Chargé de cours à l’UQAM et expert en planification des transports, Pierre Barrieau, estime quant à lui que la Ville devrait concentrer son énergie à se préparer à l’arrivée du REM dans l’Est, un projet appuyé par le gouvernement Legault, contrairement à la ligne rose.

«Pourquoi continuer à engranger des fonds dans un projet qui a reçu une fin de non-recevoir de Québec?»Pierre Barrieau, expert en planification des transports

À cet égard, l’experte en gouvernance et professeure à l’UQAM, Danielle Pilette, rappelle que la ligne rose a constitué un des piliers de la dernière campagne électorale de Projet Montréal. Il pourrait d’ailleurs bien faire partie de ses promesses en prévision des prochaines élections municipales.

«Politiquement, [Projet Montréal] ne peut pas se permettre de laisser croire que [le projet de ligne rose] est désuet», estime Mme Pilette.

https://journalmetro.com/actualites/montreal/2525834/bureau-de-la-ligne-rose-sept-etudes-en-cours-a-la-ville-de-montreal/

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Il y a 7 heures, Chuck-A a dit :

Bureau de la ligne rose: sept études en cours à la Ville de Montréal

Journal Métro  |  Montréal  |  05:00 25 septembre 2020  |  mise à jour le: 24 septembre 2020 à 22:20 - temps de lecture: 4 minutes  |  Par:  Zacharie Goudreault, Métro

iStock-1087916094-e1576000760471.jpg?w=8
Photo: Archives | Métro  |  Le réseau du métro de Montréal.

La Ville de Montréal a mandaté plusieurs experts externes pour faire avancer divers projets de mobilité, dont la ligne rose, qui fait actuellement l’objet de sept études différentes, a appris Métro.

L’administration de Valérie Plante a recruté au cours des 12 derniers mois plusieurs experts afin d’assister la Direction des projets de mobilité durable de la Ville (DPMD). Celle-ci chapeaute notamment le bureau de projet de la ligne rose et celui portant sur la «revitalisation» de la rue Notre-Dame, en prévision du prolongement du Réseau express métropolitain (REM) dans l’est de l’île. Elle analyse aussi la possibilité de prolonger la ligne orange vers l’ouest.

Parmi les postes comblés dans les derniers mois, on compte notamment celui d’ingénieur, de chargé de projet et de consultant en planification de transport. La DPMD a aussi fait appel en mars à l’ancien directeur général de la Société de transport de Montréal, Carl Desrosiers, afin d’analyser «les différents modes de transport guidés disponibles», a constaté Métro en épluchant les contrats de la Ville.

«Nos partenaires ont des mandats complexes en cours avec la Ville, donc l’ajout de ressources [de l’externe] était nécessaire», justifie à Métro l’attachée de presse du comité exécutif, Laurence Houde-Roy.

La ligne rose en premier plan

Dans les différentes offres d’emplois qui ont mené à l’octroi de ces contrats, le projet de ligne rose revient en premier plan. Plusieurs d’entre elles décrivent d’ailleurs cette promesse électorale dans sa forme initiale, soit comme «une nouvelle ligne de métro» qui permettrait de relier Montréal-Nord à Lachine en passant par plusieurs quartiers centraux. Mme Plante a pourtant qualifié en juin 2019 le projet de création d’un tramway entre Lachine et le centre-ville de «tronçon ouest» de la ligne rose.

Par écrit, Mme Houde-Roy assure que les démarches du bureau de projet de la ligne rose «avancent bien». Celui-ci a amorcé sept études socioéconomiques qui portent notamment sur «la contribution de la ligne rose à l’équité sociale, à l’amélioration des conditions de vie et de mobilité des résidents des quartiers traversés». D’autres analyses portent aussi sur «les coûts et bénéfices des prolongements des réseaux existants», indique-t-elle.

Les études principales du projet sont toutefois assumées par l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM). Contactée par Métro, celle-ci a confirmé qu’«aucune fiche d’avant-projet n’a été déposée» à ce jour. 

«Il est trop tôt pour se prononcer sur un mode [de transport], un tracé ou une priorisation à ce stade», ajoute un porte-parole, Simon Charbonneau.

«Inexcusable»

En avril 2019, le directeur des projets de mobilité durable à la Ville, David Therrien, alors nouvellement en poste, s’était montré confiant de voir le projet de la ligne rose «franchir des étapes» d’ici aux prochaines élections municipales, en 2021.

Six mois plus tard, en novembre 2019, Métro révélait toutefois que le bureau de projet de la ligne rose n’avait toujours rédigé aucun mémoire ni complété aucune étude, un an après sa création. Il avait pourtant reçu en 2018 un premier financement de 1 M$ de la Ville.

«La mairesse se plaint depuis des mois comme quoi elle n’a pas d’argent, comme quoi elle veut avoir un budget déficitaire, qu’il y a beaucoup de pertes de revenus. Et là, elle a l’occasion de sauver de l’argent [en cessant de financer l’étude de la ligne rose] et elle refuse de le faire. C’est inexcusable», fustige le chef d’Ensemble Montréal, Lionel Perez, en entrevue à Métro.

«C’est vraiment un gaspillage scandaleux de l’argent public», déplore également le conseiller indépendant de Snowdon, Marvin Rotrand.

La ligne rose, un «symbole»?

Chargé de cours à l’UQAM et expert en planification des transports, Pierre Barrieau, estime quant à lui que la Ville devrait concentrer son énergie à se préparer à l’arrivée du REM dans l’Est, un projet appuyé par le gouvernement Legault, contrairement à la ligne rose.

«Pourquoi continuer à engranger des fonds dans un projet qui a reçu une fin de non-recevoir de Québec?»Pierre Barrieau, expert en planification des transports

À cet égard, l’experte en gouvernance et professeure à l’UQAM, Danielle Pilette, rappelle que la ligne rose a constitué un des piliers de la dernière campagne électorale de Projet Montréal. Il pourrait d’ailleurs bien faire partie de ses promesses en prévision des prochaines élections municipales.

«Politiquement, [Projet Montréal] ne peut pas se permettre de laisser croire que [le projet de ligne rose] est désuet», estime Mme Pilette.

https://journalmetro.com/actualites/montreal/2525834/bureau-de-la-ligne-rose-sept-etudes-en-cours-a-la-ville-de-montreal/

Tant qu'à étudier les bénéfices socio-économiques d'une ligne rose diagonale hypothétique à 6G$, peut-on ajouter une étude des bénéfices sociaux-économiques d'un Hyperloop Gare Centrale - Union Station (toronto)?

Le lobby des projets d'études est fort au Québec...

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  • 2 mois plus tard...

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