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Grand Prix de Formule 1: une édition prometteuse pour l'industrie touristique montréalaise.

 

MONTRÉAL, le 5 juin 2013 /CNW Telbec/ - À quelques jours du Grand Prix de Formule 1, qui se tiendra à Montréal du 7 au 9 juin, Tourisme Montréal et l'Association des hôtels du grand Montréal (AHGM) entrevoient avec optimisme l'édition 2013 de l'événement. Plus importante manifestation touristique au Canada, le week-end du Grand Prix est le moment le plus achalandé de l'année pour plusieurs membres de l'industrie. En date du 31 mai dernier, plus de 80 % des chambres d'hôtels de la région métropolitaine avaient déjà trouvé preneurs, signe de l'arrivée imminente de nombreux touristes à Montréal.

 

« Diffusé dans plus de 150 pays et comptant quelque 310 millions de téléspectateurs, le Grand Prix du Canada est un événement médiatique important pour la notoriété de Montréal à l'échelle internationale, a souligné l'honorable Charles Lapointe, président-directeur général de Tourisme Montréal. Plusieurs bars, restaurants, hôtels et commerces bénéficient grandement des retombées économiques qui en découlent. »

 

À cet effet, le week-end du Grand Prix est sans contredit la période de l'année durant laquelle l'Association des hôtels du grand Montréal constate le plus fort taux d'achalandage dans les hôtels de la métropole.

 

« Durant le Grand Prix, le taux d'occupation des hôtels atteint généralement 95 %, avec un tarif moyen par chambre de 292,71 $ la nuitée, ajoute Eve Paré, présidente-directrice générale de l'AHGM. Le Grand Prix de Formule 1 a un impact économique considérable pour le secteur hôtelier. Les touristes se sentent si bien reçus qu'ils réservent souvent sur le champ pour l'année suivante! »

 

En date du 31 mai 2013, quelque 6 400 chambres de plus ont été réservées et le taux d'occupation est en avance de 11,6 %, par rapport à la moyenne des trois derniers Grand Prix à pareille date1.

 

Rappelons que Montréal a reçu 8,4 millions de touristes en 2012 et que ceux-ci ont dépensé quelque 2,4 milliards de dollars.

 

http://www.newswire.ca/fr/story/1178487/grand-prix-de-formule-1-une-edition-prometteuse-pour-l-industrie-touristique-montrealaise

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I don't know where else to post this, but tons of graffitis and tags have been cleaned up in Montreal in the past few days. This makes me extremely happy as a downtown resident.

 

Is it too far fetched to link this cleanup w/ the Grand Prix happening this weekend? I noticed this morning that Sherbrooke between Guy and McGill College was especially pretty, tons of flowers and landscaping.

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I don't know where else to post this, but tons of graffitis and tags have been cleaned up in Montreal in the past few days. This makes me extremely happy as a downtown resident.

 

Is it too far fetched to link this cleanup w/ the Grand Prix happening this weekend? I noticed this morning that Sherbrooke between Guy and McGill College was especially pretty, tons of flowers and landscaping.

 

Il y a toujours un "cleanup" à chaque printemps, des embellissements... Pour le Grand Prix? oui, mais aussi pour tous les visiteurs durant tout l'été et pour nous, Montréalais, qui appréçions ces gestes, comme tu viens de l'indiquer :thumbsup:

 

Même sans Grand Prix, on continuerait à faire ça!

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Grand Prix du Canada: gonflées, les retombées?

 

 

 

Le Grand Prix du Canada génère-t-il vraiment 89,3 millions en retombées économiques au Québec, comme l'estime le ministère des Finances? Une étude australienne sur les retombées du Grand Prix de Melbourne - un événement touristique comparable au GP du Canada - conclut plutôt à des retombées de 32,6 millions.

 

Selon le professeur Michel Magnan, cet écart entre les deux études de retombées économiques est «préoccupant», d'autant plus que les gouvernements négocient actuellement avec Formula One Management pour assurer l'avenir du Grand Prix du Canada.

 

«Dans la mesure où les contribuables paient pour une partie du Grand Prix, l'écart entre les études de Québec et celles de l'Australie a l'effet d'une douche froide. Ça soulève des questions sur la méthodologie employée par Québec, dont on ne sait rien», dit le professeur de comptabilité financière à l'Université Concordia.

 

Le Grand Prix d'Australie est un bon baromètre pour comparer l'impact économique du Grand Prix du Canada. Les deux courses attirent un nombre similaire de spectateurs (298 187 à Melbourne en 2011, 300 000 à Montréal). À Melbourne, 30% des visiteurs uniques proviennent de l'extérieur de l'État de Victoria (dont la capitale est Melbourne), comparativement à 40% de visiteurs hors Québec quand le ministère des Finances a fait son étude en 2008. Les agglomérations urbaines de Montréal (3,8 millions de personnes) et Melbourne (4,3 millions) sont de taille similaire. Côté géographie, la ville la plus populeuse de leur pays (Sydney et Toronto) est située à plus de cinq heures de route, ce qui rend quasi impossible un aller-retour en voiture la même journée.

 

«Melbourne est une ville certainement comparable à Montréal. Comment expliquer l'écart entre les deux études? Les Australiens ne mangent pas et ne boivent pas moins que nous. L'Australie est un grand pays comme le Canada», dit le professeur Magnan.

 

Le ministère des Finances et le cabinet du ministre Nicolas Marceau n'ont pas commenté hier l'écart entre l'étude québécoise qui remonte à 2009 et celle de l'Australie datant de 2011. Le Ministère dit s'être servi d'un modèle «couramment utilisé pour ce genre d'estimation».

 

En prévision de la négociation actuelle, le ministère des Finances du Québec n'a pas mis à jour son étude de retombées économiques, qui se base sur les données de Tourisme Montréal en 2008. L'assistance au Grand Prix a diminué de 10,7% depuis, passant de 319 000 à 285 000 spectateurs. Ottawa, Québec et Montréal paient 15 millions par an pour tenir le Grand Prix, mais reçoivent environ 4 millions chaque année en redevances sur les billets en vertu de l'entente actuelle qui prend fin après la course de 2014.

 

Des données vérifiées en Australie

 

Si elles calculent toutes deux les retombées économiques des visiteurs hors province, les études québécoise et australienne sont bien différentes.

 

Au Québec, l'étude du ministère des Finances n'a pas été publiée officiellement - seules les conclusions d'une page sont envoyées aux médias. La Presse n'a pas pu obtenir davantage d'information sur la méthode de calcul.

 

En Australie, l'étude de la firme Ernst&Young effectuée pour Tourism Victoria fait 66 pages et explique en détail sa méthodologie et sa collecte de données.

 

Sur le plan méthodologique, l'étude de Québec se fie uniquement sur les données de Tourisme Montréal, qui a recueilli ses informations dans des conférences de presse, les déclarations publiques rapportées par les médias et auprès du promoteur du Grand Prix. Le ministère des Finances, qui n'a pas comme mandat de faire de la collecte de données, estime que les données de Tourisme Montréal sont fiables. La dernière version du document (remis chaque année aux médias) indique expressément qu'il s'agit d'estimations et que Tourisme Montréal n'assume pas la responsabilité des données.

 

En Australie, la firme Ernst&Young s'est appuyée sur certaines données du promoteur mais a aussi effectué des sondages auprès des visiteurs, ce qui n'a pas été fait au Québec. «Les Australiens n'ont pas juste pris les chiffres du promoteur, qui a un intérêt particulier dans le dossier, ils ont aussi contre-vérifié avec des sondages indépendants», dit le professeur Magnan.

 

L'absence de données directes agace aussi l'économiste Claude Montmarquette. «Personne ne doute que le Grand Prix du Canada est rentable, on voit bien qu'il y a des touristes étrangers, mais on aurait intérêt à pousser un peu plus loin. Ce n'est pas compliqué de former un échantillon», dit le PDG du Groupe CIRANO et professeur émérite à l'Université de Montréal.

 

L'étude australienne établit les dépenses directes des visiteurs hors province à 42 millions AUS (42,8 millions CAN en tenant compte du taux de change de 2011), mais calcule ensuite la valeur des importations pour arriver aux retombées économiques finales. Si l'Australie perdait son Grand Prix, les retombées économiques envolées seraient de 32 millions AUS, comparativement à 39 millions AUS si la course se tenait dans un autre État (certains résidants de Melbourne iraient alors y assister, ce qui augmente la perte d'activité économique à Melbourne).

 

http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201306/05/01-4658239-grand-prix-du-canada-gonflees-les-retombees.php

 

Ils oublient un élément important:beaucoup moins de partisans/touristes venant d'Europe,vu la distance et la saison(prix aussi pour certains,tous les fans de F1 ne sont pas

millionnaires).Cela coute donc bien moins cher une virée à Montréal venant d'Europe qu'en Australie.La durée du voyage est aussi un facteur.

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C'est un pas dans la bonne direction, une entente de principe est conclue pour la F1 à Montréal.

 

http://fr.canoe.ca/sports/nouvelles/courseautomobile/f1/archives/2013/06/20130607-232939.html

 

On aura beau décrier un des gros symboles du capitalisme mondial, la F1 donne une visibilité à Montréal, qui vaut à elle seule l'équivalent de plusieurs millions en publicité touristique à travers la planète. Elle contribue en même temps à l'image internationale de la ville et représente un attrait certain pour le tourisme de luxe. C'est bon pour Montréal, les commerces, les bars, les restos et l'ensemble de l'économie de la région.

 

Je ne suis pas un fan de course automobile, mais je peux comprendre l'intérêt pour plusieurs et me réjouis de leur enthousiasme. C'est sans contredit un des moments forts de l'été à Montréal, et une injection de dollars touristiques qui commence super bien la saison à chaque année. Nous avons la chance d'avoir un site idéal et des installations appropriées, tout cela à proximité du centre-ville par le métro ou l'auto (même à pied ou à vélo pour les plus courageux). En même temps le casino profite de cette manne exceptionnelle puisqu'il est voisin de la piste.

 

Restera maintenant à mieux consolider le Parc des Iles lui-même, en lui assurant une vocation permanente pour des événements internationaux notamment. Il faudrait un plan d'ensemble afin de récupérer et rénover les édifices qui subsistent encore, et en faire peut-être un site de foires internationales, et des expos ponctuelles. Mieux exploiter aussi le magnifique parc en recréant une sorte de monorail pour le parcourir à loisir. Le potentiel est là, mais il est mal exploité, à mon avis, et on en retire encore que trop peu de retombées face aux immenses possibilités.

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Pas encore d'entente pour sauver le GP du Canada, dit Dumontier

 

Contrairement aux rumeurs circulant depuis quelques jours à l'effet qu'une entente de principe soit intervenue entre les différentes parties pour conserver le Grand Prix de Formule 1 à Montréal jusqu'en 2024, le promoteur de l'événement François Dumontier a répété dimanche que «c'était un peu prématuré».

 

Il a laissé entendre du même souffle qu'une entente «pourrait être conclue d'ici les prochaines semaines».

 

La première ministre du Québec, Pauline Marois, qui accompagnait M. Dumontier pour une visite des paddocks en matinée, s'est elle aussi dite «optimiste» quant à la ratification d'une nouvelle entente. L'actuel contrat qui lie Montréal à la F1 viendra à échéance après la course de 2014, mais il semble que les négociations soient au ralenti en raison des hésitations du gouvernement fédéral à verser sa part du montant de 15 millions $ dû au président de Formula One Management, Bernie Ecclestone.

 

Mme Marois a profité de son passage sur le circuit Gilles-Villeneuve pour rendre visite à Monisha Kaltenborn, qui fut nommée directrice générale de l'écurie Sauber l'automne dernier.

 

Parmi les autres conditions à respecter pour qu'une entente soit conclue d'ici 2014, M. Ecclestone a demandé à M. Dumontier que des travaux de rénovation soient effectués afin de moderniser les paddocks et la tour de contrôle.

 

On estime à environ 90 millions $ les retombées économiques annuelles du Grand Prix du Canada. Ces chiffres sont toutefois basés sur des estimations, et non sur des études concrètes.

 

http://auto.lapresse.ca/course-automobile/f1/201306/09/01-4659362-pas-encore-dentente-pour-sauver-le-gp-du-canada-dit-dumontier.php

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Tant qu'à upgrader le site, aussi bien le faire de façon adaptative, c'est-à-dire de façon à ce que tout ça puisse bonifier une offre multifonctionnelle, si bien que, même si la F1 s'en va, on restera avec une infrastructure disponible qui soit efficace et disponible à l'année pour plusieurs activités et même des nouvelles. J'avoue ne pas savoir trop quoi faire exactement, mais je suggère quand même aux dirigeants du Parc JD de faire preuve d'originalité.

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