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ScarletCoral

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Tout ce qui a été posté par ScarletCoral

  1. Une collègue de travail a acheté une unité dans ce projet. Elle y déménage en mai. Je lui demanderai si elle entend bcp les trains, mais le triple vitrage devrait aider.
  2. Il faudrait mettre ce projet dans la section "En construction" et mettre à jour le titre, c'est rendu 4 X 8 étages
  3. via LaPresse+ UN VRAI QUARTIER TOD À SAINT-LAMBERT DANIELLE BONNEAU LA PRESSE Nom du projet Quartier Victoria Où Immense terrain bordé par l’avenue Victoria, la rue Cartier et la voie ferrée, tout près des deux gares de Saint-Lambert (Via Rail et AMT). En tout Un total de 404 appartements en copropriété répartis dans 4 immeubles de 8 étages. La construction du premier immeuble, qui compte 85 condos, est avancée. Les copropriétaires devraient commencer à emménager en avril. Les deuxième et troisième phases, qui comprendront 217 condos et devraient être prêtes en juillet 2015, commenceront à être bâties simultanément dès le printemps. Aperçu Habitations Trigone, qui mène de front une vingtaine de projets dans les banlieues sud et nord de Montréal, a acquis 11 terrains de propriétaires différents pour réaliser cet ambitieux projet. Afin de respecter les exigences de la municipalité et d’établir une vision, le promoteur a travaillé en collaboration avec le Groupe IBI|DAA (pour l’aménagement urbain) et Cimaise-FBA (pour l’architecture). Résultat : 90 % du stationnement sera souterrain. Les immeubles, en recul de la rue, seront entourés de verdure et comprendront plusieurs aires de détente. D’autres principes verts seront mis en pratique, dont la récupération des eaux de pluie pour arroser les jardins. À cet endroit, les trains sont plutôt discrets, et circulent lentement sur la voie ferrée. Pour minimiser les désagréments, les immeubles sont ancrés dans le roc et des fenêtres à triple vitrage sont installées. Une butte antibruit devrait aussi être aménagée, en prolongement de celle qui borde déjà les maisons voisines. Ce projet est l’un des plus hauts de gamme des Habitations Trigone (avec les Sentiers de la Gare, à Blainville). Des condos à prix accessible sont néanmoins aussi offerts. Pour limiter les charges de copropriété, peu d’espaces communs sont aménagés dans le premier immeuble. Une piscine et une terrasse sur le toit s’ajouteront dans la deuxième phase. Pour qui Une clientèle qui demeure déjà à Saint-Lambert, d’âges variés. S’y installeront autant des baby-boomers, qui auront vendu leur maison devenue trop grande, que de jeunes professionnels travaillant à Montréal. Combien (phase 1, vingtaine de condos à vendre)* : À partir de 150 000 $, 1 chambre, 594 pi2. À partir de 180 000 $, 1 chambre + 1 bureau, 682 pi2. À partir de 218 000 $, 2 chambres, 808 pi2. À partir de 325 000 $, 3 chambres, 1224 pi2. Dans la deuxième phase, qui vient d’être mise en vente, des appartements plus spacieux ayant jusqu’à 1697 pi2 sont offerts à partir de 467 000 $. Une option prestige, d’environ 15 000 $, permet d’avoir notamment la climatisation, des surfaces de travail en quartz dans la cuisine, une douche de céramique et de la robinetterie haut de gamme. Cette option est incluse aux sixième, septième et huitième étages. Stationnement intérieur : 15 000 $* Un stationnement intérieur est inclus à l’achat d’un condo de deux chambres et plus. Dans le voisinage Une garderie et une école primaire (de l’autre côté de la rue Cartier), le centre-ville de Saint-Lambert, deux gares et un arrêt d’autobus permettant de se rendre à la station de métro Longueuil, au centre-ville de Montréal et à Brossard. On aime Le complexe respecte les principes du TOD (Transit Oriented Development). Puisqu’il est situé tout près de deux gares, ainsi que des commerces et des restaurants du centre-ville de Saint-Lambert, les déplacements en train, à pied et à vélo seront facilités. On aime moins La proximité de la voie ferrée, qui est une importante ligne de transport de passagers et de marchandises. C’est l’envers de la médaille… * Taxes en sus Info http://habitationstrigone.com
  4. Les Affaires donnent un peu plus d'information sur l'acheteur... (Remarquez d'où vient la photo ) Un autre hôtel montréalais vendu à une coquille de l'île Jersey Publié à 11:56, mis à jour il y a 45 minutes PAR HUGO JONCAS Le Holiday Inn du 420, rue Sherbrooke Ouest vient de passer aux mains d'une société de l'île Jersey détenue par Beaumont Partners et Campus Crest. Photo: Mtlurb.com Et de deux. Après l’achat du Delta Centre-Ville en juin, Beaumont Partners et Campus Crest Communities viennent de mettre la main sur un deuxième grand hôtel montréalais pour en faire une résidence étudiante : le Holiday Inn du 420, rue Sherbrooke Ouest. Et encore une fois, les partenaires utilisent pour l’acquisition une coquille enregistrée à l’île Jersey, paradis fiscal reconnu. Lire aussi : DCV Holdings, de l'île Jersey, le mystérieux acheteur du Delta Centre-ville Le vendeur est le magnat montréalais de l’immobilier Michael Rosenberg, qui détenait l’hôtel depuis 1983. L’acte de la transaction attribue à la propriété une valeur de 63,5 M$. Mais officiellement, la vente s’est faite pour la somme symbolique de 1$ «et d’autres considérations valables et pertinentes», mentionne cependant le document, rédigé en anglais. Sur papier, l’acheteur Propriétés N-HIM Sherbrooke Inc. appartient à une société de l’île Jersey, HIM Holdings LP. Celle-ci est détenue à son tour par la société en commandite HIM Holdings Limited, inscrite à la même adresse, sur Castle Street à Saint-Hélier, dans la petite île anglo-normande de la Manche. Jersey est largement considérée comme un paradis fiscal et résiste aux pressions de l’Union européenne, qui lui demande de lui envoyer automatiquement les informations fiscales sur ses ressortissants y ayant ouvert des comptes. Jersey compte moins de 100 000 habitants, mais abrite pour près de 180 G de livres sterling en dépôts, soit plus de 280 G$, selon un rapport récent de l’organisation britannique Tax Justice. Un emprunt de 135 M$ Les nouveaux propriétaires ont également emprunté 135 M$ à un syndicat bancaire mené par la Banque Royale en se servant du Holiday Inn et du Delta Centre-Ville pour garantir la somme. Le prêt, titrisé en obligations, mentionne plusieurs emprunteurs, dont DCV Holdings LP. Cette société a été mise sur pied en juin dernier pour mettre la main sur la compagnie à numéros détenant le Delta Centre-Ville, près du Quartier international de Montréal. L’avocat James Papadimitriou est enregistré comme administrateur du nouveau propriétaire du Holiday Inn, Propriétés N-HIM Sherbrooke inc., selon le Registre des entreprises du Québec. Son cabinet McCarthy Tétreault sert également d’adresse à toutes les sociétés impliquées dans le montage financier, à Montréal comme à Jersey. Les Affaires n’a pas pu s’entretenir avec l’avocat avant la publication de cet article, ni avec les nouveaux propriétaires. Impossible pour l’instant de savoir pourquoi l’achat du Holiday Inn et du Delta Centre-Ville utilisent des structures corporatives aussi complexes, basées dans un paradis fiscal. Michael Rosenberg refuse de répondre aux questions des journalistes. Sa compagnie Rosdev a émis un communiqué mentionnant qu’elle continuera à gérer l’hôtel de 488 chambres jusqu’au 30 avril 2014. L'hôtel devrait ensuite fermer pour être transformé en résidence étudiante. Environ 60 employés perdront ainsi leur emploi, selon une source à la Confédération des syndicats nationaux qui ne veut pas être nommée parce qu'elle n'est pas officiellement porte-parole dans ce dossier. Campus Crest n’a pas rappelé Les Affaires et il nous a été impossible de joindre Beaumont Partners en Europe, en raison du décalage horaire. D’hôtels à résidences Campus Crest, de Charlotte en Caroline du Nord, est spécialisée dans la construction et la rénovation d’immeubles pour en faire des résidences étudiantes. Le Delta Centre-Ville sera d’ailleurs rapidement transformé en une résidence de luxe, avait expliqué Campus Crest à Les Affaires l’été dernier. Les nouveaux propriétaires veulent tirer profit du bassin de 81 500 personnes qui fréquentent à temps plein l'École de technologie supérieure ainsi que les universités McGill et Concordia. «L'immeuble offrira un éventail de services haut de gamme pour attirer les étudiants universitaires, dont un salon multimédia, un centre d'entraînement et une bibliothèque», précisait en août dernier Hayley Cook, porte-parole de Campus Crest, dans un courriel. L'immeuble, qui compte 711 chambres actuellement, comprendra de 1 100 à 1 300 lits dans des unités simples et doubles à la rentrée de l'automne 2014, selon un communiqué qu’ont émis Campus Crest et l’anglo-suisse Beaumont Partners. Campus Crest et Beaumont ont acheté l’immeuble situé au 777, rue University à Montréal, de la société InnVest Real Estate Investment Trust pour quelque 60 M$US, y compris l'ensemble des frais relatifs à la fermeture de l'hôtel. Beaumont Partners est un investisseur immobilier international, basé à Genève et Londres. Beaumont détient 80% des actions de la coentreprise propriétaire de l’immeuble. Campus Crest Communities est un fonds de placement immobilier américain inscrit à la Bourse de New York. Il possède 84 résidences étudiantes aux États-Unis.
  5. Un autre exemple des créations de Montréal qui s'exporte L'exposition du MBAM sur Jean Paul Gaultier sera à Paris en 2015 22 janvier 2014 11h53 | La Presse canadienne | Actualités culturelles Photo : Pedro Ruiz - Archives Le Devoir La directrice et conservatrice en chef du Musée des beaux-arts, Nathalie Bondil, qui avait initié le projet, parle d'une tournée «historique». L'exposition La planète mode de Jean Paul Gaultier. De la rue aux étoiles, initiée, produite et mise en tournée par le Musée des beaux-arts de Montréal avec la collaboration de la Maison Jean Paul Gaultier, sera présentée à Paris du 1er avril au 3 août 2015. Il s'agira d'une dixième étape pour l'exposition, après Montréal, Dallas, San Francisco, Madrid, Rotterdam, Stockholm, Brooklyn, Londres et l'Australie. La directrice et conservatrice en chef du Musée des beaux-arts, Nathalie Bondil, qui avait initié le projet, parle d'une tournée « historique » et a indiqué, par communiqué, vivre « une joie sans précédent de partager le message profondément humaniste et tolérant de ce fils prodigue de retour dans sa Ville lumière ». L'exposition propose des pièces inédites de haute couture et de prêt-à-porter créées entre 1970 et 2013. La planète mode de Jean Paul Gaultier. De la rue aux étoiles a par ailleurs accueilli son millionième visiteur lors de son passage au Brooklyn Museum, à New York. En 2014, elle voyagera au Barbican Art Centre de Londres du 9 avril au 25 août et poursuivra sa route vers d'autres destinations qui seront annoncées prochainement.
  6. Il y a un tel manque d'espace que sur cetains étages, les cubicules sont passés de 6 X 9 pieds à 6 X 6. Alors, au lieu d'avoir 2 bureaux, il y en a 3 qui entrent dans le même espace...
  7. J'avais déjà entendu dans une entrevue aux nouvelles il y a quelques années que le taux de chômage est mal calculé pour Montréal. La chômage par secteur est calculé selon le lieu de résidence des gens, et non sur le lieu de travail. Comme bcp de banlieusards travaillent à Montréal, ça fausse quelque peu les données. Je ne sais pas si le taux de chômage est encore calculé ainsi. En plus, la pauvreté est bien + présente sur l'île de Montréal que dans les banlieues
  8. Pendant ce temps (via LaPresse) : Publié le 22 janvier 2014 à 07h47 | Mis à jour à 07h47 L'emploi glisse vers la banlieue PIERRE-ANDRÉ NORMANDIN La Presse Moins de 1000 emplois se sont ajoutés dans l'île de Montréal de 2006 à 2011, contre plus de 55 000 dans les couronnes nord et sud, révèle une analyse de la Ville de Montréal. Disant vouloir relancer la métropole, l'administration Coderre annoncera ce matin une réforme du développement économique. Montréal en statistiques, qui compile des données sur l'état de la Ville, constate dans une récente analyse qu'un «glissement de l'emploi vers la banlieue» continue de toucher la métropole. Alors que, en 1971, plus de 85% des emplois de la région se trouvaient dans l'île, cette proportion a graduellement diminué pour tomber sous la barre des deux tiers (63,7%). L'administration Coderre dresse d'ailleurs un sombre portrait de la situation de Montréal et chargera un groupe de fonctionnaires de revoir de fond en comble le développement économique de la métropole. «La Ville de Montréal fait face à des problèmes économiques structurels. Le nombre d'établissements d'entreprise est en décroissance constante, la richesse foncière du secteur non résidentiel connaît une croissance marginale, la croissance de l'emploi est également très faible», précise le document que les élus doivent adopter aujourd'hui. Taux de chômage inquiétant Le taux de chômage élevé semble une grande source de préoccupation. En décembre dernier, 8% de la population montréalaise était sans emploi, alors que cette proportion était de 6,4% dans le reste du Québec. Cette situation représente «une anomalie pour une métropole comme Montréal», estime la Ville. D'autant que le chômage est systématiquement plus élevé dans l'île qu'en banlieue. On souligne également que le taux de chômage de Montréal est supérieur de 1,3 point de pourcentage à celui de Toronto. Le nouveau service de développement économique devra trouver des moyens de dynamiser l'économie montréalaise. On souhaite notamment simplifier les structures actuelles du développement économique. Dans son document de présentation, la Ville de Montréal s'engage à «fournir un service «5 étoiles» d'une rapidité inégalée» à ceux qui arriveront avec des projets d'affaires dans la métropole. Tendance difficile à inverser Montréal a beau multiplier les efforts, «c'est difficile de voir comment ça peut se contrer», dit André Lemelin, du Centre Urbanisation Culture Société de l'INRS. Celui-ci étudie depuis plusieurs années le déplacement des emplois de Montréal vers sa banlieue. Il y voit une conséquence des difficultés de l'industrie manufacturière à Montréal. Montréal doit affronter la concurrence de pays comme la Chine, mais aussi de la banlieue, qui offre des espaces beaucoup plus abordables et des facilités de transport. L'attrait de la Rive-Sud pour les entreprises pourrait d'ailleurs s'accentuer encore avec l'achèvement de l'autoroute 30, estime Hélène Bergeron, directrice générale de la Chambre de commerce et d'industrie de la Rive-Sud. ------------------ INQUIÉTUDES ET SATISFACTION « C'est dramatique pour Montréal » « Si on demeure indifférent, graduellement, les banlieues vont s'autonomiser. Et la journée où elles n'auront plus besoin de Montréal, ce ne sera jamais comme Detroit, mais on peut imaginer devenir une Milwaukee, une ville un peu banale. » - Richard Bergeron, chef de l'opposition à Montréal De villes-dortoirs à pôles d'emploi « Avant, on était presque des villes-dortoirs : on travaillait à Montréal, on allait prendre tous nos services à l'extérieur, mais Longueuil, Boucherville, Brossard sont devenus des villes où on peut vivre complètement. » - Hélène Bergeron, directrice générale de la Chambre de commerce et d'industrie de la Rive-Sud
  9. Si Desjardins en fait des salles de réunion/formation, ça serait bien, car il y en manque cruellement dans les tours Est et Sud. En même temps, en ne pas renouvellant les baux, ça fait 2 compétiteurs de moins pour Desjardins En passant, le 350 Sainte-Catherine Ouest, c'est l'adresse du resto au coin de la rue en face de Musique Plus Google StreetView :
  10. je viens de recevoir ceci dans mes courriels (c'est Prével qui l'a envoyé sous forme d'image)
  11. Dans un autre ordre d'idées... via LaPresse : Publié le 21 janvier 2014 à 12h30 | Mis à jour à 14h12 AMT: des matériaux détournés pour rénover la maison de Suzanne Bibeau? Des dalles de béton préfabriquées de 8 pieds par 8 pieds et dix pouces d'épaisseur auraient été utilisées pour construire un grand patio de 180 mètres carrés autour de la piscine de Suzanne Bibeau, derrière sa luxueuse résidence de la rue les Érables, à Laval. PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, ARCHIVES LA PRESSE VINCENT LAROUCHE La Presse L'Unité permanente anticorruption (UPAC) croit que des entrepreneurs auraient détourné les matériaux d'un important chantier de l'Agence métropolitaine de transport (AMT) pour rénover la maison de Suzanne Bibeau, soeur du grand argentier du Parti libéral du Québec, Marc Bibeau. Des dalles de béton préfabriquées de 8 pieds par 8 pieds et dix pouces d'épaisseur auraient été utilisées pour construire un grand patio de 180 mètres carrés autour de la piscine de Suzanne Bibeau, derrière sa luxueuse résidence de la rue les Érables, à Laval. Ces allégations, qui n'ont pas été prouvées en cour, sont contenues dans une déclaration assermentée d'un enquêteur de l'UPAC, qui était frappée d'un interdit de publication jusqu'à ce matin. L'interdit a été levé à la demande de plusieurs médias, dont La Presse. Le policier, assigné au projet « Modestie », dit avoir des motifs raisonnables de croire qu'un complot et une fraude ont été commis en lien avec un contrat de 30 millions octroyé en 2011 par l'AMT pour la construction d'une structure de protection de la voie ferrée à Le Gardeur, sur la ligne du train de l'Est. Le contrat avait été octroyé à Construction Garnier, qui s'est adjoint les services de deux entreprises de la famille Bibeau, Shockbéton et sa filiale Saramac, comme sous-traitant. Celles-ci devaient fournir les dalles de béton préfabriquées pour le projet, mais certaines des dalles se seraient retrouvées à la résidence de Mme Bibeau, où l'UPAC a perquisitionné le 10 décembre dernier. Des perquisitions avaient aussi été menées dans ce dossier chez les entreprises de la famille Bibeau et chez Construction Garnier en novembre. Le policier dit avoir des motifs raisonnables de croire qu'un « détournement de matériaux » prévus pour le contrat de l'AMT a eu lieu et que ce détournement est le fruit d'un complot. Il précise qu'il tire cette déduction notamment en raison des liens de la famille Bibeau avec des personnes ou des organismes dont les noms sont tenus confidentiels pour l'instant. En entrevue à La Presse en décembre, Marc Bibeau avait défendu la réputation de l'empire familial. «Je peux vous assurer que nos entreprises se sont conformées aux demandes des policiers et que des documents ont été remis démontrant qu'aucune fraude n'a été commise, et que d'aucune façon l'AMT n'a été lésée dans ses droits», insistait-il, sans toutefois pouvoir préciser pourquoi la police s'intéressait à la maison de sa soeur. La Presse avait exposé en détail en 2010 les liens étroits entre monsieur Bibeau et le premier ministre de l'époque de Jean Charest. Des libéraux proches de M. Charest avaient déjà dit que seul M. Bibeau pouvait prétendre au titre de «responsable du financement» au PLQ. Devant la commission Charbonneau, l'entrepreneur Lino Zambito a aussi témoigné sous serment que Marc Bibeau lui a toujours été présenté comme «le grand argentier du Parti libéral» et «le grand boss du financement du Parti libéral du Québec».
  12. Pose des fenêtres déjà? c'est pour couper le vent?
  13. via le journal Métro : 21/01/2014 Mise à jour: 21 janvier 2014 | 11:10 Une véritable gare à la station Parc proposée Par Marie-Eve Shaffer Métro Une véritable gare pourrait un jour être construite à la station Parc, située sur la ligne de train de banlieue Saint-Jérôme. La Commission immobilière Kevric a présenté, mardi, un projet de gare Parc. Il vise à transformer l’édifice du 280, rue Gary-Carter, pour y aménager une aire d’attente, des toilettes et un petit café. La mairesse de Villeray—Saint-Michel—Parc Extension, Anie Samson, est enthousiaste à l’idée de cette nouvelle gare. L’Agence métropolitaine de transport (AMT) indique de son côté que ce projet «n’est pas prioritaire».
  14. Via The Gazette New east-end beach to open in 2016 BY MARIAN SCOTT, THE GAZETTE JANUARY 20, 2014 Montrealers will be able to take a dip at a new east-end beach in 2016. On Monday, Chantal Rouleau, mayor of Rivière-des-Prairies—Pointe-aux-Trembles, announced the winner of a design competition for the Plage de l'est, at Bellerive St. and 94th Ave. in Pointe-aux-Trembles. Architecture firm Ruccolo + Faubert was chosen from among 50 contenders for its design for a boardwalk and services centre, to include volleyball and badminton courts, and a reflecting pool that will be used in winter as a skating rink. The undulating boardwalk leads to an observation deck overlooking the river. The Ni landscape architecture firm contributed to the winning design. Construction on the $3-million project will start this year, said Rouleau, who is also responsible for water and water infrastructure on the city's executive committee. The cost will be shared by the municipal, provincial and federal governments. A 10-person jury of architects and local residents chose the winning entry. Rouleau, who defected from Vision Montreal to Équipe Denis Coderre last spring, was one of the first municipal politicians to denounce widespread corruption in the borough. The project is part of the east-end borough's Plan bleu-vert (blue-green plan), adopted in May, to rehabilitate and provide public access to its 24-kilometre waterfront. "This is a dream come true," said Rouleau, who has championed the project since 2010. She said the new beach, on the site of the former Beaudoin marina, will "give back access to the river to our fellow citizens." Access to the beach will be free of charge, she said. It is intended primarily for borough and city residents, but anyone will be able to go, Rouleau added. The borough rezoned the 1.7-hectare site in June as parkland. The lot was slated for a condo development at one point, but community groups said it should be preserved as a public beach. Rouleau said tests show the water quality at the future beach ranges from quite good to exceptional, depending on the weather. In rainy weather, water quality tends to be worse because of the risk of contamination when storm drains overflow. Montreal is surrounded by water but citizens' groups have complained for years that there are few places to swim, even though the river is clean enough. There are two beaches on the island: the one at Cap St-Jacques nature park and an artificial beach on Île Notre-Dame. The Île Bizard nature park also has a beach. mascot@montrealgazette.com © Copyright © The Montreal Gazette
  15. via GlobalNews Fire forces employees from Place-des-Arts By Elysia Bryan-Baynes Anchor/Reporter MONTREAL- Hundreds of employees working at Place-des-arts had to be evacuated from the performing arts building Thursday afternoon. Firefighters were called to the arts centre just before 4:30 after employees reported smelling smoke in the building. When emergency crews arrived on the scene they found that a fire had broken out in a passage leading to the roof on the eastern side of Salle Wilfred Pelletier. About a hundred people working with the Opera de Montreal, Place des Arts and the Montreal Symphony Orchcestra were forced to leave the building. “We first got the smell of a fire and people in charge of security took charge and called the policemen and they came very quickly” explained Denise Melillo, communications officer for Place- des- Arts. All employees have since been allowed back into the building. No shows had to be cancelled due to the fire. No cause has been determined and an investigation is underway.
  16. dans le journal Métro ce matin : 20/01/2014 Mise à jour: 20 janvier 2014 | 20:30 Les plans de la plage de l’Est sont dévoilés Par Laurence Houde-Roy Métro On sait maintenant de quoi aura l’air la future plage de Rivière-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles. Le projet des firmes Ruccolo + Faubert Architectes & Ni conception architecture de paysage a remporté lundi le concours de design pour l’aménagement du site de l’ancienne marina Beaudoin. Les travaux pour la mise sur pied de cette plage au budget de 3 M$ commenceront dès cette année et s’échelonneront jusqu’en 2016. Le projet propose notamment une passerelle piétonnière construite sur le toit d’un pavillon multiservice et qui culmine jusqu’à un point d’observation au-dessus du fleuve St-Laurent. Sylvie Bibeau, résidente de Rivière-des-Prairies, a fait partie du jury de présélection en tant que représentante des citoyens. Elle se dit ravie que le concept lauréat puisse donner accès au fleuve en plus de permettre l’observation des eaux en hauteur. «Au bout de la passerelle, on voit la rencontre entre le fleuve et la Rivière-des-Prairies. Cela rejoint l’une des demandes des citoyens qui voulaient une tour d’observation sur le site», se réjouit Mme Bibeau. Une surface récréative de 200 m2 sur laquelle coulera en permanence un filet d’eau se transformera en patinoire durant l’hiver. Les citoyens pourront également se baigner dans le fleuve grâce à l’aménagement des berges qui resteront toutefois en gravier. Chantal Rouleau, responsable de l’eau et des infrastructures de l’eau à la Ville de Montréal, et également mairesse de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles, soutient que les tests de qualité de l’eau sont effectués toutes les semaines entre les mois de mai et novembre autour de l’Île-de-Montréal. «Depuis que des travaux de correction des réseaux d’eau ont été faits il y a quelques années, la qualité de l’eau est plutôt bonne», affirme-t-elle, précisant que de fortes pluies peuvent toutefois amener un risque de contamination. Elle s’est engagée lundi en conférence de presse à assurer «la meilleure qualité de l’eau [dans le secteur de la place] en fonction des travaux à réaliser». Sylvie Bibeau, qui est également directrice et biologiste-écotoxicologue au comité ZIP Jacques-Cartier, soutient que bien que le sol du littoral de Pointe-aux-Trembles est reconnu pour être contaminé aux métaux lourds, le secteur de la plage n’est pas touché. «Ce n’est pas un secteur touché par la contamination des industries pétrochimiques. Il y a aura effectivement une décontamination à faire dû aux activités de l’ancienne marina pour y retirer des hydrocarbures, mais ce n’est pas une décontamination coûteuse», assure-t-elle. Le concours de Design de la plage de l’Est a bénéficié d’un soutien financier de 100 000$ du Bureau du design de la Ville de Montréal. Le projet lauréat faisait partie des cinq finalistes sélectionnés en décembre dernier parmi les 37 firmes qui ont soumis des esquisses.
  17. via Radio-Canada.ca Montréal veut créer un bureau de projet de ville intelligente Mise à jour le lundi 20 janvier 2014 à 8 h 17 HNE L'administration Coderre prévoit créer cette année un bureau de projet de la ville intelligente, a appris Radio-Canada. En campagne électorale, Denis Coderre, lui-même grand adepte de Twitter, a souvent promis de recourir davantage aux nouvelles technologies pour communiquer et être à l'écoute de la population, en particulier via les téléphones mobiles. Un texte de Benoît Chapdelaine Le responsable de la ville intelligente et vice-président du comité exécutif, Harout Chitilian, explique que la Ville veut à la fois refondre son site web, qui date de 2005, et créer un bureau de projet de ville intelligente en s'inspirant du Digital Roadmap, une initiative de l'ex-maire de New York Michael Bloomberg, et qui a reçu l'appui financier de plusieurs entreprises. « Tu as eu Google, t'as eu des compagnies de téléphonie qui ont mis également leur main dans leur poche pour contribuer à la réalisation de cette Digital Roadmap. Et ici c'est un peu notre souhait, d'avoir un peu la participation de la population, mais également de notre fonction publique et, pourquoi pas, également des entreprises québécoises qui ont développé des solutions de technologie de pointe dans ce domaine-là », dit M. Chitilian. D'abord le déneigement Dans le cadre du Digital Roadmap, la métropole américaine a par exemple accéléré l'accès à Internet sans fil dans les parcs et autres lieux publics. À Montréal, le déneigement, avec ses problèmes de stationnement et de remorquage, est au coeur des projets de ville intelligente. La Ville veut développer une application pour aviser les citoyens du chargement de la neige sur leur rue et ainsi réduire le nombre de remorquages pour stationnement interdit. Les opérations de chargement de la neige sont retardées lors de chaque tempête par le remorquage de milliers de véhicules garés le long du parcours, malgré l'interdiction de stationnement temporaire. Une meilleure communication réduirait probablement le nombre de remorquages et les rues seraient complètement déneigées plus rapidement. « J'ai fait un peu un sondage informel auprès de ma famille, raconte M. Chitilian. Ce n'est pas très scientifique, mais on m'a dit : "je ne veux pas savoir à la minute près, mais au moins avoir une idée : aujourd'hui, c'est garanti on vient sur votre rue". Des fois les pancartes sont placées et les camions ne passent jamais. Les gens sont frustrés, les appels rentrent dans le 311. Si on commence à avoir une idée à quelques heures près que le chargement va passer, c'est une avancée sur le statu quo actuel ». Harout Chitilian précise que des citoyens pourraient aussi remplir facilement un formulaire de plaintes avec leur téléphone mobile et l'acheminer au service 311. Les effectifs seront prévus en conséquence. « C'est bien beau de donner le moyen de communication, mais il faut également réarranger le back-office pour que les choses se règlent vraiment, que ce ne soit pas un puits sans fond, juste envoyer des plaintes dans l'espace virtuel. », ironise le vice-président du comité exécutif. Les citoyens devraient voir apparaître les premières applications de l'administration Coderre dans les prochains mois.
  18. via Radio-Canada.ca Le projet de la Plage de l'Est commence à prendre forme Mise à jour le lundi 20 janvier 2014 à 16 h 29 HNE Esquisse du projet Plage de l'est de la firme Ruccolo et Faubert Photo : Ruccolo et Faubert La mairesse de l'arrondissement et responsable des infrastructures de l'eau au comité exécutif, Chantal Rouleau, a annoncé que la firme d'architectes Ruccolo et Faubert remportait le concours de design. Le projet comprend une promenade et un bâtiment de services, des terrains de volleyball de plage l'été et une patinoire l'hiver. La mairesse Rouleau affirme que les citoyens ont déjà commencé à se réapproprier le site de l'ancienne marina Beaudoin : « On a placé des bancs de parc et immédiatement on a vu une affluence des gens qui venaient se réapproprier ce lieu. Alors on va poursuivre là dedans, à travers les travaux qui vont se faire. Il y aura un accès potentiel et évidemment pour les Canoës-Kayaks ça demeure, ce sera simple ». Des travaux de décontamination et d'aménagement du site sont prévus cet été et doivent s'échelonner jusqu'en 2016.
  19. Dans LaPresse ce matin : Publié le 20 janvier 2014 à 05h00 | Mis à jour à 07h35 Pont Champlain: travaux majeurs requis sous la dalle BRUNO BISSON La Presse Les risques de «rupture locale» de la dalle de béton du pont Champlain «sont réels, et ce, depuis plusieurs années», en raison du mauvais état de la plupart des joints de dilatation et de la progression «exponentielle» des défauts du béton, observés sous la dalle depuis cinq ans. Selon le rapport annuel d'inspection 2012 du pont Champlain, obtenu en vertu de la Loi sur l'accès à l'information, «l'effet d'une telle rupture sur la circulation et sur la sécurité des usagers est majeur». Le rapport préliminaire, daté d'octobre 2012, note qu'un projet de «remplacement complet des joints est bien entrepris depuis plus de cinq ans. Mais l'impact sur la circulation, la complexité et les coûts des travaux ne permettent, actuellement, que le remplacement de quatre à cinq joints par année» sur les sections du pont les plus touchées. «À la suite de l'inspection de 2012, les joints de dilatation et la dalle demeurent les éléments les plus sensibles à surveiller dans les sections 5 et 7» du pont, situées de part et d'autre de la Voie maritime du Saint-Laurent. Les deux premières recommandations du rapport sont de «réparer et de renforcer la précontrainte transversale de la dalle», essentielle pour maintenir l'intégrité du tablier du pont. Cette précontrainte est assurée par des câbles d'acier qui traversent toute la structure dans le sens de la largeur. Ils relient entre elles les sept poutres principales du pont et les six dalles de béton coulées sur place, entre chacune des poutres, pour former le tablier du pont. «En 2012, la progression de la détérioration des câbles de précontrainte transversale se poursuit, indique le rapport. Dans plusieurs zones locales, il y a de l'éclatement de béton, jusqu'à 70 mm de profondeur, avec gaines et fils de précontrainte corrodés et visibles, ainsi que des câbles ayant un ou plusieurs fils sectionnés.» Chacun de ses câbles de précontrainte est formé de 12 fils droits, et l'espacement entre chaque câble est d'environ un mètre le long des travées du pont. «Par endroits, précise le rapport, nous avons observé que les 12 fils d'un même câble étaient sectionnés.» 70% des travées endommagées Ces zones de détérioration, sous la dalle de béton, se trouvent surtout aux extrémités de chaque travée du pont, séparées les unes des autres par des joints de dilatation, et sur les côtés de la structure. Ces dégradations sont relativement récentes. Jusqu'en 2009, précise le rapport d'inspection de la firme AECOM, la condition générale du béton était jugée «bonne». «Elle est maintenant qualifiée de passable à déficiente.» En 2010, la firme AECOM avait recommandé à la société fédérale qui gère l'ouvrage, Les Ponts Jacques Cartier et Champlain Inc. (PJCCI), de réaliser une inspection détaillée du dessous des sections 5 et 7 du pont. Au terme de cette inspection, étalée sur deux ans, les ingénieurs ont attribué la cote de 1, soit la pire note possible, sur 70% des travées inspectées. Même si cette cote «ne doit pas être associée à une notion d'urgence, précise le document, elle indique que les travaux visés doivent être effectués au plus tôt». Des 40 travées qui composent la section 5, entre l'île des Soeurs et la Voie maritime, «31 comportent des défauts importants», d'où cette cote. Les dommages à la section 7, entre la Voie maritime et la Rive-Sud, sont moins étendus: 4 des 10 travées inspectées ont reçu la cote 1. Des risques gérés Les recommandations du rapport d'inspection de 2012 ne sont pas restées lettre morte, selon le porte-parole de PJCCI, Jean-Vincent Lacroix. Des «travaux importants» sont prévus pour donner suite à certaines d'entre elles, et ce, dès 2014, à la reprise des grands travaux annuels du pont Champlain. Depuis cinq ans, la société fédérale est engagée dans une véritable course contre la montre afin de freiner la dégradation de plus en plus rapide de nombreuses composantes de ce pont vital pour la métropole, qui doit être remplacé en 2018. Le renforcement des poutres de rive et des chevêtres constitue la priorité. La rupture de l'un de ces éléments pourrait entraîner la fermeture complète, voire définitive, du pont. En comparaison, dit M. Lacroix, «une rupture locale, ça s'apparente à un nid de poule, un poinçonnement ou, au pire, un trou qui se formerait dans la dalle. Cela ne peut d'aucune façon menacer l'intégrité du pont. En termes d'impacts sur la circulation, ça peut nous obliger à fermer une voie de circulation durant le week-end, pour remplacer un joint de dilatation, par exemple. Il y a des risques, c'est vrai, mais ils sont gérés.» Câbles coupés Les travaux correctifs prévus par la société fédérale toucheront au moins la moitié des 50 travées du pont Champlain, selon M. Lacroix. Des supports locaux seront installés sous la structure du pont, à des endroits où le béton est affaibli, afin de prévenir des défoncements de dalle. La société prévoit aussi que plusieurs travées du pont seront renforcées à l'aide de câbles d'acier extérieurs pour compenser la perte des câbles de post-tension transversale coupés ou corrodés qui ont été détectés, dans la structure, lors d'inspections précédentes. Trois des travées du pont ont déjà subi ce traitement, indique M. Lacroix. La société fédérale a insisté sur le fait «qu'il n'y a pas d'inquiétudes à avoir au niveau de la structure du pont», malgré les câbles transversaux sectionnés. Chaque travée du pont est traversée par 54 câbles d'acier sous tension qui servent à maintenir tous les éléments du tablier compressés les uns contre les autres. Selon PJCCI, la moitié de ces 54 câbles suffirait pour assurer l'intégrité d'une travée, 27 des câbles ayant été installés par mesure de précaution. Or, dans le pire des cas, selon M. Lacroix, le nombre des câbles sectionnés représente 10% des câbles d'une travée. - Avec la collaboration de William Leclerc Des passages du rapport modifiés Le sommaire du rapport d'inspection d'octobre 2012 cité dans ce reportage a été modifié de manière substantielle dans la version finale de juillet 2013, en omettant toute référence aux «risques de rupture locale de la dalle» et à l'effet d'une telle rupture «sur la circulation et la sécurité des usagers». La Presse a aussi constaté que d'autres passages concernant la progression des bris de câbles de post-tension transversaux du pont et la détérioration du béton, sous le tablier, ont aussi été changés dans cette portion du rapport, qui sert à résumer les constats faits au cours de l'inspection. Les passages modifiés font à peine deux paragraphes et ont été remplacés par deux autres paragraphes qui sont une copie conforme du sommaire du rapport d'inspection annuelle du pont de 2011, réalisé aussi par la firme AECOM, sous la direction de l'ingénieur senior Jean-Claude Gilbert. Entre le dépôt du rapport préliminaire d'octobre 2012 et la production du rapport final de juillet 2013, l'ingénieur Jean-Claude Gilbert a été congédié par la firme AECOM en mai 2013. Ce congédiement est survenu à la suite d'incidents survenus sur un chantier du pont Champlain, après le bris d'un joint de dilatation. Le bris du joint avait alors provoqué l'apparition d'une large fissure de plusieurs mètres de longueur sur la chaussée du pont. La société Les Ponts Jacques Cartier et Champlain, qui gère l'ouvrage, a aussi porté plainte contre M. Gilbert à l'Ordre des ingénieurs après que Radio-Canada eut diffusé des images de cette fissure qui n'a pas mis la sécurité des usagers en jeu puisque le pont était alors fermé pour réparations. Un porte-parole de la société fédérale des ponts, Jean-Vincent Lacroix, a assuré à La Presse que les modifications au rapport d'inspection de 2012 n'ont pas été demandées par PJCCI avant la production du rapport final. La Presse a tenté de joindre l'ingénieur Gilbert, sans succès.
  20. Sur le site locatif du Griffix, pour un 5½ à 1161 pi² au 6e c'est 2160$ sans stationnement : http://www.griffixcondos.com/grille-de-prix/
  21. Ça c'est vraiment plate de ne pas avoir eu de réponse claire sur cette question, car ça peut influencer la décision d'acheter ou non de plusieurs personnes. Sur leur site web, ils annoncent 29 appartements à louer .... http://www.griffixcondos.com/ Il y des locations du 3e au 12e étage j'ai trouvé une annonce sur kijiji pour un 5½ à 2100$ : http://montreal.kijiji.ca/c-immobilier-appartements-condos-5-1-2-Le-Griffix-nouveau-condo-a-louer-centre-ville-W0QQAdIdZ558480130
  22. La dalle du 7e a été coulée juste avant les fêtes. Avec le froid qu'on a eu en début janvier, ça n'a pas dû aider.
  23. Ça doit faire au moins 3 mois que c'est écrit « En construction » La fille au bureau de ventes m'avait dit qu'on devrait voir le « trou » en février... Il leur reste 6 semaines pour démolir et creuser...
  24. Dans le blogue de François Cardinal Samedi 18 janvier 2014 | Mise en ligne à 8h33 Dix raisons d’aimer (et de réclamer) un péage régional… 1) L’argument de Québec ne tient plus… Le gouvernement Marois répète que le pont Champlain n’est pas une infrastructure locale et que par conséquent, Ottawa ne peut financer entièrement son remplacement par un péage local. Or le fédéral a annoncé mardi qu’il allait contribuer financièrement au projet, répartissant ainsi une partie des coûts à l’ensemble des contribuables canadiens. Les Québécois ne sont donc plus seuls à payer. 2) Le financement des routes est inéquitable… Les routes sont un bien public essentiel, au même titre que le transport en commun. Normal qu’ils soient financés par les impôts. Mais les déplacements en auto créent des externalités comme la pollution et la congestion qui ne sont pas assumés par ceux qui en sont responsables. «Ce mode de financement est inéquitable», estime le CIRANO. 3) La demande pour le transport en commun est en hausse… De 2003 à 2008, le nombre de déplacements en transport en commun (+2,7%) a augmenté plus vite que le nombre de déplacements en auto (+0,2%). Si elle ne la précède pas, l’offre doit au moins suivre la demande, d’autant que cette dernière est encouragée par le gouvernement. Une révision du cadre de financement est donc nécessaire pour rendre cela possible, étant donné les immenses limites des budgets des sociétés de transport. 4) Les contribuables préfèrent les tarifs aux taxes… La plupart des fonds pris dans les poches des automobilistes sont actuellement envoyés dans le fonds consolidé de la province et servent donc à tout et rien, ce qui augmente la frustration et le cynisme. Or il apparaît évident, selon la Chaire de recherche en fiscalité et en finances publiques de l’Université de Sherbrooke, «que la population québécoise préfère l’introduction de frais d’utilisation à l’augmentation des taxes et des impôts particulièrement pour le financement du réseau routier.» À condition, bien sûr, que les revenus aillent dans un fonds dédié. 5) C’est maintenant ou jamais… Le pont Champlain est fédéral. Il sera construit par le fédéral, avec de l’argent fédéral. Le Québec n’a donc pas d’emprise sur la décision du fédéral d’imposer un péage, ce qu’il fera à n’en pas douter. Plutôt que de pelleter le problème par en avant, le gouvernement ferait œuvre plus utile en poussant l’idée d’un réseau de péages métropolitain (sur les autoroutes et non les ponts), afin d’éviter dans quatre ans le ressac d’un unique péage sur les autres ponts. 6) Il n’existe pas de signal de prix… Il n’y a actuellement aucun lien entre les revenus perçus par l’État auprès des automobilistes et l’utilisation des routes, ce qui est une aberration au moment où l’on se bat avec des infrastructures routières vieillissantes qui nécessitent un important effort de remise en état. De nouvelles sources de financement sont donc nécessaires pour mener à bien ce chantier. Personnellement, d’ailleurs, j’estime que les revenus des péages devraient servir aux routes, mais qu’une partie des budgets routiers actuels devrait revenir au transport en commun. 7) Un ménage s’impose dans les péages… On a actuellement dans la région une courtepointe de tronçons à tarifs variables. Cela ne peut pas tenir, surtout quand on sait que d’autres grands chantiers routiers s’ajouteront au cours des prochaines années, comme la réfection de la Métropolitaine. La réintroduction des péages devra donc se faire tôt ou tard, qu’on le veuille ou non. 8 ) L’étalement urbain ne se résorbera pas comme par magie… Le Plan métropolitain d’aménagement (PMAD) adopté l’an dernier par la CMM vise à contenir l’étalement urbain. Or l’actuel système fiscal et financier incite au contraire les banlieues à faire le contraire. L’introduction de frais d’utilisation, idéalement basés sur la distance parcourue, permettrait d’harmoniser les intentions et les actions du gouvernement en limitant l’éparpillement, en réduisant la motorisation, tout en augmentant l’équité. 9) L’insuffisance des fonds en transport en commun date d’il y a 20 ans… La seule façon pour le gouvernement de démontrer qu’il croit à la nécessité de services de transport en commun de qualité, c’est en le finançant à sa juste mesure. Or même si Québec a augmenté ses investissements ces dernières années, son désengagement progressif depuis la réforme Ryan de 1992 se fait encore sentir, comme le soulignait le rapport Bernard… 10) Les sondages sont favorables… Un sondage pancanadien mené en 2011 par Léger Marketing pour CBC/Radio-Canada révèle que plus des deux tiers des résidents de la région de Montréal (69 %) seraient favorables aux péages si cela améliorait des conditions routières ou réduisait le temps passé à se rendre au travail, ce qui cadre avec les résultats de précédentes enquêtes d’opinion. C’est plus qu’à Toronto et Vancouver. Fait intéressant, 85 % jugent qu’il serait acceptable d’avoir un péage sur un nouveau pont ou une nouvelle route pour en financer la construction, et 68 % accepteraient un péage sur une route déjà construite pour financer les réparations sur d’autres routes.
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