Aller au contenu

Messages recommendés

ils disent bras de fer, mais on connait ce que Montréal peut donner, et la même chose pour Toronto. Ils ont montré leurs cartes ça fait un bout, la réponse est probablement déjà prise, je ne vois pas à quoi ça servirait d'attendre 2-3 mois pour choisir une des 2 villes. Rien ne va changer considérablement d'ici mars. Ils veulent peut-être attendre le moment pour l'annoncer pour des raisons d'opportunisme électoral. Pour que la BIC soit prête à opérer en mars 2017, les pourparlers doivent être assez avancés. En tout cas, Coderre la veut sa banque.

 

Moi j'ai l'impression qu'ils attendent avant d'annoncer/choisir la ville car il faudra donner quelque chose à l'autre ville. Imaginez s'ils choisissent Montréal, alors Bay street va grogner très fort et il faudra leur trouver un bonbon, genre pousser davantage pour la centralisation d'une commission nationale des valeurs mobilières basé à Toronto. Et si c'est Toronto qui est choisi alors peut-être que Bombardier obtiendrait de l'argent d'Ottawa pour calmer la déception des montréalais. Je n'en sais rien du tout mais je donne ces exemples pour essayer de comprendre le jeu politique.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Réponses 891
  • Créé il y a
  • Dernière réponse

Membres prolifiques

C'est certain que le jeu politique doit être en intenses en coulisses. Traditionnellement, lorsque ce genre de décisions favorise Montréal, le Canada anglais en entier (pas juste Toronto) crie au favoritisme. Donner ce centre de décisions à Toronto ne risque pas de créer de ressentiments ailleurs au Canada, sauf à Montréal même, et je ne suis pas convaincu que ça fasse bien peur au cabinet de Trudeau, très pro-Bay street et Toronto. Mais Coderre a une sacré grande gueule et il est proche de Trudeau, donc on verra bien...*

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

GB&Smith monte son équipe à Montréal

 

Après Londres, Boston et Sydney, le concepteur de logiciels dans le domaine de la sécurité informatique GB&Smith s’installe à Montréal. Arrivée cet été, l’entreprise, qui connaît une croissance exponentielle, constitue son équipe et travaille à se faire connaître.

 

 

Ce qui n’était qu’une petite entreprise en démarrage en 2007, à Lille, en France est devenue une entreprise de 80 employés avec des bureaux et des clients dans le monde entier. Son taux de croissance a augmenté de 45% au premier semestre 2016. Elle compte aujourd’hui environ 500 clients, dont de nombreux prestigieux comme le gouvernement et des grandes banques françaises, mais aussi la Réserve fédérale américaine! Ses clients sont répartis dans près de 40 pays.

 

 

GB&Smith doit son succès à la conception d’un logiciel qui permet aux entreprises de gérer l’accès à leurs données informatiques plus simplement, de façon plus souple et plus sécuritaire qu’avec les outils existants sur le marché. «Ces solutions étaient chronophages et sources d’erreurs, qui généraient des failles de sécurité», explique Tony Sansico, directeur des ventes. GB&Smith, qui détient deux brevets, a alors mis au point un logiciel afin «de faciliter et sécuriser la gestion des droits d’accès, d’avoir une traçabilité des actions menées et de produire des rapports», poursuit Tony Sansico.

 

 

Un atout de poids: l’universalité

 

 

Initialement, la solution développée -360 View- était seulement adaptée aux applications de l’éditeur de solutions d’intelligence d’affaires, Business Objects, dont le cofondateur Denis Payre a d’ailleurs rejoint le comité de direction de GB&Smith il y a quelques mois. Certes intéressant, le marché a considérablement augmenté lorsque les deux ingénieurs fondateurs, Sébastien Goiffon et Alexandre Biegala, ont réalisé qu’ils pouvaient adapter leur logiciel à toutes les autres applications. C’est le produit 365 View, celui qui sera d’ailleurs principalement vendu de Montréal, qui offre cette possibilité. «Tandis que le nombre de clients équipés de Business Objects est, selon les estimations, de 40 000 à 60 000, ils seraient environ 135 millions sur d’autres systèmes comme IBM, Oracle, SAP et Microsoft», précise Tony Sansico.

 

 

Bien qu’elle ait déjà une équipe de vente à Boston, la société est venue à Montréal pour développer son marché au Québec et plus largement en Amérique du Nord. Cette région du monde représente déjà plus de 50% de son chiffre d’affaires. «C’est la première fois cette année que notre chiffre d’affaires issu de l'Amérique du Nord est supérieur à celui du reste du monde. Mais, aux États-Unis, il y a encore une grosse marge de progression», indique Tony Sansico. La firme compte déjà plusieurs gros clients au Québec, dont elle préfère garder les noms confidentiels. La concurrence, selon Tony Sansico, est «un peu plus forte ici qu’en Europe mais personne n’offre de solution universelle.»

 

 

Bientôt 10 employés

 

 

Montréal a été choisi car «c’est une place de choix: on bénéficie de crédits d’impôt, les loyers sont abordables et il n’y aura plus de problème de décalage horaire pour travailler avec les États-Unis », explique Tony Sansico. Le bureau de Montréal est destiné à faire du développement des affaires et à être un centre de support technique pour les clients de la région. «En étant sur place, on peut aller faire des salons, avoir des équipes locales qui connaissent le marché et ainsi accélérer la croissance des ventes», ajoute le directeur des ventes.

 

 

Installée dans des bureaux près du parc Lafontaine, l'entreprise devrait compter dès le mois de janvier six employés, dont deux expatriés qui travaillent depuis plusieurs années chez GB&Smith en France et qui sont déjà sur place depuis plusieurs mois. Il reste encore quatre postes à pourvoir pour finaliser l’équipe, qui sera principalement constituée de vendeurs, mais comprendra également des ingénieurs logiciel. Les effectifs pourraient atteindre 15 personnes en 2017 si les ventes sont au rendez-vous.

 

GB&Smith monte son equipe a Montreal | LesAffaires.com

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Moi j'ai l'impression qu'ils attendent avant d'annoncer/choisir la ville car il faudra donner quelque chose à l'autre ville. Imaginez s'ils choisissent Montréal, alors Bay street va grogner très fort et il faudra leur trouver un bonbon, genre pousser davantage pour la centralisation d'une commission nationale des valeurs mobilières basé à Toronto. Et si c'est Toronto qui est choisi alors peut-être que Bombardier obtiendrait de l'argent d'Ottawa pour calmer la déception des montréalais. Je n'en sais rien du tout mais je donne ces exemples pour essayer de comprendre le jeu politique.

 

tu penses que donner 1B$ à Bombardier est équivalent à la BIC ? Faut pas oublier que Trudeau a seulement 3 ans pour commencer le programme, et que les villes doivent emboîter le pas sinon son partie ne sera plus aussi majoritaire aux prochaines élections. Aucune ville n'a de projets financés comme celui à Montréal, ils vont devoir se réveiller vite. Planifier un projet qui coûte des milliards ça prend des années.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

all the capital, power and influence is Toronto (Merci PQ). As a matter of fact, it was ONCE in Montreal!!

 

No chance we get the BIC in Montreal. They want private capital on a ratio of 5:1 - next..

 

The shift was already happening before the PQ was elected. Their election and the referendum only accerated it but it would have happened anyway (and it is a conveneint excuse, that way the ROC can blame Québec's intolerance on why Montréal lost its position while ignoring the part that played English-Canada intolerance). A big part of English-Canada didn't want to see their metropolis in a city too polluted by french. If we had agreed to completally assimilate to the superior culture, we might have a bigger city, but Montréal wouldn't be Montréal, il would be a clone of Toronto or any north-american generic city (maybe just older).

 

If you want to continue with negative comments, I suggest you start a thread called "mark_ac depressing and negative views of Montréal". This thread is for positive news.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

all the capital, power and influence is Toronto (Merci PQ). As a matter of fact, it was ONCE in Montreal!!

 

No chance we get the BIC in Montreal. They want private capital on a ratio of 5:1 - next..

That comment couldve been written in 1966, 1976, 1986, 1996, 2006 or 2016. No context, no solutions, just the same old "common enemy" : PQ or its equivalent before the 70's (in terms of it being anti-british Montréal) l'émancipation des francophones. It would be funny if it wasn't so sad.*

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

That comment couldve been written in 1966, 1976, 1986, 1996, 2006 or 2016. No context, no solutions, just the same old "common enemy" : PQ or its equivalent before the 70's (in terms of it being anti-british Montréal) l'émancipation des francophones. It would be funny if it wasn't so sad.*

 

c'était déjà terminé dans les années 40-50, avec leur mentalité, ils ont même voulu acheter Maurice Richard. 1967

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

Countup


×
×
  • Créer...