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  1. Publié le 10 septembre 2016 à 11h31 | Mis à jour le 10 septembre 2016 à 11h31 Un centre d'expertise en économie sociale à Montréal Le Forum mondial de l'économie sociale, qui s'est terminé hier, aura des répercussions à long terme à Montréal : la ville accueillera une nouvelle organisation internationale vouée au partage de l'expertise en matière d'économie sociale et solidaire. Les villes de Séoul, Bilbao, Mondragón (Pays basque) et Barcelone sont les partenaires de Montréal dans la création du Centre international de transfert d'innovations et de connaissances en économie sociale et solidaire (C.I.T.I.E.S.). « Cinq personnes y travailleront pour commencer, mais ça pourrait rapidement augmenter à 10 ou 12, puisque d'autres villes sont intéressées à participer », a indiqué le maire de Montréal, Denis Coderre, en entrevue à la suite de cette annonce. «Il y a un momentum autour de l'économie sociale, et le fait que Montréal accueille le siège d'une nouvelle organisation internationale consolide notre rôle de leader dans ce domaine.» Denis Coderre Les entreprises de ce secteur se développent plus rapidement et plus efficacement quand elles peuvent échanger leurs connaissances, souligne Nancy Neamtan, conseillère au Chantier de l'économie sociale, qu'elle a contribué à fonder. « Tout notre mouvement s'est construit en empruntant les meilleures idées ailleurs », dit-elle. Le Forum mondial de l'économie sociale, qui a réuni pendant trois jours à Montréal 1500 personnes provenant d'une soixantaine de pays, s'est conclu hier par une déclaration incitant les participants à faire la promotion de ce modèle économique, qui vise le bien-être des communautés plutôt que la maximisation des profits, notamment par la construction de partenariats public-privé-collectif. Un centre d'expertise en economie sociale a Montreal | Isabelle Ducas | Quebec
  2. Un document faisant état de la valeur patrimoniale du réseau de métro de Montréal vient d’être complété. Il servira à orienter les décisions futures de la Ville et de la Société des transports de Montréal. «On oublie parfois que le métro est un emblème de Montréal à l’international, pour la diversité de son architecture et l’ensemble des corridors souterrains qui s’y rattachent» -Isabelle Dumas, Chef de la division du patrimoine à la Ville de Montréal http://journalmetro.com/actualites/montreal/414308/un-document-pour-evaluer-le-patrimoine-du-metro/ http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=2240,96375615&_dad=portal&_schema=PORTAL
  3. http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/nathalie-petrowski/201309/19/01-4690915-une-nouvelle-mecene-pour-les-arts-a-montreal.php
  4. Un don de Guzzo pour le CHUM http://www.radio-canada.ca/nouvelles/arts_et_spectacles/2012/12/19/005-chum-art-public.shtml
  5. Médias - L'hebdo Ici ferme ses portes Le Devoir Paul Cauchon Édition du jeudi 30 avril 2009 Mots clés : Quebecor, Ici, Culture, Média, Québec (province), Montréal Un autre média meurt au combat: l'hebdomadaire montréalais Ici ferme ses portes, Quebecor avouant que sa rentabilité n'était pas au rendez-vous. Le magazine hebdomadaire gratuit Ici publie son dernier numéro aujourd'hui: Quebecor a en effet décidé de mettre fin à l'aventure. «Il y avait longtemps que le journal n'était pas rentable, et nous avons sans cesse injecté de l'argent pour le maintenir à flot, déclarait hier au Devoir Isabelle Dessureault, vice-présidente chez Quebecor. Nous avons révisé notre plan d'affaires, et il aurait fallu encore investir trop d'argent.» Après avoir investi plus de 10 millions de dollars au fil des ans, Quebecor a donc conclu que la rentabilité d'Ici était «inexistante», particulièrement à la lumière de l'actuelle chute des revenus publicitaires dans les journaux. La fermeture d'Ici entraîne la mise à pied de neuf employés permanents. Le journal avait également recours aux services de 15 à 20 pigistes. Mais Quebecor ne veut pas abandonner la marque Ici. «Il y a une volonté de continuer à faire vivre le branding», soutient Isabelle Dessureault. Quebecor a en effet l'intention de publier une section culturelle Ici chaque jeudi dans son quotidien gratuit 24h, sans qu'on sache pour le moment combien de pages la section comportera. De plus, certains chroniqueurs d'Ici se feront proposer de continuer à publier leurs textes sur le site Internet du 24 h et sur le site Canoë de Quebecor. La liste de ces collaborateurs n'était pas encore établie hier après-midi, mais il semble que Pierre Falardeau s'est fait offrir de continuer sur Internet. Ici a également une version télévisuelle puisque le canal Vox, diffusé par Vidéotron, présente un magazine culturel, Ici et là, animé par le rédacteur en chef d'Ici, Pierre Thibeault, et où l'on retrouve certains chroniqueurs de l'hebdo, dont Nelly Arcan. «Nous souhaitons que cette émission demeure sur Vox, explique Isabelle Dessureault, mais nous devons faire une réflexion sur les collaborateurs qui s'y retrouveront.» Ici a été fondé en 1997, en concurrence directe avec l'hebdo gratuit Voir. Par ailleurs, Quebecor publie également en anglais l'hebdo gratuit Mirror. Selon Mme Dessureault «le marché anglophone est différent» et la publication du Mirror n'est pas remise en question. http://www.ledevoir.com/2009/04/30/248119.html (30/4/2009 8H12)
  6. La Chambre de commerce du Montréal métropolitain choisit Michel Leblanc, directeur associé chez SECOR, pour devenir son grand patron. Pour en lire plus...
  7. La présidente sortante de la Chambre de commerce de Montréal devient présidente de l'agence de publicité. Pour en lire plus...
  8. Isabelle Hudon quitte la Chambre de commerce La présidente et chef de la direction de la Chambre de commerce de Montréal, Isabelle Hudon, va quitter ses fonctions le 31 octobre prochain. Par voie de communiqué, l'organisation a souligné que son conseil d'administration avait reçu et accepté la démission de Mme Hudon. > Plus de détails à venir http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200810/20/01-31205-isabelle-hudon-quitte-la-chambre-de-commerce.php Isabelle Hudon va relever «d'autres défis» Isabelle Hudon s'en va. La présidente et chef de la direction de la Chambre de commerce de Montréal quittera ses fonctions le 31 octobre prochain. Selon le communiqué de l'organisme, Mme Hudon «a choisi de relever d'autres défis». Le conseil d'administration a affirmé avoir reçu et accepté la démission de Mme Hudon. Celle-ci était à l'emploi de la Chambre de commerce depuis six ans. La présidente du Conseil d'administration de la Chambre, Hélène Desmarais, a voulu rendre hommage à Mme Hudon. «Elle s'est démarquée à la tête de la Chambre par son impressionnant sens du leadership qui s'appuie sur une compréhension solide des enjeux, son sens stratégique éminemment développé et ses capacités de gestion», a-t-elle indiqué. Plus de détails à venir... http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20081020/LAINFORMER/81020025/5891/LAINFORMER01
  9. La présidente et chef de la direction de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, Isabelle Hudon, démissionne. Elle quittera ses fonctions le 31octobre prochain. Pour en lire plus...
  10. La présidente et chef de la direction de la Chambre de commerce de Montréal quittera ses fonctions le 31 octobre prochain. Pour en lire plus...
  11. http://www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2008/10/20081007-172135.html Isabelle Hudon exhorte Québec à ne pas imposer le français aux PME Jocelyne Richer PC 07/10/2008 17h21 Québec doit renoncer à imposer aux PME toute forme de coercition en faveur du français, selon la présidente de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, Isabelle Hudon. « Il faut à tout prix éviter de nouvelles mesures coercitives pour nos PME sur le fait français », a-t-elle fait valoir mardi, en point de presse, alors qu'elle se rendait aux bureaux du premier ministre Jean Charest pour discuter de ce sujet. « Le fardeau administratif serait trop lourd », selon elle. La rencontre entre Mme Hudon et le premier ministre visait à préciser l'ordre du jour du « rendez-vous des gens d'affaires » qui aura lieu à Montréal, vendredi, afin de voir par quels moyens Québec pouvait faire en sorte que les petites et moyennes entreprises (PME) fassent du français la langue d'usage dans ce secteur d'activités, 30 ans après l'adoption de la loi 101. Mme Hudon n'aura cependant pas à déployer beaucoup d'efforts pour convaincre le gouvernement d'y aller en douceur, car la ministre responsable du dossier linguistique, Christine St-Pierre, qui est à l'origine de l'événement de vendredi, a déjà déclaré qu'il n'était pas question d'ouvrir la loi 101 pour assujettir les entreprises comptant moins de 50 employés à l'application de la loi. Québec misera plutôt sur la bonne volonté des chefs de PME pour accroître l'usage du français en milieu de travail. Actuellement, les 240 000 PME du Québec n'ont aucune obligation légale de se franciser. Mme Hudon dit espérer que l'exercice de vendredi, coprésidé par elle et le premier ministre Charest, servira à concocter un plan d'action visant à étendre le français dans l'entreprise comme « langue de service, langue d'affichage et langue de travail ». Elle proposera surtout de mieux informer les dirigeants de PME sur les programmes gouvernementaux existants favorisant l'usage du français. « Notre but n'est pas d'être agressif, parce qu'on ne gagnera pas du terrain, en étant agressif sur le front de la langue », selon elle.
  12. Les fusions bancaires remises à l'ordre du jour 27 juin 2008 - 06h48 La Presse Hugo Fontaine Il faut mettre fin à l'interdiction des fusions bancaires, suggère le Groupe d'étude sur les politiques en matière de concurrence. Cette recommandation, comme celles annoncées hier dans La Presse Affaires sur la libéralisation des règles dans les secteurs du transport aérien et des télécommunications, fait partie des 65 propositions soumises hier au ministre fédéral de l'Industrie. C'est un rapport résolument tourné vers la concurrence mondiale et l'investissement étranger qu'ont présenté les cinq membres du Groupe d'étude, dont la présidente et chef de la direction de la chambre de commerce du Montréal métropolitain, Isabelle Hudon. «Mais ce n'est pas une lumière verte pour toute fusion (bancaire), a précisé Isabelle Hudon au cours d'un entretien avec La Presse Affaires. Si deux banques proposent une fusion, il y aura toujours le Bureau de la concurrence qui aura à évaluer la transaction. On ne peut pas avoir un discours en faveur d'une concurrence forte et saine, et dire non à tout sur le front bancaire.» Click here to find out more! Le Groupe écrit que de plus grandes institutions financières permettraient de «soutenir plus efficacement la concurrence sur les marchés internationaux». Moins de restrictions Le rapport intitulé Foncer pour gagner propose que les investisseurs étrangers n'aient plus à démontrer qu'une transaction soit à l'avantage net du Canada afin qu'elle soit approuvée. Il reviendrait plutôt au ministre de démontrer qu'une transaction est contraire à l'intérêt national pour la bloquer. En d'autres mots, le Groupe veut renverser le fardeau de la preuve. «En recommandant ce changement ainsi que d'autres à la Loi sur Investissement Canada, le Groupe d'étude est bien conscient qu'en vertu de l'ALENA et d'autres engagements découlant de traités internationaux, le Canada ne peut amender la loi que pour diminuer, et non élargir, la portée de son application» est-il écrit dans le rapport. Ceux qui espéraient que l'on resserre les règles sur l'investissement étranger ne trouveront donc aucun réconfort dans le rapport. «À quelques exceptions près, nous n'avons pas eu cette demande durant les consultations», a noté Isabelle Hudon. Le Groupe recommande aussi de hausser les seuils d'examen des transactions à 1 milliard de dollars (au lieu de 295 millions), de sorte que seules les mégatransactions soient étudiées. En ce qui concerne le transport aérien, le groupe demande qu'on autorise jusqu'à 49% de propriété étrangère. Le groupe préconise aussi d'ouvrir la porte aux investissements étrangers dans les entreprises de télécommunications qui détiennent moins de 10% de parts de marché. «Quand on propose une plus grande ouverture, la réciprocité est très importante, dit Mme Hudon. Si on s'ouvre ici, il faut que ce soit ouvert dans les autres pays.» Le Groupe préconise aussi la mise en place d'un Conseil canadien de renforcement de la compétitivité. Réactions mitigées du milieu d'affaires Le Conseil du patronat du Québec, l'Association des banquiers canadiens et le Conseil canadien des chefs d'entreprise (CCCE) ont accueilli favorablement le rapport. «C'est de la musique à nos oreilles, a dit le président du CCCE, Thomas D'Aquino. Ce rapport est complet, élaboré, et d'une grande portée. Il s'agit d'une base de travail phénoménale pour transporter le Canada pendant le XXIe siècle.» Cet enthousiasme n'est cependant pas partagé par tous les gens d'affaires. La Fédération canadienne de l'entreprise indépendante (FCEI), qui entretenait pourtant de grands espoirs, est fort déçue. «C'est un rapport conçu pour les grandes entreprises», déplore le vice-président de l'organisme pour le Québec, Simon Prévost. Selon lui, plusieurs recommandations sont des sources d'irritation pour les PME, notamment celle qui prévoit que l'aide gouvernement devrait être axée sur les PME qui ont la volonté de devenir de grandes entreprises. «Ce rapport-là n'est pas rassembleur pour l'économie», résume M. Prévost. «La FCEI n'a pas déposé de mémoire au groupe», a répondu d'emblée Isabelle Hudon, qui assure que les intérêts des PME ont été pris en compte par le Groupe d'étude. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080627/LAINFORMER/806270791/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
  13. Hercule

    Havres

    La Société du Havre de Montréal enclenche les dernières études pour le réaménagement de l'autoroute Bonaventure MONTREAL, le 30 août /CNW Telbec/ - La présidente du conseil d'administration de la Société du Havre de Montréal, Mme Isabelle Hudon, s'est réjouie de la confirmation d'une participation du gouvernement du Québec de 400 000 $ au projet de réaménagement de l'autoroute Bonaventure à l'entrée du centre-ville. L'annonce de cet investissement a été faite aujourd'hui par le ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, M. Raymond Bachand, au nom de la vice-première ministre et ministre des Affaires municipales et des Régions, Mme Nathalie Normandeau, en compagnie du maire de Montréal, M. Gérald Tremblay. "La Société du Havre a délibérément fait le choix de s'astreindre à une planification stricte et rigoureuse au terme de laquelle Montréal bénéficiera non seulement d'une entrée de ville prestigieuse, mais également d'un lieu qui favorisera l'attraction d'investissements dans ce nouveau lien entre le centre-ville de la métropole et le fleuve Saint-Laurent. En joignant aujourd'hui ses efforts à ceux de la Société du Havre et de la Ville de Montréal, le gouvernement du Québec nous permet d'accélérer la cadence et de franchir une nouvelle étape cruciale afin que puisse commencer, dès 2009, la préparation des plans et devis pour le réaménagement de l'autoroute Bonaventure à l'entrée du centre-ville", a déclaré la présidente du conseil d'administration de la Société du Havre de Montréal et présidente et chef de la direction de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, Isabelle Hudon. C'est en effet au terme de cette phase d'avant-projet que commenceront les travaux d'infrastructures et de voirie, lesquels devraient se terminer en trois ans. Le respect de cet échéancier permettra d'offrir aux Montréalais une nouvelle entrée de ville prestigieuse dès 2012. "En conjuguant rigueur et ambition, c'est donc avec beaucoup de fierté que nous passons à cette importante étape avant le début des travaux. Ce faisant, nous confirmons notre choix collectif d'investir 90 M$ pour ce projet d'envergure plutôt que de dépenser 60 M$ pour maintenir une infrastructure vieillissante", a ajouté Isabelle Hudon. Rappelons qu'en avril dernier, la Société du Havre de Montréal dévoilait les conclusions positives des six études de faisabilité pour la transformation de l'autoroute Bonaventure en grande artère urbaine, à l'entrée du centre-ville. A la lumière de ces résultats, le maire Gérald Tremblay avait immédiatement enclenché l'avant-projet, une phase cruciale qui vise notamment à compléter toutes les analyses relatives aux coûts de construction, à la démolition des structures, à l'amélioration du domaine public, aux mesures de maintien de la circulation et aux moyens à mettre en place pour optimiser le transport collectif dans le corridor Bonaventure. La Société du Havre de Montréal est née dans le sillage du Sommet de Montréal au printemps 2002 avec l'appui financier des trois paliers de gouvernement. Son mandat était de proposer, pour le havre et les espaces qui l'entourent, les grandes lignes d'un plan d'intervention concerté, assorti d'une stratégie de mise en oeuvre et de financement. Au printemps 2004, elle dévoilait son rapport Vision 2025, une proposition pour l'avenir du havre qui s'est concrétisée dans un plan d'intervention réaliste dont la pierre angulaire est le réaménagement de l'autoroute Bonaventure.
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